Sous la pluie bondée
Il pleut ce soir sous les palmiers,
de ma fenêtre perché, maussade je me coupe des cartiers.
Se balade des giclées orangé à l'oraison de mes pieds,
je me penche pour essuyer mais chute de côté.
Je me relève Légèrement,
et j'aperçois un couple trempé par mes vitres guindés.
Je pense que cela ne peut m'arriver:
rougeoyer, pris dans une tempête glacé, par un âtre enchanté.
Cette jolie fille c'est déclaré après un instant de déclamation enflammé,
qu'il est joyeux d'être aimé si délicatement.
Devant ce spectacle climatique,
je me presse des parties de ma clémentine,
puis déguste son jus sécrété.
Alors qu'en bas se joue une pièce palatine,
je me retrouve à bavasser avec des sucs platonique,
aucune Femme n'est-elle donc prête?
Là je me trompe de combat,
j'essaie désespérément de me cacher que cette fille dehors aux regards de braise et aux seins mouillés
est celle que j'aime follement depuis longtemps. Je suis disséqué!!
Je voudrais plongé dans un coma.
Bref, passons, il vaut mieux continuer et déguster.
Pour surtout ne rien regretter.
La voir en vrai même 1 seconde, vaut mieux que de l'or enorgueillissant.
D'habitude je ne cesse pas de la fantasmer,
la nuit, dans des actrices de film et de série tv, j'en suis possédé.
Déposséder de mon âme je ne peux retenir son attention, l'illuminant
Après ce flot déversé,
la pluie s'intensifie,
mon verre est entièrement vidé,
et les deux amoureux s'éloignent transits.
Je suis envahis d'un sentiment de dépits,
elle peut bien se déhanché à la base de mon immeuble balancé,
jamais je le sais la situation ne pourra changé.
Tu ne m'aimeras jamais,
bien que même dieu ne sache de combien je te suis épris,
je trépasserais
Et au coin de la rue,
quand elle aurait disparue,
je fus ému,
et elle ma vue.