poésie portable / 68

un jour je serai riche – je ne verrai plus le ciel – qu'à travers des vitres – je ne connaitrai plus la pluie sur mon front – l'orangé du sodium et mon ombre étirée sur les trottoirs humides – et j'aurais des regrets – sans bien savoir lesquels






(nb : pour ceux qui voudraient lire les 67 précédents, envoi sur simple demande à konsstrukt@hotmail.com)

Et kronsstrukt inventa le teaser poétique !

Désolé, mais moi j'ai pas envie d'envoyer un mail ou MP pour demander une suite ou quoi ; et en l'état ces deux pauvres lignes ne disent pas grand-chose.
Je vois pas quoi dire là-dessus, en fait. Tu fais ça simplement pour nous donner envie d'en savoir plus, où tu veux un avis réel et constructif sur ces quelques mots ? Parce qu'honnêtement, il n'y a pas grand-chose à dire dans le cas présent. Oui, tu sais faire des phrases qui se lisent, ok, mais pour le reste... ?
Bref, si tu as des vraies poèmes à nous proposer ne te gènes pas, mais ça ça ressemble pas à grand-chose et perso, ça me donne pas spécialement envie de demander une suite (ou ce qu'il y a avant).

ah, mais c'est pas grave, hein, respire.

(cela dit, ce sont de vrais poèmes, la preuve, c'est marqué dessus ; et, de toute façon, je comptais pas beaucoup me gêner, mais merci de ton encouragement, il me va doit au coeur en ces temps d'alerte rouge - je parle de météo france, pas de la société du spectacle)

(petite précision : il n'est pas impossible que d'autres types, au cours des quatre ou cinq cent ans précédents, se soient lancés dans ce que tu appelles le teaser poétique, et qui a porté, occasionnellement, d'autres nom ; je veux bien inventer beaucoup de choses, mais considérer que j'ai inventé la poésie très courte, c'est me faire quand même beaucoup de crédit. dans le même genre, j'ai en librairie en ce moment une sorte d'histoire longue, avec des personnages qui n'existent pas, c'est assez novateur, tu verras, c'est une nouvelle forme que j'essaie de lancer, j'appelle ça roman en hommage à mon beau-frère roman klyssjlkfpsky.