LE MANOIR DU FANTASTIQUE
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 Première nouvelle.

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Yann
Blondasse efféminée
Yann


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MessageSujet: Première nouvelle.   Première nouvelle. EmptyJeu 13 Jan 2005 - 20:39

En exclu, voici la première nouvelle que j'ai écrit.
On ne rigole pas Evil or Very Mad

REALITE ?

Matt était assis devant la télévision. C’était un grand écran car il aimait beaucoup le 7ème art, c’était sa passion. Il avait aussi équipé son installation d’un ensemble de son haute qualité avec sept enceintes en bois pour s’incorporer facilement au style de la pièce. C’était autrefois une chambre, que Matt avait transformée à son goût. Il y avait regroupé tout ce qu’il aimait. En plus du système vidéo, il avait ramené ses livres, il en possédait un bon millier, qu’il avait entassé dans des bibliothèques de style ancien encastrées dans les murs. L’une d’elle était réservée à ses films. Les pans de murs qui n’étaient pas cachés derrière les livres étaient recouverts de lambris teintés de couleur sombre, le haut du mur était tapissé de tentures saumons qui se mariaient avec la couleur du bois pour ne pas trop assombrir la pièce, toujours plongée dans la pénombre. Au centre, en face de l’écran, il y avait un canapé moderne sur lequel se trouvait Matt.
Il avait la peau blanche a force de passé ses journées enfermés devant un écran ou en train de lire, contrastant avec ses cheveux noirs, coupés court. Ses yeux étaient bleus, cachés par des lunettes. Il s’imaginait souvent travaillant dans le cinéma parfois réalisateur, ou producteur, mais le plus souvent comme acteur. En regardant un film, il se voyait à la place du héros.
C’était sa thérapie. Deux ans auparavant, il se rendait à Miami pour les vacances, quand en passant au-dessus du Triangle des Bermudes l’airbus qui le transportait avait eu une avarie et piqua directement vers la mer. Il fut le seul rescapé sur les 378 passagers et membres d’équipage. Il y avait perdu toute sa famille. Depuis il n’était plus sorti de chez lui. Il en avait gardé des séquelles psychologiques minimes bien qu’irréversibles, mais physiquement, dés qu’il était fatigué, sa vision se troublait, tout ondulait et semblait s’effacer autour de lui, comme s’éloignant dans le brouillard.
Ce qu’il regardait en ce moment ne lui plaisait pas vraiment. C’était un documentaire sur les pyramides trop techniques à son goût, parlant de la construction, mais très peu des malédictions et des pièges qui protégeaient les momies. Il s’étira et bailla longuement. Sa vision recommença à lui jouer des tours et il décida de changer de chaîne pour essayer de se réveiller un peu.
Matt chercha la télécommande et se demanda ce qu’il allait regarder. Il possédait un grand nombre de chaînes. Ne sachant que choisir, il opta pour passer les chaînes une à une. Il dirigea la télécommande vers le poste de télévision et pressa un bouton. Rien ne se produisit. Il pressa de nouveau le bouton. Toujours rien. Zut. Il réessaya une troisième fois. Aucun changement. C’est pas possible ! Après avoir retiré puis remis les piles de la télécommande, il fit une dernière tentative puis, comme il n’obtenait aucun résultat, se décida à se lever pour changer directement sur la télé. Les piles doivent être mortes. Matt fit quelque pas en direction du poste et s’arrêta net, il regarda le sol surpris.
Dans l’obscurité de la pièce il ne s’en était pas rendu compte tout de suite mais le parquet habituel avait laissé place à un sol fait de plaques de métal jointes par des rivets. Stupéfait, il regarda autour de lui et vit que les murs aussi avaient changés. Ils étaient eux aussi en métal. Des tuyaux couraient le long de certains, entrecoupés par endroit par des volants qui permettaient d’ouvrir ou de fermer la conduite. Sur le mur derrière le canapé, il y avait même un peu de vapeur qui sortait d’un des tuyaux. On aurait cru les cloisons d’un bateau.
Croyant qu’il rêvait, il se pinça fortement la cuisse ce qui eu pour effet, non pas de le réveiller, mais simplement de lui faire mal. La panique le submergea et il se trouva mal. Il avait la tête qui tournait et se sentait partir. Il se força a respirer tranquillement, avec rythme, et réussi à ce calmer un peu. Il s’approcha du canapé et s’y laissa tomber.
Matt ne savait que penser. Il était en plein cauchemar et malgré tous ses efforts, il n’arriva pas à raisonner de façon cohérente. La peur reprenait le dessus. Il se mit à appuyer frénétiquement sur tous les boutons de la télécommande mais rien ne se produisit. Les piles ! Il se leva alors pour en chercher d’autres et resta planté devant le canapé. Où je vais pouvoir en trouver.
Matt avisa la porte et s’en approcha. Elle était elle aussi en métal, au lieu de chêne, et a hauteur du champ de vision il y avait un hublot. Il risqua un œil par celui-ci et vit un couloir aux murs pareils à ceux de la pièce où il se trouvait, excepté qu’ils comportaient de nombreuses portes. Le sol et le plafond étaient composés de grilles très épaisses, qui permettaient de marcher dessus mais aussi de voir a travers. Il inspecta le sol puis le plafond et s’aperçu qu’il y avait une multitude d’étages semblables au sien. On n’en voit pas la fin.
Matt se décida à ouvrir la porte. Elle coulissa silencieusement à l’intérieur des parois.
