LE MANOIR DU FANTASTIQUE
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 Les papillons bleus

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Yann
viniwow
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viniwow
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MessageSujet: Les papillons bleus   Les papillons bleus EmptyVen 18 Fév 2005 - 23:12

Voila un texte qui traîne sur mon pc depuis quelques semaines, j'aimerais bien avoir votre avis dessus parce que j'arrive pas à me faire une idée... scratch
PS: désolé mais apparemment je suis obligé de balancer ça en 3 posts... Confused

Il y eut tout d’abord cette lumière blanche, aveuglante. Puis une succession désordonnée d’images et de sons.
Un homme en interpella un autre, une ambulance jaillit dans la nuit. Des secousses puis une sensation de vertige. Des mots s’envolèrent dans la brume, perdus à jamais. A travers le rideau opaque de sa torpeur, David attrapait de ci de là quelques sons incohérents.
Autour de lui, de vagues formes délirantes s’agitaient en tous sens.
Puis, vint un long couloir mal éclairé, le grésillement des néons défectueux et une odeur forte, progressant par effluves dans l’atmosphère sinistre des lieux.
Puis plus rien. Les couleurs s’émoussèrent et le voile s’épaissit.

Une sensation désagréable s’était infiltrée peu à peu dans son délire onirique. De lourdes pulsations, régulières et implacables, l’accablaient de quelque façon étrange. Et à chacune d’entre elles, David prenait davantage conscience de la réalité, pour finalement se réveiller en sursaut dans un lit déjà trempé de sueur.
Où suis-je ?
David observa à travers les brumes qui lui encombraient encore la vue, tentant de relever un détail ou un quelconque indice quant à l’endroit où il pouvait bien se trouver. Tout était encore flou, mais il crut discerner un second lit à sa gauche, ainsi qu’une porte à sa droite.
Soudain, il prit conscience des violentes pulsations qui lui irradiaient le genou droit. La douleur s’emparait lentement de ses sens et lui engourdissaient toute la jambe. Sans céder à la panique qui menaçait, cherchant tout d’abord à s’éclaircir l’esprit, David scruta l’obscurité et chercha à tâtons un interrupteur. Par bonheur, il trouva une lampe de chevet posée à ses côtés sur une table de nuit.
La pièce s’illumina alors, et les ombres, impuissantes, se retranchèrent dans les recoins de la pièce. La main en visière afin d’épargner ses yeux endormis, David inspecta la chambre du regard. Sur le lit voisin, se dessinait une forme indistincte, animée seulement par les mouvements laborieux d’une respiration saccadée. Autour de lui, toute une panoplie d’équipement médical s’étendait dans un désordre indescriptible: pieds de perfusions, bassines en étain, béquilles, fauteuils roulants et déambulateurs. Des plateaux contenant tantôt des flacons divers, tantôt des outils chirurgicaux, traînaient au beau milieu d’un amas de poussières.
Alors que David se demandait vaguement dans quel but les lits étaient munis de sangles, un faible murmure lui parvint du lit voisin. Il fit alors silence. Mais à peine émis, les sons semblaient mourir.
- Je vous demande pardon, dit-il. Vous avez parlé ?
Retenant sa respiration, la tête penchée vers l’inconnu, David tendit l’oreille.
- Pap… Papillons… bleus…
- Papillons bleus ? C’est ce que vous avez dit ?
Soudain, la forme jaillit de sous les draps et se leva d’un bond, déclenchant chez David un brusque mouvement de recul. L’homme avait un teint pâle et maladif, et jetait des coups d’œil affolés autour de lui. Les poings serrés, il se mit alors à hurler comme un perdu, noyant à peine les grincements de sa gorge enflée par l’angine. C’est alors que David s’aperçut avec épouvante qu’il avait le visage atrocement mutilé. A la place de la bouche, gisait un amas de chair en bouillie qui, en des temps meilleurs, avait dû être des gencives.
David s’étrangla dans un cri d’horreur. L’homme tendait vers lui un bras décharné et, le regard suppliant, marmonnait maintenant des paroles incompréhensibles.
- INFIRMIERES !!! hurla David à tout hasard, aux prises avec la panique.
Presque immédiatement, la porte de la chambre s’ouvrit à la volée, laissant place à une imposante infirmière qui se précipita vers l’homme, une seringue à la main. Ce dernier ouvrit de grands yeux effrayés et se mit à gesticuler dans tous les sens. L’infirmière, dont le visage ne trahissait pas la moindre émotion, attrapa le bras du malheureux et le tordit violemment. David put entendre le bruit des os se briser. Son voisin de chambre poussa un hurlement déchirant et parvint cette fois-ci à articuler clairement.
- Enfuyez vous !!!
L’infirmière lui planta la seringue un peu au hasard dans le bras et injecta la totalité de son contenu. Immédiatement l’inconnu tourna de l’œil et s’effondra mollement sur le sol.
David, lui, ne bougeait pas. Il s’était recroquevillé dans son lit et observait avec appréhension l’infirmière qui se tenait maintenant immobile, raide comme la justice.
- Monsieur Stanislas est un patient à problème, dit-elle sans le regarder. Il refuse de se faire soigner. Pourtant il sait que s’il ne prend pas correctement le traitement imposé par le Docteur, il risque une ablation de la mâchoire !
David sentit alors une onde froide lui vriller les tripes. La peur.
L’infirmière se tourna alors vers lui, le visage déformé par un sourire abominable, dévoilant un enchevêtrement de dents jaunes. Sa tenue était d’un blanc crasseux et son allure générale indiquait qu’elle ne devait entretenir avec l’hygiène que des rapports de courtoisie.
- Vous ne nous causerez aucun problème ? demanda-t-elle d’un ton affable.
- Heu… Non, bien sûr que non… Mais ma jambe me fait mal et je…
- Oui, le Docteur va passer vous examiner. En attendant restez tranquille.
Et elle tourna les talons, refermant la porte avec fracas.

