La mousse dorée

Voici ma toute première nouvelle fantastique. Je ne l'ai relue qu'une fois et n'ai fait que deux ou trois changements, donc c'est un peu un premier jet. Dites-moi tous vos commentaires, j'aimerais savoir votre avis aussi et des conseils
A votre lecture...

(EDIT : si vous arrivez seulement, je vous propose de lire la nouvelle retouchée, en bas^^)


J'avais décidé d'aller rendre visite à un vieil ami, Charles Kipf, qui habitait dans le Sud de la France, vers Orange, j'en profiterais pour visiter cette région. Comme moi, il ne s'était pas encore marié et était avocat dans un petit village. Il n'avait pas beaucoup d'amis, c'est pourquoi il fut très heureux de ma visite.
Nous parlâmes de notre enfance, ayant fait les même études dans les mêmes établissement, nous avions beaucoup de souvenirs en commun.
"Je te ferais visiter ma région, me dit-il, tu verras, c'est très beau, tu ne voudras plus retourner chez toi quand tu auras vu toutes ces merveilles !"
Au bout d'un moment, alors que nous étions redevenus complices, comme dans le temps, il se mit à me faire des confidences. Il était resté le même, toujours aussi espiègle, aussi aventureux, et surtout très romantique. Il m'apprit qu'il avait fait pendant trois mois le travail de marin sur un bateau appelé "la Mousse dorée", malheureusement, une nuit, une tempête le pris en chasse et tout l'équipage périt, sauf mon ami. Des pêcheurs l'avait retrouvé au matin, sur la plage, délirant, affirmant qu'une sirène avait voulu les tuer ! Depuis, il s'était rétabli, il n'y croyait plus, disant que c'était un moment de folie, mais il s'était juré de ne plus monter sur un bateau. Cependant, il était très fier de son travail de marin. Il me montra une photographie du bateau. Je remarquai qu'une sirène était gravée sur la coque. Elle avait le visage d’une beauté remarquable et sa longue queue de poisson semblait être sculptée dans la perfection même.
Puis, il me parla des femmes, je lui racontait mes conquêtes, surtout la plus récente, celle avec madame Oeuf.
C'est alors qu'il me parla d'une chose bien étrange. Je crus tout d'abord qu'il plaisantait, mais il avait l'air vraiment on ne peut plus sérieux.
- "Un soir, m'avait-il dit, j'étais allé me balader entre les rocher, quand je décidai de m'arrêter dans une petite crypte tranquille pour lire un peu. Il faisait presque nuit, quand soudain, je soulevai les yeux de mon livre, et j'aperçu une ombre sur l'eau. Je crus tout d'abord que c'était une femme, qui me sembla très belle. Je m'approchai d'elle, me demandant ce qu'elle faisait sur l'eau à une heure pareil. Elle me regardait depuis le début et semblait vouloir ma venue. Elle était sublime, ses cheveux roux, mouillés, ondulant sur ses épaules, tu l'aurais vue ! Pourtant, dans ses yeux, je voyais les flammes de l'enfer, et sa bouche souriait ironiquement. Elle se mit à chanter, d'abord tout bas, puis de plus en plus fort. Je pris peur, je ne savais que faire ! Je pris alors mes jambes à mon coup sans prendre la peine de me retourner, et je laissai mon livre inachevé sur les lieux. Je me demande depuis si elle est retournée dans la crypte, je crois que je vais y aller demain soir, je verrai si elle est là, sinon, je reprendrai mon livre. Elle me fait incroyablement peur tu sais, mais elle me fascine, j'ai l'impression de l'avoir déjà vu ! Il faut que je sache qui elle est !
- Crois-tu que ce sois bien sérieux ? lui demandai-je.
- Que veux-tu qu'elle me fasse ? dit-il en riant. Ce n'est qu'une femme ! D'ailleurs, je ne la reverrai peut-être jamais, peut-être l'ai-je même rêvée !
Cette supposition était pour moi la plus plausible, je ne me fis pas plus de soucis pour lui.
Le lendemain soir, nous allâmes nous promener sur la plage, pour discuter en regardant les vagues qui montaient petit à petit. Il se faisait tard, je déclarai que j'avais sommeil et que je devais partir tôt le lendemain. Il me dit d'aller me coucher si ça me plaisait, que lui irait, comme il se l'était promis, à son "rendez-vous amoureux" comme il se plaisait à appeler son étrange rencontre. Nous nous quittâmes à l'entrée de la crypte et je revînt à la maison. Je m'endormit aussitôt, pensant qu'il allait bientôt revenir.
Je me levai de bonne heure le lendemain matin, et j'allais déjeuné, quand je vis que la porte de la chambre de mon ami était restée ouverte et qu'il n'avait pas posé son manteau. Il n'était nul part dans la maison. Peut-être s'était-il endormit dans la crypte ? Mais alors, la marée aurait montée, et il se serait noyé ! Mais peut-être était-il simplement partit tôt ce matin pour acheter des croissants frais. Un frisson soudain me parcouru le dos, l'image de la femme m'était apparut devant les yeux. Je devais être encore sous l'emprise des rêves de la nuit.
Voyant qu'il ne revenait pas, je me décidai a aller voir à la crypte, voir s'il n'y était pas. Tout le long de la plage, je m'attendais à le voir revenir, se demandant pourquoi il s'était réveillé sur le sable ; mais il ne venait pas. je hâtai le pas, et j'arrivai dans la crypte à bout de souffle. Je ne vis tout d'abord personne, puis, je remarquai près des rochers une forme sombre. Je m'approchai et ne put retenir un cri d'épouvante. C'était lui ! Une griffure effrayante lui barrait la tempe ; ses yeux étaient devenus blanc, et sur son visage, restait encore un expression d'effroi ; mais le plus spectaculaire était la mousse devenue jauni par le temps, qui s'épaississait sur le bord de ses lèvres bleue.
Il était mort ! Je tombai a genou à ses côtés, tremblant, impuissant. C'est alors que je remarquai que son bras semblait désigner quelque chose. Je suivit la direction et je tombai, à ma grande stupeur, sur une sculpture de bois, échouée près de l'eau.
C'était la coque de "la Mousse Dorée". La sirène souriait largement, délivrant toutes ses dents et dans ses yeux semblait briller la vengeance.

