LE MANOIR DU FANTASTIQUE
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 Le Puits (Hommage à H.P. Lovecraft)

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kisshuige
Sangsue mort-vivante
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kisshuige


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Le Puits (Hommage à H.P. Lovecraft) Empty
MessageSujet: Le Puits (Hommage à H.P. Lovecraft)   Le Puits (Hommage à H.P. Lovecraft) EmptyJeu 18 Mai 2006 - 13:38

Le Puits.


Hommage à H.P.Lovecraft


Bastien vérifia qu’il avait bien pensé à se munir de tout ce dont il avait besoin. A ses pieds étaient disposés toutes sortes d’outils : bêches, pioche,… Il enfila ses gants et se mit à l’ouvrage. Il y avait maintenant plus de cinq mois que cette dénivellation dans son jardin l’énervait. Il avait d’abord donné priorité à l’intérieur de la maison en matière de travaux. Il avait repeint les plafonds, tapissé toutes les pièces. Il avait même décapé et poncé les parquets de l’étage et les avait ensuite traité pour leur rendre leur lustre d’origine Etant donné qu’il avait emménagé dans son nouveau domicile en plein mois de novembre, il lui avait semblé logique d’attendre le retour du printemps et de ses beaux jours avant de s’adonner aux travaux d’extérieur. Maintenant que le soleil était revenu pour de bon, il était temps de supprimer cette énorme bosse qui défigurait ses pelouses. Bastien était le second acquéreur de cette maison. Le premier avait disparu et ses héritiers avaient mis son bien en vente des années plus tard, lorsque l’espoir d’un hypothétique retour de leur parent n’avait plus de raisons d’être. Bastien supposait que le propriétaire précédent avait effectué des travaux et avait enfoui dans le jardin des remblais ou autres résidus de ses œuvres. Dès le départ, Bastien avait été intrigué par cet amas recouvert d’herbe. Il avait creusé un peu et était arrivé sur une bâche en toile. Il était temps maintenant d’aplanir le terrain.
Quelques coups de bêche plus tard, il avait mis à jour ladite bâche. Il la souleva et, comme il l’avait prévu, trouva des briques, des morceaux de poutres et divers matériaux. Il commença à déblayer le tout. Au fur et à mesure qu’il avançait, il s’aperçut que ces débris camouflaient quelque chose d’autre. Il découvrit alors une plaque de granit. Cela lui parût bizarre. En effet, cette dernière faisait environ 2 mètres sur deux. Que pouvait donc bien faire au milieu de la terre cette plate-forme ? Il remarqua également qu’à chacun des coins était enfoncés d’énormes riverets. Ce détail attisa sa curiosité. Il se souvint qu’il avait dans ses outils une gigantesque perceuse capable de percer le béton. Elle devrait par conséquent être capable de briser cette plaque. Il alla la chercher sur le champ et, quelques secondes plus tard, il s’échinait à ébrécher l’obstacle. Il le brisa en plusieurs fragments au prix d’efforts considérables tant la couche était épaisse. Il mit près de deux heures à tout enlever. Il avait dégagé une sorte de dôme métallique noir. Ce dernier était fermé par un énorme verrou. Il pensa immédiatement à une ancienne citerne ou à un puits enfoui. Il ouvrit le battant. Une odeur fétide s’en échappa, le forçant à reculer. Il alla chercher une lampe de poche. Il eut beau agiter le faisceau lumineux dans les ténèbres, il ne pouvait rien distinguer tant ces dernières étaient épaisses. Une échelle métallique s’y enfonçait. Il n’osait pas prendre le risque de descendre tout seul. Il téléphona alors à l’un de ses amis pour lui demander s’il ne pouvait venir l’assister mais ce dernier lui répondit qu’il ne pourrait être là que le lendemain matin sur le coups de sept heures. Bastien se dit qu’il était plus prudent de prendre son mal en patience que de s’aventurer dans ce réservoir sombre. Il referma le couvercle et rentra chez lui. Il alla ensuite faire quelques courses et passa en même temps par un magasin d’outillage. Il y acheta une longue corde d’une bonne vingtaine de mètres. Cela lui servirait demain.

