lecture demoniaque

Je laisse a vos critiques ce texte qui n'est qu'un debut
merci de votre indulgence


LECTURE DEMONIAQUE




Dehors, la tempête fait rage. Seul dans sa chambre Ian écrit. Depuis quelque temps déjà il ressent une présence qu’il l’affaiblit de jour en jour et le tourmente. C’est pour cette raison qu’il tient un journal dans lequel il consigne tous les faits étranges se produisant en sa présence. Ce soir là, il sent que sa fin est proche et décide de se servir de son journal comme exutoire pour expier les horreurs que la folie qui s’empare de son âme lui a dicté de faire.

C’est dans un état bien particulier que j’écris ces quelques mots puisque se seront certainement les derniers. Cette nuit je ne serais peut-être plus.
Mon ami Adrien a déjà payé de sa vie mon entreprise inconsciente.
Je ne supporterais pas de vivre avec le poids de sa disparition a moins que je ne parvienne a réparé mon erreur.
ADIEUX


Il décide de cacher son journal là où personne ne pourrait le trouver car ce journal contient des notes susceptible de faire d’une personne l’esclave d’une force incontrôlable, tout comme lui l’a été. Arriver dans les sous-sol de l’université il voit, au bout d’un couloir, une porte condamner, d’un aspect tellement ancien qu’elle devait dater de la construction de l’université. Apres avoir réussi a forcé la porte, il débouche dans un couloir étroit menant droit aux anciennes caves de l’université. Les caves qui avaient été creusée très profondément donnée certainement sur des égouts, d’où l’odeur insoutenable qui régnée dans cet endroit. Plus il s’enfonçait dans ces caves plus la sensation d’être suivit et observé le traversé. Soudain, au abord d’une bifurcation, Ian voit une silhouette menaçante se dressant devant lui à quelque mètre et semblant l’attendre. Ian fait quelques pas en arrière, espérant rechapée a cette chose mais la silhouette, telle une ombre diabolique, se précipite sur lui à une vitesse ahurissante. Il cour le plus vite possible mais, s’apercevant que la chose va plus vite, il décide de tenter le tout pour le tout en sortant du campus en direction de la foret avoisinante espérant la semer parmi les arbres. Ian, courant a perdre lâche son journal qui va se loger sous une souche morte traînant a terre depuis une récente tempête, trébuche, tombe et, se retourne en direction des ténèbres qui fondent sur lui. Happé par l’ombre, Ian disparaît dans un cri inhumain. L’ombre s’éloigne se muant peu a peu en une brume puis s’évanouissant, ne laissant comme trace de son passage qu’un léger brouillard épars.

Le lendemain, les parent de Ian reçoivent un appelle de l’université. Le doyen les appels pour leur faire-part du découchage de leur enfant. Il leur explique que, depuis la veille au soir, personne n’a vu leur fils, pas même ses voisins de chambre. Il les prévient de sa décision de téléphoner à la police pour signaler sa disparition. Peu de temps après l’appel du doyen aux parents de Ian, un étudiant complètement affolé le prévient qu’il a cru apercevoir ce qu’il a prit pour un corps accroché dans des branchages charrié par la rivière. Le doyen, prit de panique, s’empresse de rappeler la police pour prévenir des nouveaux évènements avant de se rendre avec l’étudiant a l’endroit ou il dit avoir vu le corps. Arrivé sur les lieux il ne peut que constater les dires du jeune homme car parmi l’amoncellement de branchages, que la tempête a arraché aux arbres et a précipité dans la rivière, se trouve effectivement un corps.

