LE MANOIR DU FANTASTIQUE
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 L'heure des comptes

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viniwow
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MessageSujet: L'heure des comptes   L'heure des comptes EmptyVen 18 Nov 2005 - 15:43

L’inspecteur Pâlichon déboula au galop sur la Place Idoine, piétina trois piétons espagnols qui prenaient en photo la cathédrale St Pierre, et guida Bretzel, son cheval borgne, vers le petit commerce de fruits et légumes dont la vitrine avait été fracassée par les malfaiteurs. Il sauta du haut de sa monture en se réceptionnant sur deux doigts et ordonna qu’on nettoyât le sang hispanique qui commençait à s’infiltrer dans les pavés. Celui-ci risquait de se confondre avec les éléments de la scène du crime.

Aussitôt les pavés nettoyés, et malgré leurs vives protestations, les espagnols furent escortés à la morgue municipale où ils seraient brûlés le lendemain. L’inspecteur Pâlichon, satisfait de la rapidité de ses collègues, sortit de la poche de son imperméable un carnet de notes muni d’un stylo à l’encre aléatoire. Il avait pour habitude d’y consigner tous les éléments et tous les détails liés à une enquête en cours, tradition familiale qui remontait à bien des générations et faisait la fierté des Pâlichon.

Il s’approcha de Georges, l’un de ses collègues à la crim’, et lui soutira par la force un résumé complet des événements et un rapport sur l’avancée de l’investigation. Georges craqua au bout du deuxième doigt brisé et se mit à tout lui raconter en pleurant.
Le marchand avait fermé tard la veille pour faire le compte de la caisse, corvée qu’il repoussait depuis des mois sans jamais trouver le courage de s’y atteler. Alors qu’il en était à 54 euros et 24 centimes, un homme affublé d’une cagoule verte avait brisé la vitrine et pénétré dans le magasin par la petite porte en bois. Puis il lui avait tranché la gorge avant de s’enfuir avec tous ses fruits. Et c’était tout ce qu’ils savaient pour l’inst…
L’inspecteur Pâlichon avait tordu le majeur de Georges jusqu’à ce que celui-ci cède dans un scritch sonore.
En y repensant, la femme du commerçant avait été alarmée par le bruit. Elle était descendue par l’escalier de derrière, celui qui menait à leurs appartements, et avait eu le temps de s’armer d’un fusil de chasse. Et elle avait tiré sur le voleur avant qu’il ne disparaisse dans la nuit. Une balle l’avait atteint à la cheville mais il s’était tout de même enfui. Voilà…
L’index de Georges prit soudain un angle douteux et émit un scratch assourdissant.
A ressasser les souvenirs, des détails vous revenaient inexplicablement en mémoire. Aussi, la cagoule du voleur était jaune et non pas verte, et le commerçant, Raoul de son nom, n’avait pas encore trouvé le courage de commencer le décompte de sa caisse à ce moment de la soirée. Mais cette fois-ci, il n’y avait vraiment plus rien à ajouter.
L’inspecteur Pâlichon hocha la tête et lâcha la main douloureuse de son collègue qui se la massa en séchant ses larmes. Il arma son stylo et reporta dans son carnet les moindres détails du récit de Georges. L’encre avait choisi une teinte auburn et semblait tirer sur le roux, ce qui n’était pas de bon augure, l’inspecteur le savait d’expérience.
- Et les autres malfaiteurs, s’enquit Pâlichon auprès de Georges. Pas de traces ?
- Le type était tout seul, jura Georges.
- Je pensais qu’ils étaient plusieurs.
- Non, non, je vous assure !
- Des témoins ?
- Non.
- D’où tenez-vous tous ces détails alors ?
Georges fit un pas en arrière et cacha ses mains dans le dos.
- C’est pas moi, c’est Hank !
- Quoi c’est pas vous, qu’est-ce que ça veut dire ? Enfin expliquez vous !
- C’est lui qui m’a raconté tout ça, dit-il en désignant de sa main valide un petit homme trapu qui fumait un cigare en observant la dépouille de Raoul. C’est lui qui m’a tout dit, allez le questionner !
