Mon Roman (pas de titre pour l'instant !)

Voici le premier chapitre de mon roman. J'aimerais beaucoup avoir votre avis et quelques conseils afin de le rendre plus long, plus attrayant et surtout, plus effrayant. Bonne lecture et laissez des commentaires. Ah oui, et si par hasard, vous avez une idée de titre "français" pour mon livre, n'hésitez pas -_-' Ah oui, je précise que c'est quand même la première fois que j'écris vraiment avec motivation... Donc, j'espère être un peu à la hauteur !



Daniel regarde en direction du ciel où il admire la lune, qui illumine l’endroit terrifiant qu’il fréquente. Quelques étoiles étincelles dans la nuit, devenant de plus en plus sombre lorsque des nuages grisâtres couvrent le ciel, laissant présager un orage déclenché par une succession d’éclairs. Ceux-ci transpercent l’épaisse couche qui était venue assombrir le monde pour briller, un instant, et aveugler Daniel qui continuait d’admirer ce phénomène météorologique. Il baissa soudain les yeux et senti quelques sueurs froides qui vinrent lui glacer le sang. Sueurs provoquées par la peur de l’inconnue car il n’avait aucune idée d’où il pouvait se trouver. Autour de lui étaient plantées des pierre tombales gravées à leurs destinataires. Daniel se tourna sur lui même pour constater qu’il était bien au centre d’un cimetière, au milieu de nulle part. Une douce pluie commença à tomber du ciel et s’intensifier peu à peu pour inonder la terre, sous les pieds de Daniel. C’est alors qu’il constata que le sol se mouvait et arrêta son regard sur la tombe située devant ses yeux. Il recula de trois pas, effrayé par le sol remuant à l’emplacement de la tombe. Un éclair explosa dans le ciel dans un grondement de tonnerre, ce qui attira immédiatement son intention et augmenta son stresse, qui le mettait mal à l’aise. Puis, il se re-concentra à nouveau sur le sol, où surgit une main sale et desséchée. Celle-ci se ferma sur la terre boueuse de toutes ces forces, comme pour aider le corps qui était rattaché à remonter à la surface. Soudain, une seconde main jaillit à son tour pour s’accrocher sur la tombe, la peau qui recouvrait les os visibles était sans vie et arrachée. La tête sortie alors du trou, puis le corps, habillé de vêtement déchiré, tout entier, remuant le sol boueux. Le revenant s’écroula par terre et s’arrêta de remuer. Daniel, sentait son cœur battre à grande vitesse et ne pouvait rester dans les environs. Mais il n’avait plus aucune force dans ses jambes, comme paralysé par la peur.

Le mort-vivant se releva avec difficulté et réussit à se tenir sur ses jambes, paraissant très fragiles. Il releva la tête pour voir l’humain qui se dressait devant lui, un œil tourna sur lui même pour se placer devant le trou, représentant un des deux yeux du masque blanc tâché de sang qui recouvrait son visage. Sous les yeux, de sombres marques rouges sèches dégoulinées sur le long des joues tel des larmes, que l’on peut qualifier comme un signe de tristesse. Il leva son bras gauche, raide, et pencha sa tête sur son épaule gauche pour tenir l’équilibre. Il avança, pas après pas, en titubant et ouvrit sa mâchoire squelettique non-recouvert de chaire, à peine remplit de quelques dents jaunies, accrochées encore parfaitement aux gencives. Daniel regardait ce revenant terrifiant progressé lentement vers lui, comme une mort certaine qui prendrait son temps pour s’exécuter afin de faire souffrir intérieurement sa proie. C’est au moment où l’on sent cette mort s’approchait que l’on se rend compte que, finalement, on aurait du profiter de la vie, surtout lorsque l’on a que vingt ans. Le zombie n’était plus qu’à quelques mètres du jeune-homme, qui s’enfonçait dans la terre boueuse transformée en sable mouvant, tétanisé par ce qui allait lui arriver. Il espérait que ce serait une mort rapide où il n’aurait pas le temps de souffrir, mais il ne pouvait à présent plus réfléchir car l’être sans vie l’agrippa aux épaules avec ses mains blanches et froides. Daniel, n’eu qu’un réflexe, celui de fermer les yeux, attendant son heure venir.