David se crut d’abord en plein rêve, mais la douleur lui rappelant que tout espoir dans ce sens était vain, il se sentit soudain proche de l’hystérie. D’où sortaient ces personnages ? Quelle pièce macabre se jouait à son insu ?
A cette pensée, il jeta un œil à la masse molle étalée à ses pieds et se rappela les paroles du pauvre homme.
Papillons bleus.
Tout s’éclaircit alors dans son esprit. David sentit le sang bouillonner dans sa tête.
Les papillons bleus…
Ces mots résonnaient en lui, semblables à un glas inéluctable. La vérité lui apparut alors comme une fatalité. Il se trouvait dans une chambre du pavillon de haute sécurité de l’hôpital psychiatrique. Le pavillon des papillons bleus.
Soudain, des pas résonnèrent dans le couloir et la porte s’ouvrit.


Dernière édition par le Ven 18 Fév 2005 - 23:17, édité 1 fois
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viniwow
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MessageSujet: Re: Les papillons bleus   Les papillons bleus EmptyVen 18 Fév 2005 - 23:15

(suite...)

Un homme flanqué grossièrement d’une blouse l’observait avec attention. Il caressait doucement sa barbe en forme de natte et prenait un air songeur.
- Comment se porte-t-il ? demanda le docteur à l’infirmière qui se tenait docilement à ses côtés.
- Et bien, le problème c’est sa jambe…
Le docteur fit la moue, s’arracha une pincée de cils et se pencha vers David.
- Avez-vous remarqué une quelconque odeur, monsieur ?
David, paralysé par la peur, ne bougeait pas. Ce fut tout juste s’il parvint à hocher la tête en signe de désapprobation.
- Hmm, je vois, fit le docteur. Il va quand même falloir que j’examine ça. Est-il attaché ? demanda-t-il à l’infirmière.
- Oui, je m’en suis chargée à l’instant, dit-elle fièrement.
Il s’approcha alors de David, écarta les draps et se mit à lui renifler la jambe à l’aide de grandes inspirations, le tout ponctué par un râle encombré.
Il sembla réfléchir un instant tout en continuant d’humer l’air, puis se tourna vers l’infirmière :
- Allez-y ! Dîtes moi ce que vous sentez, ma chère Berthe.
Cette dernière s’exécuta et se lança dans une imitation grotesque du docteur. Une fois le râle poussé comme il se devait, l’infirmière se releva et laissa tomber le verdict.
- Ben je sens rien…
- Banane pourrie !!!
- Je vous demande pardon, fit Berthe, outrée.
- Ca sent la banane pourrie !!! Vous êtes aveugle ou sourde ???
- Oh ! Pardon Docteur, implora-t-elle. Je n’ai pas fait attention, je vous prie de m’excuser…
- Bon oublions, et qu’est-ce que cela signifie ?
- La gangrène ! s’écria l’infirmière, triomphante.
- Parfait ! Et qu’est-ce qui est préconisé dans ces cas là ?
- L’amputation bien sûr, répondit l’infirmière en adressant un clin d’œil au docteur.
- Bien, allez me chercher les outils !
Toute guillerette, Berthe partit à cloche pied tout en chantonnant.
- Elle ne sera pas longue, assura le docteur à David, un large sourire aux lèvres.
David ne parvenait plus à desserrer les mâchoires, il avait froid et tremblait de tous ses membres. Il assistait impuissant à la scène sans pouvoir esquisser le moindre geste.
Pendant ce temps là, le docteur s’était dirigé vers le malheureux qui gisait encore sur le sol. Il l’observa un moment, les sourcils froncés, se baissa et se mit à lui renifler la bouche. Il se tourna alors David.
- Banane pourrie…lui dit-il d’un air entendu, sur le ton de la confidence.