Pâlichon rangea son carnet et s’approcha de l’homme en question qui ne daigna même pas lui adresser un regard. Il toussota doucement pour se faire remarquer mais le cigare fit la sourde oreille. Aussi, l’inspecteur lui délogea la rotule d’un coup de talon bien placé. L’homme parut enfin le remarquer et se fendit alors d’un sourire chaleureux, quoiqu’un peu bâclé.
- Inspecteur ! C’était vous ! Ah, quel distrait je fais quand je fume ces saletés !
Il jeta un regard lourd de mépris à son cigare et le jeta sur la cadavre qui commença aussitôt à se consumer. Puis il remit en place son genou d’un geste expert et fit face à l’inspecteur.
- En quoi puis-je vous être utile ?
- Georges dit que vous lui avez tout raconté.
- Heu… Oui… Je lui ai dit ce que je savais sur cette affaire en tout cas. Quant à tout lui raconter, je crains fort que le temps me manque et je ne suis pas sûr de toutes façons d’avoir envie de m’étendre sur les aspects privés de ma vie, chose que vous comprenez je suis sûr. Et même si vous exceptez ces aspects…
L’inspecteur lui attrapa la main et lui brisa le pouce en le croquant avec ses pré molaires. Hank saisit le message instantanément et se tut dans la seconde, non sans avoir étouffé un cri de surprise.
- Ils étaient plusieurs ?
- Ben non pourquoi ?
- Je croyais qu’ils étaient plusieurs.
- Ben… Non.
- Et d’où tenez vous ces informations ? Combien de témoins avez-vous interrogés ?
- Aucun. Pas de témoins.
Pâlichon croqua l’index de Hank et lui tordit violemment le poignet.
- Vous vous foutez de moi ? Et la bonne femme alors, personne ne lui a parlé ? C’est elle qui a appelé la police pourtant.
- Et bien non, elle a pas appelé, dit Hank en observant d’un air anxieux son majeur. C’est Stan qui a découvert la scène du crime ce matin en allant acheter des pommes.
- Georges m’a dit que la femme était intervenue.
- Oui, mais elle s’est recouchée ensuite.
- Comment vous le savez ?
- J’en sais rien.
Le majeur céda plus facilement que les autres doigts, peut-être la colère de l’inspecteur décuplait-elle ses forces, songea-t-il. De son côté, Hank ne manqua pas l’opportunité d’exprimer sa douleur et perdit au moins trois plombages qui se décrochèrent et allèrent rejoindre les bris de verres qui jonchaient le sol du magasin.
- Reprenons. Personne n’a interrogé personne ?
- Pas que je sache. On avait déjà pas mal d’éléments.
- Et c’est qui ce Stan ?
- Il bosse avec nous à la crim’.
- Ah ? Et pourquoi voulait-il des pommes ?
- Ben je sais pas moi.
- Et c’est lui qui vous a tout raconté ?
- Oui.
- Il est où ?
- Il fait partie de ceux qui ont emmené les espagnols à la morgue municipale.
- Parfait, dit l’inspecteur en relâchant sa prise, j’y vais. En attendant dîtes à Georges d’éteindre le cadavre, il prend feu. Pendant ce temps, vous, essayez de soutirer des informations à sa femme. Employez la force s’il le faut.
- Ok, mais vous savez la femme de Georges elle était pas là.
Un silence.
- Vous me provoquez là…
- Heu… non… dit Hank en reculant, puis frappé d’illumination : Ah ! Oui ! Ok ! J’ai compris ! La femme du mort bien sûr !!!
L’inspecteur jaugea son collègue, il voulait être sûr de pouvoir s’en remettre à lui.
- Ca c’est drôlement bien pensé, dit le petit homme en se rallumant un cigare. Sacrément malin…
- Je peux compter sur vous ?
Mais Hank s’était remis à l’ignorer et jouait à faire des ronds avec la fumée. Pâlichon soupira et sortit de la boutique qui commençait à s’emplir de vapeurs toxiques. Il fit la roue pour chevaucher Bretzel et donna deux petits coups de talons sur les flancs de l’animal qui partit au galop.
En chemin, il prit de nouvelles notes dans son carnet, sermonnant Bretzel qui l’empêchait d’écrire à cause des trop nombreuses secousses. Ce dernier lui rappela à juste titre qu’il aurait été bien plus judicieux de prendre ces notes avant de se mettre en route.
Pâlichon grogna dans la barbe qu’il n’avait pas. L’encre était pourpre désormais.
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viniwow
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MessageSujet: Re: L'heure des comptes   L'heure des comptes EmptyVen 18 Nov 2005 - 15:43

