[Nouvelle] Vengeance

Voici une nouvelle que je viens d'écrire sans grande prétention intitulée "Vengeance".

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Mardi midi, Toulouse.

Driiiiiing driiiiiiing driiiiiiiiing ...
Ainsi sonnait le téléphone portable de Bastien. Il s’empressa de le sortir de sa poche du pantalon et de regarder qui l’appelait. Il vit inscrit « Mélanie » dans le cadran de son mobile. Il décrocha.
- Oui allô !
- Coucou Bastien, c’est Mél, l’informa-t-elle.
- Oui je sais, lui répondit le jeune homme qui se mit à rire.
- Ecoute, je … euh …, elle hésita.
Bastien trouva quelque chose qui clochait dans le timbre de la voix de son amie. Elle était triste, ça s’entendait.
- Mél ? Que se passe-t-il ? Dis-moi ce qu’il se passe s’il te plait !
- C’est pas facile à dire Bastien … Il vaudrait mieux que tu t’assoies d’abo …
- Arrête de tourner autour du pot ! La coupa Bastien.
- Bon, ok. Ce que je vais te dire ne va pas te faire plaisir, ça va te faire de la peine et te mettre dans une rage folle, je te connais Bastien, je te connais si bien, je redoute ta réaction …
- Bon ça suffit, dis-moi de quoi il s’agit !
- Ca concerne Lucas …
- QUOI ??? Hurla Bastien qui ne pu se retenir.
- Ecoute, il lui est arrivé quelque chose.
Mélanie fondit en larmes. Bastien ne pouvait percevoir que les pleurs de son amie. Il voulu savoir ce qui était arrivé à Lucas,
- Que lui est-il arrivé ? Demanda le jeune homme. Il va bien ? Ca explique pourquoi cela fait trois jours que je n’ai pas de nouvelles de lui …
- Samedi soir, il est allé boire un verre avec sa copine, sa sœur et son fiancé. Sur le chemin du retour, ils ont croisé une bande de néo-nazis … . Mélanie s’interrompit.
- Je veux savoir la suite !
Bastien essaya de garder son sang froid. Il du faire de gros efforts pour paraître dans son état normal, alors qu’au fond, il était hors de lui, il se doutait plus ou moins de ce qui allait suivre.
- Oui. Oui. Mais ce n’est pas facile à dire alors comprends-moi. Bref. Le copain de sa sœur, a du essuyer des insultes de la part des salopards du fait qu’il est africain. Il ne répondait pas. Ils continuaient à avancer comme si de rien n’était. Puis les autres ordures ont continué, continué, continué … mais voyant qu’ils n’avaient aucune réponse à leurs provocations, ils se sont mis en travers de leur chemin. Ils les ont menacé. Ils étaient armés les enculés ! Des couteaux, et des battes de baseball, c’est la mère à Lucas qui me l’a dit. Ces fils de pute de faschos ont frappé Lucas et le mec à sa sœur. Ils les ont mis à terre !! Ils se sont acharnés sur eux !! Puis ils s’en sont pris à la copine de Lucas et à sa sœur …
- Comment ça « ils s’en sont pris à la copine de Lucas et à sa sœur » ?
- Elles ont été violées sous les yeux de Lucas et du copain à sa sœur ! Ils ne pouvaient rien faire, des nazis les tenaient à terre ! Mon dieu Bastien c’est affreux …
Mélanie se remit à sangloter de plus belle. Elle expulsa ainsi la tristesse mêlée de colère accumulées ces trois derniers jours.
- Mél ?
- Oui ?
- Comment ça s’est fini ?
- Quand les nazis ont eu fini … Lucas a réussi à saisir son portable et à appeler les secours. Il ne veut pas parler à la police ! Il ne veut pas dire qui étaient ces gars-là ! Il a tellement peur des représailles.
- Ok.
- Ils sont encore tous les quatre à l’hôpital de Bordeaux, l’informa Mélanie sans que Bastien ne le lui eu demandé.
- Ok.
- Bastien ?
- Oui ?
- Je sais à quoi tu penses. Laisse-moi te dire que ce n’est pas la meilleure solution. Cette situation est déjà horrible comme ça, ne fait rien qui puisse la faire devenir encore pire. Je t’en prie Bastien. Je t’en prie…
Bastien mit fin à la conversation en raccrochant. Mélanie avait raison, il pensait effectivement à quelque chose. Quelque chose qu’elle n’approuvait pas. Elle connaissait parfaitement son ami, elle savait ce qu’il avait en tête.
Elle chercha à le rappeler mais Bastien avait éteint son téléphone portable.