C’est alors qu’il se réveilla en sursaut, dans le lit de sa chambre. La pénombre qui y régnait était éclairée par quelques rayons de lumières produits par les lampadaires, qui ornaient le bord de la rue. Ceux-ci, s’infiltraient par dessous les volets à moitié fermés. Il se redressa pour s’asseoir sur le bord de son lit et bloqua sa tête contre ses deux mains en appuyant très fort, comme pour faire sortir ses images monstrueuses qui hantaient son esprit, il y a encore quelques secondes. Il caressa ses cheveux, se frotta les yeux pour tenter de se réveiller et se leva du lit. Il traversa sa chambre et regarda alors l'heure qui s'affichait sur sa chaîne stéréo. Il est deux heures du matin et Daniel tombe encore de fatigue. Malgré tout, il fait quelques pas le long de la pièce pour réfléchir. Celui-ci refuse de retourner s'endormir, de peur de refaire ce cauchemar horrible. Il tente de penser à des choses agréables, qui pourrait lui retirer ses idées horrifiques de son crâne, mais stressé comme il l’était, il n’y parvint pas. Ses yeux fixaient successivement des endroits de sa chambre, qui lui paraissaient sans danger, comme le dessous sombre de son lit, sa porte grande ouverte pouvant cacher une ombre derrière. Il est devenu complètement paranoïaque et sentait une présence derrière lui à chaque instant. A présent, il ressentait une chaleur immense enivrer sa chambre et s’approche alors du radiateur, pour le baisser au niveau zéro. En levant la tête, il regarde à travers la fenêtre en se penchant pour regarder le ciel, et resta rêveur face aux étoiles qui brillaient et illuminaient la nuit. Il espéra alors que les images qui lui trottaient dans la tête ne re-surgiraient pas dans ses rêves après avoir contemplé un aussi beau ciel. Il baissa les yeux vers la rue et bloqua instantanément sur une ombre blanche situé au milieu de la route. Un léger sursaut de frayeur le fit paniqué quelques instants et il se remit de cette émotion. Celle-ci était vêtu d'une longue robe blanche à manche longue, qui paraissait fluorescente, et qui se terminait par une fine capuche cachant les longs cheveux bruns de la personne. Elle regardait Daniel à travers un masque blanc, semblant tâché de sang en dessous des yeux et les formes de l'ombre blanche représentait une femme de grande taille et maigre. Daniel resta figé face à cette situation stressante. Qui est cette personne étrange ? Pourquoi regarde-t-elle dans sa direction ? C'est alors que la femme tendit sa main vers lui, et le fixa d'un doigt menaçant. Daniel recula d'un pas, effrayé par cette ombre blanche. Il ferma les paupières quelques instants et se positionna à nouveau devant la vitre. L'ombre blanche avait complètement disparut. Il restait une fine ombre sur le sol, dû au reflet des lumières, qui s'éclipsait sur la droite de la rue. Puis, plus rien.

Bonjour ça,

Pourquoi ne fais-tu pas des phrases plus courtes, et pourquoi commences-tu au présent et tu continues au passé simple.

Citation :

Daniel regarde en direction du ciel

Citation :

Daniel se tourna sur lui même

Tu pourrais : Daniel regardait en direction du ciel et ensuite : Daniel se tourna sur lui même

Vois-tu la différence ?

Pour donner du rythme, et de la tension comme il y en a par la suite :

Citation :

C’est alors qu’il constata que le sol se mouvait et arrêta son regard sur la tombe située devant ses yeux.

Des petites phrases courtes où il paraît le souffle court :

Citation :

C'est alors qu'il constata que le sol se mouvait ! Son regard se riva à la tombe situé devant lui.

Ce que j'écris n'est pas bon et ne te plaira peut-être pas, mais j'essaie de te faire sentir quelque chose : en un temps court, Daniel ressens un chaos, beaucoup d'émotion, une peur, une frayeur, il est figé, sans souffle, bouche bée. Tu vois tous ces détails, ça va très vite, un temps très court, ça se bouscule autant dans sa tête qu'autour de lui. Vois-tu ?

