Il fit brusquement demi-tour en glissant presque plus qu'il ne courait sur le parquet en bois lisse, (Oh, la la... que c'est laid ce « presque plus »)
Essoufflé, il s'arrêta sur le pas de pas de la porte, (le pas de la porte, sinon j'ai aussi « le pas du pas du pas du pas du pas de la porte »)
Ce qui lui faisait face : le spectacle le plus abominable qu'il n'ai jamais pu imaginer. (« Ce qui lui faisait face » pourrait être remplacé par une phrase qui exprime plus la stupeur)
Bon style, fluide, mais le vocabulaire employé est en dent de scie. Parfois, tu utilises des mots comme gourmand pour exprimer un événement morbide. J'aurais choisi vorace pour l'exemple.
Histoire pas assez travaillée et une fin bâclée.
Sinon, on n’a pas besoin de boire ou d'être désespéré pour écrire des scènes dégueulasses. Une bonne imagination suffit.