Il franchit le seuil et avança lentement essayant de regarder partout à la fois. Il s’approcha de la porte la plus près et jeta un œil par le hublot. Il fit un bond en arrière quand un visage vint se coller de l’autre coté du verre.
C’était un homme assez vieux, aux cheveux blancs et à la peau pâle et ridée. C’est yeux était gris et triste.
Matt remis de sa surprise se rapprocha de la porte.
-Qui êtes-vous ? Lança-t-il à l’homme.
-Je suis Charles, pilote d’avions torpilleurs, prisonnier depuis 1945. Tu es venu me délivrer ?
Son regard se fit suppliant.
-Non pas vraiment, j’ai atterri ici par hasard.
Il essaya d’ouvrir la porte mais elle refusa de bouger.
-On n’arrive pas ici par hasard, il faut franchir la porte de ce monde, de gré ou de force bien sur.
-Quel monde ? Où sommes-nous ? dit Matt intrigué.
-Tu es sur la planète prison créé par Baalaroth.
-Qui est Baalaroth ? Comment sortir ?
-Tu sauras qui il est bien assez tôt car tu ne peut pas sortir, c’est impossible.
Matt le regarda, sceptique.
-Ils peuvent te donner une lueur d’espoir, reprit Charles, mais moi je suis résigné. On ne peut pas sortir seul.
-C'est-à-dire ?
-Au début, ils te retiennent avec une fausse image de la réalité et ensuite tu vois ce qu’il en est réellement. Mais ils peuvent te faire croire ce qu’ils veulent quand ils veulent.
-Comment font-ils ? demanda Matt totalement incrédule.
Un bruit de pas arrivai de l’angle du couloir, à une cinquantaine de mètres.
-Retourne dans ta cellule ! Intima Charles.
Matt fit volte-face et se précipita dans sa cellule. A peine avait-il refermé la porte, qu’au coin du mur trois créatures apparurent.
Elles ressemblaient à des hommes mais avaient la peau verte, couverte d’aspérités et de cicatrices. Elles étaient habillées avec des armures en cuir qui ne laissaient apparent que les bras et le bas des jambes. Elles avaient aussi des casques en argent qui recouvraient toute leur tête, seul une fente laissait voir leur yeux jaunes aux pupilles étirées et verticales comme les serpents. Elles étaient armées de lances.
Matt les regarda passer dans le couloir. Ce doit être les gardiens de la prison. Il ressortit et les suivis à bonne distance. En passant, il jetai un coup d’œil dans certaines cellules et vit toutes sortes de créatures. Il y en avait qui étaient comme les gardiens, d’autres étaient recouvertes de duvet, certaines avaient des tentacules, plusieurs bras, des têtes difformes, pas de bouches,… Il y en avait des grandes et des petites, des grosses et des fines. On croirait le bestiaire de tous les films d’horreur et de science fiction réunis pensa Matt écoeuré.
Il continua son chemin et arriva à un embranchement. Les gardes avaient pris à droite. Il se décida à prendre à gauche, au risque de rencontrer une patrouille venant en sens inverse. Il avança prudemment et, sans rencontrer de gardes, il arriva dans une salle qui terminait le couloir. Il était dans un cul-de-sac.
Heureusement pour lui, cette salle était sa cuisine ou plutôt une copie. Intrigué, il y pénétra et ouvrit un tiroir. Son contenu était exactement pareil que chez lui. Sans prendre le temps de réfléchir au pourquoi d’une telle situation, il se précipita sur un autre tiroir, l’ouvrit hâtivement et s’empara des piles qui traînaient au fond. Il changea les vieilles de la télécommande pour c’elles-ci, puis glissa le tout dans sa poche, et content de lui, fit demi-tour et prit le chemin de sa cellule pour aller essayer de rentrer chez lui.
Grisé par cette petite victoire, son esprit était moins alerte et lorsqu’il arriva à l’embranchement il se fit surprendre par une patrouille qu’il n’avait pas remarquée.
Matt se mit à courir, poursuivit par les gardes qui poussaient des sifflements de colère, leur langue fourchue jaillissant de leur gueule. Il fut obligé de prendre la direction qu’avait prise la première patrouille, ce qui l’éloigna de sa cellule. Il traversa plusieurs embranchements, tournant à chaque fois au hasard, espérant ne pas tomber dans une impasse. Sous ses pieds, à travers le grillage, il voyait d’autres patrouilles qui le suivaient aussi. Et au-dessus c’était pareil.
Au bout d’une dizaine de minutes de course, il avait distancé quelque peu ses poursuivants et ralentit l’allure. A tous les étages il ne les voyait plus, mais il les entendait ce qui ne le rassura pas. De plus leur dialecte lui était inconnu, c’était une sorte de mélange de raclements de gorge et de sifflements, qui n’avait rien de très amical.
Dans un couloir, il vit une porte différente des autres. Elle était grillagée et un bouton était encastré dans le mur à ses cotés. Matt s’arrêta, intrigué. Espérant une sortie ou quelque chose qui lui serait profitable, il appuya sur le bouton. Les voix se rapprochaient. Au travers de la porte il vit arriver un ascenseur qui s’immobilisa avec un léger chuintement. Les gardes venaient de tourner au bout du couloir quand il pénétra dans la cabine. Il avisa des boutons gravés d’idéogrammes qu’il ne connaissait pas et appuya sur celui du bas, se disant que la sortie était toujours au pied des bâtiments. Ce qu’il ignorait, c’est qu’il était sous la surface, et que ce faisant, il allait s’enfoncer dans les profondeurs de la prison. La porte se referma au moment ou les gardes arrivèrent devant, et ils ne purent que regarder l’ascenseur commencer sa descente. On pouvait lire la fureur dans leurs yeux. Sauvé. Matt poussa un soupir de soulagement et se laissa guider.