La police arrivée sur les lieux peu après ne peut que constater le décès. Le corps, qui est effectivement celui de Ian, est transféré à la morgue pour que le médecin légiste procède à l’autopsie et détermine les causes de la mort du jeune homme. Les parents de Ian, prévenu par la police arrivent le lendemain matin par le premier avion. Ils se rendent directement à la morgue pour identifier le corps de leur fils. Lorsque Mme Ryan voit le corps, elle fond en larme. Le policier entré avec eux, ayant comprit la nature de ses sanglots, prévient le médecin légiste d’un signe de tête, que le corps sur la table est bien celui de Ian Ryan puis raccompagne les parents du jeune homme. Le médecin remet le corps dans un petit compartiment réfrigéré, jette ses gants en caoutchouc et va voir le chef de la police pour lui faire-part de ses conclusions.
Assis sur une grande chaise en bois vernis, les pieds sur son bureau, Charles Kaminsky, le chef de la police relit les derniers rapports d’enquête lorsqu’il voit entrer dans son bureau Ruppert Murdock, le médecin légiste. Charles lui demande ce qui s’est passé pour le jeune Ryan. Ruppert lui répond que la seul chose dont il est sur c’est que le gamin n’est pas mort noyé puisqu‘il n’y avait pas d’eau dans ses poumons. « Tu pense à un meurtre ? » Lui demande Charles. « Pour le moment je n’ai pas d’explications, chef » lui répond Ruppert. Sur cette réponse Charles soulève sa casquette, passe sa main dans ses cheveux clairsemés, repose sa casquette sur sa tête et d’un ton dépité dit « et merde, a trois semaine de la retraite, il faut que je me retrouve a enquêté sur une mort suspecte ! ». L’heure tournant, Kaminsky invite Murdock a déjeuné. Ruppert lui dit que manger un peu lui changera les idées. Ils sortent tous les deux du commissariat et traverse la rue pour aller déjeuner dans la petite cafétéria ou ils ont leurs habitudes. En entrant « Chez Meg », tous les regards convergent vers eux comme s’ils avaient fait quelque chose de mal. Charles d’une voix autoritaire leur demande si quelqu’un a un problème, mais personne ne répond et chacun vaque à ses occupations. Rose, la serveuse s’approche et leur lance un « comme d’habitude les gars ? Les deux hommes lui répondent d’un signe de la tête et Rose repart derrière ses fourneaux.
Ils déjeunent en silence et s’en retourne chacun dans leur bureau respectif. De retour au commissariat, Charles décide de retourner voir le lieu ou a été retrouvé le jeune homme pour voir si son équipe a du nouveau sur les circonstances de sa mort. A son arrivé ses hommes sont en pleine recherche mais aucun d’eux n’a encore trouvé quoique que ce soit. Un de ses adjoints, Mickael, vient à sa rencontre et lui dit que personne n’a trouvé la moindre trace autour de la rivière, ni traces de pas, ni traces de pneu. Rien. Ses révélations intriguent beaucoup Charles qui trouve dans cette affaire une atmosphère quelque peu malsaine.

Les jours passent, des témoins sont entendues mais toujours aucune trace d’un quelconque indice et de surcroît d’un éventuel suspect. Malgré le fait qu’un de ses amis se soit suicidé quelques mois auparavant rien ne pouvait présager la mort de ce jeune homme. Au fil des semaines, l’enquête s’enlise dans d’interminables interrogatoires dont rien ne découle. Au bout de trois longues et fatigante semaine d’investigation fastidieuse qui n’ont abouti à rien de concret Charles Kaminsky, part donc en retraite avec le goût amer de ne pas avoir résolut cette affaire mais après y avoir longuement réfléchit, il décide de faire de son adjoint Mickael son remplaçant. Mickael, honoré par cette promotion, promet à Kaminsky de découvrir ce qui a put arriver à Ian Ryan et qui l’a assassiné. Charles quitte donc le commissariat pour vaquer à ces nouvelles occupations de retraité. Les jours, les semaines et les mois passent mais toujours aucuns éléments ne permettent d’établir ne serais-ce que les causes de la mort de Ian. Au bout d’une année d’investigation, Mickael, avec l’accord des parents du jeune homme décide de classé cette affaire sans suite et clos le dossier Ryan tout en gardant à l’esprit la promesse faite, un an au paravent, au chef Kaminsky.

Dix ans ont passé et l’université ne garde aucune séquelle des douloureux évènements qui s’y sont déroulé. Nous sommes en octobre 1993 et la faculté s’apprête à rouvrir ses portes pour une nouvelle année et de nouveaux étudiants. Comme tous les ans les nouveaux sont guidés à travers le campus par les troisièmes années. Arrivé dans les dortoirs du campus William, jeune étudiant en première année de sociologie, demande à ses guides pourquoi une des portes de l’étage a une serrure différente des autres. Les troisièmes années lui répondent, d’un air plutôt embarrassé, que pour des questions de place sur le campus cette chambre sert de placard et de débarras. William acquiesce de la tête et tout le monde continu la visite.