***

Mardi soir, Toulouse.

Le soir même Bastien alla chez Thibault. Il avait demandé à d’autres amis de les rejoindre chez Thib, comme il l’appelait. Ils étaient neuf garçons en tout, neuf jeunes hommes. Ils avaient tous entre 21 et 25 ans, ils étaient tous étudiants à la même fac, et étaient tous adhérents au même syndicat étudiant.
- Vous me suivez alors ? Demanda Bastien à ses amis.
Tous lui répondirent positivement et, ou, hochèrent la tête en guise de réponse.
- Bien sûr que oui ! Lui affirma Mathieu.
- On ne s’est jamais fait faux-bond entre-nous, ce n’est pas aujourd’hui qu’on va commencer ! Je suis de la partie, comme toujours, affirma également Quentin.
Bastien était ému de voir ses amis, ses « frères d’armes » comme il disait souvent, allaient l’aider dans son plan, dans sa quête de vengeance.
- Très bien, merci à vous les gars. Je suis heureux, sincèrement, de voir que je peux compter sur vous. Mais sachez que si l’un de vous revient sur sa décision il n’y aura pas de soucis, je comprendrais parfaitement. Je ne sais pas comment tout ça finira, mal sûrement, je ne peux rien vous garantir, leur déclara Bastien. On fait comme ça alors. Demain matin, tous rendez-vous en bas de l’immeuble à 9H. On prendra ma voiture, celle de Thib et celle de Cédric. Trois gars dans chacune d’entre-elles.

Ainsi Bastien leur avait exposé le plan. A 9H ils partiraient pour Bordeaux, iraient à l’hôpital à leur arrivée, celui où séjournaient Lucas, sa copine, sa sœur et son fiancé. Ils passeraient ensuite la fin d’après-midi à se reposer, puis en soirée feraient ce qu’ils avaient prévu …


***

Mercredi matin, Bordeaux.

Le trajet Toulouse-Bordeaux fut assez rapide. Ils avaient mis à peine 2H30, certes, ils avaient plus d’une fois enfreint la réglementation de vitesse, mais étaient tous, eux neuf, arrivaient à bon port sains et saufs.

Ils trouvèrent l’hôpital sans mal, car très bien indiqué sur leur carte de la ville.
Bastien se présenta à l’accueil en compagnie de deux de ses camarades.
- Bonjour mademoiselle, s’adressa-t-il à la fille qui tenait le l’accueil. Je suis un ami de Lucas Lafrite. L-A-F-R-I-T-E, épela Bastien. Je suis un ami à lui, on m’a dit qu’il avait était admis ici suite à une agression. J’aimerai le voir, si c’est possible bien sûr.
- Euh … Je regarde ça, lui répondit la standardiste.
Elle pianota sur le clavier de son ordinateur le nom et le prénom du patient admis samedi soir dans la nuit.
- En effet, il est là. Chambre 1408. Ca se situe au premier étage. Vous verrez, tout est bien indiqué.
- Je vous remercie beaucoup mademoiselle. Bonne journée.