Bastien dormit très mal cette nuit là. Son sommeil, habituellement sans rêves, fut peuplé d’êtres cauchemardesques et de bruits effrayants. Il était poursuivit par des créatures rampantes dont la partie supérieure du corps était humaine mais dont le bas était constitué d’une informe nageoire. On aurait dit que leurs deux jambes atrophiées avaient fusionné pour se transformer en un monstrueux appendice caudal qu’ils agitaient pour se mouvoir. Leur regard était glauque comme celui d’un poisson et leurs bouches dévoilaient deux rangées d’os aiguisés sortant des gencives en guise de dents. Aussi bizarre que cela puisse paraître, Bastien avait beau courir aussi vite qu’il le pouvait, il ne parvenait pas à échapper à ces monstruosités. Il finit par s’éveiller en hurlant, le corps couvert d’une sueur froide et collante, alors qu’une des choses venait de réussir à lui attraper la cheville de sa main glacée et gluante.

Comme le soleil n’allait pas commencer à poindre, il préféra se lever et prendre une bonne douche pour chasser les bribes de ce rêve qui flottaient encore dans son esprit. Il se fit ensuite un café bien fort et sortit sur la terrasse fumer une cigarette. Il remarqua alors que le couvercle du puit avait été relevé. Mal à l’aise, il s’approcha prudemment. Il n’y avait rien d’anormal. Il se souvenait fort bien avoir fermé la trappe la veille mais sans prendre la peine de faire le verrou. Aucun animal errant n’aurait pu la soulever. Non. Le seul moyen d’y parvenir aurait été de la tirer de l’extérieur ou de la pousser de l’intérieur. Mais qui pénètrerait chez lui pour ce faire ? C’était la seule explication possible car rien n’y personne n’aurait pu survivre dans ce trou sans air ni lumière, dans cette atmosphère. Il décida de la laisser en position ouverte en espérant que l’odeur nauséabonde qui y régnait s’atténuerait. Il était toujours bien décidé à y descendre.

On sonna à la porte. C’était Denis, l’ami qu’il avait contacté la veille. Après quelques propos au cours desquels Bastien mit son ami au courant de son projet autour d’une tasse de café fumant, ils se mirent au travail. Bastien noua fermement la corde autour de sa taille. Denis restait en haut, prêt à remonter son ami au moindre signal. Ils savaient l’un et l’autre que l’oxygène se raréfiait dans ce genre d’endroit. Pour cette raison, ils avaient convenu d’un modus operandi en deux points. Si Bastien tirait deux fois sur la corde, il fallait le remonter. Tant que tout allait bien, il tirait une fois. Si jamais il perdait connaissance, les deux premiers points ne seraient pas respectés et Denis devrait le tirer hors de la citerne.

Bastien s’engouffra dans le trou béant, une lampe torche fixée à la ceinture, et descendit à l’échelle. Les barreaux de cette dernière étaient fixés dans un mur de pierres grisâtres suintant l’humidité. Bastien se dit que c’était certainement un ancien puit qui avait été condamné pour dieu sait quelle raison. Sa progression se faisait sans problème. L’air était plus respirable que ce qu’il n’avait cru de prime abord. Il tirait à intervalles réguliers pour signaler à son ami que tout se passait sans problème. Une bonne dizaine de mètre plus bas, l’échelle s’arrêtait. Bastien posa le pied sur un sol ferme. Sa lampe éclaira une surface de pierres noires et humides. Il avança doucement, prenant garde de ne pas glisser. Il regarda combien de corde il lui restait. Il compta approximativement neuf mètres de réserve. Il posa sa main sur le mur le plus proche et reprit sa progression le long de la paroi. Il arrivait au bout de la corde lorsqu’un courant d’air glacial lui fouetta le visage. D’où cela pouvait-il bien provenir ? Il appela Denis. Ce dernier lui répondit. Bastien hésitait entre remonter et se détacher pour poursuivre ses investigations. Il finit par choisir la première solution. Il se dirigeait vers l’échelle lorsqu’un effroyable hurlement retentit dans toute la citerne accompagné d’un bruit sourd et écoeurant qui se répercuta de mur en mur. Les ténèbres se firent ensuite totales. Les mains tremblantes, Bastien saisit à nouveau sa lampe de poche. La trappe s’était refermée. Au pied de l’échelle gisait son ami. Il se précipita afin de voir s’il n’allait pas trop mal. Il vit alors que son visage avait été affreusement griffé, comme par un chat sauvage, enragé. Il était mort dans sa chute. Pris d’une crise de claustrophobie incontrôlable, Bastien remonta l’échelle comme un fou. Il s’arc-bouta et poussa de toutes ses forces mais ne parvint pas à soulever le couvercle menant au-dehors. Il était enfermé. Il cria, hurla comme un possédé mais personne ne lui répondit. Il n’avait plus le choix. Il lui fallait redescendre et chercher d’où provenait ce courant d’air. De là, il pourrait peut-être rejoindre la surface. Il redescendit prudemment. Alors qu’il faisait attention où il mettait les pieds afin de ne point marcher sur la dépouille de son ami, il s’aperçut que le corps n’était plus là. A sa place il n’y avait qu’une énorme traînée gluante sur les pierres, comme si une gigantesque limace était passée et avait emporté Denis.
Bastien sentit ses poils se hérisser sur ses avant-bras. Il était hors de question qu’il traîne plus longtemps ici. Il suivit le courant d’air. Au fur et à mesure de sa progression, une lumière se dessinait. Cela lui semblait bizarre car il n’avait pas l’impression de remonter vers la surface mais, au contraire, de s’enfoncer plus profondément sous terre. Il accéléra le pas car, autour de lui, des bruits humides se faisaient entendre. Des chuintements, des bruits de succion. Bastien s’arrêta net.