(suite)

Arrivé devant la morgue, l’inspecteur Pâlichon tira sur les rennes de Bretzel et le fit s’arrêter près des grandes portes automatiques. Il effectua un double salto, se réceptionna sur deux doigts et pénétra dans le hall, ignorant les hennissements de la bête qui avait grand soif. Aussitôt, une hôtesse l’accueillit toutes dents dehors et l’invita à s’asseoir sur l’un des sièges rembourrés qui longeaient les murs de la petite pièce. On viendrait le chercher quand ce serait son tour, voulait-il du thé en attendant ? Non. Du café alors ? Non plus, amenez moi Stan. La jeune fille obtempéra et se dirigea vers la réception pour dire deux mots au garçon qui observait la scène depuis son comptoir. Il se leva de sa chaise et s’approcha de l’inspecteur, dardant sur lui un regard méfiant.
- Qui êtes-vous ? dit-il.
- Inspecteur Pâlichon, j’enquête actuellement sur un vol et j’ai besoin de voir Stan, il est venu ici pour apporter trois espagnols.
- Je suis Stan.
- On m’a dit que vous travailliez pour la crim’, s’étonna l’inspecteur. Hank affirme que vous êtes de la maison.
- Oui, mais je suis bénévole ici. Que voulez-vous ?
- Vous êtes au courant du vol de cette nuit, à la Place Idoine ?
- Oui et bien ?
- Combien étaient-ils, les malfrats ?
- Le type était tout seul.
- Ah bon ?
- Oui, pourquoi ?
- Je pensais qu’ils étaient plusieurs.
- Ben non.
- Passons. Pas de témoins ?
- Non.
- Alors comment diable en savez vous autant sur le vol ? dit l’inspecteur en lui attrapant la main dans un geste défiant toute rapidité.
- Georges m’a mit au parfum.
L’index de Stan ne résista pas à la frustration de l’inspecteur et céda dans un scratch tout à fait correct.
- Je ne suis pas sûr de saisir, fit Pâlichon.
- Moi non plus.
- Ce que je veux dire, c’est que Georges affirme tenir ces informations de Hank.
- Et ?
Ce fut le tour du majeur.
- Et l’un de vous ment, c’est sûr.
- Pourquoi ça ?
- …
- Aïe ! Oui ! Non ! J’y suis. Tout à fait l’un de nous doit mentir, c’est sûr.
- Dîtes moi ce que vous savez.
Le marchand s’était fait agressé alors qu’il s’apprêtait à compter le contenu de sa caisse. Un homme en cagoule verte – Scratch ! Non, jaune ! - s’était introduit dans la boutique en cassant la vitrine et avait volé tous les fruits. Et il avait tué Raoul aussi.
- Et la femme bon Dieu ?
La femme était effectivement descendue, alertée par le vacarme, et avait tiré sur le malfaiteur. A bien y réfléchir, il n’était pas du tout certain que celui-ci ait été touché finalement.
- Tout ceci n’est pas clair, ils ont été touchés oui ou non.
- Heu… C’est « il », le type était tout seul. Mais faut demander à Georges.
- C’est bien ce que j’ai l’intention de faire mais vous allez m’accompagner, je veux en avoir le cœur net.
L’inspecteur entraîna Stan dehors et découvrit Bretzel allongé en plein soleil, la langue pendante et son unique œil clos à jamais. Il versa une larme et demanda au jeune homme de le conduire en voiture.
- Où ça, s’enquit-il.
- Soyez franc avec moi, Stan, dit l’inspecteur en lui jetant un regard désabusé. Vous n’avez rien compris à ce que je vous ai dit ?
- Ben si mais ça me dit pas où on va.
Pâlichon soupira et ouvrit son carnet de notes pour y consigner les nouvelles données.
- Pas grave, dit-il en écrivant. Conduisez, je vous guiderai.
L’encre arborait désormais une teinte rouge vif.

