Atelier 14 : Chien blanc, chien noir.

Voila, sur le thême du chien, je vous ai pondu une histoire avec quelques références légendaires et mythologiques...

Chien Blanc, Chien Noir

Doublon supprimé

Le webzine où était postée ma nouvelle ayant disparu, ce post devient inutile...

Quelqu'un a-t-il lu cette histoire?
Votre avis m'interesse...

J'ai lu ton histoire Paladin. Enfin ! Et je dois dire que je l'ai franchement beaucoup aimé. Ton style est agréable, c'est très bien écrit et tu racontes une histoire touchante et la façon dont tu as retranscrit les sentiments de Victor me rappelent d'une certaine manière sans grand plaisir ce que l'on ressent quand on est seul (même si ce n'est pas tout à fait pareil).
Si je devais donner un "point négatif" à cette histoire, ce serait que je m'attendais à la fin dès sa montée dans le bateau... mais en fait ce n'est pas bien grave, donc c'est vraiment pour chipoter.

Ho merci Stone Cold Bush, j'avais pas vu ton commentaire!
La solitude semble trés présente dans ce que tu écris aussi...

C'est vrai que la solitude est présente de mes textes. C'est ce que je connais de mieux en ce moment. [smiley_qui_joue_une_complainte_au_violon] Mais j'ai lu quelque part que l'écriture est une excellente thérapie... en plus de donner des tas d'idées

Oui mais t'as que 17 ans, tu as le temps de rencontrer quelqu'un....
A part ça j'attends toujours ta nouvelle version de "Autour d'une partie de basket" ...

Elle arrivera bientôt Paladin .... la semaine prochaine j'espère.

C'est mignon et assez mélancolique. Bien écrit

Lu. Excellent texte, chevalier paladin!
Il y a effectivement qqchose de melancolique mais aussi de très touchant dans ce texte, avec ce personnage de vieillard usé par la vie et ses pertes, ainsi que ce petit parfum de mythologie bretonne qui donne bcp de charme à cette histoire.
Et comme d'hab, au niveau du style et de l'ecriture, c'est un sans faute (allez, pour chipoter je dirais bien qu'il y a qques coquilles de ponctuation mais c'est vraiment pour faire mon chieur lol).

Malgré la simplicité du thème, ce récit est d'un traitement intéressant. La déambulation d'un homme dans des repères nébuleux me rappelle certains écrits de J.P Andrevon (je pense à Cauchemars... cauchemars ou encore Le reflux de la nuit). Mélanger les mythiques charon et psychopompes dans une atmosphère bretonne donne un ton certain à la nouvelle. Bref, j'aime beaucoup.