Pas mal ton petit conte , ou ta nouvelle , pas mal. C'est agréable à lire , ça fait un peu historiette pour enfant , si ce n'est la fin , assez dure. On la sent un peu venir d'ailleurs cette fin. Mais ça ne fait rien , c'est mignon. Quelques éléments m'ont gênée : pourquoi la "crypte"?? Une grotte plutôt, non? Puis j'aurais évité les noms propres que je trouve inutiles : Kipf ou madame Oeuf. Des maladresses aussi comme " aller voir à la crypte, voir s'il n'y était pas ". Quelques grosses fautes d'orthographe aussi , mais faciles à éviter en relisant une ou 2 fois je pense. Sinon je te les indiquerai.
C'est bien! Tu as eu le courage de te lancer en nous montrant une oeuvre, bravo! Continue avec d'autres. Mais tu peux aussi peaufiner un peu celle-la sans doute. A bientôt alors? - Nad

salut!
moi aussi j'ai bien aimé! c plaisant a lire malgré les quelques maladresse... et je sais pas pourquoi ca me pertube mais j'aimerai bien que tu nous décrive le héros de l'histoire (c'est a p-e pas sa place dans le texte mais bon... a toi de voir! lol)
sinon c'était cool a lire!
bye

Avant toute chose, je tiens à souligner le fait que c'est vraiment top pour une plume de 15 ans !!
Moi à cet âge j'aurai écrit 10 fois moins bien que ça !! C'est encourageant et talentueux, alors continue à fond, tu tiens le bon bout, et ta marge de progression reste immense vu ton jeune âge...

