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| | Guns, love and money | |
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+4TAK miss witch paladin maerlyn 8 participants | |
Auteur | Message |
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maerlyn La Folle du forum
Nombre de messages : 4617 Age : 37 Date Naissance : 18/03/87 Date d'inscription : 01/09/2004
| Sujet: Guns, love and money Jeu 5 Avr 2007 - 17:06 | |
| Edit: tiens les nouvelles sont toutes moches sur le forum maintenant, bon j'essaye de le mettre ftp si j'y comprends quelque chose...)
Re-edit(piaf): bon voilà j'espère que j'ai réussi: http://nofxfan.free.fr/guns.pdf dites moi si ça marche.
Guns, love and money
- On pourrait faire un bébé, tu sais.
Pour information la fille qui me dit ça ne couche pas avec moi, on n’est même jamais sorti ensemble, au sens du terme où vous l'entendez. C’est ce que les gens appellent un copine. Ou une amie je sais plus, j’ai toujours du mal avec les nuances.
- J’aurai bien trop peur qu’il ne crève pas avant que tu accouches.
Quand les gens, encore eux, nous entendent parler tous les deux, ils nous prennent pour des tarés complètement cyniques et morbides.
Parfois pour des monstres.
En fait ils ont peut être raison, au moins pour moi. Camille ne peut pas être un monstre, pas avec une robe à fleurs. On dirait qu’elle l’a volé à sa grand-mère, ce qui est sans doute le cas. C’est une robe totalement démodée, d’un autre siècle. Etrangement elle la rend très excitante. Je la baiserai probablement sur le champ si elle était quelqu'un d'autre.
- Tiens au fait, j'ai trouvé ça à l'arrière du module.
Elle me tend ce que je pense être un magazine, je me rappelle en avoir vu quelques uns quand j'étais gosse. Ils n'existent plus du tout aujourd'hui, en tout cas pas sous la même forme. Le papier n'est plus utilisé depuis une demi décennie, toute la presse est maintenant diffusée sur plaquettes holographiques.
J'actionne le mode automatique du module avant de saisir le magazine pour le feuilleter. Certains articles parlent apparemment de célébrités de l'époque dont je n'ai jamais entendu parler, d'autres traitent d'appareils électroniques qu'on ne trouve même plus dans les brocantes de nos jours, il y a également des recettes de cuisine.
- Regarde si t'arrives à trouver une station qui passe du rock, je demande à Camille tout en lisant un horoscope vieux de plus d'un siècle.
- Je vais essayer. Mais un jour il faudra que tu piges que cette le rock est mort alors que ta mère n'était même pas encore née.
- Ouais, que veux tu…je suis une anomalie.
L'aérovoie est presque vide. Nous n'avons croisé que deux autres modules depuis notre départ, il y a une heure. A gauche comme à droite, tout ce que l'on voit c'est du sable et de la roche. J'ai entendu dire un jour que le désert était un bon endroit pour tuer. Parce que, ici, quelles que soient les horreurs que l'on fait, elles ne semblent jamais troubler ou ébranler quoi que ce soit. Ni les gens, ni le système, et encore moins ce putain d'univers. Bien sûr lorsqu'une tempête s'abat sur le désert ça fait du bruit pendant un court moment mais après, tu peux regarder dans la direction que tu souhaites et c'est comme si chaque grain de sable était exactement à la même place qu'il l'a toujours été.
Et bien je trouve que c'est un endroit à chier. Parce que pour Camille et moi, le plaisir de tuer n'est complet que si il a des conséquences; des pleurs, de la colère, des actes insensés et totalement désespérés, des visages complètement transformés par le malheur…Si tuer quelqu'un n'amène pas à ce genre de réactions alors mieux vaut rester chez soi à regarder la télévision.
Camille s'endort un moment et lorsqu'elle se réveille, elle me dit qu'elle a envie d'une glace.
- Il y a une station à moins d'un kilomètre, j'ai vu le panneau tout à l'heure. On s'arrêtera là. De toutes manières, il faut que j'aille pisser.
