LE MANOIR DU FANTASTIQUE
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 La liste de l'Au-delà

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Zeus
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Zeus


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MessageSujet: Re: La liste de l'Au-delà   La liste de l'Au-delà - Page 2 EmptyDim 4 Déc 2005 - 13:43

Chapitre 10 :

Cow roula vers la sortie de la ville pour prendre ensuite l’autoroute. Elle voulait voir Stephen. Pourquoi ?
Elle aperçut une ombre noir qui la suivait, elle reconnu immédiatement l’ange. Elle accéléra, son compteur indiqua : 90 Km/h. il n’y avait pas beaucoup de voitures sur la route, elle pouvait donc encore accélérer, mais faire attention au tournant.
Cow sortit de l’autoroute, elle était sur la route où se trouvait tantôt Stephen, où il n’y avait que des cactus. L’ange se mit devant le véhicule, Cow freina brusquement et sortit de la route. Elle saigna au front, l’ange s’approcha de la portière et l’ouvrit :
-Tu ne sais donc pas que me fuir est un danger. Et que cela ne sert à rien. Tu vas payer pour ce que tu as fait.
-Rêve.
Elle sortit de l’autre côté de la voiture et courra.
-Cela ne sert à rien, Cow, je te rattraperais, mais bon, si cela peut te divertir un instant. Fais-le.
Cow se dirigea vers la trappe, courant le plus vite qu’elle pût, jusqu’au moment ou l’ange la fit tomber en lançant un petit éclair à ses pieds.
-Restes-là, pauvre folle, ne bouges plus. Je n’ai pas le temps de m’amuser, je dois te détruire. Tu dois me rendre la liste.
Cow se mit à rire.
-Je ne l’ai plus en ma possession, Poulux.
-Quoi ! Ne m’appelles pas comme çà. Dis-moi où est-elle ?
Son surnom de Poulux lui avait été donné lors d’une mission qu’il avait ratée.
-Je l’ai donné à un homme. Je l’ai vu dans la rue et lui ai donné. Il est trop tard.
-Dis-moi ou cet homme peut-être à présent ?
-Non. Je n’en ai guère envie, Poulux.
L’ange s’énerva et cria :
-Tu vas remonter dans la voiture et m’emmener où cet homme est. Sinon, je te tue.
-Ah ! Bonne blague. Dit-elle en lui faisant un clin d’œil.
-Je ne crois pas que tu as le choix.
-Bon, comme tu le veux, Poulux.
Elle ricana.
-Suis-moi de ce côté. Dit-elle en se levant et en indiquant l’endroit où se trouvait la trappe.
-J’espère pour toi que tu ne te fous pas de moi.
-Mais non, mais non. Relaxes-toi.
Arrivé près de la trappe.
-Attends-moi ici, je vais descendre le chercher.
-Comment ! Je viens avec toi.
-Oh que non ! Sois-tu restes ici et tu as la liste, sois-tu viens avec moi et adieu la liste. Que choisis-tu ?
-Tu m’énerves, tu es épuisante. Vas-y, mais attention à ce que tu fais.
-Ne t’inquiètes pas pour moi.
-Ce n’est pas pour toi que je m’inquiète, c’est pour la liste.
Cow descendit et murmura :
-Vic…Victor, tu es là.
Qui était Victor ?
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Zeus
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MessageSujet: Re: La liste de l'Au-delà   La liste de l'Au-delà - Page 2 EmptyDim 11 Déc 2005 - 10:31

Chapitre 11 :