Bastien monta donc au premier étage en compagnie de ses deux amis qui l’avaient accompagné à l’accueil.
Ils gagnèrent la chambre de Lucas rapidement. La standardiste n’avait pas eu tort, il aurait été impossible de se perdre tellement c’était bien indiqué.
- Thib. Matt. Attendez-moi devant la porte, expliqua Bastien.
Il s’arrêta devant la chambre 1408. Il vit de suite Lucas allongé sur le lit d’hôpital, en position semi assise, avec ses deux parents assis sur deux chaises disposées côte à côte, entre le lit et la fenêtre de la chambre.
- Oui ? Que voulez-vous ? Demanda la mère de Lucas à l’attention de Bastien.
A ce moment-là, Lucas tourna la tête en direction de l’entrée, il fut surpris de constater que c’était son ami de Toulouse. Leurs regards se croisèrent.
- Bonjour, je suis un ami de votre fils, adressa Bastien aux parents de Lucas, sans détourner ses yeux de son ami.
- Oh ! Mais entrez donc ! N’attendez pas sur le seuil de la porte.
- Merci …
- Que fais-tu là Bastien ? Interrogea Lucas.
- Mél m’a appris, par téléphone, ce qui s’était passé … Je … je … je suis désolé de ce qui t’est arrivé … je sais pas quoi dire …
- Je sais ce que tu es venu faire ici.
- Je suis venu te voir, Lucas.
- Oui, mais il n’y a pas que ça ! Je te connais, Bastien. Oh oui, je te connais. Tu as oublié que j’étais ton meilleur ami ? Tu penses pouvoir me cacher l’autre raison de ta venue sur Bordeaux ?
- Vous n’êtes pas de Bordeaux, jeune homme ? Questionna la mère de Lucas.
- Non effectivement, je suis de Toulouse. Je m’appelle Bastien. Euh … enchanté. J’aurai préféré vous rencontrer dans d’autres circonstances que celles-ci …
- Bastien ! S’il te plait ne fait pas ça ! fit Lucas, interrompant ainsi la discussion qui commençait entre sa mère et son ami.
- Ne fait pas quoi ?
- Tu sais très bien ce dont quoi je parle, dit Lucas, résigné.
- Oui, tu as raison.
- Ne le fait pas …
- Il le faut ! Le coupa Bastien.
- Je t’en …
- Il faut qu’ils payent pour ce qu’ils t’ont fait, à toi, ta copine, ta sœur et son fiancé ! Il faut qu’ils le PAYENT !!!
Les parents de Lucas se regardèrent, stupéfaits par la scène à laquelle ils assistaient, mais ne pouvaient dire un mot.
- Bastien !
- Non Lucas, écoute-moi. La police ne peut rien faire, ou ne veut rien faire. Alors quoi ? Ils vont s’en tirer comme ça ? Ils ne seront pas inquiétés pour leurs actes criminels ?
- Ce n’est pas si simple que tu ne le crois.
- Si justement ! Tu fais erreur. Ce genre de gars je ne les connais que trop bien hélas. Je sais ce dont ils sont capables. Il n’y a qu’une seule solution pour mettre fin à tout ça. Et tu sais laquelle c’est.
- Mais je ne peux pas l’accepter ! Ils nous ont déjà fait de mal comme ça, je ne veux pas courir le risque de te perdre. Regarde ce qu’ils ont fait de moi ! Regarde ce qu’ils ont fait au fiancé de ma sœur ! Regarde ce qu’ils ont fait à ma copine et à ma sœur !
Lucas éclata en sanglots. Sa mère se leva, et lui caressa la tête au niveau des cheveux. Elle lui chuchota des mots à l’oreille afin de le consoler.
- C’est la dernière chose qu’ils auront fait de leur misérable existence. Mais pour ça tu dois me dire où ça s’est passé.
- Non je ne le peux pas ! Je ne veux pas que tu sois mêlé à tout ça !
- Si tu vas me le dire !
- Je ne peux pas Bastien …
- SI !!!
- Ca suffit jeune homme ! Veuillez quitter cette chambre s’il vous plait ! Intervenu la mère de Lucas.
- Pas avant que Lucas m’ait donné le lieu de l’agression ! Dis-le moi, bon sang !
- Très bien ! Tu l’auras voulu ! Je vais te le dire !
- Merci…
- Non ! Ne me remercie pas pour ça ! Je vais te le dire pour tu me fiches la paix ! Pour que tu t’en ailles ! Pour que tu ailles faire la chose la plus stupide de ta vie !
- Très bien, j’écoute.
Bastien du faire maints efforts pour paraître insensible aux propos tenu par Lucas.
- C’était près de Parc Bordelais. Et puisque tu veux tout savoir, c’est là-bas que tu trouveras sans mal les gars qui nous ont fait ça. Ils ont pour habitude d’y être souvent, ce n’était pas la première fois qu’on les voyait traîner là-bas.
- Je te remercie Lucas.
Bastien tourna le dos et commença à se diriger vers la porte.
- Fais attention à toi ! Je t’en prie Bastien, fais attention !
- Ne t’inquiète donc pas pour moi mon grand.
Le toulousain adressa à son ami un clin d’œil.
La mère de Lucas alla rejoindre le jeune homme sur le départ, et lui chuchota, d’une voix si basse qu’elle seule et Bastien pouvaient en entendre les paroles
- Je vous remercie du fond du cœur pour ce que vous faîtes, ce que vous allez faire pour mon fils, pour ma fille, pou eux.
- Ne me remerciez pas. Votre fils est mon ami, le meilleur que l’on puisse rêver d’avoir. Il a toujours était là quand j’en avais besoin. Vous savez madame, vous avez un fils vraiment exceptionnel.
Il vint à Bastien une larme qui coula le long de la joue. Il en fut de même chez la mère de Lucas.
- S’il devait m’arriver quoi que ce soit, admettons que ça tourne mal pour moi, veillez bien à ce que Lucas sache qu’il représentait pour moi bien plus qu’il ne pouvait se l’imaginer. Et dîtes lui aussi que je l’aimais de toute mon amitié la plus sincère, que je souhaite qu’il réalise tous ses rêves et que j’aurai souhaité qu’il soit le plus heureux, il le mérite.
- Arrêtez s’il vous plait, je ne vais pas pouvoir me retenir de pleurer plus longtemps.
- Entendu …