La station se trouve en fait à plus de deux kilomètres du panneau. S'il y a un autre truc à savoir à propos du désert c'est qu'il ne faut jamais y prendre ce que l'on vous dit pour argent comptant. Au moins la station n'est pas fictive, c'est déjà ça de gagné.
Je vais aux toilettes pendant que Camille se dirige vers le coin boutique. Une détonation retentit peu après que j'ouvre ma braguette. Je m'allume une cigarette en ressortant à l'air libre, Camille est assise sur le seul banc présent, en train de lécher un cornet de glace. Je m'approche d'elle et remarque ainsi le corps du propriétaire de la station étendu sur le sol de la boutique, avec un trou au front d'où coule un filet de sang. J'enjambe le cadavre pour me prendre une bière dans le compartiment réfrigéré puis je retourne vers Camille et m'assied à côté d'elle.
- Cette chaleur me tue.
- Moi j'aime bien, me dit-elle, mais je te comprends, tu transpires comme un bœuf. C'est pas très sexy.
- Quoi ? Attends, c'est très sexe la sueur.
- Pas quand on nage dedans. Tiens goûte, c'est au melon.
Elle me tend sa glace et j'en avale un morceau. Evidemment, la glace est remplie de tellement d'arômes synthétiques et de colorants sensés nous faire croire qu'elle est au melon que du coup, elle n'a plus aucun goût du tout. Mais l'espace d'un instant, je m'imagine que cette glace est réellement au melon, qu'elle en a parfaitement la saveur. Je peux sentir la fraîcheur du fruit inonder ma bouche, ce qui n'est pas trop difficile à imaginer car je mangeais beaucoup de melons quand j'étais gamin. J'avale la glace fondue et le rêve se brise.
- Pas mauvais. Bon allez, on y va.
Camille s'est encore endormie. Je conduis d'une main, fumant une cigarette. A vrai dire, je pourrai actionner le mode automatique pendant tout le voyage mais j'aime bien avoir un contact avec le véhicule. Je m'imagine comme ces mecs, il y a de ça une centaine d'années, qui conduisaient encore des voitures et devaient la sentir vibrer au niveau du volant. Bon bien sûr je ne peux pas ressentir exactement la même chose car pour que ce module vibre, il faudrait que je dépasse la vitesse du son, du coup la police fédérale nous remarquerait très vite et on aurait quelques problèmes. Je jette ma cigarette bien avant d'en arriver au filtre et je regarde Camille. De la manière dont elle est installée, ses cheveux cachent une grande partie de son visage, une mèche est même à moitié dans sa bouche. Vous ne pouvez pas la regarder comme ça et penser qu'elle a tué des dizaines de personnes, c'est tout simplement impossible. Elle a une telle expression de pureté, c'est comme si elle sortait d'un de ces poèmes anglais du seizième siècle. Et pourtant c'est la même fille que j'ai vue égorger un adolescent dans un cybercafé parce qu'il n'aimait pas la musque cubaine.
Je commence à voir de bâtiments à côté de la route et je réalise que nous sommes arrivés en ville. Enfin, "ville" est un bien grand mot, "bled pourri" serait sûrement plus approprié. La plupart des maisons ressemblent plutôt à des ranchs, et aucun bâtiment ne semble avoir plus de deux étages. Mais soudain quelque chose retient mon attention. Je gare le module et réveille Camille.
- Hmm, quoi ?
- Là. Une banque.
Elle se redresse sur son siège, les yeux légèrement embués de sommeil. Puis un sourire apparaît sur ses lèvres à mesure qu'elle émerge.
- Woaw, je commençais à penser que les banques ici, c'étaient des légendes. On va faire un retrait ?
- Je pense bien, dis-je en attrapant quelque chose sous mon siège.
Deux minutes plus tard, nous entrons dans la banque. Camille est maintenant parfaitement réveillée, mais pour une raison étrange, elle a quand même tenu à porter des lunettes de soleil. En y réfléchissant, c'est peut être juste pour le style. La banque est vraiment minuscule, la plus petite de toutes celles qu'on a braqué. Le seul personnel visible est une jeune femme à l'unique guichet en train de pianoter négligemment sur un ordinateur, et un vigile près de l'entrée dont je ne jurerai pas qu'il est éveillé. Un couple âgé discute avec la fille au guichet. Et il y a une porte sur la droite qui semble mener au bureau du directeur.