Suite apres, sinon c'est trop long.
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Yann
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MessageSujet: Re: Première nouvelle.   Première nouvelle. EmptyJeu 13 Jan 2005 - 20:40

La suite cheers

La descente lui paru interminable. La cabine en elle-même n’avait pas de porte et il pouvait voir les étages défiler devant lui. Au début, ils étaient en métal. Ensuite, le métal commença à prendre une couleur sale, puis il devint rouillé et fut remplacé par du béton, suivit de pierres taillées, et pour finir les étagent étaient creusés à même la roche.
C’est là que l’ascenseur s’arrêta. Matt regretta d’y être entré. L’étage où il avait aboutit était froid et humide, éclairé par quelques torches dispersant une lumière hésitante qui n’arrivait pas à percer les zones d’ombre. Il se força quand même à sortir de l’ascenseur et commença à suivre le couloir, longeant les parois. Les portes des cellules étaient maintenant en bois et le hublot avait laissé place à des barreaux. Il regarda dans quelques cellules mais arrêta rapidement. Les créatures emprisonnaient étaient encore pire qu’en haut, bien que cela soit difficile à croire.
Matt progressait lentement, effrayé par l’obscurité et les cris qui lui parvenaient étouffés de temps à autre.
Après une heure de marche dans ces conditions, une odeur nauséabonde, mélange de sueur, de crasse et de gibier lui emplit les narines, lui donnant des hauts de cœur. Quelques dizaines de mètres plus loin, il perçut un brouhaha étouffé qui lui explosa aux oreilles quand, au détour du couloir, il déboucha sur un chemin qui faisait le tour d’une grotte immense, éclairée par des centaines de torches.
Devant Matt un escalier descendait sur une cinquantaine de mètres. En bas il vit des tables très longues, remplies de nourritures qu’il n’arrivait pas à définir. Autour desquelles, assis sur des bancs, il découvrit des créatures immondes, couvertes de poils, avec des têtes énormes aux yeux rouges enfonçaient dans leurs orbites et des petites défenses pointues dépassant de leurs mâchoires. Des hommes sangliers. L’odeur et le bruit venaient de là.
Saisi par le spectacle, il ne put empêcher un cri de surprise et de peur. Le raffut cessa et toutes les têtes se tournèrent vers lui. Les gardes, car c’étaient ceux des étages du bas, se levèrent, bousculant les tables, renversant les bancs. Ils se précipitèrent dans sa direction, certains avaient déjà atteint le bas de l’escalier et commençaient à gravir les premières marches. Ils étaient très véloces.
Matt fit demi-tour et s’enfui en courant dans le boyau sombre. Il entendait le grognement des créatures se rapprocher.
Dans l’obscurité Matt ne vit pas les aspérités du plafond et il en heurta violement une de la tête. Il se retrouva allongé sur le dos. La tête lui tournait. Dans un dernier sursaut, il eut le réflexe d’appuyer sur les boutons de la télécommande qu’il sorti de sa poche. Les gardes l’avaient rattrapé, ils étaient autour de lui, le regardant gisant sur le sol humide du couloir. Les grognements lui arrivaient de loin, comme étouffés par du coton, sa vision se troubla et il sombra dans les ténèbres.