L’année se déroule sans encombres jusqu’au jour ou, se promenant dans le petit bois avoisinant, William découvre, presque par hasard, un objet étrange dont la provenance lui est inconnue. En le ramassant, il s’aperçoit que l’objet en question est en fait une espèce de talisman, d’une forme assez grossière et d’une beauté toute relative. Il décide toutefois de la garder pensant que si quelqu’un le cherché il finirait tôt ou tard par mettre une annonce a l’université. Il retourne donc dans sa chambre au campus et range le mystérieux objet au fond de son armoire. C’est à ce moment précis que Lance, le compagnon de chambre de William, entre. Lance est plus un trouble fête qu’un étudiant modèle, c’est pour cette raison que William, très suspicieux a son égard cache soigneusement tout objet pouvant attirer l’œil et la convoitise de Lance. La fin de semaine se déroule calmement avec son lot de cour, de devoir à rendre et de partiels se rapprochant à grand pas. Tout le monde rentre chez soi ce week-end là et le campus semble désert. William, dont les parents vivent très loin de l’université, reste sur le campus pour le week-end. Le vendredi soir après le départ de la quasi-totalité des étudiants, William décide d’étudier plus attentivement la fameuse bague qu’il a découverte dans la forêt car certaine des inscriptions gravées dessus l’intrigue profondément. Il se rend donc a la bibliothèque du campus qui est réputée pour la multitude de livres rare traitant de sujet si diverse que la franc maçonnerie ou l’alchimie de Nicolas Flamel mais aussi de sujet plus « classique » comme les croyances au moyen age ou la vie de saint François d’Assise.
Il commença par recopier soigneusement tous le motif ornant le dessus et ceux se trouvant autour de l’objet puis décida d’en découvrir la signification, s’ils en avaient une. Ses recherches le tinrent éveillé toute la nuit mais lui ne s’aperçu de rien. Au matin il n’avait toujours rien découvert hormis la signification du pictogramme sur le dessus de la bague qui ressemblait étrangement à l’emblème d’une ancienne confrérie dissoute depuis des siècles mais dont William ne connaissait rien. Il se rendit compte également de son engouement soudain pour l’histoire ancienne et l’anthropologie. Il poursuivit ses recherches tout le week-end sans plus de résultats que ce qu’il avait déjà découvert.
Le lundi matin il demanda un rendez-vous avec le doyen dans le but de rajouter l’histoire ancienne à son cursus. Le doyen acceptât et William débuta la semaine par de nouveaux cours, de nouveaux étudiants et de nouveaux profs. Il décrochât ses partiels hauts la main malgré son arrivée tardive et tous les professeurs saluèrent ses excellents résultats.


a suivre...........

J'aime bien l'ambiance qui ressort de ta nouvelle et il plane un mystère assez prenant tout le long. Deux ingrédients qui font que le tout a un bon potentiel On a envie de lire la suite.
Une petite remarque: j'ai remarqué que tu ne mettais aucun dialogue alors que l'occasion s'y prêtait, c'est voulu? Parce que sinon peut être que ça donnerait plus de peps, non?
Voilà, continue c'est du tout bon!

ps: il y a qq fautes d'orthographe et grammaire que tu pourras éliminer à la relecture.

merci pour ton conseil je m'y attele des demain mais pour le moment je bosse sur l'aelier d'ecriture 3 de Thomas

personne ne veut lire ce debut d'histoire ?

ouais c'est pas mal, je suis un peu du meme avis que viniwow, ca manque de peps, je ne sais pas si c'est l'abscence de dialogue ou autre chose, mais il faudrait insuffler un souffle de vie a ton histoire...
essayes pt etre aussi, en plus de corriger les nombreuses fautes d'orthographe , et de renvoyer plus souvent a la ligne ( la lecture serait plus agreable et aiderait a se plonger plus facilement dedans), de travailler le temps de tes verbes, tout est au present presque et ca donne un aspect un peu plat je trouve...
sinon l'ambiance est la, le scenar a l'air bien solide et le mystere bien present, retravaille le et je pense que ca peut donner quelque chose de tres chouette

merci nono, je vais m'y mettre des que je finit l'atelier d'ecriture n°3

Je croyais que c'était à fond sur le bouquin aprés l'atelier 3. Fait attention sinon je l'écrit tout seul.

bon d'accord jereviendrai dessus plus tard.