Au niveau du texte : quelques maladresses, le tout est un peu confus... Il suffirait de réordonner un peu la narration, pour qu'elle soit plus claire et plus fluide, et tout irait bien... Bravo !!

Merci beaucoup à tous pour vos critiques, et merci d'avoir été très franc.
Je vais essayer de la réécrire comme vous me le conseillez, et puis vérifier les fautes d'orthographes vraiment désolée pour ça, ça m'enerve !!^^
Bon, allez, au boulot

Alors, voici ce que ça donne en suivant tous vos consils précieux et en retouchant quelques petits trucs...

Texte édité : corrigé par Nad. Merci !!

La mousse dorée

J'avais décidé d'aller rendre visite à un vieil ami d'enfance, qui habitait dans le Sud de la France, près de la grande ville d'Orange. Je voulais en profiter pour visiter la région, mais surtout, je souhaitais savoir ce qu'il était devenu. Dans nos jeunes années, nous étions très proches, mais le temps et nos carrières différentes nous ayant séparés, nous ne nous étions pas vus depuis assez longtemps.
Comme moi, il ne s'était pas marié. Il avait fait de meilleures études que moi et était devenu avocat dans un petit village. Il n'avait pas beaucoup d'amis, c'est pourquoi il fut très heureux de ma visite.
Nous parlâmes de notre enfance, nous avions beaucoup de souvenirs en commun.
"Je te ferai visiter ma région, me dit-il, tu verras, c'est très beau, tu ne voudras plus retourner chez toi quand tu auras vu toutes ces merveilles !"
Au bout d'un moment, alors que nous étions redevenus complices, comme au bon vieux temps, il se mit à me faire des confidences. Il était resté le même, toujours aussi espiègle, aussi aventureux, et surtout très romantique.
Il m'apprit qu'il avait fait, pendant trois mois, le travail de marin sur un bateau appelé "la Mousse dorée". Il était très enthousiaste en me racontant ses aventures. Malheureusement, une nuit, une effroyable tempête prit le bateau en chasse et tout l'équipage périt ; tous, sauf lui. Des pêcheurs l'avaient retrouvé au matin, sur la plage, délirant, affirmant qu'une sirène avait voulu les tuer ! Depuis, il s'était rétabli, il n'y croyait plus, disant que c'était un moment de folie, mais il s'était juré de ne plus monter sur un bateau.
Cependant, il était très fier de son travail de marin. Il me montra une photographie de l'embarcation. Je remarquai qu'une sirène était gravée sur la coque. Elle avait le visage d’une beauté remarquable et sa longue queue de poisson semblait être sculptée dans la perfection même.
Puis, il me parla des femmes, je lui racontai mes conquêtes, nous aimions tous deux les aventures d'un soir. En vérité, nous n'avions pas beaucoup changé et j'en fus très heureux. Combien d'amis se retrouvent un jour et découvrent que leur compagnon avait trop changé pour l'aimer comme avant ?
Moi, je l'aimais beaucoup cet ami-là, et j'espérais que nous nous reverrions ensuite, cette dernière attente avait été trop longue.
Nous restâmes longtemps à parler.
C'est alors qu'il me confia une chose bien étrange. Je crus tout d'abord qu'il plaisantait, mais il avait l'air vraiment on ne peut plus sérieux.
<<Un soir, m'avait-il dit, j'étais allé me balader entre les rochers, quand je décidai de m'arrêter dans une petite crique tranquille pour lire un peu. Il faisait presque nuit, quand soudain, je soulevai les yeux de mon livre, et j'aperçus une ombre immobile et silencieuse sur l'eau devenue noire. Je crus tout d'abord qu'il s'agissait d'une femme, qui me sembla très belle. Je m'approchai d'elle, me demandant ce qu'elle faisait sur l'eau à une heure pareille.
Elle me dévisageait depuis le début et semblait vouloir ma venue. Elle était sublime, ses cheveux roux, mouillés, ondulant sur ses épaules, tu l'aurais vue !
