Jonas Et Son Caillou

Okay, pas de problème, je pensais que tu avais fini (vais aller me cacher derrière ce gros caillou là-bas).

J'ai commencé, et des que j'ai fini je te dis ce que j'en pense. Pour l'instant je trouve ca très bien ! (et tu m'épate par la longueur ! avec le même thèmes j'aurais fait au moins 4 fois plus court !! lol !)

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Il y avait quelque chose d'absolument pas
naturel dans la façon qu'avait la voix de Delmore de s'altérer et de se moduler à travers ce brouillard
"minéral", qui n'avait lui aussi, pas grand chose de naturel. (le "absolument me parait bizarre dans cette phrase; deux fois le mot naturel : pour le deuxième je te propose "ordinaire").


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perdu comme jamais il ne l'avait jamais été depuis des années.. ( à retravailler mon ami !)

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Elémentaire, mon cher Jonas : ce caillou commence à te rendre
maboul, faudrait voir à commencer à faire le ménage là-dedans, parce que ça commence à sentir gravement
le renfermé! (trois fois le mot "commencer" dans la même phrase; "voir à " en trop).

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qui avait vu fleurir les germes d'un
amour aussi éclatant que milles gemmes sous un soleil d'or. (magnifique, je reconnais bien là Tak le poête !).

[color=white]Il avait l'impression formidable d'évoluer dans une
sorte de réalité alternative qui ne limitait aucun mouvement ou aucune parole, une sensation de réalité plus
puissante et vivace qu'il n'en avait jamais éprouvé dans les limbes du sommeil et tout cela ajoutait d'autant
plus à l'étrangeté confondante de celui-ci. (fascinant et trés limpide, ce genre de concept abstrait n'est pas évident à écrire).

Tout d'abord, il ne vit rien, puis les contours flous d'une espèce de jungle démesurée prirent naissance devant
ses yeux éberlués - à ce moment du rêve, il en était à se demander s'il était justement en train de rêver ou
non, rêve dans le rêve - et plus son regard s'élevait, plus la végétation semblait croître autour de lui, le
rendant aussi minuscule qu'un insecte, à cette échelle contre-nature. Quand il fut complètement acclimaté à
cet environnement, il put remarquer que cette étonnante végétation était composée de fougères, de yuccas,
de bouquets de lianes et de palmiers géants dont la couleur bleutée quasi-phosphorescente illuminait par
intermittence l'étroit sentier sur lequel il se tenait. Et ce n'était pas un luxe, car le ciel qui dominait ce décor
d'un autre monde, d'un pourpre sombre, était si obscur et impénétrable que celles-ci offraient la seule source
lumineuse existante aux alentours. Il fut à la fois subjugué et vaguement apeuré par ce lieu, qui n'était
conforme à aucune chose qu'il avait connu sur Terre ou du moins, dans sa vie terrestre consciente...
Dans un premier temps, il se sentit trop intimidé pour oser le moindre geste, puis quand il comprit que ce
"rêve" lui appartenait autant que ses mains ou ses pieds, il se mit en route et se décida à remonter le sentier
de terre ocre, zigzaguant entre les colossales fougères, apercevant de ci de là entre les frondaisons de
gigantesques constructions d'acier d'un gris dur (presque chromé) qui semblaient défier toutes les lois de la
temporalité. (idem que la réflexion précédente, du grand art Tak).

Existent-elles ainsi depuis des siècles ou des millénaires dans ce coin perdu de l'espace, éternelles vigies
étrangères aux notions de vieillissement ou d'érosion? se demanda-t-il avec une verve qui lui était peu
familière.
A mesure qu'il gravissait l'étroite ligne de terre, il croisait sans cesse de nouvelles sources d'étonnement, de
nouvelles merveilles dont il n'aurait jamais pu rêver - quelle ironie! - auparavant. Un mille-pattes translucide
aux innombrables membres qui par sa longueur aurait fait pâlir d'envie plus d'un anaconda, un crapaud à
queue pointue et aux proportions canines se mouvant par brusques à-coups, une créature volante à la
silhouette indéfinie dont seul un oeil pénétrant était clairement visible et bien d'autres spécimens surprenants
qui n'auraient évidemment eu aucune place dans nos atlas animaliers ou nos encyclopédies naturalistes. A
travers les buissons, des lucioles de la taille de boules de bowling flamboyaient tels des feux-follets aux
couleurs changeantes. Des fruits de texture et de formes tout à fait inconnues se balançaient entre les
branches et les lianes grimpantes de cette jungle miroitante de milles et unes lumières...et ce n'est qu'une
infime partie de tout ce que Jonas Mayfield vit, entendit et ressentit ce jour-là. Quel fabuleux foisonnement
de bizarreries et de phénomènes était-ce! (Mon dieu ! La quartorzième quel page ! C'est fascinant).

