L'avion.

Bonjour à tous,

Je vous propose de lire une nouvelle que j'ai écrite lors d'un voyage en avion (je déteste ça !) et qui s'appelle

Bonne lecture et bon weekend à tous !

Des remarques au pif, évidement subjectives pour la plupart :

"la liste de ces causes était précisément inchangée depuis plusieurs années déjà." => lourd.

"Non pas que cela provoquait en lui une peur particulière ; il n’était pas de ceux qui pourraient se liquéfier à peine montés à bord bien que toutes les statistiques prouvent qu’il s’agit du moyen de transport le plus sûr." => un peu lourde et maladroite, la seconde partie de phrase. Et puis après les "que" (surtout le premier) je ne sais pas s'il ne faut pas changer le temps du verbe ?

"Il abhorrait juste toutes ces inventions humaines" => un poil pompeux et lourd.

"Le brave qui conduisait le taxi comprit au ton qu’il avait employé qu’il était inutile d’engager
toute conversation avec ce client qui n’y verrait qu’une perte de temps et une convenance
inutilement fatigante." => cela se passe de commentaire

"Charles se réveilla avec la drôle d’impression de venir à peine de fermer les yeux alors qu’il avait dormi plus de huit heures." => plusieurs problèmes dans cette phrase. Notamment, il me semble qu'on dit soit "avec une drôle d'impression", soit "avec la drôle impression de..." (ce qui est maladroit d'ailleurs - "avec l'étrange impression de..." sonne mieux par exemple).

"...mais ses grandes jambes trouvaient difficilement place dans cet espace somme toute assez confiné." => encore un cas de lourdeur plus inutile qu'autre chose.

"Il n’y avait que le ciel, à perte de vue, magnifique, serein et hors de portée. Il avait envie d’uriner [...]" => joli ! Surtout, avec le contraste du début de phrase suivant.

"Il avait envie d’uriner – les deux chocolats au lait y étaient pour quelque chose – mais surtout avait grand besoin de dégourdir ses longues jambes..." => je pense pas qu'on puisse laisser ce pauvre "avait" perdu et tout seul comme ça, c'est peu fluide et désagréable à la lecture.

"- Tous ces cons ne peuvent pas rentrer en même temps dans le cockpit ! Ils ont oublié de me réveiller quand on est arrivé à New York et maintenant on est en partance pour je ne sais où... Les hôtesses vont entendre parler de moi… Elles ne pouvaient pas faire un peu attention ?" => ce n'est pas forcément la réaction la plus crédible qui soit, à ce stade.

-----------------

Avant tout, je note une petite tendance à verser dans un style trop "ampoulé", disons trop sophistiqué, jusqu'à la lourdeur et le pompeux parfois. D'un autre coté le vocabulaire est riche, le style relevé, avec un ton intéressant (cohérent avec le personnage par ailleurs). En fait, il faut "simplement" essayer de trouver un compromis entre les deux.

Ensuite, je m'interroge sur cette chute. Il fallait oser... Mais en même temps, je reste un peu sur ma faim et je ne peux m'empêcher de me dire "ouais, c'est un peu facile". Donc une chute qui fait son effet, mais reste à savoir s'il s'agit d'un bon effet.

Pour le reste, c'est pas mauvais du tout, l'écriture est maîtrisée - avec quand même les bémols évoqués plus haut - ; l'histoire se laisse suivre avec intérêt ; le personnage a de la consistance. La narration s'embarrasse parfois de détails inutiles, mais le cadre est plutôt bien posé et efficace.