Matt se réveilla dans son lit. Il se redressa et s’assit sur le bord. Quel horrible cauchemar. Il se leva et se regarda dans le miroir. Une énorme bosse ornait son front. Il y toucha et une douleur intense lui vrilla le crâne. C’était peut-être la réalité se dit Matt avec un frisson. Il se souvint avoir appuyé sur la télécommande au dernier moment et laissa échappé un soupir de satisfaction. Il se dirigea vers la porte pour aller manger quelque chose quand celle-ci s’ouvrit. Il vit une créature à la peau verte avec une armure de cuir et un casque en argent apparaître dans l’embrasure, elle le regarda avec ses yeux jaunes et émit un rire sifflant avant de refermer la porte qui se changea en métal avec un hublot à hauteur des yeux. Matt regarda apeuré le reste de sa chambre disparaître sous ses yeux, en ondulant et en s’estompant comme lorsqu’il était fatigué.
Il repensa à Charles. Tu ne peux pas sortir, c’est impossible. Il se dirigea vers la porte. On ne peut sortir seul. Il regarda par le hublot et vit le couloir et les autres cellules. Ils peuvent te donner une lueur d’espoir. Ils peuvent te faire croire ce qu’ils veulent quand ils veulent. Matt se jeta rageusement sur le lit devenu simple couchette métallique. Toute cette fuite n’était qu’une mascarade.
Il se retourna et son coude heurta la télécommande. Il la prit. Comment repasser la porte dans l’autre sens. Il réfléchit et au bout de quelques minutes il jeta la télécommande sur le sol où elle explosa éparpillant des morceaux de plastique un peu partout. Les Bermudes. L’accident. Il venait de comprendre.
Quand la pièce avait disparu devant lui, tout avait ondulé comme quand il était fatigué, phénomène qui ne lui arrivait que depuis son accident. Il repensa à ce que lui avait dit Charles. Je suis Charles, pilote d’avions torpilleurs, prisonnier depuis 1945, date à laquelle les premiers avions avaient disparu dans le Triangle des Bermudes.
Il revit l’accident. L’avion volait tranquillement quand une panne de tous les appareils de bord était survenue. Au début tout alla bien, Matt était assis du coté du hublot, et regardait la mer, son père le rassura en lui disant de ne pas paniqué, que tout irai bien, et qu’ils devaient simplement attacher leur ceinture. Mais l’avion se mit à vibrer, puis il piqua en direction de l’eau. Dans les profondeurs, Matt distingua des lumières vertes qui formaient un cercle. La porte. L’avion pénétra dans l’eau sans aucun dommage et franchit le cercle. Matt se revit ensuite à l’hôpital puis rentrant chez lui, seul, sans ses parents, pour ne plus en sortir.
Il se rendit compte qu’il était là depuis deux ans, deux années de mensonges, de rêves éveillés. Au début, ils te retiennent avec une fausse image de la réalité et ensuite tu vois ce qu’il en est réellement. Maintenant il voyait la réalité de la situation. Et il voyait qu’il ne pourrait pas franchir la porte dans l’autre sens ni rentrer chez lui un jour.
Matt se retourna et s’endormit, désespéré. Il aurait préféré ne pas se réveiller de se mensonge, le réveil est parfois difficile.
Sa nuit fut agitée et ce fut la première d’une longue série.

