Veuillez m'excusez pour les fautes d'orthographe et de conjugaison.
Résumé :
Un professeur arrive dans une école, les élèves sont très bizarres. Tous est bizarre.
Histoire :
J’entra dans l’école, je toqua à la porte de la secrétaire du directeur. Elle me dit d’entrer.
-Secrétaire de monsieur le directeur, bonjour.
Elle avait l’air très fatiguée, pas dans un bon état.
-Bonjour, je suis monsieur Patrick Bear. J’ai lu par Internet que vous cherchiez un professeur de français.
-Ca tombe très bien. J’appelle le directeur.
Elle se leva et pénétra dans le bureau du directeur. Pendant ce temps, je m’approchai de son ordinateur, je vis plusieurs pages Internet situées dans la barre des tâches. J’en ouvrit une : c’était un site sur le diable et tous des maléfices. L’autre page parlait de suicide.
J’entendais des pas approcher, elle devait sûrement revenir, je me remis à la place où je me trouvais tout à l’heure. Elle me dit :
-Parfait, vous pouvez entrer auprès du directeur.
Elle se rassit sur sa chaise, et en avançant, j’aperçus que j’avais oublié de remettre les sites dans la barre des tâches, elle va voir que j’ai touché à son ordinateur.
-Asseyez-vous donc monsieur…
-Monsieur Bear, Patrick Bear.
Il me serra la main.
-Enchanté. Vous voudriez donc du poste de professeur de français.
-Oui parfaitement.
-Quelle coïncidence, mais c’est formidable, nous n’en trouvions pas.
-Quand puis-je commencer ?
-Mais tout de suite. Avant, vous n’avez juste qu’à remplir ses quelques papiers.
Il me tendit 2 documents. Je les remplis immédiatement. Ensuite, je lui dis :
-Voilà qui est fait.
-Excellent. A présent, ma secrétaire va vous montrer votre classe.
Je sortis et vit que le directeur avait un petit sourire narquois. La secrétaire passa devant moi et je la suivis. Nous marchions dans les couloirs.
-Voilà, c’est ici.
Le numéro de mon local était le 24, justement mon âge.
-Merci.
J’entra dans la classe, je l’observais. Je vis mon bureau, marcha jusque là, et déposa mes affaires. Je dis à l’adresse des élèves qui étaient 20 :
-Bonjour à tous, je me présente, je me nomme : monsieur Bear. Et je suis votre nouveau professeur.
Aucun élève ne répondit.
-Bien, commençons tout de suite par du…français. Je vais vous distribuer des exercices.
Je n’étais pas vraiment à l’aise, leurs yeux qui me fixèrent, me firent froid dans le dos.
La cloche retentit.
-Déjà.
C’était la récréation.
-Bonne récréation les enfants.
Quand tous les élèves furent sortis. Je ferma la porte à clé et chercha la salle des professeurs. Les couloirs étaient vides, je vis une porte entrouverte, je m’approchais et entendit une conversation :
« -Il sera bientôt à nous.
-Oui, il ne pourra pas nous échapper.
-Personne n’a encore trouvé les restes des cadavres des professeurs disparus ? »
C’était une conversation entre le directeur et sa secrétaire. J’étais stupéfait par ce que je venais d’entendre. Je continuai mon chemin pour trouver la salle des professeurs. Par chance, elle était au bout du couloir. J’y entra, il n’y avait personne, c’était vide. Où pouvait bien être les professeurs pendant leur pause ? Je me servis un café et m’assis sur une chaise. Il y avait un journal sur la table, je le pris. J’étais une nouvelle fois stupéfait. La Une du journal indiquait : « Disparition de professeurs à l’école La croix ».
Mais c’était où je me trouvais. J’avais la chair de poule. Je lus une partie de l’article :
« Il y a encore deux jours, un professeur a disparu, il se nomme : Richard Will. De nombreux policiers enquêtes sur ses mystérieuses disparitions. Ils ont tenté d’interroger les élèves, mais aucune réponse n’est sortie de leurs bouches. Etaient t-ils paralysé par la peur ? Les policiers affirment qu’ils ne savent encore rien là-dessus. Nous vous tiendrons informer lorsque nous aurons des nouvelles. »
Mon dieu, mais où suis-je tombé ?
La cloche sonna pour indiquer la fin de la pause. Je sortis de la pièce pour aller rechercher les élèves. J’entendis encore une partie de la conversation comme tout à l’heure :
« -J’ai vu qu’il a été sur mon ordinateur, il a regardé deux pages Internet.
-Lesquels ?
