Un texte étrange qui part d'une idée surréaliste, la sous-exploite de façon un peu puérile, et se termine dans le cliché, le tout pâtissant d'une absence de description de la situation.
En somme, je n'adhère pas.
Son maître lui asséna un violent un coup de talon
=> même le surréalisme a ses limites...
en enfournant dans son museau les restes de terrine qui jonchaient son assiette
=> le museau, c'est le nez. La bouche, c'est la gueule.
pour les interminables laïus dont le premier se plaisait à dispenser au second pendant des heures
=> laïus que le premier
ce magnat canin aussi cruel dans son attitude qu'il était affable lorsqu'il s'agissait du Fléau Humain
=> affable = courtois. Je pense qu'il y a donc quelque chose qui ne va pas dans cette comparaison.
Sujet: Re: Atelier 14 : L'Ere Canine 