Un petit texte sympa, qui donne envie de lire d'autres texte de l'auteur.
Au plaisir, donc

Salut

J'ai lu. Outre le fait que la fin me pose un problème (je ne serais pas dire lequel pour l'instant), je trouve que ton texte est plutôt bon et j'ai bien aimé ton perso principal qui ressemble un peu à Monk, avec ses troubles obsessionnels compulsifs (ton perso semble moins atteint je te rassure). Ton écriture est fluide et tout s'enchaîne à merveille, jusqu'au moment où il se reveille. Là le fait qu'il se mette à pleurer aussi rapidement m'a gêné, c'est trop précipité à mon goût. Et ton texte se termine bizarrement, sans réelle explication, même si la fin me rapelle sans conteste un épisode de la quatrième dimension que j'avais vu il y a longtemps. Voilà,sinon c'est pas mal. Au plaisir ^_-

Max a écrit:

Des remarques au pif, évidement subjectives pour la plupart :

"la liste de ces causes était précisément inchangée depuis plusieurs années déjà." => lourd.

"Non pas que cela provoquait en lui une peur particulière ; il n’était pas de ceux qui pourraient se liquéfier à peine montés à bord bien que toutes les statistiques prouvent qu’il s’agit du moyen de transport le plus sûr." => un peu lourde et maladroite, la seconde partie de phrase. Et puis après les "que" (surtout le premier) je ne sais pas s'il ne faut pas changer le temps du verbe ?

"Il abhorrait juste toutes ces inventions humaines" => un poil pompeux et lourd.

"Le brave qui conduisait le taxi comprit au ton qu’il avait employé qu’il était inutile d’engager
toute conversation avec ce client qui n’y verrait qu’une perte de temps et une convenance
inutilement fatigante." => cela se passe de commentaire

"Charles se réveilla avec la drôle d’impression de venir à peine de fermer les yeux alors qu’il avait dormi plus de huit heures." => plusieurs problèmes dans cette phrase. Notamment, il me semble qu'on dit soit "avec une drôle d'impression", soit "avec la drôle impression de..." (ce qui est maladroit d'ailleurs - "avec l'étrange impression de..." sonne mieux par exemple).

"...mais ses grandes jambes trouvaient difficilement place dans cet espace somme toute assez confiné." => encore un cas de lourdeur plus inutile qu'autre chose.

"Il n’y avait que le ciel, à perte de vue, magnifique, serein et hors de portée. Il avait envie d’uriner [...]" => joli ! Surtout, avec le contraste du début de phrase suivant.

"Il avait envie d’uriner – les deux chocolats au lait y étaient pour quelque chose – mais surtout avait grand besoin de dégourdir ses longues jambes..." => je pense pas qu'on puisse laisser ce pauvre "avait" perdu et tout seul comme ça, c'est peu fluide et désagréable à la lecture.

"- Tous ces cons ne peuvent pas rentrer en même temps dans le cockpit ! Ils ont oublié de me réveiller quand on est arrivé à New York et maintenant on est en partance pour je ne sais où... Les hôtesses vont entendre parler de moi… Elles ne pouvaient pas faire un peu attention ?" => ce n'est pas forcément la réaction la plus crédible qui soit, à ce stade.

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Avant tout, je note une petite tendance à verser dans un style trop "ampoulé", disons trop sophistiqué, jusqu'à la lourdeur et le pompeux parfois. D'un autre coté le vocabulaire est riche, le style relevé, avec un ton intéressant (cohérent avec le personnage par ailleurs). En fait, il faut "simplement" essayer de trouver un compromis entre les deux.

Ensuite, je m'interroge sur cette chute. Il fallait oser... Mais en même temps, je reste un peu sur ma faim et je ne peux m'empêcher de me dire "ouais, c'est un peu facile". Donc une chute qui fait son effet, mais reste à savoir s'il s'agit d'un bon effet.

Pour le reste, c'est pas mauvais du tout, l'écriture est maîtrisée - avec quand même les bémols évoqués plus haut - ; l'histoire se laisse suivre avec intérêt ; le personnage a de la consistance. La narration s'embarrasse parfois de détails inutiles, mais le cadre est plutôt bien posé et efficace.

