J'ai lu!
La critique que je ferais est que le lecteur est un peu trop "extérieur" à ll'action. Je m'explique: tu es surtout dans la decription de ce qui se passe, un peu trop journalistique. a part quelues phrases par ci par là comme "Elle avait beau essayer de se rassurer, elle s'attendait au pire", on a peu le ressentit de Bandura, à la différence du premier chapitre et cela rends la description un peu froide: "elle essaya de briser leur chaîne.. "elle chercha un outil" (De plus évite de multiplier les phrases qui comnencent par "elle", chose que tu fais beaucoup!)
Pour rendre la scène plus vivante il serait préférable d'essayer de transcrire ce qui se passe dans sa tête pendant l'action, genre (Je réecris vite fait le 4eme paragraphe de la 2eme page):
"Son premier reflexe fut d'essayer de briser les chaînes en les tordant dans tous les sens, mais immédiatement elle se trouva stupide: comme si elle avait la force des héros de légendes qui rompaient le fer à mains nues! Son regard parcouru l'entrepont, à la recherche d'un outil pour forcer les serrures, mais rien de semblable! Elle était sur le point de désespérer lorsqu' Escrava lui indiqua, à l'autre bout de la pièce, un trousseau de clés accroché à la cloison. Encore fallait-il l'atteindre, car le bateau avait commencé à se retourner et elle devait progresser en montant. Ajouté à ça, le roulis l'envoyait d'un coté et de l'autre. Mais réunissant toute ses energies, elle réussi atteindre le mur opposé au bout de plusieurs minutes..."
Il est important de jouer avec le ressentit, les sens, les émotions, pour rendre l'histoire vivante. De même lorsque tu parles du poilu qui "se débattait contre un énorme animal" il faut décrire au moins sommairement l'animal, sinon ca reste trés abstrait et on visualise mal la scène!
En dehors de ça, on attend la suite, tu nous laisses sur un "clifhanger"!