Bastien adressa un dernier regard à Lucas. Ce dernier aussi était au bord des larmes. Il n’avait pas pu entendre la discussion entre sa mère et son ami mais il se doutait ce qu’ils s’étaient dits. Il n’aurait su l’expliquer, mais il su que c’était la dernière fois qu’il voyait Bastien…


***

Mercredi matin, Bordeaux.

Le lendemain, une tabac-presse en face de l’hôpital
La mère à Lucas alla acheter son paquet de Camel journalier et aperçu la une du journal local au moment de ressortir.
« Deux bandes rivales s’affrontent. Un seul survivant ! »
Elle su ce dont il s’agissait. Elle en avait la certitude.
Elle s’empressa d’ouvrir le quotidien à la page qui concernait l’article sur la une.
Et lu.
« Deux bandes rivales s’affrontent. Un seul survivant !
Hier en fin d’après-midi aux environs de 18H30, au Parc Bordelais, deux groupes opposés se sont battus. Il s’agissait d’un groupuscule néo-nazi basé sur Bordeaux et d’une faction de militants d’extrême gauche toulousains. Nous n’avons que très peu d’éléments sur l’affaire mais nous savons cependant qu’il ne reste qu’un seul survivant de tout ce carnage. Il s’agit d’un jeune âgé de 22 ans, membre d’un groupe de nationalistes. Ses douze camarades sont tous morts, ainsi que les 9 antifascistes toulousains. A l’heure où nous imprimons cet article il est entre la vie et la mort, les médecins sont critiques quant à son état de santé. Une question qui restera sûrement sans réponse est à se poser : Que faisaient ces militants d’extrême gauche toulousains ici, à Bordeaux ? »
La mère de Lucas referma le journal et sorti du bureau de tabac, se dirigeant ainsi vers l’hôpital.