Un petit texte sympa, qui donne envie de lire d'autres texte de l'auteur.
Au plaisir, donc

Un immense merci pour tes remarques qui sont très justes et lumineuses ! J'ai beaucoup réfléchi au ton qu'il fallait employer pour raconter cette histoire et le juste mesure entre style ampoulé (raccord avec le perso) et fluidité n'a pas été simple à trouver pour moi. Quant à la chute, j'ai voulu faire un petit clin d'œil aux vieilles histoires comme la Quatrième Dimension. Encore une fois, je suis un peu traumatisé avec les textes longs sur internet (personnellement je suis incapable de me concentrer sur un écran plus de quelques minutes) et ai donc la fâcheuse tendance à trancher dans le lard du récit... Je sais qu'il reste encore du travail pour que cette nouvelle soit satisfaisante mais on est d'accord sur les pistes à explorer. Une fois de plus, je te remercie !

Lestat a écrit:

Salut

J'ai lu. Outre le fait que la fin me pose un problème (je ne serais pas dire lequel pour l'instant), je trouve que ton texte est plutôt bon et j'ai bien aimé ton perso principal qui ressemble un peu à Monk, avec ses troubles obsessionnels compulsifs (ton perso semble moins atteint je te rassure). Ton écriture est fluide et tout s'enchaîne à merveille, jusqu'au moment où il se reveille. Là le fait qu'il se mette à pleurer aussi rapidement m'a gêné, c'est trop précipité à mon goût. Et ton texte se termine bizarrement, sans réelle explication, même si la fin me rapelle sans conteste un épisode de la quatrième dimension que j'avais vu il y a longtemps. Voilà,sinon c'est pas mal. Au plaisir ^_-

Bonjour Lestat et merci à toi aussi pour ton analyse. Comme je l'ai indiqué dans ma réponse précédente, j'ai le traumatisme du texte trop long sur internet ce qui explique le côté abrupt de la fin. J'y travaille, j'y travaille cher docteur... Pour ce qui concerne la Quatrième Dimension, en plein dans le mille ! C'est un hommage, on a vu le même épisode!
Merci beaucoup d'avoir pris le temps de lire et de poster ton avis.

Que dire de ce texte voyant tout ce qui a déjà été dit dont je partage l'avis..?

L'histoire est assez agréable à lire et j'ai aimé ton personnage principale on ne peux plus surprenant au travers de ce tumulte de petites habitudes.

On se laisse transporter assez facilement au fil du récit, curieux de voir où tu vas nous emmener et c'est un bon point.

Cependant, la fin est quelque peu rapide ce qui est dommage car sans cela, elle aurait été parfaite à mes yeux.

Au plaisir de lire un autre de tes textes...

Avis partagé : Histoire tranquille, on se demande où l'on va... Mais une fin un peu trop brusque et, du coup, incomprise... en tout cas pour moi qui n'a pas vu ce fameux épisode de la Quatrième Dimension.

Juste une interrogation : "dans un accès de colère noire" ... On ne dit pas plutôt dans un "excès" ?

Tes histoires sont agréables à lire. Continue

Time2Reload a écrit:

Juste une interrogation : "dans un accès de colère noire" ... On ne dit pas plutôt dans un "excès" ?

Non, non, l'expression est correcte. On dit aussi "dans un accès de fièvre, de folie, etc."

J'ai beaucoup aimé ton histoire, ton écriture est très fluide et permet de rentrer aisément et avec plaisir dans le vif du sujet. Je toruve que tu a bien croqué ce personnage en quelques lignes!
La fin est mystérieuse et je la trouve réussie, on peux immaginer ce qu'on veut (Dieu? Démon?).
Une belle réussite pour ma part!

Time2Reload a écrit:

Avis partagé : Histoire tranquille, on se demande où l'on va... Mais une fin un peu trop brusque et, du coup, incomprise... en tout cas pour moi qui n'a pas vu ce fameux épisode de la Quatrième Dimension.

Juste une interrogation : "dans un accès de colère noire" ... On ne dit pas plutôt dans un "excès" ?