Autrement c'est pas mal du tout, si tu t'y accroches avec plus de conviction et si tu doutes moins de toi, ça peut donner quelque chose de très bon. Mets-y de l'intensité, des tripes, du mouvement, donne-toi à fond.
Ta description est trop narrative, c'est à dire qu'elle prend le temps de vivre, et quand il s'agit d'entrer dans l'action de circonstances comme c'est là, il faut bousculer un peu l'atmosphère, et ton écriture. Si tu donnes un peu de tout ça, tu vas donner du sang, du feu, de la vie, de l'intensité. Captive encore plus fort par l'intensité que tu feras ressentir plutôt que chercher à captiver par ta description. Et adopte ou le présent ou le passer, mais sache que c'est deux styles différents, forcément, ça ne donne pas le même rendu. Allez, accroche-toi, c'est bon, c'est un bon début qui mérite que tu le ravigote un peu. Imagine, les tremblements, etc, baigne-toi franchement dans ton histoire, et tu vas en avoir la chair de poule.
Reprends ton texte, sans hésitation.
C'est quand on a fini d'écrire l'histoire, qu'on commence à écrire le roman. Il faut un jet, deux jets, trois, quatre, et jusqu'à ce que tu te sentes vibrer dedans. Pour ce qui est de mon avis, tu peux donner encore plus de toi dans ce que tu as déjà écrit.

Allez courage !
Le titre te viendra tout seul.

Myrtille, je te remercie infiniment pour avoir répondu à mon post... Tu viens de me donner une motivation que je n'avais pas auparavant.

Je vais faire comme tu as dit et améliorer mon style d'écritures en faisant attention et entrant dans mon histoire.

J'ai décidé qu'il vaudrait mieux, pour moi commencer, écrire des nouvelles et cette histoire fera partie d'une nouvelle. Je pense que ça me permettra d'approfondir mon écriture et surtout, ne pas perdre la motivation au fil des pages...

Des courtes nouvelles fantastiques seront plus intéressante pour moi car après tout, je débute... Je ne vais pas voir les choses en grand.

Encore une fois, merci car tes conseils me seront très utiles ! Je posterais ma première nouvelle bientôt, je suis entrain de l'écrire... En rapport avec une histoire vrai qui m'est arrivé, mais légèrement modifié !

Bonjour ça,

Je suis contente que tu retrouves un peu plus de motivation à la suite de mon post.
Pour écrire, écris comme tu sens, simplement, sans figure de style, il faut que tu "parles" avec tes tripes en faisant sortir ce qu'il y a en toi, il faut que tu y mettes ton coeur, le ton pathétique. Sois naturel, ton coeur à table, ouvert, et pathétique dans sa vérité que tu veux exprimer à l'écriture, même s'il s'agit de fantastique.

L'avatar que tu as choisi en est l'image, tu vois comme le clown est vrai, et pathétique sous son masque. Il y a le vernis, la surface, la peinture, mais en dessous, c'est de l'intensité, c'est la force de ton être que tu dois exprimer, sans te poser de question si c'est bien ou mal, sans te demander si c'est bien dit ou mal dit. Il faut que tu penses avec ta tête comme d'habitude, mais quand tu écris il faut que tu prêtes à ta plume (je veux dire à tes doigts sur le clavier) ta pensée, ton âme, et que tu fasses battre ton coeur au bout de tes doigts pour qu'ils tapent les touches qui parleront de ton coeur, ce qu'il y a dedans.

Pars un peu à l'aveuglette sans vouloir synchroniser, chatier, reprendre, et remanier, Ecris sur n'importe quoi, libère-toi, mets-y ce que tu as envie d'exprimer. Ensuite tu prendras du recul, un répit au cours duquel tu incubera la prochiane écriture, et tu choisiras une nouvelle et son thème. Pratique l'exercice de sortir ou d'extraire de toi, ce qui peut remonter à la surface ou ce que tu veux faire naître en dehors de toi, car c'est accoucher simplement de mots que tu n'aurais pas dit par cet acte de passion dans l'écriture. Me suis-tu ?

C'est comme cela que l'on naît écrivain...
Tiens-moi au courant et n'hésite pas à venir trouver de la motivation auprès de moi ;o)

Encore merci !