Camille me regarde avec un air de reproche.
- Tu m'as emmené à de meilleures fêtes dans le passé.
- Je te l'ai déjà dit cent fois, si tu n'aimes pas une fête, c'est à toi d'y mettre l'ambiance.
Elle n'en sourit pas pour autant et se dirige vers la porte fermée, pendant que moi je m'approche du vigile sans éveiller l'attention. Et au moment exact où Camille ouvre la porte et braque son arme en entrant dans la pièce, je pointe la mienne sur la tête du vigile.
- Lève-toi, lui dis-je tout en le soulageant de son arme.
L'homme a la cinquantaine et, heureusement pour lui, il n'est pas du genre à jouer les héros. Il se lève bien docilement dans la direction que je lui indique. Je m'adresse ensuite à la guichetière qui est restée paralysée dès qu'elle a réalisée ce qu'il se passait.
- Toi. Passe devant ton guichet.
Elle s'exécute aussitôt, elle a l'air d'avoir un peu peur mais le cache assez bien. Elle se contrôle en tout cas mieux que le couple de petits vieux, terrorisés et tout tremblants. Tous les trois se réunissent d'instinct et je leur amène le vigile puis leur demande de s'asseoir par terre au moment où Camille sort de du bureau avec deux hommes. L'un a la cinquantaine, porte un costume trois pièces bas de gamme et affiche un air suffisant, j'imagine que c'est le directeur de la banque. L'autre est légèrement plus vieux que moi et est du genre extrêmement nerveux, son front est couvert de sueur. Camille les fait s'asseoir avec les autres.
-Bon écoutez moi, je dis. Tout le monde s'en sortira sans dommage si personne ne fait de connerie. Ce qui signifie; personne ne fait un mouvement sans que je lui dise, tout le monde sort son téléphone portable et le glisse vers mon amie, et surtout personne ne pose de questions, ne hurle ou ne pleure car c'est le genre de trucs qui m'emmerde.
Ils possèdent tous un téléphone portable—en même temps n'importe quel gamin de trois ans en a un aujourd'hui—et les passent à Camille sans rechigner. Elle les met dans une poche plastique qu'elle garde à la main. Je désigne ensuite le "costard-cravate".
- Toi, tu te lèves.
A peine est il debout que je l'attrape violemment par le col et le dirige vers l'ordinateur du guichet. Tout en gardant mon revolver braqué sur lui, j'insère ma clef de crédit informatique dans le port de l'ordinateur.
- Maintenant, débloque les fonds de la banque avec ton code de sécurité. Et n'essaies surtout pas de me baiser, je le remarquerai tout de suite.
Il me regarde avec un dédain pas possible et me répond qu'il n'en fera rien. La scène a quelque chose de tellement cliché que j'en ai presque envie de rire. Ce mec a vraiment l'air de croire qu'il est le premier à essayer de me tenir tête.
Je me tourne vers le groupe au sol que Camille tient en joue. Je désigne la vieille du doigt.
- Grand-mère, lève-toi s'il te plaît.
La vieille femme ose à peine me regarder, terrifiée. Son époux la tient dans ses bras et sanglote.
- C'est bon Lady écoutes, je vais pas te faire de mal. C'est juste pour expliquer un peu la situation au monsieur ici présent. Je vais pas non plus blesser une femme âgée, je suis pas une telle ordure. Par contre je pourrai tirer une balle dans le genou de ton mari si tu te lèves pas.
Elle semble avoir un peu de jugeote, et se lève lentement, alors que son époux continue de se cramponner à sa robe au niveau des jambes.
- Bien, dis-je.
Puis je tire calmement une balle dans la tête de la femme. Le sang asperge le visage de son mari, ainsi que les vêtements des trois autres otages. Le vieil homme regarde sa femme tomber sans pouvoir dire un mot, la bouche grande ouverte.
Je redirige mon arme vers le directeur.
- Bon maintenant, est-ce que vous avez compris la situation ?
