La triste fin d'Omer Van Peeble (snif !)

Voici mon petit dernier, une idée qui m'est venue d'un coup et qui m'a pris deux heures. D'habitude je me méfies des idées qui viennent d'un coup, mais bon là ça avait l'air pas mal, alors je me suis lancé. Après, à vous de juger.

Ça pourrait être intéressant au niveau des détails sur le perso, mais la synthaxe et le style sont tellement lourds (tu t'es relu ??) et peu fluides qu'on ne comprend rien ! Bref, avec un tout petit peu de travail pour rendre le truc lisible, ça pourrait être sympa je pense.

Merci boss, c'est vrai que le début est un peu lourdingue, j'ai encore des problèmes avec les phrases à rallonges, mais je pense que je vais y arriver. Et oui, je me suis relu, plusieurs fois même mais c'est vrai qu'avec le recul, il y a certains trucs qui passent moins bien une fois que je ne suis plus "dans le texte".

J'ai lu et je n'ai pas capté l'intérêt de l'histoire.
Le style est très (trop) parlé. Mais enfin, c'est un style... Pourquoi pas. Ça a le mérite d'être assez fluide et léger. Forcément ce n'est absolument pas littéraire, mais il y a des précédents je pense.
Nan, le plus génant pour moi c'est l'absence d'intrigue à ton texte. Un petit effort ?
Bonne continuation !

Merci Tici.

C'est vrai, il n'y avait pas forcément d'intrigue, je voulais juste montrer que l'on pouvait toujours trouver plus mauvais que soi. Mais peut-être devrais-je l'expliquer un peu plus, c'était déjà comme ça avec Edouard Wood. Le truc c'est que cela me parait tellement évident que je ne vois pas l'intérêt de l'expliquer, et que je ne maîtrise encore pas assez pour aider le lecteur dans cette direction sans en révèler de trop.

Y'a encore du pain sur la planche quoi !

Ok, je comprends.
Simplement dans ton histoire on ne sait pas pourquoi le "monstre" tue ton personnage. Toi tu dis que c'est parce qu'il est pire, et ça donnerait un sens effectivement. Mais dans ton texte il le tue et c'est tout (pas d'explication, pas de circonstance).

Quant au pain sur la planche, je pense simplement que tu pars trop tôt et tu arrives trop vite. Autrement dit, tu te lances souvent sur des bases trop légères (si ton idée de départ est trop courte, garde-là et attend qu'elle en complète une autre), et tu voudrais avoir fini avant d'avoir commencé (d'où les textes courts et la rédaction synoptique ou parlée).

Mais en faisant un effort dans ces 2 directions, tu devrais pouvoir donner justice à ton potentiel.