Je comprends ce que tu veux dire, un peu de chose prêt. Je vais donc faire ainsi pour écrire ma nouvelle. Je vais essayer de suivre les conseils.

Au faîte, je me ballade toujours avec une feuille et un crayon sur moi car quand je me ballade pour noter les idées que je peux avoir... Et oui, on ne sait pas quand l'inspiration intervient dans la vie d'un homme !

Est-ce que c'est bien ? Est-ce que beaucoup d'entre vous le font ?

Oui je pense que c'est bien car beaucoup le font !
De plus l'inspiration est une sorte de spontaneïté

Bonsoir ça,

Ce qu'il te faut c'est un petit carnet pour prendre tes notes, c'est mieux qu'une feuille volante. Note tout ce qui te vient, où que tu te trouves et tu seras surpris que parfois en des lieux où tu ne t'y attendais pas, tu auras l'inspiration. Sans doute as-tu remarqué si tu as déjà sur toi de quoi prendre des notes, sinon tu n'aurais pas cette feuille et ce crayon en permanence sur toi. Quand ton carnet et plein, prends-en un autre. Parfois de notes naissent une nouvelle, un roman etc.

Bonsoir Paracelse,

Très bien dit, très vrai !

Bise

ça a écrit:

(…)
Au faîte, je me ballade toujours avec une feuille et un crayon sur moi car quand je me ballade pour noter les idées que je peux avoir... Et oui, on ne sait pas quand l'inspiration intervient dans la vie d'un homme !
Est-ce que c'est bien ? Est-ce que beaucoup d'entre vous le font ?

En ce qui me concerne, je le fais tout le temps, pour ma thèse: si on ne note pas les idées qui surviennent au fur et à mesure, on risque de les perdre à jamais, mais encore faut-il les classer de façon à les ressortir quand il faut, mais, là, je crois que mes tâches d'archiviste-documentaliste m'ont donne la (dé)formation professionnelle qu'il faut.

Bonsoir Lou,

Pas grave le désordre dans un petit carnet, si gros soit-il, essaie de ne pas le prendre trop épais, de manière aussi à t'y retrouver sans classement. Des notes se répèrent très vite, n'oublie pas la mémoire visuelle qui se met en route au moment de vouloir rechercher.

Citation :

je crois que mes tâches d'archiviste-documentaliste m'ont donne la (dé)formation professionnelle qu'il faut.

Oui, et c'est très bien.

Merci, merci, Myrtille, tes conseils tombent à pic, parce que j'ai toujours tendance à prendre des carnets bien trop épais, mais, heureusement, dans la nuit, je ne m'endors pas tant que je n'ai pas copié mes notes du jour sur mon ordinateur et, aussi, par précaution certes mais surtout pour la beauté de la chose, sur des cartons Bristol que je remplis à l'encre de Chine, on a beau dire, mais rien ne remplacera le crissement de la plume d'oie (cadeau de ma mère pour mon dernier anniversaire) sur la peau du Bristol, sans parler du parfum qui se dégage de ce contact.

Oui, alors là Lou, cela correspond à un profond désir de l'écriture en y gravant ton coeur, si l'on peut dire pour te montrer combien c'est un rituel où tu attaches une grande importance dans cet acte. Ce qui révèle un caractère de ta personnalité sur lequel il faudra que tu réfléchisses plus longuement. Bon trait de ta personnalité. Que personne n'en ri, il y a une signification à ce rituel, cette consécration, un sens tout à fait particulier, une liaison avec l'écriture.