Sur la route qui menait à Fear, tout était calmes, mais le paysage devenait de plus en plus sombre, il y avait de plus en plus d’arbres.
-Combien de temps reste-t-il avant d’arriver à Fear ? Demanda Emma.
-Nous y serons dans une dizaine de minutes.
La voiture roula, puis elle s’approcha de la ville, puis elle fit de bruit, de la fumée sortit du capot.
-Qu’est-ce donc toute cette fumée Stephen ?
-Je ne sais pas, nous irons voir après un garagiste. Pourvu qu’elle dure encore 5KM. Sinon, nous devrons marcher.
-J’espère qu’elle durera jusque là.
De plus en plus de fumée sortit du capot.
-Je crois bien Emma, que nous allons devoir marcher. Si on continue à rouler, on risque de l’abîmer encore plus. Ou d’endommager le moteur.
-Bon d’accord, regarde là, il y a un espace pour garer la voiture.
-On va prendre le plus possible de bagages.
Je garai la voiture sur le côté. Nous sortîmes et prirent mon chien.
-Combien de KM faut-il marcher ?
-Je ne sais pas, environ 3KM.
Nous marchâmes et marchâmes encore.
-Regarde, on va s’asseoir sur se rocher quelques minutes pour récupérer un peu.
Nous parlâmes, firent un peu plus connaissance avec Peter, il avait 10 ans, des yeux verts, des courts cheveux marron.
-Où est Nonos ? Demanda Emma après avoir regarder de tout les côtés.
-Je crois l’avoir vu partir par ses bois. Dit Peter en indiquant les arbres qui étaient derrière lui.
Des arbres, ils y en avaient partout, s’en étaient remplis.
-Attends ici Emma avec Peter, je vais aller voir. Prépare-moi un petit verre d’eau pour qu’en je reviendrais. Ajoutai-je en souriant.
-D’accord. Pas de problème.
J’avançai dans les bois en criant : Nonos, Nonos, où es-tu ?
Mais il n’aboyait pas comme d’habitude quand je l’appelai.
-Pourvu qu’il ne lui soit rien arrivé. Murmurai-je.
Je vis quelque chose bouger à ma droite, à 4 mètres. Je m’approchai tout doucement, juste de quelques pas, pas plus. J’aperçus un loup, ce qui me fis faire tout de suite marche arrière. Mais pendant ce temps, j’eus distingué Nonos qui s’amena près de moi. Heureusement, il n’avait rien, le loup ou autre chose ne l’avait pas attaqué. Il me lécha la main, et je le caressai derrière ses oreilles.
Je lui parlai comme à mon habitude : Viens Nonos, nous allons retourner près d’Emma.
Je le regardai tout content de l’avoir retrouver.
J’observai à droite, je vis une voiture abandonnée. Je m’en approchai, elle n’avait pratiquement rien. C’était bizarre, la clé de contact était encore dessus, et il n’y avait personne. Nous partîmes, çà me faisais peur ici.
Nous marchâmes jusqu’au près de la pierre. Emma et Peter n’étaient plus là.
-Où est Emma ? Emma ? Criai-je.
J’étais de plus en plus inquiet, je me demandai ce qu’il se passait ici.
-Nonos reste ici, ne part pas.
Je vis une silhouette surgir.
-Stephen, je suis là, j’étais partie voir après toi, je ne te voyais pas arriver, j’étais angoissée.
-Ah, ça va, tu es là. J’ai eu peur pour toi.
-On continue à marcher vers la ville ?
-Oui, enfin peut-être pas.
-Que veux-tu dire ?
-Tu sais ce que j’ai vu là-bas en allant chercher Nonos. Une voiture en bon état avec la clé de contact dessus.
-Il y a forcément quelqu’un à proximité de la voiture.
Je frissonnai à l’idée de voler une voiture.
-Non, j’ai regardé, personne. Allons-y !
-Stephen, je trouve çà louche.
-Peut-être, mais se sera toujours mieux que de marcher.
-D’accord, viens on n’y va.
Nous marchâmes jusqu’à l’endroit où était le véhicule.
-Je ne comprends pas, elle était là.
-En es-tu sûr ?
-Oui, elle était là, je te le dis. J’en suis sûr et certain.
-Continuons un peu plus loin, nous verrons bien.
-Mais je suis sûr quelle se trouvait là. Tu ne me crois pas ?
-Si, si.
-J’ai compris, elle me prend pour un fou. Pensai-je une nouvelle fois.
Nous continuâmes plus loin.
-Ah, regarde, tu vois, elle est là. Signalai-je.
-Oui, oui, mais elle a changé de place.
-Comment voudrais-tu qu’elle ait bougé s’il n’y a personne ?
- Je ne sais pas. Mais elle a bougé.
J’ouvris la porte et m’assis à la place du conducteur. Une odeur nauséabonde y régnait.
-Allez Emma, monte dans la voiture.
Ce qu’elle fit immédiatement. Je tournai la clé de contact. Vrouw vrouw vrouw vrouw. Elle ne démarra pas, je réessayai une seconde fois, mais pareil. Je tapai un coup de poing sur le volant et elle se mit en route sans que j’aie dût mettre le contact. Les portes se fermèrent à clés.
-Que se passe-t-il Stephen ? Demanda-t-elle inquiète.
-Je l’ignore.
-J’ai peur.
-Pareil pour moi.
La voiture se mit à rouler, le compteur indiqua : 10 KM/H…20 KM/H…30 KM/H…50 KM/H…La vitesse ne descendit pas.
-On va avoir un accident. Hurlai-je.
Emma trembla, je crus que c’était la peur de sa vie.
-Mince, un arbre droit devant. Signala-t-elle en criant.
Et par chance, la voiture évita cette arbre, les KM/H montèrent, elle était a présent à 80 KM/H. Elle se dirigea vers Fear, et oui justement où nous allions, bizarre. Juste quand le panneau Fear apparut, la voiture fit demi-tour brusquement et accéléra un fameux coup, 100 KM/H indiqua le compteur. Devrions-nous remarcher tout çà ? La voiture tourna sur un sentier dans les bois, elle parcourut au moins 2 KM et s’arrêta juste devant un lac, un lac qui n’était pas bleu, mais rouge, rouge sang.
-Qu’est ce que c’est que tout çà ? Demandai-je.
-Je me demande bien, s’il faut le savoir.
-Ce qu’on devrait faire, c’est demi-tour, retourner à notre voiture et attendre que quelqu’un passe.
-Oui, tu as raison.
Je tirai sur la poignée pour ouvrir la porte, mais n’en vain, celle-ci ne s’ouvrit guère. La peur nous montâmes encore d’un cran.
-Allons-nous nous en sortir ? Demanda Emma en pleurant.
-Ne pleures pas Emma, ne pleure pas. Nous resterons ensemble et tout ira bien.
Dû moins, je l’espérai. Pensai-je.
Le moteur de la voiture s’arrêta, quelle chance. Je pris un marteau qui était derrière mon siège, il avait l’air d’être rempli de sang. L’air, sûrement pas, c’était plein de sang. J’essayai de casser la vitre, ce qui n’allait pas, le verre était trop solide. Je tentai encore à plusieurs reprises, mais n’en vain.
-Comment allons-nous sortir d’ici ? Comment ? Cria Emma, extrêmement paniquée.
Elle était claustrophobe, elle pouvait s’évanouir.
-As-tu une idée ?
-Oui, peut-être.
-Laquelle ? Je suis prêt à tout entendre, avec tous ce qui se passe.
-Je dis çà comme çà. Mais le moteur s’est mit en marche, quand la clé était dessus et que tu ne l’avais pas tourner. Et si tu enlevais la clé, peut-être qu’elle n’aurait plus l’énergie nécessaire pour alimenter le moteur.
-Pourquoi pas.
Autant tout essayer pour sortir d’ici. J’amenai mes mains auprès de la clé, je la touchai et reçus une décharge électrique qui alla jusqu’à mon épaule.
-Oh merde. Clamai-je.
-Désolé, je suis désolé Stephen.
-Désolé, pourquoi, tu n’as rien fait, c’est cette fichue bagnole.
-Mais tu saigne Stephen, regarde ta main.
Je regardai ma main remplie de sang, j’avais une coupure à mon pouce et à mon index, juste les doigts que j’avais utilisé pour essayer d’enlever la clé. Ceux-ci étaient remplis de sang.
-Attends, je vais regarder s’il n’y a pas des bandages dans la boîte à gants.
Et non il n’y en avait pas, il y avait autre chose à la place, une arme.
-Quoi ? Une arme. Dis-je étonner.
-Oui.
-Mets la dans ton sac Emma.
-Comment ?
-Ca pourra nous servir. Je vais prendre mon mouchoir et l’enrouler autour de mes doigts.
Je me tournai vers Peter, il était là, ne bougeant pas et regardant à l’extérieur.
-Regarde, une ombre là-bas, elle s’approche. Signalai-je en suivant le regard de Peter.
-Qu’est ce que c’est ?
Ce n’était pas assez proche pour le dire, étais-ce un animal, un homme, ou alors une créature.
-Qu’avons nous fait pour mériter tout çà Stephen ?
-Je suis perdu là, tous ce qui se passe est invraisemblable. Une voiture pareil, j’en ai jamais vu, elle démarre toute seul, et nous emmène je ne sais où.
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Zeus
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MessageSujet: Re: La liste de l'Au-delà   La liste de l'Au-delà - Page 2 EmptyLun 19 Déc 2005 - 15:14

Chapitre 12 :

