Le désert

Pour les fautes je m'en excuse, j'essai de faire au mieux, mais le français c'est pas trop mon truc. Trop de galère à l'école avec le français. Des textes imposés qui me rebutaient, des profs trop con qui ne comprennent pas ce qu'on prefere. Ca aide pas a aimé l'orthographe et le reste. Mais je pense qu'a force d'écrire ca viendra.

En lisant ce que tu viens de dire, je suis d'accord avec toi sur un point : Les profs trop cons.
Quand j'étais à l'école, j'avais une passion dévorante pour la lecture. J'avais une énorme envie de lecture au point de lire pendant les heures de classe. Ma maîtresse me confisquait même mes livres pour que je suive les cours.

Au collège, les profs vous font lire des livres inintéressants. Ils vous font écrire des textes. Et quand ils vous rendent la copie, ils vous balancent une note. Qu'elle soit bonne ou mauvaise, il n'y a pas d'explication, pas de conseils... Alors quand elle est mauvaise, qu'on a 12 ans, qu'on a envie d'écrire... On se sent rabaissé, humilié. Bref, mes profs m'avaient dégouté d'une carrière littéraire et presque dégouté de la lecture... Ils prennent les copies et ignorent tout de la volonté, de la motivation du gamin qui écrit. On était que des noms en haut à gauche d'une copie, on était pas des êtres à part entière.

Sinon, j'ai rien contre les enseignants. Ma grand-mère était prof de lettres et ma mère était prof d'Anglais...

Voilà, c'était le coup de gueule de la matinée.

Ca fait du bien !

SINON, pour les fautes. Je crois qu'il faut juste avoir un correcteur (humain) avant de poster un manuscrit. C'est mieux pour faire bonne impression. Dans tous les cas, les éditeurs ont des gens qui corrigent les fautes. Car c'est bien vers l'édition que tu te tounes?

PS : Pour Monique qui enseigne, de temps à autre, à des bout de choux. Considère bien leurs goûts et leurs envies! C'est à l'école qu'on peut apprendre à aimer la lecture.

Olivier, tu prêches une convaincue de longue date, et ô combien tu as raison !!! Et on (je) commence toujours de façon ludique, car l'écriture, avant tout, c'est du dessin. Chaque lettre est un graphisme. Il faut aborder ça ainsi avant de leur expliquer la lecture, l'agencement des lettres entre elles, puis des mots entre eux. S'arranger pour jouer en travaillant ou travailler en jouant, c'est l'un des secrets. C'est passionnant. Surtout de voir la progression, l'éveil, parfois la passion, même chez des très jeunes, très tôt. Bref, si je commence avec mon métier, je vais très vite passer en tête du classement envisagé par Thomas pour inciter à écrire des posts !! Et je m'en voudrais de le dépasser, ce serait vexant pour un webmaster...
A + Olivier.
Mo

merci monique ... mais je n'en suis pas là !!

Pour avoir fait une année d'IUFM l'année dernière je dois dire que le corps enseignant (ou plutot le rectorat) se perd tristement dans de sombres considérations didactiques sans aucun intérêt pour les enfants. Or le principal objectif des premières lectures doit être de donner le goût de lire. Lors de l'entretien oral pour mon entrée à l'IUFM on m'a demandé ce qu'était un bon livre pour un enfant, on s'attendait sûrement à ce que je developpe et fasse l'inventaire d'ingrédients formateurs et structurants pour l'élève mais ma réponse a été simplement qu'un bon livre est celui qui rendra l'enfant frénétique de lecture, un livre ayant pour seul objectif de transformer les devoirs en plaisir.
Voilà je voulais juste mettre mon petit grain de sel

Tu as fait une excellente réponse Vincent. Après, tout est question de méthode. Et là, sans vouloir dénigrer ce noble Institut, j'avoue que la pédagogie n'est pas vraiment ce qu'on apprend à l'IUFM alors que ce devrait être le pilier central de ces "études" pour apprendre à apprendre. Alors que pas du tout !!
Mais ne polémiquons pas, j'en suis tout de même sortie avec quelques notions intéressantes.
Alors ? Tu n'as pas poursuivi dans cette voie ??
Mo

Pour Olivier, oui je me tourne vers l'édition. Et meme si je n'arrive pas à etre publier, je continuerai à écrire, au moins pour les gens qui m'entoure. J'aimerai bien pouvoir avoir un metier qui touche à ce que j'aime, alors meme un petit travail dans une maison d'édition ca me plairait et en plus je serai aux premiere loges pour balancer mes manuscrits, mais pour l'instant c'est pas ca du tout. Enfin on verra bien avec le temps.
Quant à l' ecole, moi j'ai toujours lu des bouquins qui m'interressaient pas. Mon frere, plus jeune à eu des prof qui lui on fait lire Bilbo le hobbit et ma belle-soeur a lu un King au choix il y a deux ans. Et maintenant les eleves on meme le droit a Harry Potter. Si j'avais eu ca je pense que j'aurai eu des bonnes notes, malheureusement j'ai pas eu cette chance. Il faudrait que les profs soient plus à l'ecoute des élèves dans leur preference et aussi qu'ils soient plus attentif l'actualité culturelle des jeunes pour anticiper ce qu'ils vont choisir.

Oui Mo, je suis d'accord, tout n'est pas à jeter dans cette formation mais comme tu dis, la pédagogie n'est pas au centre.

Mo a écrit:

Alors ? Tu n'as pas poursuivi dans cette voie ??
Mo

Non malheureusement ma motivation a baissé alors que la pression augmentait et du coup j'ai lâché en cours, c'est idiot je sais. Du coup j'ai repris mes études en dilletante tout en préparant d'autres concours...