Berthe revint quelques instants plus tard, poussant avec difficulté un chariot sur lequel était entreposé un enchevêtrement tintant d’outils de bricolage. De la scie à métaux au marteau, en passant par la ponceuse, tout y était, prêt à l’usage.
David poussa un cri étranglé et se mit à se débattre de toutes ses forces, ravivant ainsi la douleur de son genou. Mais les sangles étaient serrées et n’offraient aucune marge de manœuvre.
Aussi l’infirmière s’approcha doucement de David, une seringue en main.
- Attendez !!! fit David, comme pris d’une illumination.
Un silence interloqué s’abattit alors dans la pièce. Les regards se firent soupçonneux et le docteur fronça les sourcils.
- Qu’y a-t-il ? Ne faîtes pas la comédie ! Vous êtes un grand garçon, allez !
David leva le doigt d’un air grave. Puis il se mit à humer l’air.
- Docteur, approchez ! lui demanda-t-il.
Etonné, et non moins curieux de connaître les raisons d’une telle interruption, celui-ci s’arracha quelques cils, et se pencha sur David.
- Allons bon, qu’est-ce qui vous arrive ?
David se mit alors à renifler la bouche du docteur quelques secondes durant, et poussa un râle profond et sonore. Puis, il laissa tomber le verdict.
- Banane pourrie, annonça-t-il sans appel.
- Que… quoi ??? s’écria le docteur, alarmé par cette prédiction.
- Oui, parfaitement ! Banane pourrie ! Et qu’est-ce que cela signifie ? demanda-t-il à l’intention de l’infirmière.
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viniwow
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MessageSujet: Re: Les papillons bleus   Les papillons bleus EmptyVen 18 Fév 2005 - 23:16