Il y a un potentiel dans ce texte.
Mais le style pourrait être amélioré.

1) En effet des dialogues seraient les bienvenues. Par exemple, tu pourrais mettre en dialogues la discussion entre le doyen et les parents. Ou encore entre le doyen et William. Etc.

2) Certaines passages sont lourds. Il faut éviter des phrases longues et compliquées à la Proust. Comme celle-ci par exemple :

"Ce soir là, il sent que sa fin est proche et décide de se servir de son journal comme exutoire pour expier les horreurs que la folie qui s’empare de son âme lui a dicté de faire."

Je préferais une tournure dans ce genre :

"Ce soir là, il sent que sa fin est proche. Il décide de se servir de son journal comme exutoire afin d'expier les horreurs d'une folie qui s’empare de son âme, une folie qui lui dicte ses actes."

3) Fais attention aux redondances. Par exemple :

Arriver dans les sous-sol de l’université il voit, au bout d’un couloir, une porte condamner, d’un aspect tellement ancien qu’elle devait dater de la construction de l’université. Apres avoir réussi a forcé la porte, il débouche dans un couloir étroit menant droit aux anciennes caves de l’université.

On sait qu'il est à l'université. Ce n'est pas la peine de repréciser dans la phrase suivante. Les redondances rendent les textes plus lourds.

4) Il y a des fautes d'orthographes. Si tu veux, je veux bien t'aider à corriger le texte si tu comptes le retravailler.


Bon... J'espère que ces remarques sont constructives.
Bon courage à toi !

tou les coup de main sont les bienvenue. Oui, tes remarque sont constructive mais pour le moment je bosse sur un bouquin avec yann. Remarque, la correction des fautes ne serait pas de refus. merci d'avance.

Encore un texte de lu! Ouf! Quel courage j'ai ce soir! Alors celui la me plait assez. Mais par rapport à "La montagne du dragon", les défauts sont les mêmes! Trop de fautes (tu es fâché entre les imparfaits et les infinitifs ou les participes passés!). Et j'ai aussi l'impression de lire une rédac. Il faudrait un peu plus de "style", un style à toi, pas simplement appliquer les règles qu'on t'a apprises à l'école pour construire des phrases qui tiennent debout, tu comprends? Olivier a raison pour le manque de dialogues. Ca rend les récits plus vivants , plus accrocheurs. Et les redondances sont assez courantes. En plus du mot université par exemple, qui revient 3 fois en peu de temps, il y a le mot "effectivement", 2 fois très vite. Il manque carrément un mot (à perdre HALEINE - je crois). Il faudrait donc que tu te relises , que tu fasses lire aussi à d'autres , pas seulement pour les fautes! Mais ne te décourage pas car tu as de bonnes idées accrocheuses et je pense que les lecteurs ont envie de connaître la suite. Et ça c'est bien.

merci Nad. j'esperer des critique de ce genre qui me permettré d'avancer dans cette art qu'est l'ecriture. merci. j'avou une fois de plus que le francais n'est pas mon fort mais apres relecture et réécriture mes histoire seront plus agréable a lire

Les remarques précedentes suivent assez bien mon opinion sur ton texte...
Toutefois, je rajouterais que tu trouves des raccourcis bien singuliers. Par exemple, comment Ian entend il parler des sous-sols de son université ? Les evenements sont trop "plaqués" pour être totalement crédible et c'est vrai, ça fait scolaire.
En point positif, je dirais que tu tiens ton histoire et que tu sembles savoir où tu vas et ça, c'est important. A travailler mais tu as le potentiel, ça se voit !

Je déterre les cadavres !
Même remarque que les autres. J'ajouterai que tu es fâché avec les virgules !
Le coup du policier proche de la retraite est éculé depuis belle lurette !
Malgré la lourdeur d'un nombre conséquent de phrases, du manque de dialogue, des virgules omniabsentes (je sais, j'invente des mots), des fautes d'orthographe et des mots manquants, on rentre bien dans l'histoire. C'est bizarre ! (peut-être, l'effet du présent)

J'ai pas accroché. Ca m'a plus fait l'impression d'un synopsis qu'autre chose. Ca a besoin d'être retravaillé (et pas seulement pour les fautes) et pour moi ça doit être approfondi car il se passe trop de choses sur, finalement, peu de lignes.