Le directeur ne dit rien, et commence à manipuler l'ordinateur. Je vois les gouttes de sueur qui glissent sur son front pour se rejoindre à la pointe de son menton rasé de près,et ensuite tomber sur ses doigts boudinés et sur les touches du clavier.
- Vous l'avez tuée, espèce d'enfoiré !
C'est le type qui était dans le bureau du directeur quand Camille les a délogé qui gueule maintenant. Je le regarde sans rien dire. A côté de lui le vieil homme pleure sur le corps de sa femme—moins la tête—silencieusement, apparemment ses cordes vocales ont explosé en même temps que le cerveau de sa chère et tendre.
- Vous aviez promis de ne rien lui faire ! continue de hurler monsieur je-suis-juste-venu-demander-un-prêt-moi-bordel.
- En fait non. Je lui ai juste dit que je n'allai ni lui faire du mal ni la blesser. Et je peux t'assurer qu'elle n'a rien senti.
Je m'apprête à continuer ma réponse avec pertinence quand je remarque Camille tournée vers la porte d'entrée de la banque.
- Camille ? Quoi ? je lui demande.
Elle se retourne avec un air inquiet que je ne lui connais pas.
- Des flics.
Je me rends à la porte d'entrée presque en courant. Effectivement une demi-douzaine de policiers est dehors, fusils braqués sur l'entrée.
- Mais comment…
Puis soudain je comprends, je retourne au bureau et pousse brusquement le directeur qui tombe par terre. Je regarde sous le guichet et trouve le fameux bouton. Je me redresse et regarde la fille qui était au guichet quand on est entré.
- C'est toi hein ?
La jeune femme ose à peine me regarder, elle se met à pleurer bruyamment, totalement terrifiée. Puis soudain, j'éclate de rire. Tout le monde me regarde comme si j'étais devenu fou. Spécialement Camille. Je reprends mon souffle en m'appuyant au bureau. Camille s'approche de moi avec précautions.
- Qu'est-ce…qu'est-ce qu'on fait ?
Je la regarde, encore à moitié hilare.
- Tu n'as pas compris ? On est baisées. Il n'y a aucune autre sortie à cette banque, et tu sais bien que les flics n'en ont plus rien à foutre des otages du moment qu'ils font une arrestation. On est juste baisés.
Elle a un pas de recul et me dévisage avec un léger sourire, persuadée que je me moque d'elle.
- Ok, donc on est baisés.
Elle continue de sourire. Croyant réellement que tout ça est une blague. Je me passe les mains sur le visage, toujours avec mon Colt dans la main gauche.
- Ah Camille, je suis désolé.
Puis je lui tire une balle dans la poitrine. Ruinant sa robe à fleurs.
Elle ne tombe pas au ralenti, ses cheveux n'étincellent pas pendant sa chute. Mais pourtant je m'imagine tout ça alors qu'elle touche le sol.
- Je t'aimais vraiment tu sais. Enfin je crois.
Puis je m'approche de l'entrée, n'ayant absolument plus conscience des otages. J'ouvre la porte avec l'assurance que Camille sera morte quand les flics la trouveront, et que son visage affichera toujours ce sourire qui faisait toute sa beauté.
Je suis encore en train de tirer alors que des dizaines de balles traversent ma chair. | |
| | | paladin Papi gâteau nympho
Nombre de messages : 5043 Age : 65 Date Naissance : 20/06/58 Date d'inscription : 10/09/2006
| Sujet: Re: Guns, love and money Ven 6 Avr 2007 - 14:19 | |
| Pas mal du tout, ça me fait penser à "Baise-moi" de Virginie Despentes, en plus froid et cynique (alors que Despentes depeint une amitié désespérée), ce qui va bien avec le style. Par contre est-ce que ça amène quelque chose de plus que l'histoire se passe dans le futur? | |
| | | maerlyn La Folle du forum
Nombre de messages : 4617 Age : 37 Date Naissance : 18/03/87 Date d'inscription : 01/09/2004
| Sujet: Re: Guns, love and money Ven 6 Avr 2007 - 15:02 | |
| - paladin a écrit:
- Par contre est-ce que ça amène quelque chose de plus que l'histoire se passe dans le futur?