Au bout d’une heure, Stan et Pâlichon déboulèrent sur la scène du crime.
Le bâtiment était en flammes et des badauds s’étaient agglutinés sur la place pour admirer le spectacle. Georges se précipita vers les deux hommes qui contemplaient la scène d’un regard abasourdi et bafouilla qu’il n’y était pour rien, qu’il n’avait rien pu faire, que c’était Hank qui avait foutu le feu.
- Où est-il ? demanda l’inspecteur.
- Qui ça ?
- Hank, bordel !!!
- Dedans.
- Comment ça dedans ?
- Ben il est pas sorti, il a pas fait gaffe, c’est toujours pareil quand il fume un cigare.
- Et vous êtes tout seul, là ?
- Oui, tous les autres sont rentrés. Faut dire qu’il est midi et demie…
- Et la femme du mort, elle est où ?
- Elle regarde l’incendie juste là.
Georges avait tendu le bras et désignait une femme grassouillette en tablier de cuisine. Celle-ci semblait apprécier les couleurs qui se dégageaient du foyer et contemplait dans une admiration béate les milliers d'insectes dorés s'envoler vers les cieux. Pâlichon l’aurait juré, la pauvre folle ne réalisait pas que derrière les flammes se trouvaient son magasin et ses appartements.
- Alors, elle est passée à table ?
- Ben pas encore, mais vu l’heure ça ne saurait tarder.
- Faut vous magner bordel, on a un vol sous les bras et le commissaire veut des résultats rapides. Il faut qu’on coince le salaud qui a fait ça !
- Heu… Sans vouloir vous contrarier inspecteur, je ne suis pas sûr que ça nous fasse avancer qu’elle passe à table.
- Mais qu’est-ce que vous me chantez là ? C’est un témoin capital ! Elle est la seule à avoir vu le voleur !
- Oui, ça je dis pas, mais je vois pas le rapport avec…
- Otez moi un doute, le coupa l’inspecteur. On parle bien de la même chose là ?
Georges déglutit et détourna l’attention en changeant de sujet.
- Au fait, alors vous savez s’il y a eu des témoins ?
- Non et vous faîtes bien de m’en parler. Stan dit que c’est vous qui l’avez mis au parfum. J’aimerais qu’on m’explique d’où sortent toutes ces infos !
Georges se tourna vers ce dernier et eut un soupir de mépris.
- C’était toi qui était censé avoir découvert le corps, crétin !
- Non, on avait dit que tu étais aller chercher des pommes, se rembrunit Stan.
- Le coup des pommes s’était toi, pauvre nouille.
L’inspecteur Pâlichon n’en croyait pas ses oreilles.
- Attendez, attendez, j’ai peur de comprendre, dit-il en secouant la tête. C’est un coup monté ???
Il attrapa les mains valides de chacun et les pressa lentement, avec une force qui n’augurait rien de bon pour la suite de la discussion.
- Maintenant, racontez moi tout.
Brigitte était la cousine de Hank, commença Georges, et elle en avait plus que sa claque de… - Scratch ! Qui est Brigitte ? – Brigitte était la femme du mort et elle en avait plus que sa claque de voir son faignant de mari repousser sans cesse l’heure des comptes. Cela faisait des mois que l’argent moisissait dans la caisse enregistreuse et les huissiers se succédaient à leur porte avec une régularité de plus en plus alarmante. Hier soir, elle avait donc retroussé ses manches et s’était mis en tête de compter les sous elle-même. Mais lorsqu’elle arrive à la boutique, reprit Stan, elle aperçoit une silhouette penchée sur la caisse. Elle attrape donc le fusil de son mari et tire sur le visiteur à bout portant. Là où ça coince, c’est que le visiteur en question, ben c’était justement son… - Scratch ! Son mari qui s’était finalement décidé, merci j’avais compris, et donc ? – Et bien, comme elle savait que son cousin travaillait à la crim’ elle a décidé de faire appel à lui pour qu’il arrange l’affaire. Hank nous a donc appelé pour qu’on lui file un coup de main et on a mis ensemble ce scénario en place avant que vous arriviez.
- Vous êtes cons à ce point là ?
- Ben…
- C’est que…
- Vous êtes déprimants de connerie, et dire que vous êtes flics…
- On s’est un peu mélangés les pinceaux mais ça a failli marcher !
L’inspecteur Pâlichon se plaqua les mains sur le visage et s’étira les traits, tentant d’intégrer ce qu’il venait d’entendre. Puis, il empoigna son téléphone cellulaire et composa le numéro du commissariat.
- Vous deux restez là, dit-il à l’attention des deux complices.
Lorsqu’on lui répondit au bout de la ligne, l’inspecteur exigea que l’on dépêchât sur place une escorte armée pour conduire trois suspects à la morgue municipale, et raccrocha. Il passa les menottes à ses ex-collègues et attrapa par le bras Brigitte qui, choquée d’être prise à parti dans l’affaire du vol de sa propre boutique, cria au scandale et mordit l’inspecteur jusqu’aux sangs.
Le petit groupe ainsi formé fut embarqué à la morgue où ils seraient brûlés le lendemain en compagnie de trois touristes espagnols.