Page 15 (idem page 14 : fascinant)

-Ce que tu as toujours convoité de plus beau et de précieux au monde, nous t'en ferais cadeau si tu... (ferions).

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Il ferma les yeux plusieurs [color=red]fois de suite [color:d265=red:d265](manque le mot "fois").

se frayant à chemin à travers les lattes en
bois de son plafond, ("à" à rempacer par "un").

Rien à signaler, R[color=red].A.S mon capitaine! [color:d265=red:d265](n'oublie pas les points).
[color:d265=#ff0000:d265]

Page 17
-C'est vous, Jonas? Excusez-moi, je ne veux pas vous manquer de respect...mais quand je vous ai encouragé
à m'appeler, je n'attendais pas à ce que vous me tireriez du lit au beau milieu de la nuit... Voyons, il est (le
vieil homme entendit à travers le combiné le son distinctif d'une lampe de chevet qu'on allume)...trois heures du
matin, purée!
("n'" à remplacer par "m'"; manque le mot "homme").

Le lendemain, il vit à nouveau dépasser[color=red], des recoins les plus saugrenus de sa maison[color:e3ae=red:e3ae], herbes et fougères extraterrestres.

Page 18

ou alors il fallait envisager sérieusement la possibilité que Jonas commence à devenir fou, toc toc, je repeins mon
plafond avec une brosse à dent volante, qui est là? (Mdr).

Page 19 à 22(rien à y redire malgré les manques de virgules que je n'ai pas eu le courage de toutes les relevées.)

Page 23

Au moment même où la balle perforait sa boîte crânienne, Jonas cru déceler dans l'oeil du monstre une lueur
fugitive qui s'éteignit aussitôt qu'il s'en était aperçu, emportée par le souffle de la mort. Il ne saisit pas tout
de suite l'implication de ceci, mais comprit au bout de quelques instant l'énormité de son geste...Le cadavre
qui se tenait devant lui sur le sol mousseux était celui de Thomas Raffaeli (et non celui d'un monstre), le
sympathique journaliste qu'il avait connu dans une vie antérieure, (je ne vois pas l'intérêt de la précision).

Je la lis dès que j'ai le temps... j'ai aussi ton prologue à lire !!!

Page 24
Puis les entités apparurent et lui profèrent à nouveau leurs propos mystiques. (proférèrent).

Page 25

L'histoire fit les chaudes gorges de Horizon (les gorges chaudes).

Bon j'ai finis de lire ta nouvelle, on voit que tu as passé du temps sur certaines pages et pour dautres non et qu'une seule relecture aurait suffit à combler des mots manquants.
Sur l'ensemble de ta nouvelle, il manque énormément de virgules dont je n'ai pas eu, à chaque fois, l'envie de le signaler (par flemme).
Sinon ta nouvelle est remarquablement bien écrite, bonne syntaxe, du vocabulaire et la narration impeccable (ce qui est loin d'être mon cas). Le final est surprenant et original.
Je vous conseille à tous de la lire, même si 26 pages laisse place au découragement ! Faîtes comme moi, lisez-là en plusieurs fois !

N.B : peut-on mettre un épilogue sans avoir commencer par un prologue ? (si quelqu'un peut me répondre).

Eh bien! Un GRAND merci à toi pour ton attention et tes compliments Para, ça fait sincèrement plaisir!
Ce que tu dis sur les pages 14/15 me touche particulièrement, car j'ai eu qques difficultés à ecrire ces passages, il est vrai, car je me demandais comment ça allait rendre et tout ça....effectivement, ce genre de pensées ne sont pas faciles à retranscrire sur le "papier" et ça me rassure de voir que ce n'est pas trop raté. Et merci encore pour toutes tes corrections, je me suis pourtant relu plusieurs fois, mais sur un texte de cette taille, on laisse forcément passer des coquilles (meme si j'en imaginais moins que ça lol).
Heureusement qu'on a des (re)lecteurs de qualité sur ce forum!