Cow n’entendit pas de réponses. Elle vit que la porte était ouverte, elle y entra.
-Victor. Répéta-t-elle une nouvelle fois.
Mais toujours pas de réponses.
Elle s’abaissa et examina un liquide sur le sol, celui de la bête qu’Emma et Stephen avaient vu.
-Oh ! Cà pue. S’exclama-t-elle.
Mais comment un esprit pouvait sentir, elle ne devait plus avoir les sens.
La porte derrière elle se ferma et une voix demanda :
-Qui êtes-vous ?
Elle avait peur, si elle restait enfermer là. Etait-ce l’ange ou autre chose ?
-Victor, c’est toi ?
-Qui êtes-vous ?
-Je suis Cow.
-Cow ? Ca ne me dit rien.
L’autre personne ouvrit la porte et dit :
-Je plaisante, te voici enfin Cow.
Elle le serra dans ses bras.
Cow et Victor étaient des amis depuis très longtemps.
Victor était également âgé, il avait 68 ans, une moustache et de longs cheveux blancs.
-Que viens-tu faire ici ?
-Quelqu’un m’attend au-dessus et me veut du mal, pouvons-nous aller plus loin ?
-Bien-sûr.
Ils allèrent au bout de la pièce, Victor appuya sur un caillou, un passage y était dissimulé. Ils marchèrent jusqu’à la fin de l’étroit passage et arrivèrent dans une salle aménagée
Cow fut étonnée.
-C’est splendide.
-Et oui, je sais, j’ai arrangé çà pour moi.
-Que voulais-tu me demander ?
-Je suis venue te demander de l’aide.
-Quoi donc ?
Elle réfléchit un moment pour comment lui expliquer cela.
-La célèbre liste, je l’ai volé et l’ai donné à un homme. Je suis poursuivie par un ange qui a été envoyé par les anges de l’Apocalypse.
-Tu es folle ! Pourquoi as-tu fait çà ?
-Je ne peux pas te le révéler.
-As-qui l’as-tu donnée ?
-A un homme, je ne peux t’en dire plus.
-Et que voudrais-tu que je fasse pour t’aider ?
Elle songea.
-M’aider à la récupérer.
-Impossible, tu sais bien que je ne peux pas sortir, je ne supporte pas le soleil, cela me ferait disparaître.
Des bruits retentirent de l’autre pièce.
-Par où puis-je sortir ? Je ne peux pas retourner par le même passage.
-Viens suis-moi.
Elle marcha, elle avait peur que l’ange arrive à pénétrer dans cette pièce. Victor l’emmena dans une caverne où il y avait de l’eau.
-Tiens, laisses-toi porter par le courant, et tu arriveras dans une forêt, près de Fear.
-Merci, Victor.
Et elle sauta dans l’eau.
Victor repartit dans sa pièce, attendant le moment où l’ange arriverait à passer. Il savait que se serait son dernier moment. Il mourait pour avoir sauver Cow.
Victor entendit un bruit et pensa : « Voilà, il a réussi à trouver le passage, il va arriver. »
Il se détendit en pensant : « Je n’ai pas peur de la mort, je n’ai pas peur de mourir. »
Il aperçut une ombre arriver, une voix s’en suivit :
-Où est-elle ?
-Pardon monsieur, vous êtes dans une propriété privée.
-Je sais qu’elle est venue ici, je le sens, par où est-elle partie ?
-De qui parler-vous ?
-L’ignorance est une chose, mais le savoir en est une autre. Vous le savez et vous aller me le dire.
Il réfléchit à ce qu’il pouvait lui dire.
-Monsieur, moi je suis ignorant, et j’en suis fier. Veuillez sortir de ma propriété à présent.
-Très bien.
L’ange s’approcha de Victor.
-Je vais compter jusqu’à trois. Après cela, vous partirez dans l’autre monde.
Il l’attrapa avec une de ses grandes mains, ses longs doigts se glissèrent autour du cou de Victor.
-Je n’ai pas peur de visiter l’autre endroit.
-Parfait. Trois…Deux…
Des gouttes de sueurs apparurent sur le front de Victor.
-Je vois que tu as peur, dis le moi. Tu as justes à m’indiquer l’endroit par lequel elle est partie.
-Jamais.
-Un…zéro, il est trop tard. Au revoir.
L’ange fit apparaître un éclair entre son autre main et le jeta au milieu du cœur de Victor. Son corps inanimé se déposa sur le sol.
L’ange examina la pièce et trouva l’endroit. Il se jeta à l’eau.
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myrtille
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MessageSujet: Re: La liste de l'Au-delà   La liste de l'Au-delà - Page 2 EmptyLun 16 Jan 2006 - 20:52

Bonjour Zeus,

Ce que j'appelle une phrase trop longue

Citation :
Quand il arriva à la banque, il alla dans son bureau, il s’occupait du nouveau logiciel qui consistait à vérifier son solde bancaire, faire des virements et encore d’autres trucs par le Web, sa s’appelait le Web-Computer.

Même si tu as changé depuis ta version, cette remarque pour que tu ne perdes jamais de vue cela. Tu coupes quand tu as tendance aux longueurs. Tranche net, et ça te donnera de la vivacité. Défaut courant.

Quand il arriva à la banque, il alla dans son bureau./ Il s’occupait du nouveau logiciel qui consistait à vérifier son solde bancaire./ Faire des virements et encore d’autres trucs par le Web, ça s’appelait le Web-Computer.

Petit problème de temps :

Les mots de Simon m’énervaient, ils se répétaient sans cesse dans ma tête, il se prenait vraiment pour la star dans la banque. Il fallut que je trouve quelque chose à lui répondre.

Remplace par "il fallait"

Un homme toqua, je lui dis d’entrer. Ce fut un client, il ressembla à quelqu’un que j’eus déjà vu à la télévision, mais je ne sus plus dire à quelle émission.

Remplace par : "C'était un client."

Reprends tes chapitres, et corrige tes petites erreurs de temps.
Passé simple quand c'est une action qui se fait comme "il leva les yeux" exemple pour te concrétiser. Le sens est différent quand on dit "il levait les yeux" où l'action dure.
"On frappa, c'était un client..." et non "On frappa, ce fut un client..." Ou alors : "On frappa, ce fut un client qui nous dérangea..." donc suivit par une autre action. Comprends-tu ?


Bonne continuation. V
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MessageSujet: Re: La liste de l'Au-delà   La liste de l'Au-delà - Page 2 EmptyJeu 26 Jan 2006 - 14:53

Merci,

je refais tout mes chapitres. Le premier fait 9 pages au lieu de 3, le troisième 8 au lieu de 4, et ainsi de suite, ils augementent tous.

J'ai trouvé une personne sur un forum, qui m'aide pour mes erreurs. Elle me les corriges et me les expliquent.
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MessageSujet: Re: La liste de l'Au-delà   La liste de l'Au-delà - Page 2 EmptyVen 27 Jan 2006 - 12:39

Zeus a écrit:
J'ai trouvé une personne sur un forum, qui m'aide pour mes erreurs. Elle me les corriges et me les expliquent.

Oh c'est une très bonne nouvelle ! Car corriger, remanier, et expliquer les fautes faites ou erreurs à éviter, prend beaucoup du temps à celui qui le fait, et c'est une véritable chance pour toi d'avoir trouver une telle aide. On peut passer jusqu'à une heure par page parfois pour une relecture (voire plusieurs) qui dépouille bien le sens de ce que veut dire l'auteur, et pour remanier certaines phrases avec lui en lui expliquant le because du pourquoi, et comprendre ce qu'il veut vraiment faire ressortir. Imagine sur un manuscrit de trois cents pages ce que cela fait comme temps... ça ne paraît pas, n'est-ce pas ?
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MessageSujet: Re: La liste de l'Au-delà   La liste de l'Au-delà - Page 2 EmptyVen 27 Jan 2006 - 12:59

Exactement, il en faut du temps.

Dés que le premier chapitre est corrigé, je le publierais sur ce forum. Tu pourras me dire ce que tu en penses, ou si jamais tu verrais une erreur qui n'a pas été apercue.

J'espère que quand toute mon histoire sera écrite et corrigé, que j'aurais la chance d'être publier. Comme tous ceux qui écrivent l'espère.