Installé à la terrasse d’un des nombreux cafés de la Place Idoine, l’inspecteur Pâlichon contemplait la teinte bleu pastel de ses notes. L’enquête était terminée et la couleur de l’encre était là pour en attester. Il tira une cigarette de son paquet et la porta à sa bouche sans l’allumer. On pouvait lire dans son regard une certaine satisfaction quant au travail accompli mais surtout le plaisir inégalable d’avoir eu raison depuis le début.
Ils étaient bien plusieurs.
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thomas desmond
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MessageSujet: Re: L'heure des comptes   L'heure des comptes EmptyVen 9 Déc 2005 - 15:15

mdrrrr

Je l'ai lue dans mon lit hier soir et j'ai bien ri !! surtout le coup de "elle est partie se recoucher"... ma copine m'a demandé si je me sentais bien...

Sinon l'histoire n'est pas très originale mais le traitement est génial !!
Quelle originalité !!
Tu pourrais mieux présenter l'inspecteur au-début, le rendre encore plus fou, nous le détailler à fond !
Bref, la retaper pour la faire passer de petite histoire rigolote à super nouvelle fendar !!
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MessageSujet: Re: L'heure des comptes   L'heure des comptes EmptyLun 12 Déc 2005 - 16:54

Merci boss! Ca manque de substance c'est clair mais c'est pas à prendre au sérieux, ceci dit je pourrai peut-être approfondir le perso oui.
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berval81
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MessageSujet: Re: L'heure des comptes   L'heure des comptes EmptyDim 18 Déc 2005 - 7:03

Moi, j'ai trouvé ça très bon bien que le bris de doigts soit un peu trop répétitif à mon gout.
En tout cas, j'ai bien ris et le côté décallé m'a sérieusement fait pensé à Fluide Glacial...D'ailleurs, à peine un peu retravaillé, cette histoire trouverait surement sa place dans ce journal.
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Paracelse
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MessageSujet: Re: L'heure des comptes   L'heure des comptes EmptyMer 28 Déc 2005 - 3:59

hahaha je viens de la lire et elle est génial.
je vais parcourir le forum pour voir si tu en as écrites d'autres
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thomas desmond
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MessageSujet: Re: L'heure des comptes   L'heure des comptes EmptyLun 2 Jan 2006 - 7:54

N'oublie pas que tu as accès sur ce forum à la bibliothèque : https://nouvelles.forumactif.com/viewtopic.forum?t=323 qu'il faut d'ailleurs que je mette à jour !
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myrtille
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MessageSujet: Re: L'heure des comptes   L'heure des comptes EmptyMar 17 Jan 2006 - 20:43

J'aime beaucoup le rythme, c'est hop hop hop ! On lit, on lit, on court , on court derrière pour aller plus loin... C'est bien Vincent : plein de vivacité ! ça me plaît bien...
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viniwow
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MessageSujet: Re: L'heure des comptes   L'heure des comptes EmptyVen 20 Jan 2006 - 22:49

Merci Myrtille, content de ne pas t'avoir ennuyée avec ce texte! En fait je dois dire que je suis assez surpris de l'accueil général autour de cette chtite nouvelle, je l'avais vraiment écrite dans un délire! J'ai des périodes comme ça où j'ai des absurdités qui me passent par la tête et parfois je les écris. Je vais peut être écrire une pseudo suite pour l'atelier du coup. baffle
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myrtille
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MessageSujet: Re: L'heure des comptes   L'heure des comptes EmptySam 21 Jan 2006 - 10:49

Eh bien si tu avais souvent d'autres délires comme celui-là, ce sera bien... cheers
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