Devant lui s’étendait une gigantesque mer. L’eau était noire comme la nuit. La plage de sable gris était jonchée d’épars squelettes mutilés. Il n’en croyait pas ses yeux. Il avait l’impression qu’il était revenu dans son cauchemar et qu’il allait se réveiller d’un moment à l’autre. Une telle chose ne pouvait exister, ignorée de tous. C’est alors qu’il comprit. Il n’avait aucune preuve mais il n’avait cependant aucun doute sur la question. Le propriétaire précédent qui avait disparu… Il avait certainement fait la même découverte mais n’en était jamais revenu. Peut-être était-ce ses enfants qui avaient rebouché ce puit ? Ce dernier était un accès à un monde souterrain dont personne ne pouvait soupçonner l’existence. Les rares personnes à l’avoir contemplé ne sont pas revenues comme l’attestaient les ossements s’étendant sans fin jusqu’à la bordée de l’eau. Un bruit humide le tira de sa contemplation. Derrière lui s’agitaient deux êtres mi hommes mi larves et chacun de leurs soubresauts moites les rapprochaient. Il courut comme un fou, cherchant une issue. D’autres créatures le prirent en chasse. Autour de lui s’étendaient des parois rocheuses trouées de cavernes. Les choses provenaient de là.
Soudain, le sol trembla et Bastien perdit l’équilibre. La mer venait de livrer passage à une gigantesque créature noire comme le péché originel ressemblant à une gigantesque pieuvre. Elle faisait bien quinze mètres de haut. Elle fouettait l’air de ses tentacules et ses hurlements faisaient vibrer l’air alentours tant ils étaient puissants. Les appendices fouettaient la surface noirâtre, soulevant d’immenses gerbes consistantes comme de la poix.
Bastien hurla comme une griffe poisseuse se referma sur sa cheville. Il n’eut pas le temps de se dégager avant que d’autres monstres ne l’attrapent à leur tour. Il eut beau se débattre, rien n’y fit. Les créatures le traînaient vers le monstre de la mer. Ce dernier s’était calmé. Il attendait patiemment qu’on lui livre sa proie.
L’eau visqueuse s’insinua dans les narines et la bouche de Bastien alors que les monstres l’attiraient dans la mer. Il lui était impossible de respirer. Il eut juste le temps de voir le tentacule s’emparer de lui et le soulever avant de mourir.
Sur la plage, les larves poussaient des cris ressemblant étrangement à une sinistre mélopée.

A la surface, deux personnes venaient de reboucher le trou pour masquer la trappe.
- Mère doit avoir mangé maintenant, dit l’une d’elles en ré enfilant ses gants pour masquer ses mains griffues.
- Certainement, répondit le second en regardant leur travail d’un air satisfait. Jamais personne n’aurait pu dire qu’un trou avait été creusé ici.
- Son règne est proche, ajouta-t-elle en cachant à son tour ses mains difformes. Louée soit Mère !
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MessageSujet: Re: Le Puits (Hommage à H.P. Lovecraft)   Le Puits (Hommage à H.P. Lovecraft) EmptyJeu 18 Mai 2006 - 14:26

oups euh c'est vachement bien !

en tout cas bravo !
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kisshuige
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MessageSujet: thx   Le Puits (Hommage à H.P. Lovecraft) EmptyVen 19 Mai 2006 - 12:23

Merci c'est gentil embarrassed
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MessageSujet: Re: Le Puits (Hommage à H.P. Lovecraft)   Le Puits (Hommage à H.P. Lovecraft) EmptyVen 19 Mai 2006 - 14:08

Et bien....
Que puis je dire à cela sinon que c'est très bien écrit...
C'est clair et très lisible....
Par contre si je peux trouver un point négatif, je dirais que les sentiments ne sont pas bien présents, je n'ai vraiment pas réussis à rentrer dans l'histoire....Je trouve qu'il n'y a pas assez de dynamisme....