Thank you again, donc.
Et y'a pas de problème zaroff, tant que tu me "dédommages" avec un joli dessin dont tu as le secret!

P.S: Et pis j'aimerais bien avoir l'avis du boss aussi, qui n'a tjs pas lu seul de mes textes lol ben oui, c'est un peu mon maitre à penser! (j'en fais pas trop, là? mdr).

Bon, ca y est enfin ! J'ai pris le temps de te lire, et Sincèrement je ne le regrette pas du tout ! J'ai passé un excellent moment en compagnie de Jonas !

Ton texte est vraiment très bien écrit, très bien construit, très agréable a lire, très captivant. Sublime, donc ! La fin, mais quelle fin ! Waouh j'en suis encore sur le cul ! Félicitations, TAK !! Bravo !

Deplus il ne me semble pas qu'il y ait a rajouter aux remarques de Paracelse, Tout est dit a ce niveau là, je crois.

Une fois de plus je te félicite c'est vraiment bon !

Bon, je vais m'y mettre aussi. Je n'attends que du bon Tak. Attention

Que dire de plus? Vraiment heureux que ça t'aies plu Nao, je sais que c'est un peu long, alors bon...
Merci bcp de t'etre donné la peine de lire mon histoire et toutes les gentilles choses que tu dis!

Sinon Para, je ne sais pas trop pour cette histoire d'epilogue, mais il me semble l'avoir déjà vu ailleurs (sans prologue, donc), mais je me trompe peut-etre. Si qqun peut nous donner qques eclaircissements, effectivement ce serait très cool, j'aurais l'air bien con dans le con contraire...

De rien, TAk, je ne fais que dire ce que je pense en toute honneteté, et je te le répète, ca m'a vraiment plu !

Pour l'épilogue, je ne sais pas du tout !

TAK a écrit:

Sinon Para, je ne sais pas trop pour cette histoire d'epilogue, mais il me semble l'avoir déjà vu ailleurs (sans prologue, donc), mais je me trompe peut-etre. Si qqun peut nous donner qques eclaircissements, effectivement ce serait très cool, j'aurais l'air bien con dans le con contraire...

Le terme épilogue signifie dans les romans : ultime chapitre où l'on apprend généralement des informations sans rapport direct avec l'intrigue.
Le prologue est la première partie d'une œuvre littéraire ou théâtrale servant à situer les personnages et l'action de l'œuvre.

Pour moi, ça veut dire qu'il n'y a pas besoin d'avoir un épilogue avec un prologue et inversement. Mais ce n'est qu'une déduction personnelle!

Stone Cold Bush a écrit:

TAK a écrit:

Sinon Para, je ne sais pas trop pour cette histoire d'epilogue, mais il me semble l'avoir déjà vu ailleurs (sans prologue, donc), mais je me trompe peut-etre. Si qqun peut nous donner qques eclaircissements, effectivement ce serait très cool, j'aurais l'air bien con dans le con contraire...

Le terme épilogue signifie dans les romans : ultime chapitre où l'on apprend généralement des informations sans rapport direct avec l'intrigue.
Le prologue est la première partie d'une œuvre littéraire ou théâtrale servant à situer les personnages et l'action de l'œuvre.

Pour moi, ça veut dire qu'il n'y a pas besoin d'avoir un épilogue sans prologue et inversement. Mais ce n'est qu'une déduction personnelle!

OK, donc les deux sont complètement indépendants l'un de l'autre?
C'est un peu ce que je pensais, mais je n'en etais pas sûr...faudrait demander à Thomas, docteur ès-lettres de ce forum

A y est, je l'ai lue et je dois dire chapeau TAK. Ton histoire est très bien écrite avec des idées intéressantes, un style excellent, on dirait un vrai conteur. C'est une histoire prenante et la narration du rêve est je trouve fantastique. Bien sûr, tu as des choses à paufiner, mais dans l'ensemble c'est du bon!
Par contre, je sais pas encore vraiment pourquoi, mais les trois derniers chapitres m'ont un peu moins emballé que le reste... ai pas tout compris (1h du mat' et des poussières, c'est ptet pour ça, je suis archi-crevé ) je les relirai demain. Pour finir, l'article de presse ne m'a pas plu dans le sens où je n'ai pas eu d'être en face d'un texte qui aurait pu être écrit par un journaliste.

Sinon, bah c'est du bon TAK. Et je sirais même plus, c'est du très bon TAK.