- Gangrène !!! s’écria cette dernière en levant les bras en signe de triomphe.
Et elle planta la seringue dans la gorge du docteur qui s’affala de tout son long sur David.
- Bravo ! acclama ce dernier en repoussant le corps inerte du docteur. Vous avez fait du bon boulot ! Maintenant détachez moi, s’il vous plaît.
Le sourire de l’infirmière s’affaissa légèrement.
- Non, je ne peux pas, désolée. Je dois vous opérer également…
- Mais pourquoi donc ? Ne voyez vous pas que c’est sa propre odeur que le docteur a senti sur moi à l’instant ? D’ailleurs, avez-vous senti quelque chose, vous ?
- Non, c’est vrai ça ! dit l’infirmière, soudainement prise d’un rire idiot.
- Vous voyez bien ! Allez détachez moi !
L’infirmière réfléchit un instant en plissant les yeux, ce qui lui donna un air parfaitement ridicule, et secoua énergiquement la tête.
- Non, vous devez rester attaché, votre genou est tout de même cassé, il faut d’abord que je vous le répare.
- NON ! hurla David malgré lui. Non, ne faites pas ça !
- Ben quoi ? Il faut bien que je vous soigne ! dit-t-elle d’un air plus sévère.
- Et bien, il faut déjà vous occuper de ce pauvre homme avant, dit-il en désignant le docteur. Je ne sais pas combien de temps vos piqûres font effet, mais il ne faudrait pas qu’il se réveille en plein travail, vous comprenez ?
- Oui, vous avez raison, fit Berthe à contrecœur. Je vais vous détacher et vous allez m’aider.
- Mais bien entendu, s’écria David, tentant de dissimuler sa jubilation. Ce sera avec grand plaisir !
Sur ce, l’infirmière défit les sangles, et l’aida à s’asseoir sur le rebord du lit. David attrapa une béquille qui traînait par terre et se dressa péniblement en prenant soin de ménager son genou.
- Berthe, dit David d’un ton professionnel. Bistouri !
- Pardon ? fit Berthe d’un air ahuri.
- Bistouri !!! répliqua David en lui jetant un regard sévère.
- Heu… oui… oui… tout de suite, docteur, bafouilla-t-elle, confuse. Excusez-moi, je n’avais pas compris.
David se saisit alors de bistouri que lui tendait l’infirmière et, après une longue seconde d’hésitation, lui planta dans la gorge d’un coup sec. Immédiatement, Berthe retira la lame qui était restée plantée et plaqua ses deux mains sur la plaie, ne parvenant pas à empêcher le sang de s’écouler entre ses doigts boudinés.
David recula brusquement, sentant son cœur valser dans une danse frénétique. Puis, luttant contre les élancements qui lui tiraillaient la jambe, ouvrit la porte en jouant du pied, et sortit enfin de la chambre.
De chaque côté, se dressait un long couloir mal éclairé, on percevait en fond le grésillement des néons défectueux. Et une odeur forte progressait par effluves, reconnaissable entre toutes.
Soudain, deux silhouettes apparurent et se précipitèrent sur David. Celui-ci n’eut pas le temps d’esquisser le moindre geste, que déjà les deux hommes lui faisaient face. Tous deux portaient une blouse et une barbe en forme de natte.
- Tu sens ? dit l’un en humant l’air.
- Oui, effectivement, dit l’autre en lançant un regard inquisiteur à David.
Ils se mirent alors à renifler bruyamment la tête de David, puis, dans une parfaite synchronisation, s’exclamèrent :
- Banane pourrie !!!
David se sentit défaillir et crut bien tourner de l’œil quand il aperçut, venant de tous les coins, des formes se profiler dans la pénombre du couloir, et se rapprocher sournoisement, en longeant les murs.
Tous avaient le même regard halluciné, et marmonnaient de ci de là quelques paroles au-delà de toute compréhension. Et lorsque dans un même élan, ils fondirent sur David, celui-ci se laissa emporter, les yeux emplis d’une terreur muette.
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Yann
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MessageSujet: Re: Les papillons bleus   Les papillons bleus EmptyLun 18 Avr 2005 - 12:36

Tres etrange, je n'ai pas tout compris, je pense que les fous seraient atteint par une maladie commune et qu'ils auraient pris le pouvoir du batiment, mais je croit me tromper. je pense que ca manque de quelques explications, mais ca reste tout de meme bien.
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thomas desmond
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MessageSujet: Re: Les papillons bleus   Les papillons bleus EmptyJeu 21 Avr 2005 - 8:59

je viens de l'imprimer. Je la lirai ce soir chez moi tranquille !!
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MessageSujet: Re: Les papillons bleus   Les papillons bleus EmptyLun 25 Avr 2005 - 7:19

Bon, je l'ai lue ce matin au petit déj', devant un verre de jus d'orange et 2 petits écoliers chocolat au lait !!!

Mon avis +

S
P
O
I
L
E
R
S

Bon, il y a une base intéressante, mais il faut vraiment que tu la retravailles je pense si tu veux en faire une bonne histoire...

