Voici une liste des points de langage qui m’ont marqués à la lecture :
- Ambiguité maison / appartement
- Tapi dans un angle --> paradoxal si isolé (sauf si cul de sac)
- Et que c’était un homme incroyablement grand --> construction maladroite (ex : un autre disait avoir aperçu un homme incroyablement grand une nuit de pleine lune)
- Un instant en suspens --> description étrange pour un ballon lancé
- Peur palpable --> Non, il a déjà peur normalement, c’est plutôt le choix entre la rencontre et la fuite
- Un enfant reste un enfant --> pas logique si les autres fuient
- Le moment à la fin de la journée … --> construction maladroite je trouve (le soir s’annonçait par l’assombrissement du ciel ?)
- L’atmosphère est belle ? (difficile à envisager)
- Petit porche <----> grande porte d’entrée <----> petit couloir derrière ?
- Plus neuve : au sens propre non, moins ancienne plutôt
- L’impression d’être lent oui mais malhabile alors qu’il ft courir ?
- Noir total, épais même --> s’il est total, comment peut on dire qu’il est épais
- Un petit cercle visible dévoilait le vieil homme --> ça fait un peu music hall
- Sursaut : Un peu trop isolé et abrupt comme expression dans un paragraphe descriptif
- Ressentir de l’empathie : plutôt de la sympathie ici je pense
- Surveiller les mêmes chimères --> le terme chimère n’est pas juste ici je pense ainsi que l’expression, ils ne surveillent pas ces chimères, il a les mêmes obsessions, les mêmes fantômes le hantent.
Je trouve également que certaines phrases sont un peu longues ou mal formulées.
Sinon, malgré les clichés, je trouve ton idée générale est bonne et ton texte fluide.
Malgré les fautes de langage (selon moi bien sur), ton style est agréable et donne envie de continuer.
Par contre, je trouve qu’il aurait été intéressant de développer l'ambiguïté de l’histoire,
c'est-à-dire la peur du vieil homme. Si j’ai bien compris il passe son temps à surveiller le couloir,
il aurait donc été intéressant d’approfondir et de confronter la peur des 2 personnages ou l'obsession de l'un et la peur de l'autre.
Voilà monsieur, à la prochaine lecture
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