-Sur le diable et tous des maléfices et le suicide.
-Mince alors. Il n’a sûrement rien dût comprendre. Mais ne nous inquiétons pas pour cela, il n’aura pas le temps dans parler à qui que se soit. Ils vont s’en occuper. »
Ils parlaient de moi, mais que voulait-il dire par il n’aura pas le temps dans parler à qui que se soit, et qui va s’occuper de moi. J’ai trop peur.
Je marchai jusqu’à la cour de récréation, les élèves n’étaient pas là. Ils sont sûrement devant la classe. Je m’y dirigeai, ils se trouvaient à leurs places. Comment ont-ils fait pour rentrer dans la classe et que j’avais fermer la porte à clé. C’est de plus en plus bizarre. Je n’osa pas leurs poser la question.
-Donc, je vais vous distribuer vos feuilles.
Mais enfin, je pouvais leur demander, ce n’étaient que des enfants de 10 ans, je n’avais pas à avoir peur d’eux. Partout où j’allais, leurs yeux me poursuivaient.
Quand j’eu fini de distribuer les feuilles, l’un d’eux se leva, je lui dis :
-Où vas-tu ?
Il ne me répondit pas. Je lui répétai une nouvelle fois. Mais toujours pas de réponse.
-Tu veux bien aller te rasseoir.
Il sortit de la classe.
-Faites vos exercices les enfants, je reviens.
Je sortis de la classe, je criai à l’enfant :
-Viens te rasseoir.
Il se tourna et s’avança près de moi.
-Rentre dans la classe.
Il s’approchait de plus en plus. Ses yeux devinrent rouges et il me dit :
-Croyez-vous vraiment que je vais vous écouter ?
Je ne savais pas quoi répondre.
-Rentrez dans la classe. Me dit l’élève.
Je ne bougeai pas, il était à présent en face de moi, sa main se souleva et il me jeta un coup de poing violent à l’estomac. Je m’écroulai sur le sol.
-Voilà, maintenant tu sais qui c’est qui commande. Maintenant, tu entres.
Je rampai sur le sol pour entrer. Tous les élèves étaient debout, et leurs yeux étaient également rouges.
Quelques instants plus tard, le directeur pénétra dans la classe et dit :
-Bon boulot les enfants. Se sera votre souper.
Ensuite, il s’abaissa et me dit :
-Alors professeur ça va bien, c’est pas trop dur d’enseigner.
-Allez vous faire…
-Surveillez votre langage, vous êtes devant des enfants.
Toujours son sourire narquois.
-Ramassez le les enfants, venez avec au sous-sol.
-Laissez-moi partir.
-Vous rêvez là, vous avez acceptez le poste, maintenant vous en assumez les conséquences.
Arrivez au sous-sol, je vis plein d’objets de torture, ils m’installèrent sur une table.
Le directeur prit une machette et me dit :
-Regardez çà, vous allez bientôt sentir ses armes sur votre corps. Que vais-je couper en premier ? Ah, je vais faire autre chose avant.
Il prit un gros bout de bois, le mit entre mes deux jambes. Ensuite, il prit une massue et tapa des deux côtés.
-Aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaah aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaah. Pauvre fou.
Il venait de me casser les pieds.
-Maintenant, je vais vous arracher avec un couteau tous vos ongles.
-Vous n’êtes qu’un sadique.
-Effectivement. En plus, j’adore çà.
Il m’arracha mes ongles. Les larmes coulèrent de mes yeux, du sang coulait de mes ongles.
-Je vais couper vos doigts par phalanges et ensuite vos mains. Après arracher vos cheveux. Et…eh vous m’être dans de l’eau bouillante, comme çà, par la suite on vous mangera et burons votre sang.
-Bandes de cannibales.
Ils me torturèrent ainsi. Ce n’était que des bêtes assoiffées. Ils étaient contents de maltraiter des gens, les faire souffrir jusqu’à la mort et les manger.
Quand se fut fait.
-Il n’a plus de vie. Il est mort par la souffrance. Cuissons-le et mangeons-le, sans oublier le sang frais.
Une semaine plus tard.
Un article paru à la Une du journal :
« Encore une disparition à l’école de La croix, cette fois-ci, il s’agit de Patrick Bear. Les policiers sont de plus en plus inquiets, que deviennent donc les victimes. »
Et d’autres professeurs se firent attraper. Les pauvres fous de l’école aimèrent çà. Jamais jusqu’à ce jour, ils ne se sont fait attraper. Les policiers n’ont jamais trouvé une piste, ou même encore des cadavres.