Numérote les dates tes carnets ensuite sur la couverture. On peut le faire aussi pour ses carnets de chèques, c'est une astuce. Déformation aussi que d'aller au plus pratique. Par exemple pour un carnet commencé et fini en janvier , sur la couverture, ou plaquer dessus un post-it.
Mettre début et fin pour la date du genre 03/02/06 à 23/02/06 , si c'est le premier carnet mettre 01/06, et les autres seront des 02/06 et 03/06. Toujours en précisant les dates de début et de fin d'utilisation.
Ensuite, des post-it collés aux pages répérées qui en dépassent du carnet.
Par exemple tu traites de la connaissance et du savoir, alors toutes les citations ou notes en rapport, on y met le post-it avec le mot l'indiquant. Ce qui permet que le carnet rangé, des semaines et des mois après, on peut faciliter les recherches. Autre méthode, un carnet plus grand 15cm de haut. Alors sélectionner les parties, en ne méléngeant pas les sujets. Mettre un post-it à chaque partie qui dépasse et portant le mot signficatif pour s'y retrouver. N'écrire sur chaque partie que ce qui se consacre au sujet. Si vos poches de blouson ou de veste sont assez grandes pour ce carnet, pas de problème en hiver, mais pour l'été, faites comme moi, prenez un sac à main, et surtout ne perdez ni veste ni sac à main, car vous y perdriez vos notes et votre latin. Rien de plus rageant que de perdre ses notes sorties comme un jet et un naturel qu'on ne pourrait vouloir faire exprès!

Lou et ceux pour qui ce serait bien pratique, trouvez-vous un dictaphone et deux petites cassettes, c'est un supplément qui n'est pas inutile et vraiment pratique. On peut prendre des notes en marchant !

Amicalement

Ouah, et bien c'est génial. Pour ma part, je prenais déjà des notes oui... Et je me suis rendu compte que l'inspiration vient quand ça lui chante. Des endroits où je n'aurais jamais pensé ! En faîte, je crois que lorsque l'on se ballade, où qu'on rentre dans un endroit, on doit rester attentif à son environnement, à ce qui nous entoure pour apprendre des choses, évidemment, mais aussi pour se rendre compte que la principal source d'inspiration peut être la population qui vie sa vie autour de soit-même et qui n'ont aucune connaissance de ce que vous faîte.

Je vois, un jour, je suis rentré dans ma boulangerie de d'habitude et là, j'ai eu une inspiration en voyant la boulangère faire je ne sais quoi... ça date^^

Tout ça pour dire que, faut rester attentif à ce qui nous entoure pour peut-être également, mieux retranscrir l'humanité dans nos écritures.

Bonjour ça,

Eh bien tu as compris !

Connais-tu Will Self ? Il se met en plaine rue, à un point particulier où il désire faire son observation, sortie de métro etc, et regarde les gens passer, les gens vivre. L'inspiration est là.

Voici quelques liens mais en anglais. Il faut prendre un traducteur pour ceux qui ne connaissent pas la langue.

http://www.bostonphoenix.com/archive/features/00/11/09/WILL_SELF.html

http://www.bostonphoenix.com/archive/features/00/11/09/WILL_SELF1.html

http://www.disturb.org/WillSelf_eng.html

Traduction par traducteur Free :

http://chaines.free.fr/traduction/

Et pour aider à la traduction, faire traduire un texte, un forum d'aide gratuite et sympathique, pour plusieurs langues.
J'ai déjà eu recours à son aide

http://help.berberber.com/

Amicalement

Hello, je me demandais car j'ai bien réfléchit sur l'écritures de mon roman fantastique... Et disons que j'avais envie de faire quelque chose de particulier et de plutôt original. Et j'ai pensé a un truc :

Une équipe de "chasseur de fantôme" rejoint un terrain hantée. Pendant plus de trois semaines, ils vont s'acharner à comprendre les esprits qui hantent la maison et à les faire passer dans l'au-delà. Un jeune, qui apprend le métier avec cette première expérience tient un Journal où il raconte rapidement ce qui c'est déroulé, jour après jour. Ce journal sera donc le roman. En bref, un chapitre égal une journée dans le journal. Narration à "Je", il va raconter aux lecteurs ce qui se passent.

Je ne sais pas si c'est bien clair, pourriez-vous donner votre avis ? Je posterais chaque chapitre au fur et à mesure, faut que je termine le premier journal. Le but étant de faire réaliste alors que c'est une fiction... Dans le genre du film Blair Witch. Ben là, c'est l'auteur des journaux qui parlent à son journal sans arrêt et pas moi-même qui raconte une histoire !

J'attends vos commentaires, svp !

PS : Inutile de préciser qu'une recherche appronfondi en ce qui concerne les phénomène paranormaux et les esprits sera faîte !!