FIN
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necronono
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MessageSujet: Re: Première nouvelle.   Première nouvelle. EmptyVen 14 Jan 2005 - 12:18

Very Happy he c houette!! j'aime bien l'univers, y a une pure esthétique la dedans, ca ferait un super scenar pour bd, y a des images vraiment belles, c dommage je trouve qu'elles soient pas plus decrites dans ton texte, les lieux, pieces etc.. dwarf
mais c bien original, en tout cas, l'univers est interessant et le cote onirique aussi, pis c clair, bien ecrit, surtout pour une premiere nouvelle Mr. Green
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Yann
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MessageSujet: Re: Première nouvelle.   Première nouvelle. EmptyVen 14 Jan 2005 - 16:18

C'est pas trop décrit parce que c'est une première nouvelle, et que je connaissait pas encore beaucoup de chose a l'écriture, quoi que maintenant non plus.
T u saurai en faire une BD ?
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necronono
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MessageSujet: Re: Première nouvelle.   Première nouvelle. EmptyDim 16 Jan 2005 - 11:08

bah je pourrais toujours essayer, si tu me le permets, ca me brancherait bien Very Happy
pour l'instant j'ai pas trop le temps, mais des que je peux, je veux bien m'y mettre, on en reparlera si tu veux, si jamais t'as envie de modifier des choses ou quoi que ce soit... What a Face enfin je sais pas comment tu envisages les choses, mais c'est une idee qui m'attire bien dans l'absolu dwarf
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Yann
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MessageSujet: Re: Première nouvelle.   Première nouvelle. EmptyDim 16 Jan 2005 - 18:53

moi aussi, ca m'attire bien d'en faire une bd , on pourrait essayer. Pour les details, il faut que tu me dise ce que tu as besoin, parce que moi les bd je sais que les lire.
Des que tu es pret tu me le dit. Mais ( je veux pas paraitre chiant) privilegie les études quand meme.
Si tu as une addresse msn donne la moi, le dialogue n'en sera que plus simple.
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Nad
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MessageSujet: Re: Première nouvelle.   Première nouvelle. EmptyDim 16 Jan 2005 - 21:20

Angoissant juste comme il faut! Le vocabulaire est bon , mais il y a tout de même aussi des fautes et des maladresses dans certaines tournures de phrases. Ca ne gêne pas trop la lecture car l'histoire est bien menée. Les descriptions sont précises , alors on imagine bien l'environnement , les transformations , les bestioles. Pour finir avec l'explication de cet enfermement qui ne pourra finir que par la mort du pauvre héros... Triste. Bonne histoire Yann
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Yann
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MessageSujet: Re: Première nouvelle.   Première nouvelle. EmptyLun 17 Jan 2005 - 6:32

Merci. Il faut que je la retouche, depuis son écriture elle est resté telle quel. Mais pour l'instant, je vais bosser sur le bouquin, je verrai plus tard pour l'ameliorer.
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Olivier Michael Kim
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MessageSujet: Re: Première nouvelle.   Première nouvelle. EmptyLun 17 Jan 2005 - 21:00

Je pense qu'il y a des points forts et des points faibles.

Dans les points forts je trouve que l'histoire est très bien menée. Le rythme est impeccable. On arrive à tout suivre sans lourdeur.
Les phrases sont intelligibles et claires. L'équilibre des paragraphes est bon.
Je trouve que tu as fait des efforts pour corriger les fautes même s'il en subsistent encore.

Dans les points faibles, ce qui me dérange le plus c'est la tournure des phrases. Par exemple, les deux phrases d'entrée sont pas terribles, je trouve. Ca sonne pas très bien...
Citation :
Matt était assis devant la télévision. C?était un grand écran car il aimait beaucoup le 7ème art, c?était sa passion.

J'aurais écrit ça plutôt comme ça :
Citation :
Matt était assis devant la télévision, un assez grand écran. Le 7ème art étant sa passion il s'était permis ce caprice.

Il y a des problèmes de concordance de temps à certaines phrases. Par exemple "Les piles doivent être mortes" -> "Les piles devaient être mortes"

Aussi, il y a un changement de narrateur inopiné :
"Où je vais pouvoir en trouver" -> "Où allait-il pouvoir en trouver"

Coté histoire. Je pense que c'est bien pensé mais je ne suis pas amateur du genre.

En conclusion, je pense juste que le style est à améliorer.

C'est pas trop dur comme critique?
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