J'ai plusieus autres idées de romans pour après.
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MessageSujet: Re: La liste de l'Au-delà   La liste de l'Au-delà - Page 2 EmptyVen 27 Jan 2006 - 13:12

Songer à publier est bien, c'est le but quand on a réalisé un livre.
Mais tu écris avant tout par passion de l'écriture, sinon ce que tu mettrais dans tes livres sans passion n'aurait pas de tripes, et donc pas de sang, ni de feu, et donc encore moins de chance d'être publié.
Maintenant à savoir que lorsque tu songes "édition", songe qu'il y a des milliers de candidats, et quelques-uns seulement (je suis généreuse quand je dis cela) seront sélectionnés, parce qu'ils entreront dans le cadre de l'édition où tu l'auras présenté, et un editeur voit avant tout que le produit se vende bien parce qu'il convient à ce qu'il veut dans sa collection (style-auteur-type d'histoire). Ce qui veut dire que tu dois écrire pour toi, en donnant le meilleur de toi-même, que tu dois écrire pour un public à large spectre, et là tu dois étre précis dans tes développements et les tripes que tu y mets en les assaisonnant à point et mitonnées succulentes, et ensuite encore, le passage du Cap Bonne Espérance : c'est que tu dois plaire à ton éditeur ! Encore faut-il qu'il te lise, alors choisis-le bien, un qui te convienne aux petits oignons, afin que tu ne reçoives pas cette fameuse appréciation : Nous avons lu... mais...

En résumé : Fait de taille, et qui porte son impact.

Autre règle : Tu dois apprendre à t'auto-corriger, toi, avec rigueur, et à sortir du bain de ton livre, pour ne pas te louper quand tu reliras ta copie. Lis, dans ce cas, avec le plus grand détachement qui soit. Tu dois, le plus possible devenir autonome, parce que personne mieux que toi ne sait ce que tu veux dire dans tes mots. Corriger quelqu'un en respectant les subtilités de la langue employée, et les subtilités personnelles de l'auteur, c'est très difficile. Il faudrait que tu sois capable d'être à la fois, l'auteur et le correcteur. Tu le peux. C'est une technique à apprendre, ça demanande de la rigueur, mais ensuite on n'en sort que meilleur par ces capacités, et forcément on écrit bien mieux ensuite.
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MessageSujet: Re: La liste de l'Au-delà   La liste de l'Au-delà - Page 2 EmptyVen 27 Jan 2006 - 13:26

Je pense que tu sais que le clavier ne favorise pas du tout l'attention à l'orthographe, et que faute de plus grande attention, on se fait des fautes d'orthographe quelque peu comiques parfois. Ce qui m'arrive quand je tape sans me relire.
Pour toi, c'est la même chose. Et sans doute dans ton roman c'est pareil.

Je vois : J'espère que quand toute mon histoire sera écrite et corrigé, que j'aurais la chance d'être publier.

Une tactique pour que tu limites ces étournderies et ces inattentions. Quand par exemple tu mets comme au-dessus : "j'aurais la chance d'être publier"

Regarde le mot publier. Tu vois la faute ? Remplace par "vendre" exactement par "vendu" Pointe d'humour comme ça tombe avec le sens de cette phrase, mais en remplaçant, vois, et corrige ta faute :

j'aurais la chance d'être "vendu"

Donc "publié" est un participe passé puisque tu ne peux pas mettre "vendre" à l'infinitif. Quand tu ne sais pas, essaie de remplacer un verbe du premier groupe par un verbe du troisième groupe comme "vendre"

Pour l'adjectif "corrigé" dans

quand toute mon histoire sera écrite et corrigé


Tu remplaces par "fait" ou "faite"
Qui sera corrigé ? Ton histoire. Elle sera écrite et corrigée, donc faite. Tu as bien fait l'accord féminin singulier pour "écrite" mais pas pour "corrigée".

Lorsque l'on poste sur un forum, on fait sa réponse d'écriture spontanée, et là les fautes... Une fois posté, si tu as la fonction "éditer", comme c'est le cas ici, tu édites à nouveau pour corriger ta faute après t'être relu. Il faut se relire... C'est astreignant, mais il faut que tu le fasses, parce que si tu apprends à faire attention, ensuite tu limiteras de toi-même tes fautes.

J'ai un copain qui ne se lisait même pas quand il écrivait, toutes les lettres y étaient, mais dans un désordre incroyable, et un jour ça a été très comique ! C'était du genre qu'une chèvre tenait debout sur ses cornes. Nous avons bien ri, mais à partir de ce moment-là il a fait très attention car je lui ai dit : "Si tu écris comme ça à un éditeur, qu'est-ce qu'il pensera de toi, le jour où tu n'auras pas le temps de te relire ? Que tu es un étourdi, et pas assez posé. Le relâchement n'est pas bon." Quelques semaines après il m'écrit, il n'y avait plus aucune faute dans ses textes, et plus jamais ensuite, même pour rire, il ne s'est jamais plus relâché dans l'écriture, pas même en essayant de plaisanter avec lui pour qu'il relâche son attention.

J'espère que ce message passera... jusqu'à toi, et peut-être jusqu'aux autres membres.
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MessageSujet: Re: La liste de l'Au-delà   La liste de l'Au-delà - Page 2 EmptyDim 19 Fév 2006 - 13:06

Voici mon nouveau chapitre 1:

Chapitre 1 :

