Atelier 2 : A brunch at Tiffany's

Si vous m'avez fait l'honneur de lire ce que j'ai produit pour les concours et les ateliers du Manoir, vous avez du remarqué que les dialogues ne sont pas mon fort et que j'y ai des grosses lacunes.
A vous de me dire si ça tient la route.

En attendant, je vous prie de bien vouloir prendre place. Un brunch va vous être servi dès que vous aurez cliqué sur l'image ce dessous. La maison s'excuse par avance si vous y trouvez les fautes et les coquilles que vous risquez d'y trouver, et que vous ne lui en garderez aucune rancune.

Bon appétit.

Pal mal mais de facture classique. On devine la fin assez vite. Le climat "bondieuseresque" est bien rendu et les dialogues sont vivants. Bon texte et atelier réussi.

Merci d'avoir pris le temps de me lire et d'apporter ton comm', Zaroff

Merci de ton comm' Catherine, ainsi que de ta lecture attentive.
C'est vrai que la porte s'ouvre bien vite mais bon, cette prêchesse devant la porte est providentielle pour Rebecca. Mais c'est vrai que c'est bien faiblard et que la ficelle est un peu grosse ! Je vais tâcher d'améliorer cela.

Je partage l'avis de Zaroff: une nouvelle bien écrite, un peu conventionelle, mais efficace. Que Maude entre facilement ne me parait pas forcement un problème puisqu'elle a l'impression d'être tombée chez quelqu'un d'assez semblable à elle.
Peut être faudrait-il faire un peu plus durer la découverte de Tiffany, mais c'est même pas sûr...

Merci Paladin de ta lecture et de ton commentaire. Moi aussi, il me sembalit évident qu'en jouant sur le mimétisme et la crédulité aveugle de Maude, ça tenait la route mais l'avis de Catherine reste intéressant et je comprends son point de vue.

L'exemple parfait qu'une nouvelle écrite à merveille tient son lecteur jusqu'à la chute, car aux trois quarts de l'histoire, il ne se passe rien de vraiment intéressant. Tu aurais peut-être dû rajouter des microévénements qui n'ont aucune conséquence sur l'histoire, genre un skatteur adolescent qui bouscule Maude et qui au lieu de s'excuser lui montre son majeur.
Le dialogue d'horreur de Maude sonne faux.

Merci Paracelse de ta lecture d'une part et de ton commentaire d'autre part. Une fois de plus, cela est très éclairant sur ma technique et sur mes volontés (captées ou non par le lecteur).
Alors pour les micro-événements, tu as sans doute raison. Cela permettrait d'étoffer mais mon GROS problème, c'est que je ne sais ni faire court, ni simple et du coup, je m'englue dans les détails qui plombe l'intrigue et la progression. Comme je le repete souvent, je fais des grosses coupes et dans la version originale, il y avait de ces micros-evenements (Maude se fait quasi violée dans l'un d'entre eux) mais cet empilement d'événements me fait peur car moi-même, je ne trouve pas cela crédible !

La tentative de viol, c'est trop gros.

ChiChi Larue 's touch !

Mais je comprends ce que tu veux dire

Cette fois j'ai bien accroché! Les dialogues étaient bien ^^ Mais y avait encore le présent... M'enfin ça y a que moi que ça gêne, donc limite on s'en fiche.

Merci de ta lecture et de ton commentaire, jolie sorcière !

Je reprends mes lectures demain. il m'en reste quelques unes de toi et surtout de Catherine.

Je lai depuis qques semaines sur mon ordi et je viens de la lire.
A peu près du meme avis que les autres : court mais efficace, pas de longueurs inutiles et une bonne chute, mais c'est vrai que certains dialogues sonnent un peu bizarrement (principalement quand Maude se metà crier en fait, je trouve que ça sonne tjs affreusement mal en dialogue).
Et sinon, c'est juste un detail, mais j'adore le titre, qui nous laisse pas du tout presager de quoi il retourne vraiment et du coup, la petite touche ironique lui donne bcp de saveur