- Assis sur un rocher, dans le bas-côté d’un sentier qui dévalait de la montagne, Tom contemplait le désert qui s’étalait devant lui, à perte de vue. Un désert de sable rouge et de petites roches ocres, parsemé de fumerolles à l’odeur de souffre, qui ajoutaient à la chaleur déjà intenable, une impression d’étouffement. (ocre ; parsemées ; soufre).

- Le soleil avait eu raison de lui dans la montagne, et maintenant, il allait devoir traverser ce désert, espérant trouver la délivrance de l’autre coté. (Soleil : le mot soleil prend une majuscule. On parle de majuscule distinctive quand le nom prend un sens différent selon qu’on l’écrit avec une minuscule ou avec une majuscule. Ex : Le Soleil avait eu raison de lui dans la montagne et cette femme est le soleil de ma nuit ; ..., et, maintenant, ... ; côté).

- Et puis pas un animal, tout au plus quelques insectes qu’il avait aperçu se faufilant entre les pierres du sentier, et encore, il n’en avait jamais vu de tel. (Et puis, ... ; ... jamais rien vu ...).

- Il avait finit son dernier sachet repas le matin même en atteignant l’orée du désert, petite pause avant de repartir, et puis le mal de tête était revenu, douleur sourde et épuisante qui l’empêcha de reprendre la route. Il avait trouver le rocher où il était assis depuis, (fini ; trouvé).

- Il s’était réveillé sur le sol de pierre de l’autre coté de la montagne, (côté).

- En se redressant, ce matin là, il se demandait où il était. Il se levait et s’étirait, puis après un rapide tour d’horizon, essayait de rassembler ses souvenirs. (ce matin-là ; il se leva et s'étira, puis, ..., il essaya de rassembler ...).

- Après quelques minutes, la dernière chose qu’il se souvint, (dont il).

- Elle lui pénétrait le front, laissant un petit trou aux bords brûlés, avant de ressortir de l’autre coté en lui emportant (côté).

- Voila comment il avait atterri ici, sur ce rocher, et maintenant, devant lui, il avait ce qu’il avait fuit au début. Quelle ironie. (Voilà ; fui ; Quelle ironie !).

- Parfois, il sentait que quelque chose bougeait là dedans, la douleur se déplaçait derrière son front, lente et sourde, et puis les bruits. Il entendait des bruits de reptations, de sucions. Un ver. Il ne voyait que ça. Un ver. (là-dedans ; succions).

- Et en se moment, il était en train de le dévorer de l’intérieur. Enfin c’est ce qu’il ressentait. Avait-il mérité ça ? (ce ; Enfin, ...).

- Il avait eu le temps de penser d’y penser. (de penser en trop).

- La balle avait du le louper, (dû).

- Et ce ver, comment était-il arrivé là. C’était peut-être ça la mort qu’il lui réservé, le ver. ( ? ; qu'il lui était réservé).

- Et puis soudain, le déclic. (Et puis, soudain, le déclic).

- Le ver était là pour le f aire souffrir à son tour. (là, ; faire).

- Il travaillait pour des gens qui le payait grassement (payaient).

- Ils avait rendez-vous dans une ruelle, et quand il l’avait vu, il c’était senti fondre. (Il ; , et , ; s').

- Ce fut la seul fois où il le rencontra mais ça lui avait suffit, (seule ; rencontra, mais ; suffi).

- Déjà trois soleils s’étaient succédés depuis que Tom avait quitté le rocher. (déjà, ; succédé).

- il n’avait plus la force de levait les pieds. (lever).

- Il avait réussi à en faire abstraction, et avait accepter la situation. (accepté).

- Il se concentrait sur son avancé et cherchait des solutions à sa situation. (avancée ; nom féminim).

- Il fallait arrivé dessus pour la voir, lui était tombé dedans. Il se releva et épousseta son pantalon et sa chemise, puis il inspecta ses blessures. Il haussa les épaules. Rien pour désinfecter, de toute façons c’était superficiel, ça irai comme ça. (arriver ; de toute façon ; ira).

- Tom cru percevoir un oui. ( crut).

- Ca va aller ? dit-il. (ça).

- Elle bu avidement et se releva d’un bond. Tom abasourdi n’avait pas bougé. Elle le toisa, puis un sourire se dessina sur son visage, et elle parti en courant, semblant flotter au-dessus de sol. Elle gravit la pente s’en ralentir, puis disparue, cachée par le sommet. (but ; partit ; disparut ).

- Tom était seul, a genou, au milieu d’une cuvette (à genou).

- Dans une ultime douleur, telle qu’il s’écroula sur le sol, (tel).

- Il se dirigea vers une troué rose qui s’était ouvert dans le ciel bleu, transportant le corps décapité derrière lui. (trouée ; ouverte).

- Même moi j’ai des hommes qui tuent. (Même moi, ...).

- Et puis maintenant, tu en as une autre, la même, (manque une virgule).

- Maintenant, il faudra que tu travail pour moi, reprit l’homme. (travailles).

- Bien sur, répondit Tom, heureux d’être sorti du désert. (bien sûr,).


Tu es bon en métaphore et tu as créé une sacrée ambiance.
Tu as un style assez poétique (chose, que je ne sais pas faire). Mais il y a pas mal de fautes d'orthographe, de ponctuations (je ne les ai pas toutes relevées), et aussi d'erreurs de syntaxes. Je n'ai lu que deux textes de toi, il me semble qu'avec R.V Tactical Wars, tu t'es considérablement amélioré.

C'elle-là fait partie des premieres, donc depuis le temps j'ai progressé (je crois), et je prend aussi plus de temps pour me relire, et j'ai aussi réussi a trouver un bon logiciel de correction.

J'ai bien aimé l'histoire. Sinon, comme dit précédemment, je trouve la fin un peu trop abrupte et pas assez dévelopée.