Mon réveil sonna, il indiqua 06H30, je me levai.
Je baillai, j’aurais encore bien dormis. Hier, j’étais parti avec des amis, j’étais rentré tard, au environ de deux heures. Nous étions partis fêter mon anniversaire, 35 ans sa ce fête. J’avais reçu des livres, j’adorai lire.
Je me dirigeai vers la salle de bain, me lavai et mis un de mes costumes cravate comme d’habitude. Ma tenue vestimentaire avait beaucoup d’importance, mon patron me l’avait déjà fait remarquer à plusieurs reprises, j’aurais pût être viré. Mon métier était employé de banque, depuis 10 ans, avant je travaillais dans une petite entreprise de chocolat, il y avait tout de même une bonne odeur, çà je pouvais vous l’assurer, je piquais même des chocolats en cachette, je ne m’étais jamais fait attraper, comment résister à cela.
Quand, je fus dans ma cuisine, je pris une tartine à la confiture avec un café. Mon chien Nonos, un beau et brave berger allemand, vint près de moi, je l’avais appelé ainsi avec mon ex-femme parce qu’il adorait les os. Un peu bête comme nom, mais bon, mon ex-femme y tenait. A cette époque, je l’aimais, je ne pouvais rien lui refuser, je l’aime encore un peu d’ailleurs. Mais elle m’a quitté pour un voisin, et sont aller habité loin d’ici. Ca fait déjà 5 ans.
Ensuite je pris mon véhicule, m’arrêtai à un magasin et y achetai une baguette avec du jambon, du fromage et de la mayonnaise pour mon dîner, l’un de mes repas favoris. Vite fait, bien fait et délicieux.
Après cela, je tournai à gauche à la fin de cette rue pour allez vers la banque, quand je fus arrivé, je me garai, et remarqua que la voiture d’Edmond n’était pas là. Edmond était un collègue d’une cinquantaine d’années assez sympathique, mais il avait des problèmes de santé qui l’empêchait de venir tous les jours, le pauvre, il venait de perdre sa femme en plus. Il ne méritait pas tout çà.
J’allai ensuite vers la salle des employés dire bonjour à mes collègues.
L’un d’eux se nommai David, il avait une fine barbe, des cheveux court et brun et des yeux vert. Il était très sympathique, c’était d’ailleurs mon meilleur ami. J’échangeai rapidement quelques mots avec lui, ainsi qu’à Florence, elle était très grosse, elle avait des cheveux blond mi-long et des yeux brun. Sans oublier Emma, une femme qui avait de longs cheveux blond et des yeux bleu qui vous attirait et vous envoûtait, elle m’avait souvent aidé dans le temps quand j’avais un problème quelconque avec le travail, comme le rangement de dossier, quelques coups de téléphones et autres, je l’aimai, mais n’avais jamais osé le lui avoué, j’avais tant peur de sa réaction et peut-être d’être déçu, une belle femme comme elle avec moi, un pauvre type. Simon s’approcha près de moi, un homme assez sûr de lui, même de trop d’ailleurs, qui devait avoir la quarantaine. Je ne l’appréciai pas beaucoup, j’étais jaloux de lui, a vrai dire, il était quand même plus expérimenté que moi. J’oubliai, David, Florence et Emma avaient la trentaine, nous étions de la même époque, et nous détestions Simon. Le petit chef qui voulait avoir une promotion, et qui faisait du lèche-botte au patron.
-Alors, Stephen, tu as été chez le coiffeur. Me dit Simon.
-Oui, en effet.
J’avais été faire couper mes cheveux assez court, çà me changeai de look, je préférai cela au lieu de ma coupe qui faisait très intello, j’aurais préféré y être plutôt que d’y ressembler, comme beaucoup de gens espèrent. C’était le seul à me l’avoir dit.
-Ca te va mieux, mais ce n’est pas çà qui te fera devenir meilleur que moi. Ajouta-t-il avec un sourire qui m’énervait plus que tout.
Je regardai ma montre, 07H52, juste le temps de me servir un petit café. Je m’assis auprès de mes collègues. J’aperçus un papier posté sur le mur. Il y était écrit en grand : « Inspection du lieu de travail, mardi. »
-Et oui, le bureau a intérêt à être en ordre. Dit David.
Pas de problème pour çà, mon bureau était toujours dans un bon état, pas une trace de poussière, j’étais un peu maniaque, enfin plus que peu. Je préférais travailler dans un lieu convenable que dans un capharnaüm. Ce qui n’était pas le cas de mon ami, David.
Je vis les yeux de David qui me fixèrent. Je n’aimai pas trop çà.
-Qui a-t-il ? Tu vas bien ? Tu ne dis rien. Me demanda-t-il.
Les mots de tout à l’heure de Simon m’énervaient, ils se répétaient sans cesse dans ma tête, il se prenait vraiment pour la star de la banque. Ce n’était pas un Dieu quand même, ce n’était qu’un simple mortel comme nous, il n’avait pas de grade supérieur à nous.
Il fallait que je trouve une réponse à David.
-Oui, oui, çà va. Je suis juste un peu fatigué.
08H00, il était l’heure d’aller à mon bureau. J’ouvris la porte, et je fus étonné, quelqu’un était assis à la place de l’invité, de l’autre côté du bureau. D’habitude, les personnes attendaient dans une salle d’attente et n’entraient pas ainsi sans prévenir.
-Bonjour, que puis-je faire pour vous ? Lui demandai-je.
Je voulais lui dire de partir immédiatement, et de revenir quand son tour viendra. Mais je n’y arriva pas. Quelque chose m’en empêchait, mais je ne saurais vous dire quoi.
C’était une vieille femme, de longs cheveux gris très gras avec une petite moustache. Ses yeux avaient une expression bizarre qui faisait un peu peur, juste un petit peu. Elle ne me répondit pas, mais continua à me fixer.
-Excusez-moi. Tentai-je.
Mais toujours aucune réponse. Elle se leva et sortit de mon bureau, ce qui me surpris encore plus. Je réfléchis pendant une bonne heure en me demandant qui était cette personne. Mais j’abandonnai, ce n’était qu’une vieille femme qui devait avoir Azheimer. Je ricanai un petit peu.
Un homme toqua, je lui dis d’entrer. C’était un client, il ressemblait à quelqu’un que j’avais déjà vu à la télévision, mais je ne sus plus dire à quelle émission.
-Bonjour, que puis-je faire pour vous ?
Cette phrase, c’était notre phrase clé, nous étions obligés de la citée à chaque client. C’était de toute manière une question de politesse, que bien-sûr, je possédais. Je voulais toujours montrer que j’étais plus, comment dire…oui voilà, plus expérimenté, plus professionnel que Simon.
-Je voudrais m’inscrire à ce nouveau service.
Je m’occupai du nouveau logiciel qui consistait à vérifier son solde bancaire, faire des virements et encore d’autres trucs par le Web, sa s’appelait le Web-Computer.
-Bien entendu monsieur.
Je remplis avec lui tous les papiers.
-Vous aurez accès à ce service dés demain.
-Parfait, au revoir.
-Merci et bonne journée.
La journée passa très lentement comme la plupart des jours, je recevais une dizaine de clients par jours, et plus ou moins 2 ou 3 par jours acquirent le logiciel. C’était 10 euros par mois, pas cher, nous étions les moins chers.
A enfin 16H00, j’avais fini.
Emma m’intercepta au parking et me dit :
-Nous devrions parler tous les deux.
J’étais satisfait, mais j’essayai de ne pas montrer ma joie sur mon visage. Et de quoi voulait-elle me parler ? J’espérais que se serait pour nous mettre ensemble, non, arrête d’espérer, ce n’est pas possible, tu rêves.
-Avec plaisir. Quand ?
-Ce soir, au restaurant: La paillette dorée à 20 heures.
Pour une fois qu’elle m’invitait, il fallait que j’ai quelque chose de prévu.
-Désolé, mais je ne serais pas ce soir.
-Ce n’est rien.
Faites qu’elle me dise une autre date, un autre moment, je veux ce rendez-vous, je le voulais temps.
-Dans ce cas demain. Même heure, même endroit: La paillette dorée à 20 heures.
Ouah ! Elle m’invitait, mais c’était super. Je repris mes esprits et dit d’un air très professionnel:
-Pas de problème, j’y serais.
J’avais un rendez-vous, après autant de temps d’attente, j’avais été trop timide pour l’inviter. Ce rendez-vous que j’avais attendu depuis longtemps. J’avais été très rarement aussi content dans ma vie. Mon père était un alcoolique, ma mère était très souvent absente et trompait mon père. Mon ex-femme m’avait trompé, j’avais une fille de 10 ans que je n’avais plus vu depuis 5 ans. J’étais au bord du suicide. Mais j’espérais revoir ma fille, çà naissance avait été le plus beau jour de ma vie. Il était temps qu’un nouveau moment joyeux survienne.
Je montai dans ma voiture, je regardais ma montre 16H10. J’avais une grande qualité: la générosité, j’adorais faire plaisir, et voir des gens heureux, des visages souriants. Tous les mercredis, j’allais montrer un de mes talents: la magie, près des enfants qui n’avaient jamais l’occasion de rigoler, ils étaient orphelins et se trouvaient dans un orphelinat. Les pauvres petits.
Quand je fis arriver, je pris mon matériel dans le coffre et me dépêchait à entrer dans le réfectoire, où ma petite scène improvisée était en place. J’avais un peu de retard, mais les enfants étaient content de me voir enfin, ils devaient être impatient.
J’installai rapidement ma grosse valise sur une table et dit ensuite:
-Bonjour à tous.
-Bonjour monsieur Abracadabra.
Bien-sûr, ce n’était pas mon vrai nom, ce n’était qu’un nom de scène, mon véritable nom était Veryman. Il signifiait « même homme », oui, j’étais toujours le même homme depuis ma naissance, le même enfant, grandissant dans ce monde avec autant de difficulté qui survenaient jour après jour.
Je leurs firent quelques tours de cartes.
Je faisais çà bénévolement, leurs visages émerveillées me suffisait, il était heureux et c’était mon bonheur. Combler de bonheur les gens, j’adorais çà, j’en avais les larmes aux yeux.
Ils se demandaient tous comment je faisais çà, mais je ne pouvais pas leurs dire, c’était çà qui était bien, je devais garder le secret de ses tours que mon grand-père m’avaient enseigné quand j’étais petit.
Je pris ensuite un foulard, et dedans cacha une pièce.
-Allez-y les enfants, que devez-vous dire ?
-Abracadabra. Répondirent-ils.
-Bien. Soufflez tous ensemble.
Ils se mirent à souffler.
-Plus fort.
Et ils soufflèrent encore plus fort.
-Regardez bien.
Je retournai le foulard, et hop, plus de pièce.
-Ouah! Dirent-ils.
A vous, je vais vous révélez ce secret de ce tour, j’avais pris la pièce, et eux, les enfants, n’avaient rien remarquer. La discrétion était importante. Leurs petit divertissement: la magie. Ils étaient tous fasciné par çà.
Je leurs fit quelques autres tours.
-Au revoir les enfants, et à la semaine prochaine.
-Au revoir.
J’écoutais leurs commentaires et leurs impressions du spectacle.
Le temps passait vite, il était 17H20. Je passais une heure par semaine avec eux.
Mais de temps en temps, je restais un peu plus longtemps avec eux, je discutais et ils me racontèrent leurs misères. D’autres m’expliquèrent leurs lectures.
Soudain, mes yeux furent bloqués, par là, je veux dire que j’avais aperçu quelque chose qui m’avait attiré.
La vieille femme qui était venu tout à l’heure assise dans mon bureau, venait de passer dans le couloir.
Je dis une nouvelle fois au revoir aux enfants, et me mis à courir en tenant ma valise, qui était tout de même un peu lourde. Cette femme travaillait peut-être ici, et je pourrais lui demander qui elle était et pourquoi était-elle venue.
Je me dirigeais vers la gauche, comme elle était partie dans cette direction. Mais je ne la retrouvais pas. Où était-elle passée ?
Je restai planté là, au beau milieu du couloir pendant environ 2 minutes. Espérant voir cette femme repassée, mais çà n’arriva pas. Donc, je décidais de repartir et de retourner chez moi.
Arrivé dans ma maison, je m’installai immédiatement dans mon fauteuil, j’étais si fatigué, si épuisé. Je n’avais pas encore récupéré de ma nuit précédente, et oui, quand on fait une fête et qu’on va couché tard. Mais bon, je ne regrette rien. Je me sentais tout doucement m’endormir sur le fauteuil.