Tes histoires sont agréables à lire. Continue

Merci Time2Reload ! Au plaisir de se recroiser ici.

jonathan-asian a écrit:

J'ai beaucoup aimé ton histoire, ton écriture est très fluide et permet de rentrer aisément et avec plaisir dans le vif du sujet. Je toruve que tu a bien croqué ce personnage en quelques lignes!
La fin est mystérieuse et je la trouve réussie, on peux immaginer ce qu'on veut (Dieu? Démon?).
Une belle réussite pour ma part!

Bah écoute, ça me fait vraiment très plaisir ! Je te remercie.

Bonjour ! J'ai lu ta nouvelle.

J'apprécie le personnage principal. Ses pensées (que tu dévoiles avec une bonne fluidité) laissent transparaître un Charles à la limite de la maniaquerie et la paranoïa (les masques qui shootent les passagers à l’oxygène en cas de problème). On pourrait même dire qu'il s'agit un personnage isolé de la société (Sortir de chez lui nécessitait une raison valable et incontestable), réfractaire aux nouvelles technologies (Il abhorrait juste toutes ces inventions humaines). Ses actions semblent minutées : Le conducteur klaxonna devant chez lui à l’heure précise. Charles était déjà prêt et n’avait plus qu’à sortir, fermer la porte à double tour abrité sous son parapluie noir, traverser en vitesse la courette pour rejoindre l’auto, s’installer à l’intérieur et saluer le chauffeur de façon cordiale. J'ai particulièrement apprécié ce passage car il montre que Charles cherche à tout planifier. Sa rencontre avec le taximan (qui, à mon avis, symbolise la société, la vie active, l'autre) est marquée d'une certaine froideur : Charles se montre antipathique avec son élégance exacerbée. Bref, c'est un personnage pissant, irritant, le type de personne que je n'aimerais pas rencontrer ; mais un personnage bien décrit. Il est présenté de façon si naturelle, si fluide que j'ai eu l'impression que tu l'as écrit en une seule fois ; on aurait dit que le personnage a jailli de ta plume

Par contre, sa réaction à son réveil me paraît précipitée et pas très crédible. Elles ne pouvaient pas faire un peu attention ? : personnellement, moi je dirais ça si des personnes avaient cassé un verre ou m'avaient légèrement bousculé ; mais là, Charles se retrouve seul dans un avion qui vole encore !! C'est ce que j'ai un peu regretté : L’avion semblait flotter au dessus des nuages blancs et immaculés de l’Atlantique en plein été. Il n’y avait que le ciel, à perte de vue, magnifique, serein et hors de portée. Et il se rend que l'avion est complètement vide ! Inquiétude, peur ! Il peut jeter encore un œil dehors, pour voir si l'avion vole toujours : il peut par exemple le faire tant qu'il est dans le cockpit. Moi, si jamais je rentre dans un cockpit et que je ne vois ni le pilote, ni le copilote, je regarde au dehors (encore une fois) pour voir si l'avion n'a pas atterri. Et surtout, je n'y crois pas ! C'est impossible ! Comment un avion peut se vider de ses passagers et continuer à voler ? (Enfin, ce n'est que mon point de vue, ce serait ma réaction).

J'ai adoré la chute. Je suis même resté bouche bée. Charles fera éternellement des va-et-vient dans un avion vide en partance pour je ne sais où. Et on garde l'atmosphère fantastique : pourquoi l'avion est vide ? Où va-t-il ? Comment va-t-il sortir de là ? On ne sait pas, et c'est à nous, lecteurs, d'imaginer. Par contre, c'est dommage que la fin soit un peu brusque ; faut dire qu'au départ j'ai pas très bien compris. Mais ça s'est arrangé après.

En conclusion, une nouvelle agréable à lire (malgré quelques lourdeurs), avec une bonne chute et un personnage principal désagréable et bien décrit.

Au plaisir de lire d'autres de tes nouvelles !

Tom.

Tom Delarive a écrit:

Bonjour ! J'ai lu ta nouvelle.

