ATELIER N°18 - UNE FIN DU MONDE

Tu m'as l'air, chère Catherine, de savoir a quoi il faut s'attendre avec notre chez Paladin.... :

Catherine Robert a écrit:

on ne fait pas attention à ce qu'il dit

Moi, ce que j'en dis....

Citation :

Tu m'as l'air, chère Catherine, de savoir a quoi il faut s'attendre avec notre chez Paladin.... :



Catherine Robert a écrit:

on ne fait pas attention à ce qu'il dit

Tu ne comprends pas. Je fais en sorte qu'ils gardent confiance en eux.

Encore une fois, finesse, raffinement, erudition et saine émulation autour des ateliers d'écriture !

Et oui ! Que veux-tu ? Nous sommes des artistes emplis d'un génie difficilement supportable. Il faut donc que parfois on se laisse aller à une certaine trivialité.

J'ai envie de me faire cet atelier façon comique ! Je vais voir !!!

J'ai un début d'approche ! Dites-moi si ça part bien ou pas !!!

"Comment tout ça a pu arriver, j'en sais foutre rien !

Je fouinais dans ma cave à la recherche d'une bonne bouteille, un cru de bon augure pour oublier ce mal de crâne qui commençait à me vriller les tempes lorsque le désastre arriva.
Parler de "désastre" est une supercherie voyez-vous !… le terme le plus adéquat, le plus approchant serait "cacophonie exponentielle" si la définition existe ! Mes mains établissaient des circonvolutions le long des rayonnages poussiéreux, envahissaient l'empire des araignées du sous-sol... l'odorat pris dans une moiteur visqueuse et renfermée, la vue embrouillée par un éclairage succinct et résumé à une simple et unique ampoule branlante dans un coin de la cave !
Vous comprendrez alors le calvaire enduré par mes cinq sens mais ce fut l'ouïe -et seulement elle- qui servit de bouc émissaire cette fois-là.
Si mes oreilles avaient une raison, un reproche à me faire sentir, je pense qu’elles ont réussi. Au-delà de leurs espérances d’organes externes ! Je déraisonne un peu mais les apparences ne sont plus les mêmes. Ma vie est devenue un théâtre où je suis à la fois acteur, figurant, metteur en scène et spectateur. Spectateur d’un Grand Rien !
Je n'ai pourtant jamais été un grand froussard devant l'Eternel mais cette déflagration me fit pisser dans mon froc.
Mais je m'égare et je dois reprendre le cours des évènements par le début. C'est une sorte de thérapie si vous voulez...

Croyez bien que je m'en fous car j'écris dans le vide et pour personne ; mon stylo plume court sur cette page avec frénésie mais sans désir !
Je ne suis pas un comique ni un théoricien. Je relate une simple journée et je me presse car la nuit arrive. La vraie nuit. Vous ne comprenez toujours pas ? Laissez-moi un peu de temps. J'ai tout mon temps".

L'approche est pas mal du tout, mais comme on sait pas ce qui va arriver plus tard, on ne peut pas en dire grand chose...(hormis que le style zaroffien est intact).
Pour ma part, je viens de sortir un premier jet, alors je retouche et corrige tout ça et je vous balance le bouzin d'ici qques jours!

C'est quoi un style zaroffien ?

Posté ma fin du monde, trouvable dans dans le foutoir de la bibliothèque (pardon Maerlyn, si, si c'est tréééééés bien rangé), donc entre

-"Style Zaroffien, pourquoi il a fait date ?" par le dogue illégitime du Comte
et
"Syntaxe, mon amie" par le Doctore es lingua Don Paracelsiumus, vous trouverez

APRES T' / Texte de Dagobert pour l'Atelier 18



Celui-là donc !

Et après "Sexe et luxation, comment trouver un modus vivendi" de Paracelsus Minus Masturbus von Epaul' nikéé !

J'ai un problème, car j'ai fini un texte, mais il peut aussi bien s'attribuer à « une fin du monde » qu'à « un mythe revisité ».

Ca, c'est con !

Bah tu le mets dans l'atelier pour lequel tu l'avais écrit à l'origine.

À l'origine, ce n'était pas pour un atelier, car je l'avais commencé il y a un an.

...Tu tires à pile ou face!