J'étais fasciné par sa splendeur presque irréelle.
Pourtant, dans ses yeux couleur coquillage, je voyais les flammes de l'enfer, et sa bouche souriait ironiquement. Elle se mit à chanter, d'abord tout bas, puis de plus en plus fort. Une chanson douce, envoûtante, comme jamais je n'en avais entendue.
J'eus peur, soudain, je ne savais que faire ! Je pris alors mes jambes à mon coup sans prendre la peine de me retourner, et je laissai mon livre inachevé sur les lieux. Je me demande depuis si elle est retournée dans la crique, je crois que je vais y aller demain soir, je verrai si elle est là, sinon, je reprendrai mon livre. Elle me fait incroyablement peur tu sais, mais elle me fascine. D'ailleurs, maintenant que j'y repense, j'ai l'impression de l'avoir déjà vue... Il faut que je sache qui elle est !
- Crois-tu que ce soit bien sérieux ? lui demandai-je.
- Que veux-tu qu'elle me fasse ? dit-il en riant. Ce n'est qu'une femme ! En outre, je ne la reverrai peut-être jamais, peut-être l'ai-je même rêvée !>>
Cette supposition était pour moi la plus plausible, je ne me fis pas plus de soucis pour lui.
Le lendemain soir, nous allâmes nous promener sur la plage, pour discuter en regardant les vagues qui montaient petit à petit. Il se faisait tard, je déclarai que j'avais sommeil et que je devais partir tôt le lendemain.
Il me dit d'aller me coucher si ça me plaisait, que lui irait, comme il se l'était promis, à son "rendez-vous amoureux" comme il se plaisait à appeler la rencontre avec l'étrange femme. Nous nous quittâmes à l'entrée de la crique et je revins à la maison. Je m'endormis aussitôt, pensant qu'il allait bientôt revenir.
Je me levai de bonne heure le lendemain matin, et j'allais déjeuner quand je vis que la porte de la chambre de mon ami était restée ouverte et qu'il n'avait pas posé son manteau. Il n'était nulle part dans la maison. Peut-être s'était-il endormi dans la crique ? Mais alors, la marée aurait montée, et il se serait noyé ! Cette idée me parut inconcevable et je la chassai de mon esprit. Un ancien marin ne pouvait s'être fait prendre par les vagues.
Peut-être était-il simplement partit tôt ce matin pour acheter des croissants frais.
Un frisson soudain me parcourut le dos, l'image de la femme qu'il m'avait décrite m'était apparue subitement devant les yeux. Je devais être encore sous l'emprise des rêves de la nuit.
Voyant qu'il ne revenait pas, je me décidai finalement à retourner à la crique pour vérifier s'il n'y était pas.
Tout le long de la plage, je m'attendais à le voir revenir, se demandant pourquoi il s'était réveillé sur le sable ; mais il ne venait pas. Pourquoi avais-je un mauvais pressentiment ? Etait-il arrivé malheur à mon ami ?
Je hâtai le pas, des idées noires trottant dans ma tête.
J'arrivai dans la fameuse crique à bout de souffle.
Je ne vis tout d'abord - et avec un certain soulagement - aucune trace de mon compagnon.
Puis, je remarquai près des rochers couverts d'algues une forme sombre.
Je m'approchai et ne pus retenir un cri d'épouvante. C'était lui !
Une griffure effrayante lui barrait la tempe ; ses yeux étaient devenus blancs, et sur son visage, restait encore une expression d'effroi ; mais le plus spectaculaire était la mousse devenue jaune par le temps, qui s'épaississait sur le bord de ses lèvres bleues.
Il était mort ! Je tombai à genoux à ses côtés, tremblant, impuissant. C'est alors que je remarquai que son bras semblait désigner quelque chose. Je suivis la direction et je tombai, à ma grande stupeur, sur une sculpture de bois, échouée près de l'eau.
C'était la coque de "la Mousse Dorée". La sirène souriait largement, délivrant toutes ses dents et dans ses yeux semblait briller la vengeance.