Points principaux :
- La peur de l'amputement : développe-le à l'extrême. Là on commence à avoir peur pour lui (Cf Misery de Sking) et puis il s'en sort (trop) vite ! Fous-nous les boules, y a rien de mieux pour se sentir proche du perso, un peu comme la nouvelle "chambre d'autopsie machin" de Sking...
- La folie des soignants : fais-la nous voir plus clairement, plus follement, fais-nous plus comprendre que dans cet asile, les fous sont les soignants et pas les soignés
- Le retournement de situation : pas mal, même si tu pourrais le faire plus durer, que le médecin lui-même se piège, ou qu'il s'ampute lui-même par exemple...
- La fin : je n'ai pas très bien compris... Pourquoi n'a-t-il pas gardé le scalpel pour ce défendre ??? Ça se termine un peu en queue de poisson, comme si tu voulais en finir au plus vite ! Pourquoi ne pas ajouter une course poursuite dans les couloirs, en nous faisant découvrir ce qui se trame dans les divers étages de l'établissement...
- Les papillons bleus : je n'ai pas trop compris l'allusion ?...
- Situation spacio-temporelle : moi j'aurai aimé en savoir plus sur l'accident de david, le lieu etc...

Voilà mes impressions, qui je l'espère pourront peut-être te servir un peu si tu as le courage de retaper cette histoire.
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MessageSujet: Re: Les papillons bleus   Les papillons bleus EmptyLun 25 Avr 2005 - 8:08

Ouais clair que ça va me servir, merci pour vos commentaires!!
Il va falloir que je developpe tout ça à l'occase!
Pour les papillons bleus, c'est censé être le nom du pavillon des fous dangereux, c'est tout. Mais ce détail n'est pas clair et il faudra que je change certains points comme celui-ci. Enfin y a du boulot quoi What a Face
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Nad
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MessageSujet: Re: Les papillons bleus   Les papillons bleus EmptyLun 25 Avr 2005 - 14:57

Ben moi j'ai bien tout suivi! Je ne vois pas le problème! Même le nom de la clinique, qu'est-ce qu'il y a d'extraordinaire à comprendre?
Bref , c'est bien crade , bien angoissant et en plus ça finit mal pour ce pauvre type que j'aurais aimée voir s'en sortir , même amoché...
C'est bien écrit , sans grandes phrases compliquées , ça coule bien comme on dit. De toute façon , on a tellement envie de savoir ce qui va se passer à chaque nouvel évènement que le temps passe trop vite en lecture!
J'ai relevé juste 3 expressions qui ne collent pas à cause des mots employés qui ne sont pas adaptés à la situation :
""A la place de la bouche, gisait un amas de chair en bouillie"" : "gisait" ça veut dire "être étendu, allongé, couché"
""Un homme flanqué grossièrement d’une blouse"" : "flanqué" ça veut dire "avoir quelque chose ou quelqu'un sur le côté" (sur le flanc)
""De chaque côté, se dressait un long couloir"" : un couloir ne "se dresse" pas, à remplacer.
Voilà , voilà. J'ai bien aimé et je ne peux guère en dire plus. On reconnaît bien ton style. - Nad
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viniwow
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MessageSujet: Re: Les papillons bleus   Les papillons bleus EmptyLun 25 Avr 2005 - 15:16

Merci pour ton commentaire et pour ces précisions linguistiques, Nad!! Wink Je vais reprendre tout ça!
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cornélia
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MessageSujet: Re: Les papillons bleus   Les papillons bleus EmptyVen 24 Juin 2005 - 8:50

bien


Dernière édition par le Sam 11 Fév 2006 - 14:45, édité 1 fois
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viniwow
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MessageSujet: Re: Les papillons bleus   Les papillons bleus EmptyVen 24 Juin 2005 - 10:10

Merci pour le com'! Oui je crois que ce texte aurait grandement besoin d'être repris!! Un jour peut-être, je verrai...
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maerlyn
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MessageSujet: Re: Les papillons bleus   Les papillons bleus EmptyVen 24 Juin 2005 - 21:55

Mais c'est super. Du viniwow comme on l'aime! Mr.Red Mr.Red Mr.Red

Sauf que tu peux pas nous laisser comme ça, il faut plus d'explications, plus d'action, enfin plus d'histoire quoi! Je pense qu'une cinquantaine de pages ça devrait aller. Hop t'es parti, au boulot! Mr. Green
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MessageSujet: Re: Les papillons bleus   Les papillons bleus EmptyLun 27 Juin 2005 - 22:08

Merci Maerlyn Mr. Green Oui, une 50aine de pages ça devrait aller, je m'y mettrai une de ces nuits What a Face
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