Sympathique petite histoire, ma couille. On sent que tu y as mis bcp de toi-meme, y'a pas trompage sur la marchandise
Mais je dois cependant deplorer ces scènes de dialogues qui sonnent parfois de façon un peu maladroite...et le fait de mettre des majuscules aux phrases narratives suivant les dialogues, egalement.
Et un autre petit truc qui m'a titillé : tu repetes trop souvent "la copine de machin", "le copain de truc", au bout de qques fois ça fait un peu trop de repetitions et c'est un peu lourd. A la limite ça aurait pas derangé que tu leur trouve des noms, ça sonnerait plus naturel.

Mais sinon c'est bien foutu et plutot bien ecrit, dommage cependant que ce soit si court et pas assez developpé...
Ceci dit, comme je disais plus haut, c'est une histoire qui te ressemble et ça fait plaisir de lire une nouvelle histoire de toi, ça faisait bien longtemps
Vite, une prochaine !

Désolé Seth, mais là je suis HS, je lirais ta nouvelle trés prochainement. Surment ce soir... ou demain matin.

Alors j'ai lu ton histoire et j'ai pas trop aimé!

Je dirais que l'histoire ne m'a pas déplu, même si les histoires d'amitié c'est pas trop mon truc, mais c'est surtout comment c'est tourné: j'ai trouvé que les repliques des personnages étaient vraiment clichées parfois, et que ca faisait pas naturel du tout. Par exemple "- Il faut qu’ils payent pour ce qu’ils t’ont fait, à toi, ta copine, ta sœur et son fiancé ! Il faut qu’ils le PAYENT !!". Perso j'imagine pas trop un jeune de 22 ans, surtout assez fou d'après ce que j'ai lu, parler comme ça! Fait leur vomir des insultes plutot! :p

Pour ce qui est du style, c'est pas désagreable a lire, mais c'est assez fade en fait! C'est vrai que ca va tout seul, mais moi j'ai pas réussis vraiment m'attacher au personnages. On dirait un scenario, avec quelque precisions en moin.

Et surtout, ce que j'ai pas aimé, c'est la fin! ON VOIT PAS LA BASTON! J'aurais bien aimé lire une bonne bataille urbaine, avec plein d'action et tout! Mais là.. Rien. Ca tombe vraiment a plat, plus d'intensité, pas vraiment de morale... Ca rend tout le reste inexistant. En tout cas, si tu aimes faire des histoires de guerres de gang et de néo nazis, c'est super chouette! continue! Mais essaye d'enlever ce coté cliché et mielleux, et de plus t'appliquer pour la fin! En fait, un récit plus long aurait été mieux!

Bon alors, je t'avais promis de la lire, et je le fait mon petit Sethy. Donc voilà j'ai bien aimé, l'histoire était sympa. Cependant je rejoind Tak sur le fait qu'il y ai quelque repetition, mais voilà.

Quant à moi, je partage l'avis de Cunnigan. J'ai pas trop aimé ton histoire Seth. L'idée à la base pourrait être intéressante, même si le thème de la simple vengeance me paraît assez banal en fait, à la base. Mais tu n'as pas exploité dans la narration les possibilités d'en faire une chouette histoire, je trouve.
Comme l'a dit Cunnigan, les dialogues m'ont fait tiqué parce que sonnant faux je trouve, de manière générale. Pour ce qui est du style, je pense que tu devrais t'attacher à fouiller tes descriptions pour créer une atmosphère qu'on pourrait ressentir plus fortement (je sais pas si je suis très clair^^), et peut-être simplifier la narration parfois aussi. Comme l'ont remarqué les autres, il existe aussi quelques répétitions qui alourdissent le texte mais qui sont facilement évitables.
Il est clair que ton histoire gagnerait en réecrivant la fin, je pense aussi.
Voilà pour mon avis.

Pas accroché. Pour un peu toutes les raisons qui ont déjà été citées.