Je fus réveillé à 19H07 par un bruit assourdissant, je me levai brusquement et regardait par la fenêtre, là où le bruit provenait. Je mis mes mains à mes yeux, et les frottèrent en voyant ce qui se passait au dehors.
Du sang, tout était rouge sang et brûlé, je vis ma voisine, Nicole, sa tête décapitée accrochée à un piquet sur l’endroit où se trouvait ma pelouse, qui maintenant était également devenue une marre rouge sang. Son corps était déposé sur le seuil de ma porte que je voyais par la fenêtre. J’entendais mon chien aboyer, il était dans la cuisine, je me retournai en criant à près lui. Je le vis s’amener, sa tête dépassé de l’autre pièce, et ensuite le reste de son corps, qui n’était plus pareil, il avait un corps de veau, mais comment était-ce possible. Il se mit à courir et s’assit à côté de moi. Il me regardait avec un air très bizarre, il ouvrit sa gueule, une fumée verte et nauséabonde en sortait. Je voyais à travers sa gueule des yeux d’humains, beaucoup d’yeux. Subitement, il s’appuya sur ses pattes arrière de veau, et me sauta au visage, il m’agrippait fermement et je sentais des morceaux de peau s’enlever. Je tombai à terre, je sentis ses dents crever mes yeux, il en attrapa un avec ses dents et l’avala sûrement. Je pris une de mes mains et essaya de le pousser, quand il remarqua ce que je faisais, il mordit ma main si fort que je ne pouvais plus la bouger, mes doigts étaient bousillé, je n’eus même pas le courage d’essayer avec mon autre main. Mon Nonos, mon cher et brave Nonos, comment était-ce possible, lui me faire du mal. J’entendis mes vitres brisées et d’autres choses s’amener sur moi, avec ma main, je reconnus des rats, ils étaient entrain de me mordre, de me manger vivant. Je hurlais, hurlais de douleur, dû moins, j’essayais. Ce n’était pas facile, avec mon chien qui me dévorait le visage. Je sentis les animaux s’arrêter un instant, que se passait-il, mais ils se remirent brusquement à continuer de me manger. Mon chien en était à présent à mon nez. Je voulais pleurer, mais çà m’était impossible.
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Zeus
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MessageSujet: Re: La liste de l'Au-delà   La liste de l'Au-delà - Page 2 EmptyDim 19 Fév 2006 - 13:11

Soudain, mes yeux s’ouvrirent, j’étais sur mon canapé, je me réveillait en transpirant de la tête au pied. Ce n’était qu’un cauchemar, qu’un vulgaire cauchemar, qui pourtant semblait si réel.
Je regardai ma montre, 19H15, et dans mon rêve, je veux dire dans mon cauchemar, il était 19H07, ce serait-ce réellement passé, pourtant je n’avais plus rien, mes yeux, mon nez, ils étaient là. Je ne savais plus quoi pensé. Je fermai mes yeux un instant, et quand je les rouvris, je vis mon chien devant moi. Je sursauta, j’avais à présent peur de lui. Il n’avait plus son corps de veau, c’était déjà çà. Il ouvrit sa gueule, et me lécha la main et le visage. J’étais content mais pas tout à fait rassuré. Il monta sur le fauteuil, et…et me mordit, çà recommençait, mais cette fois, c’était réel, il me déchiquetait le visage et les mains encore plus brutalement et je m’évanouis en sentant la douleur si terrible.

