Je vous présente le premier chapitre de ma nouvelle, Nommée Keep Alive, Rock the Live. Elle contient de la drogue, du sexe et du Rock'n roll. Je la déconseille donc au plus jeune et n'hésitez pas me le dire si des passages qui ne conviennent pas à la charte du forum, je les modifiraient. Pour ce qui est de l'orthographe et de la syntaxe, j'ai fais plusieurs relecture, mais je vais avoir besoin de faire relire le texte par des amis.Chapitre1
Don’t fuck with rock’n rolla
11h00 am, Bunker Ker Yelle, appartement de Charlie FructisCharlie Fructis se trouvait dans le studio d’enregistrement, écoutant son dernier mix. Toute la nuit, il avait checké les basses, le rythme, la puissance. Une fois le mix terminé, il exporta l’ensemble du fichier son au format MP3. Il le copia sur son disque dur avant d’effacer toutes traces de son travail sur l’ordinateur. Il prit ensuite le disque dur pour le déposer dans le coffre fort où il gardait tous ses mix inédits. Une fois les fichiers en sécurité, Charlie s’alluma une Lucky avant de prêter attention aux beuglements de son ami Hans qui résonnaient dans les couloirs. Il monta dans le salon qui leur servait à la fois de chambre à couché, de harem, de fumoir et de terrain de Paintball. Hans était allongé sur le canapé, au milieu des murs tapissés de babes gothiques, un numéro de Bizarre magazine sur la tronche et sa mauvaise humeur à porté de main.
« there two fucking energies in the world, stress and relaxation, and this, this is FUCKING STRESS, so shut off this fucking phone ! »
Hans Cunningham était le clipper officiel de Charlie. Si Hans avait été un personnage d’Heroes, il aurait définitivement eut le pouvoir de remuer la merde. Un véritable cauchemar pour le PAF. C’était le gars qui avait fais connaître Charlie grâce au clip « Relax », diffusé clandestinement sur Youtube. Le clip se déroulait sous la forme d’une sex-tape dont la principale actrice était Carla Bruni et Hans avait eut le bon goût de faire terminé ça en séance de bondage. Deux jours après sa diffusion sur le Net, le clip faisait la couv’ de Libé, l’appart de Charlie était perquisitionné, sa ligne téléphonique sur écoute et son album buzzé à l’échelle planétaire. Charlie Fructis était devenu l’artiste phare de la multinationale du son, King Studio.
Charlie regarda son portable. L’appel venait d’un numéro de téléphone inconnu. « Connais pas » dit-il, avant d’éteindre son portable et de le balancer à l’autre bout de la pièce.
-You did’nt reply , demanda Hans.
-No, it’s always the fuckers who call at eleven O’clock in the morning.
-Good philosophy. So, what’s the news ?
-The new album is finish and it’s a killing machine. We need to bring the troops and make a mega party for tonight.
-Ok, buddy. Let’s rock the night, hook some girls, kill some pills. But i have got a very important question: have you ever try to fuck with fat girls ?
C’est ce que Charlie aimais chez Hans, son côté imprévisible.
22H00, le BeforeHans entra dans la salle de gravure. La salle de gravure était une partie du bunker spécialement dédiée à l’impression de CD et de vinyles ainsi qu’à la création des pochettes et autres flyers. Elle était munit d’une quinzaine de tours contenant chacune plusieurs graveurs CD, Blue ray, HD DVD et vinyle. Charlie se trouvait au centre de la pièce, attendant la fin de la gravure de son nouveau single au format vinyle. Hans s’arrêta au niveau de Charlie, le téléphone à la main. Charlie ne décolla pas ses yeux de la barre d’avancement du graveur.
-Charlie, it’s for you, dis Hans en tendant le téléphone.
-Who is it ?
-The person who have phone this morning and …
-Why did you reply Hans? Coupa Charlie.
-Because I was thinking, than it could be a naughty girl who can make a good fuck friend, who knows. In fact she really insist to talk to you. She says it’s very important.
Charlie se résigna à prendre le téléphone tout en gardant ses yeux sur la gravure du vinyle.
-Hello. On se connaît ?
- Non, dis la fille à l’autre bout du téléphone. Je m’appelle Anna et j’ai une information très importante à vous communiquer. Ce soir, vous allez rencontrer une femme, je ne sais pas son âge, je ne connais pas son visage. Je sais juste qu’elle portera un masque de Catwoman et qu’elle sera là
pour vous assassiner.
-Et tu sais ça comment ?
-Je suis médium, mais croyez moi je…
Charlie raccrocha avant qu’Anna puisse terminer sa phrase, avant de se tourner vers Hans et de lui dire :
-It’s always the fucker who call at eleven O’clock.
La gravure du vinyle était terminée.
-It’s time to go, Hans.
Hans et Charlie quittèrent la salle de gravure pour arriver à la salle 13, qui était spécialement aménagée pour les concerts : Boule à facette, rétroprojecteur passant en boucle des films trash japonais, murs d’enceintes et une immense estrade rappelant le monolithe noir de 2001 l’Odyssée de l’espace que Charlie gravit pour allé caresser ses platines. Une foule de deux cent personnes était amassée devant le monolithe, illuminant la salle de leurs habits fluo. Leurs cerveaux, excités par l’alcool était à la recherche de la moindre violence sonore. Charlie pris le vinyle de ses deux mains, puis le leva au dessus de sa tête pour le montrer à la foule.
« Le beat que vais vous délivrer là est l’essence de la musique, l’essence d’une révolution qui vit depuis 80 ans. Ce que vous allez entendre là est une alchimie, une absurdité qui ne pourra jamais être dompté par le moindre scénario marketing. C’est un concentré de rock, de drogues, et d’insanités. Préparé vous à abandonner vos neurones pour baiser avec le démon.»
Charlie posa le vinyle sur la platine avant d’insérer le diamant dans ses sillons.
4H00 am, l’AfterCharlie c’était posé derrière le rideau qui délimitait les backstages. Il était assit sur le canapé, un joint au bec, entouré de deux chattes. Une rousse aux yeux verts et une brune aux yeux bleus. Entre deux bouffées de THC, les lèvres de Charlie venaient caressées l’une des chattes. Le cerveau de Charlie sortit de sa léthargie au moment où Hans entra de la pièce en l’interpellant.
« Hey buddy ! I have found pills, we need to taste it !
Hans posa sur la table deux pilules jaunes.
-Were did you get that ?
-Near the ladies room, close to a girls bag. The color looks fun, we really need to taste it.
-Listen, Hans, dis Charlie en se levant, I Know than rock’n rolla mean to do stupid thing, but take pills without know what is it, it’s a very stupid. You don’t even know if it’s drugs ! I love drug, but i want to know what is in my body !
-Look these two pussy, they don’t care, dis Hans en montrant les deux chattes avaler les pilules.
-I don’t think they are the best exemple…
La chatte rousse s’effondra par terre. La brunette, paniquée essaya de la réveillée. Hans, stoïque se pencha sur la fille, regardant ses yeux, avant de prendre son pouls.
-She is sleeping. May be she was too tired or too drunk.
-I don’t think so, répliqua Charlie en voyant la deuxième chatte s’endormir sur le canapé. Who was the owner of this pills, hans ? What kind of guy can bring somnifère to a party?
-I just remenber the bag were they was.
-What does it look like ?
-It was this one, dis Hans en pointant le sac de la fille qui venait d’entrer dans les backstages. Elle portait des talons hauts, un pantalon moulant en latex, un t-shirt fluo avec marqué dessus « I fuck everything I kill », une énorme paires de boobs, et surtout,
un masque de Catwoman. Rock’n rolla.