Pour Nad : Honte à moi ! Je me suis plantée complétement entre une crypte et une crique... Désolé !!!! J'ai enlevé les noms propres et j'ai vérifié les fautes d'ortho (dsl s'il en reste encore...). Merci à toi

Pour Chicky : C'est qui, pour toi, le héros de l'histoire ? Parce que pour moi c'est la sirêne lol. Si tu me dis c'est qui, je veux bien le décrire plus

Pour thomas : c'est plus fluide là ?

J'aurais quelques quetsions : que pensez-vous du titre ?
est-ce que c'est bien une histoire fantastique ? (j'ai essayer de garder le doute^^)
est-ce qu'il faudrait plus décrire ou plus de dialogue ?
mici beaucoup à tous ceux qui prennent le temps de lire ma pitite nouvelle !

Ah!!!!!!!!!!! Voilà la chose! Crypte ou crique. C'est dommage , je m'étais fait l'image d'une grotte et tu me changes tout le décor avec ta crique!!! Pas grave , je plaisante.
Oui , il reste des fautes , je vais essayer de prendre le temps de te les corriger et je te posterai le nouveau texte en message perso dans la messagerie , dac ?
Et puis , ok , c'est mieux maintenant.
Pour les dialogues il faut voir avec Olivier , c'est le grand spécialiste amateur de dialogues!
Bon week end à tous! - Nad

Je n'ai lu que la version corrigée, mais j'aime bien. C'est gentil au debut, mais la fin change radicalement. Ca se lit bien, c'est agreable. Continue.

Merci beaucoup !
C'est marant, on dirait une apréciation de prof lol

Peut-etre que je l'etait dans une vie anterieur.
En realité, le probleme est que je sais pas trop quoi dire sur un texte. Il me plait ou il me plait pas mais les raisons sont trop bien cachées dans les meandres de mon cerveau pour que je les trouve.

Je ne peux que t'encourager à continuer! Même si la narration est par endroits un peu maladroite, le tout reste vraiment bon quand on voit la marge de progression que tu as devant toi!!! Continue à noircir des feuilles, c'est bien parti!!!
Sinon pour les dialogues, peut être que tu devrais les rendre plus vivants en donnant plus de répliques et en adaptant les expressions et le langage utilisés au dialogue.

Par exemple:

Citation :

[...] j'étais aller me balader entre les rochers, quand je décidai de m'arrêter dans une petite crique tranquille pour lire un peu.

Cette manière de s'exprimer ne se retrouve pas à l'oral, ça ressemble trop à de la narration. Je pense qu'en rendant les dialogues plus vivants, ton texte serait plus attrayant

Mais je le répète, c'est prometeur alors continue!!

Oui oui, je continue !
Vous avez tous l'air de penser que je vais m'arrêter d'un coup ! lol
Ma passion, c'est l'écriture, alors si j'arrête c'est qu'il y a un truc qui cloche !
Merci beaucoup pour vos encouragements ! C'est vrai que les dialogues sont plutôt narrativisé, mais c'est parce que le perso racontait un truc et je sais aps trop comment faire... Bon, je vais essayer de modifier ça... Merci beaucoup !

salut,
je trouve ton histoire sympa
j'ai accroché tout du long
continue comme ça
bravo!!

Sympa oui, mais la narration pose parfois probleme, certaines expressions etant plutot mal tournées...et il reste des fautes !
Enfin ça se laisse lire quand meme et la fin n'est pas trop mal.

(didiou, ça fait tjs aussi bizarre de replonger dans les cryptes du manoir, on a l'impression de se prendre 20 piges d'un coup lol)