Personnellement, je trouve que oui. Mais j'ai du mal à l'expliquer. J'ai situé l'histoire dans le futur car c'était la meilleur manière pour moi de montrer que ces deux personnages ne vivaient pas à l'époque qui leur correspondait le mieux. C'est pour ça qu'il y a plusieurs petit détails qui dépeignent un sentiment de "nostalgie de ce que l'on a même pas connu ou de ce que l'on ne peut plus connaitre" comme le magazine en papier, le rock, le goût du melon... Je sais pas si je me fais bien comprendre... P.S: par contre je n'ai jamais vu "Baise-moi" | |
| | | paladin Papi gâteau nympho
Nombre de messages : 5043 Age : 65 Date Naissance : 20/06/58 Date d'inscription : 10/09/2006
| Sujet: Re: Guns, love and money Ven 6 Avr 2007 - 16:55 | |
| Oui, j'ai bien compris et l'idée se défend! Mais dans ce cas là il faudrait peut-être que ce soir plus franchement indiqué dans l'histoire. Qu'on saisisse mieux le rapport entre ce décalage et le cynisme des personnages. Sinon je trouve ça pas mal du tout. "Baise-moi" je n'ai pas vu le film qui de l'avis général est trés nul. Par contre j'ai lu le bouquin qui est une grande claque trés noire. Celui là et "Mordre au travers,", un recueil de nouvelles de V.Despentes paru chez Librio. Ce qu'elle a écrit aprés est beaucoup moins intense.
Dernière édition par le Ven 6 Avr 2007 - 17:23, édité 1 fois | |
| | | maerlyn La Folle du forum
Nombre de messages : 4617 Age : 37 Date Naissance : 18/03/87 Date d'inscription : 01/09/2004
| Sujet: Re: Guns, love and money Ven 6 Avr 2007 - 17:22 | |
| Oui c'est vrai que j'aurai peut être du être un peu plus expansif sur ce côté nostalgique. Sinon je ne savais même pas que Baise moi était tiré(pas de jeu de mots, non, j'ai dit que j'arrêtai la vulgarité voyons) d'un livre. Bon en même temps j'avais essayé je sais plus quoi de Despentes un jour et ça m'avait gonflé au bout de cinq pages. | |
| | | miss witch Sorcière cotorep à mi-temps
Nombre de messages : 1468 Age : 32 Date Naissance : 24 juillet 1991 Date d'inscription : 04/04/2007
| Sujet: Re: Guns, love and money Ven 6 Avr 2007 - 18:44 | |
| J'aurais un peu plus décrit les alentours, moi... Je sais pas je trouve que c'est vague! Mais sinon c'est agréable à lire, malgré des fautes d'orthographe (Je peux pas m'empêcher de faire remarquer les fautes d'ortho, désolée! ) | |
| | | maerlyn La Folle du forum
Nombre de messages : 4617 Age : 37 Date Naissance : 18/03/87 Date d'inscription : 01/09/2004
| Sujet: Re: Guns, love and money Sam 7 Avr 2007 - 0:14 | |
| Oui je suis toujours avare en description, parfois trop, je préfère laisser l'imagination du lecteur s'en charger le plus souvent(c'est peut être une preuve de paresse je sais pas...). Sinon il y a tant de fautes d'ortho que ça ? En tout cas merci de l'avoir lue. | |
| | | miss witch Sorcière cotorep à mi-temps
Nombre de messages : 1468 Age : 32 Date Naissance : 24 juillet 1991 Date d'inscription : 04/04/2007
| Sujet: Re: Guns, love and money Sam 7 Avr 2007 - 11:46 | |
| Pas de quoi! Nan, y en n'a pas tant que ça, et pis c'est des petits trucs! Genre à un moment t'as oublié un tiret entre deux mots, ou alors dans l'accord des participes passés. Exemple: "On est baisées." Y a un mec et une fille, donc c'est "baisés". Znfin voilà, quoi, c'est pas bien grave! | |
| | | TAK Travelo kamikaze
Nombre de messages : 4975 Age : 41 Date d'inscription : 29/12/2006
| Sujet: Re: Guns, love and money Sam 14 Avr 2007 - 2:26 | |