J’ouvris mes yeux, il était 19H20 à ma montre, toujours transpirant de la tête au pied, je me demandais si c’était encore un cauchemar. Que m’arrivait-il ?
Etais-ce des cauchemars en boucle, 19H07, 19H15, et maintenant 19H20. Je m’apprêtai à encore à subir quelques choses. Allais-je me réveiller à 19H30 ensuite. Je m’y attendais.
Il était à présent 19H25, je n’avais toujours pas bougé de mon fauteuil, je n’osais d’ailleurs pas. Il ne m’avait rien arriver. Etais-ce la fin de ces cauchemars ? Je l’espérais tant.
J’aperçu un visage par la fenêtre me fixer, je ne pouvais pas le distinguer à cause de l’obscurité. C’était encore un cauchemar, suis-je bien réveillé ? J’allais le savoir d’un instant à l’autre.
Je m’approchai de la vitre. Quand la personne ou la chose me vit m'avancer, elle déguerpit. J’eus juste le temps de distinguer une partie de son visage sur le trottoir grâce au réverbère. C’était la vielle femme, mais que me voulait-elle ? Qu’avait-elle à me surveiller sans cesse ?
Mon ventre se mit à gargouiller, normal, je n’avais rien manger, j’avais une de ses faims. Je cherchai rapidement quelque chose dans mon congélateur qui pouvait aller au micro-ondes, je trouva des pâtes, je les mélangea avec de l’eau et les mit. 8 minutes plus tard, tout était prêt et chaud, prêt à manger.
Je versa les pâtes d’où sortait une merveilleuse odeur, dans un plat. Je m’assis sur mon fauteuil et alluma la télévision.
Il y avait une petite émission sympa, que je regardai de temps en temps, mais pas tout les jours, sinon c’était assez ennuyant. C’était un petit reality show.
J’en oubliais presque mes cauchemars qui avaient l’air d’avoir cessé, je l’espérais, je ne voulais pas passer une nuit comme çà.
Quand j’eus fini de manger ses délicieuses pâtes, je déposa le plat et m’installa confortablement dans mon fauteuil et chercha après un bon programme à la télévision.
J’alla me coucher au environ de 22 heures. Je pensai à mon week-end qui allait bientôt arriver et de ce que j’allais y faire. Plus qu’une journée de travail.

Le lendemain à 07H00, ce fut le réveil, j’avais passé une bonne nuit, aucun cauchemar, j’étais déjà un peu plus rassuré.
Je m’apprêtai comme du lundi au vendredi à aller au travail.
Arrivé pour une nouvelle journée au boulot. J’aperçu la voiture d’Edmond, j’irais prendre de ses nouvelles à midi.
Je me dépêchai à aller prendre ma petite tasse de café. Je m’assis à côté de David et lui demanda:
-Salut. Hier, tu n’aurais pas vu quelqu’un sortir au matin de mon bureau, une veille femme.
Il n’eut même pas le temps de me répondre salut.
-Alors ?
-Stephen, tu ne vas pas bien ? T’as des problèmes ?
-Oui ou non ? Réponds, s’il te plaît, c’est important.
-Non, non Stephen.
Je vis qu’il hésitait à me dire quelque chose, et puis se lâcha:
-Dis-moi ce qui ne va pas, je suis ton ami, je suis là pour t’écouter, pour t’aider.
-Rien. Non, rien.
Et je partis à mon bureau. J’ouvris la porte, et là, le cauchemar recommença, la vieille femme était là, mais cette fois-ci, assise à ma place.
-Mais qui êtes-vous ? Comment êtes-vous entrée ? La porte était fermée.
Elle me regarda, comme hier, me fixa, et ne dit une nouvelle fois rien.
-Dites-moi qui êtes-vous ? Que me voulez-vous ? Sortez d’ici.
J’avais hurler si fort, en insistant sur les derniers mots, que des personnes des bureaux voisins étaient venu voir ce qu’il se passait.
Je me retournai pour les observer. Ils me fixaient tous, se demandant ce qu’il se passait.
Je regardai ensuite vers mon bureau, la vieille femme n’était plus là. Sentant les regards de mes collègues restant posé sur moi, je claquai la porte d’un coup, la ferma à clé et m’assis à ma place. J’essayai de me calmer, de me relaxer. Je voulais savoir ce qu’il se passait, ce qu’il m’arrivait.
Quelqu’un toqua.
-Qui est-ce ? Demandai-je.
-C’est…c’est David. Que se passe-t-il ? Pourquoi as-tu crié ?
-Rien, merci de ta visite.
J’avais envoyé mon ami au Diable, il venait m’aider et moi, je l’ignorais.
Je ne trouva même pas le courage de travailler. J’avais ouvris juste quand un client arrivait, et je n’étais pas très sympathique envers eux, ils me voyaient, ils voyaient que je n’étais pas bien.
Quand le client fut partit, je refermai immédiatement la porte à clé, et m’assis sur ma chaise, mes pieds posé sur mon bureau sur un tas de feuille.
J’attrapai un petit mal de tête qui me mis encore plus en colère.