J'apprécie le personnage principal. Ses pensées (que tu dévoiles avec une bonne fluidité) laissent transparaître un Charles à la limite de la maniaquerie et la paranoïa (les masques qui shootent les passagers à l’oxygène en cas de problème). On pourrait même dire qu'il s'agit un personnage isolé de la société (Sortir de chez lui nécessitait une raison valable et incontestable), réfractaire aux nouvelles technologies (Il abhorrait juste toutes ces inventions humaines). Ses actions semblent minutées : Le conducteur klaxonna devant chez lui à l’heure précise. Charles était déjà prêt et n’avait plus qu’à sortir, fermer la porte à double tour abrité sous son parapluie noir, traverser en vitesse la courette pour rejoindre l’auto, s’installer à l’intérieur et saluer le chauffeur de façon cordiale. J'ai particulièrement apprécié ce passage car il montre que Charles cherche à tout planifier. Sa rencontre avec le taximan (qui, à mon avis, symbolise la société, la vie active, l'autre) est marquée d'une certaine froideur : Charles se montre antipathique avec son élégance exacerbée. Bref, c'est un personnage pissant, irritant, le type de personne que je n'aimerais pas rencontrer ; mais un personnage bien décrit. Il est présenté de façon si naturelle, si fluide que j'ai eu l'impression que tu l'as écrit en une seule fois ; on aurait dit que le personnage a jailli de ta plume

Par contre, sa réaction à son réveil me paraît précipitée et pas très crédible. Elles ne pouvaient pas faire un peu attention ? : personnellement, moi je dirais ça si des personnes avaient cassé un verre ou m'avaient légèrement bousculé ; mais là, Charles se retrouve seul dans un avion qui vole encore !! C'est ce que j'ai un peu regretté : L’avion semblait flotter au dessus des nuages blancs et immaculés de l’Atlantique en plein été. Il n’y avait que le ciel, à perte de vue, magnifique, serein et hors de portée. Et il se rend que l'avion est complètement vide ! Inquiétude, peur ! Il peut jeter encore un œil dehors, pour voir si l'avion vole toujours : il peut par exemple le faire tant qu'il est dans le cockpit. Moi, si jamais je rentre dans un cockpit et que je ne vois ni le pilote, ni le copilote, je regarde au dehors (encore une fois) pour voir si l'avion n'a pas atterri. Et surtout, je n'y crois pas ! C'est impossible ! Comment un avion peut se vider de ses passagers et continuer à voler ? (Enfin, ce n'est que mon point de vue, ce serait ma réaction).

J'ai adoré la chute. Je suis même resté bouche bée. Charles fera éternellement des va-et-vient dans un avion vide en partance pour je ne sais où. Et on garde l'atmosphère fantastique : pourquoi l'avion est vide ? Où va-t-il ? Comment va-t-il sortir de là ? On ne sait pas, et c'est à nous, lecteurs, d'imaginer. Par contre, c'est dommage que la fin soit un peu brusque ; faut dire qu'au départ j'ai pas très bien compris. Mais ça s'est arrangé après.

En conclusion, une nouvelle agréable à lire (malgré quelques lourdeurs), avec une bonne chute et un personnage principal désagréable et bien décrit.

Au plaisir de lire d'autres de tes nouvelles !

Tom.

Bonjour Tom et merci beaucoup pour la finesse de ton avis. Content que la nouvelle ne laisse pas de marbre. Bien sûr, elle comporte des maladresses et nécessite d'être retravaillée. Comme je l'ai expliqué plus haut, j'ai beaucoup de difficultés moi-même à lire sur un écran d'ordinateur et essaie d'être le plus concis possible quand j'écris des textes dédiés spécialement à ce support comme celui-ci (que j'ai écrit exprès pour un blog).

J'ai téléchargé ta nouvelle et te promets de la lire rapidement pour ensuite te donner mon avis.

Encore une fois, merci pour ton attention !