| Un peu d'accord avec paladin pour le fait que situer l'histoire dans le futur n'etait pas forcément utile, mais ça ne la rend pas moins bonne pour autant, alors ça change pas grand chose au final... Sinon j'ai vraiment bien accroché, ça m'a pas mal rappelé Natural Born Killer ("Tueurs Nés" en français), avec ce coté couple de psychopates en quete de sensation fortes qui se balladent au gré des aventures, des tueries, des casses et des meurtres, allant partout où se fait sentir l'appel du sang. Y'a ce meme coté "road-movie sanglant" que j'adore et je dois dire que le ton vraiment cynique et mordant de ton ecriture colle parfaitement au sujet Et puis j'aime bien le fait que tu ne te perdes pas en details inutiles : on ne sait pas trop qui ils sont ni leur passé, on ne comprend pas trop la nature de leur relation (et là encore je repense à Natural Born, meme si dans ce cas la romance est un peu plus explicite), tu ne te perds pas en descriptions interminables qui allourdiraient ton texte plus qu'autre chose. Ca va droit au sujet et ça claque! Donc ouais, j'ai vraiment accroché : une histoire bien trash comme je les aime (avec une fin bien nihiliste comme il faut lol). Bravo à toi, maerlyn! | |
| | | maerlyn La Folle du forum
Nombre de messages : 4617 Age : 37 Date Naissance : 18/03/87 Date d'inscription : 01/09/2004
| Sujet: Re: Guns, love and money Sam 14 Avr 2007 - 9:26 | |
| Merci beaucoup Tak ! J'admets bien évidemment l'influence de Natural Born Killers (même si j'ai évité de donnner à mon histoire le ton hystérique qu'a le film). J'avoue même qu'en écrivant la fin je pensais à "Butch Cassidy et le Kid" et à "Devil's Rejects". | |
| | | Paracelse schtroumpf Ninja
Nombre de messages : 5012 Age : 50 Date Naissance : 01-04-1974 Date d'inscription : 18/12/2005
| Sujet: Re: Guns, love and money Mar 8 Mai 2007 - 21:07 | |
| Bonne histoire mais contrairement aux autres, j'aurais bien aimé que l'anti-héros essaye de trouver une porte de sortie même désespéré. Un carnage avec quand même un ou deux keufs de flingué, rien que pour le fun ! | |
| | | maerlyn La Folle du forum
Nombre de messages : 4617 Age : 37 Date Naissance : 18/03/87 Date d'inscription : 01/09/2004
| Sujet: Re: Guns, love and money Mer 9 Mai 2007 - 19:40 | |
| Merci de l'avoir lue. Je n'exclus pas le fait qu'il en dézingue quelques uns à la fin. | |
| | | TAK Travelo kamikaze
Nombre de messages : 4975 Age : 41 Date d'inscription : 29/12/2006
| Sujet: Re: Guns, love and money Jeu 10 Mai 2007 - 17:10 | |
| - maerlyn a écrit:
- Merci de l'avoir lue.
Je n'exclus pas le fait qu'il en dézingue quelques uns à la fin. Tant qu'à crever, autant en emporter qquns avec lui, tu as bien raison! (c'est comme ça que raisonne toute bonne crapule qui se respecte lol). | |
| | | paladin Papi gâteau nympho
Nombre de messages : 5043 Age : 65 Date Naissance : 20/06/58 Date d'inscription : 10/09/2006
| Sujet: Re: Guns, love and money Jeu 10 Mai 2007 - 19:31 | |
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| | | Paracelse schtroumpf Ninja
Nombre de messages : 5012 Age : 50 Date Naissance : 01-04-1974 Date d'inscription : 18/12/2005
| Sujet: Re: Guns, love and money Jeu 10 Mai 2007 - 19:47 | |
| Alors déjà que Maerlyn n'aime pas trop que dans le forum on évoque la politique, mais si en plus tu le fais dans un de ses threads, ça n'a pas finit de gueuler. | |
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| Sujet: Re: Guns, love and money | |
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| | | | Guns, love and money | |
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