Mais sinon c'est très bien...
Ce n'est que mon point de vue et il n'y a rien de méchant et tu écris bien mieux que moi mais en tant que lecteur c'est ce que je dirais ^^

Merci en tout cas...
On en veut d'autres ^^
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MessageSujet: le puit   Le Puits (Hommage à H.P. Lovecraft) EmptySam 20 Mai 2006 - 11:13

Merci Peter. Je te rassure je suis entièrement d'accord avec toi. Pour que la nouvelle soit finalisée correctement, il faudrait que j'y ajoute une dimension "émotionnelle" car elle est trop axée sur le descriptif. Le problème est que je suis parfois un gros fainéant, lol.
Merci de ton avis en tout cas c'est sympa
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MessageSujet: Re: Le Puits (Hommage à H.P. Lovecraft)   Le Puits (Hommage à H.P. Lovecraft) EmptySam 20 Mai 2006 - 19:34

Il y a là matière à une excellente nouvelle ! Déjà, un détail que j'ai aimé :
le fait que Bastien choisisse de remonter au lieu de poursuivre son exploration. Sais-tu pourquoi j'ai aimé ce détail ? Parce que c'est une réaction on ne peut plus réaliste ! Dans beaucoup de nouvelles où se déroule une situation semblable, le héros choisit de poursuivre son chemin, ce qui n'est quand même pas d'un grand réalisme ! Toi, tu évites ce piège. Résultat : ta nouvelle sonne juste !

J'ai toutefois repéré quelques défauts :

    Bastien est anonyme. Je sais, il a un prénom ! Mais qu'a-t-il d'autre ? Que fait-il dans la vie ? Qu'aime-t-il et qui aime-t-il ? Certes, camper un personnage dans une nouvelle n'est pas facile en raison de la brièveté du récit... Mais si tu racontais la façon dont il a fait connaissance avec son ami Denis, ce serait un bon moyen d'en dire plus sur son caractère ! Du coup, tu lui trouverais un caractère attachant (ou détestable ! Mais je te conseille de le rendre attachant, : sa mort n'en sera que plus horrible !)
    Méfie-toi des précisions inutiles :
    Citation :
    cette dernière faisait environ 2 mètres sur deux
    Tu peux te contenter de dire qu'il s'agit d'une grande plaque.
    Citation :
    Aussi bizarre que cela puisse paraître,
    Formule trop paisible, trop gentille ! On dit ça quand on s'étonne de quelque chose, mais pas quand on s'en effraie...
    "modus operandi" : il me semble que cette expression désigne... la façon dont les psychopathes tuent leur victime ! A n'utiliser qu'à bon escient, donc...
    Citation :
    Si jamais il perdait connaissance, les deux premiers points ne seraient pas respectés et Denis devrait le tirer hors de la citerne.
    Problème de cohérence : comment Denis pourrait-il deviner que Bastien perd connaissance ? A priori, ils ne se voient pas...
    Citation :
    Il eut juste le temps de voir le tentacule s’emparer de lui et le soulever avant de mourir
    "avant de mourir" est mal placé : on comprend que c'est Bastien qui meurt... mais pas dès la première lecture. Je pourrais te chambrer en te demandant si c'est le tentacule qui meurt après s'être emparé de Bastien, mais je ne le ferai pas... Oups ! Je viens de le faire ! Blague à part, "avant de mourir" passerait mieux en début de phrase...


Ce sont quelques pistes pour retravailler ton texte !
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MessageSujet: Re: Le Puits (Hommage à H.P. Lovecraft)   Le Puits (Hommage à H.P. Lovecraft) EmptyLun 22 Mai 2006 - 11:56

Merci Raphael pour cette très constructive critique. Il y a effectivement quelques formulations maladroites auxquelles je vais remédier. De surcroît, comme je le disais à Peter il faudrait que j'y ajoute une dimension émotionnelle. Je te rejoint donc sur le fait que Bastien est par trop anonyme.

Encore merci
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MessageSujet: Re: Le Puits (Hommage à H.P. Lovecraft)   Le Puits (Hommage à H.P. Lovecraft) Empty

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