Toc, toc toc. Quelqu’un toquai à la porte, je m’étais endormis, pourvu que se ne soit pas le patron, pourvu que ce soit n’importe qui, mais pas le patron. Je préférais encore que se soit la vieille femme.
J’ouvris, la chance n’était pas avec moi, c’était Mr Speak, le patron.
-Asseyez-vous. Me dit-il en fermant la porte derrière lui.
Je le regardai, me demandant ce qu’il allait me dire.
-Veryman, oh, Veryman, vous m’agacer, vous m’énervez plus que tout. Dit-il en insistant sur des mots. Vous hurlez dans l’établissement comme un fou, vous vous endormez sur votre lieu de travail, vous avez du retard sur des documents. Mais que faites-vous bon dieu ? Vous voulez vous retrouvez à la porte ? Parce que, c’est ce qu’il va arriver, ressaisissez-vous, sinon, ce sera au revoir et à jamais. Avez-vous compris ?
Je n’en revenais pas, si j’étais viré, je ne pourrais plus payer mon loyer, et je me retrouverais dans la rue. Et puis, il ne savait pas lui les problèmes que j’avais, il croyait être le seul à avoir des problèmes, c’est pas lui qui avait une vieille femme sur son dos qui le surveillait. Si, mais alors la vieille femme qui le surveillait, c’était sa mère, où elle était peut-être morte. J’étais méchant là, mais bon, j’y pouvais rien.
-Avez-vous compris ? Redemanda-t-il avec encore plus de voix.
-Oui, oui monsieur.
Et il sortit en claquant la porte.
Et voilà, une nouvelle fois, j’aurais tous les regards posé sur moi à la sortie, j’en avais marre moi de çà, toujours être le souffre douleur. Bon, d’accord, il avait peut-être raison sur certaines choses, mais j’y pouvais rien moi, je n’étais pas Superman, je n’étais pas un réacteur. J’étais juste Stephen Veryman, un simple mortel, qui est juste plus lent qu’un autre. Mais ils ne comprennaient pas, certains humains se croyaient supérieur à cause de leurs grades et c’est tout, c’est tout ce qui les importaient. Je vais me ressaisir, je vais faire un effort, il me faut juste un peu de temps.
12H00, l’heure de déjeuner, je pris mon sandwiches que j’avais été cherché comme tous les matin, et je partais en direction du réfectoire, quand je vis Christelle. Christelle était une employé assez âgée, elle n’en avait plus pour longtemps avant sa pension, quelle chance. Elle faisait des colorations noires pour cacher ses nombreux cheveux blancs, elle était toujours bien habillée, avec ses tailleurs.
Elle s’approcha de moi.
-Bonjour, Stephen. J’ai entendu ce qu’il s’est passé avec le patron.
-Oui, je sais, tout le monde est au courant.
-Oui, écoutes, je…
Je l’interrompis.
-Tu as sûrement aussi entendu que j’avais hurler.
-Oui, à ce propos, ne t’en fais pas, je ne te prends pas pour un fou, moi, je ne veux pas savoir pourquoi tu as fait tel chose ou tel chose.
Ce qui était bien avec Christelle, elle n’essayait jamais de savoir ce qui s’était passé, ce qui était le contraire de beaucoup de collègues.
-Saches, Stephen, que si tu as besoin d’aide, n’hésites pas, ma porte te sera toujours ouverte.
-Merci Christelle.
Je descendis ensuite au réfectoire, tandis que Christelle se dirigeait vers le bureau du directeur, sûrement pour porter des documents importants.
En entrant dans le réfectoire, tous les regards se posèrent sur moi, ils n’étaient pas très discrets eux, j’entendais tout leurs commentaires désagréables sur moi.
Je m’assis au côté d’Edmond, vu que je n’apercevais pas David.
-Bonjour Edmond, çà va ?
-Ah ! Bonjour Stephen, oui, mais tu sais sa pourrait aller mieux, j’ai appris que j’avais un cancer.
Là, c’était comme si le monde s’arrêtait. Je ne savais pas quoi lui dire.
-Désolé.
-Ne le sois pas, ce n’est pas de ta faute, si j’ai cet fichue maladie. Les médecins m’ont dit que j’en avais plus que pour quelques mois. Donc, j’ai décidé d’arrêter de travailler et de profiter aux mieux de mes derniers instants, je vais aller habiter chez ma fille dans le sud de la France.
Vu que je ne répondis rien, il ajouta:
-Et toi, Stephen, çà va ?
-Pas vraiment, avec ce patron.
-Oui, je te comprends, ne t’inquiètes pas pour çà.
Je déballais mon sandwiches et me mit à manger. Je me tournai vers Edmond, je vis qu’il se mit à pleurer, il se leva.
-Excuses-moi Stephen.
Et il partit.
Le pauvre, j’aimais bien cet homme, il était sympathique, et c’est toujours aux bonnes personnes que des choses ainsi arrive. J’avais beaucoup de peine pour lui.
Emma passa à côté de moi et me souffla discrètement à l’oreille:
-N’oublies pas, ce soir, à 20 heures.
Elle me fit un sourire et partit s’asseoir aux côté de Martine et Véronique. Elles étaient amies.
Je me levai et allait chercher un verre d’eau, ensuite je m’assis pendant environ 5 minutes à contempler mon verre en attendant que l’heure du travail recommence.
Mais je partis à 12H35, une dizaines de minutes avant, et allait m’installer dans mon bureau. J’en avais plus qu’assez de voir tous les regards posé sur moi.
Ils me prenaient peut-être pour un fou, mais moi, je savais que je n’y étais pas.
Je fus rassurer de voir que la vieille femme ne se trouvait pas dans mon bureau. Je m’installai sur mon fauteuil et me mis à travailler. Il fallait que je récupère tout mon retard accumulé.
J’attendais impatiemment l’heure du rendez-vous avec Emma.

Enfin, il était 16H00, je pris rapidement mes affaires, montai dans ma voiture et allai à la station service, il ne me restait plus que quelques Km à faire avant d’être à sec.
Je mis 35 litres dans le réservoir, eh, justement mon âge. Je rigolai pour un rien, il fallait me comprendre, j’étais joyeux. J’avais mon rendez-vous, je ne rigolais que pour çà et rien d’autres, j’oubliais mes malheurs pour penser à mes bonheurs.
Je vis une ombre sortir de nul part caché derrière une poubelle à côté de la station service.
Cette ombre m’interpella, mais je n’arrivais pas à la distinguer et me dit d’une voix monotone et assez terrifiante:
-Bonjour Stephen.
Comment pouvait-elle savoir mon prénom, je ne la connaissais même pas.
-Eh ! Bonjour, qui êtes-vous ? Comment savez-vous mon prénom ?
Mais une minute, je reconnus ensuite la vieille femme qui m’ennuyait et me suivait depuis hier.
-Que me voulez-vous ?
-J’ai quelque chose pour toi.
Qu’avait-elle pour moi ? Elle aurait pût me donner ce quelque chose hier, avec toutes les fois où elle ma suivi.
Elle me tendit une feuille de couleur noire.
-Qu’est ce que c’est ?
-La liste.
Une liste, une liste de quoi, de course. Je ne comprenais pas.
-La liste ? Quelle liste ?
-Tu le découvriras bien assez tôt.
Comment allais-je découvrir ce que c’était ? Une feuille noire qui se faisait appeler « la liste », et encore quoi ? Je m’attendais à autre chose qu’à une liste débile.
-Que signifient ses lettres dorées ?
-Se sont…des identités.
Il y avait plein de nom et prénom qui était en lettre dorées : Marc Crock, Gilbert Prime, Sofia Roulips,…Qui était-ce ?
-Excusez-moi, mais que dois-je faire avec ceci ? Je la jette à la poubelle.
-Ne fais surtout pas çà.
Quelqu’un klaxonna, je me tournai pour regarder, c’était David, je lui fis signe de la main. Quand je me retournai pour entendre la réponse de la vieille femme, elle n’était plus là. Elle avait disparue.
Je fis mon plein et me dirigeai pour payer. Je vis une poubelle, prit le papier et le balança.
-Une liste, c’est encore une connerie.
La mise en garde de la vieille femme comme quoi il ne fallait pas jeter la liste, m’étais complètement égal.
J’aurais préféré autre chose qu’un bout de papier inutile. Si, çà pourrait me servir pour faire du feu.
J’allai payer au comptoir.
-Si vous prenez ses tickets et que vous attendez d’en avoir dix, vous pourrez les échanger contre des tasses. M’annonçai la femme au comptoir.
-Merci. Lui dis-je avec un sourire.
Je sortis, je pris les tickets dans ma poche et les balança dans la poubelle. Soudain, quelque chose se passa, j’eus le sentiment que la liste de la vieille me fixa. Un mal de tête me vint tout à coup. L’impression que des yeux sortirent de la feuille fut plus vraie que nature, je crus que si je ne la prenais pas, j’allai éclater. J’hésitai tout de même à l’emmener. Je la prends, je ne la prends pas, doutai-je. Cette question me trotta dans la tête, je retourna dans la voiture et y resta environ 2 minutes à réfléchir, je n’aurai pas sus rester plus longtemps, j’avais mal, terriblement mal.
Je pris mon courage à deux mains et attrapa donc cette liste, mon mal de tête s’en alla aussitôt, comme par magie.
Voilà que j’espérais comme les enfants à la magie.
Enfin, la souffrance s’était en aller, comme c’était bien. Je pourrais toujours jeter cette liste chez moi.
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La liste de l'Au-delà - Page 2 Empty
MessageSujet: Re: La liste de l'Au-delà   La liste de l'Au-delà - Page 2 EmptyDim 19 Fév 2006 - 13:35

Bonjour Zeus, j'ai vu que tu viens de poster ton chapitre. Je viens de revoir Peter et Paracelse. Je reviens un peu plus tard pour te lire.

Est-ce que tu peux te relire et revoir tes fautes d'orthographe, il y en a que tu peux revoir.
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