LE MANOIR DU FANTASTIQUE
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 La mélodie du silence

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MessageSujet: La mélodie du silence   La mélodie du silence EmptyDim 28 Juin 2009 - 21:30

Salut salut !
Chose dite, chose due, je lance ma dernière nouvelle à la mercie de vos critiques ! Bonne lecture à tous !


La mélodie du silence


Le passé est de plus en plus grand, ineffaçable et infini. Il existe des objets, des personnes et des lieux, qui porteront en eux sans qu’on ne le sache, un passé d’une importance démentielle. L’étude du passé permet parfois de résoudre les problèmes du présent… ou d’en éviter les dangers… Mais la première fois que Roger Saunnet me raconta le passé de cette mélodie qui bourdonne encore aujourd’hui dans mes oreilles, il était hélas trop tard... J’écris ce passé en espérant que vous le lirez à temps.



Ma première visite à Granbois se déroula lors d’une matinée brumeuse. J’eus d’abord du mal à trouver un chemin entre les arbres pour trouver le petit village, mais au bout de presque une demi-heure de recherche, je découvrais les premières maisons à travers le brouillard. Elles étaient recouvertes d’un blanc qui avait viré au gris avec le temps, et des tuiles sales, pleines de feuilles de pins des derniers vents qui n’avaient pas réussi à tomber jusqu’au seuil des maisons. Une première allée de ces maisons menait à la place du centre ville où se trouvaient, entre autre, quelques passants recroquevillés dans leurs manteaux (à cause du froid de l’hiver) et en face de moi, une vieille bâtisse abandonnée qui était une salle de spectacle datant d’un peu moins d’un siècle. Au milieu de l’endroit on pouvait lire sur un grand écriteau en bois en lettres majuscules « Granbois ». J’étais au bon endroit.

Je me présentai en tant qu’agent immobilier à la mairie de la ville et une secrétaire m’indiqua l’adresse que je lui présentais : 24 impasse des Maliésias. Il me sembla alors que, derrière moi, chaque personne devait être pensive, car j’avais ressentis un léger silence après avoir prononcé l’adresse complète. Je compris quelques instants plus tard de quoi il s’agissait : en effet, parmi mes informations, on stipulait que l’ancien propriétaire de la maison, André Kavour, mort aujourd’hui, avait été déclaré fou lors de ses dernières années. Ce fait divers, dans un village comme celui-ci, perdu au milieu de nulle part, pouvait sans doute attirer les on-dit les plus fantastiques qui soient. L’ampleur de ce genre d’histoire peut être très grande dans un endroit pareil.

La maison se trouvait être l’une des maisons placées en cercle au bout de l’impasse des Maliésias. Elle avait un étage et un rez-de-chaussée, une salle de bain, une cuisine, un salon, 2 chambres et un garage assez spacieux, comme le disait l’annonce que j’avais du presque apprendre par cœur. On vendait cette maison pour trois fois rien.

J’ouvris la porte d’entrée et aussitôt j’eus l’impression de rentrer par effraction dans une maison qui ne m’appartenait pas ; on ressent souvent ce genre de sensation dans mon métier. On avait fermé les fenêtres et les volets, et le seuil d’entré était pour l’instant plongé dans l’obscurité. Devant moi, un long escalier montait jusqu’aux chambres. J’allumai une lumière à ma droite, puis entrai dans le salon, à ma droite également (tout le mobilier ayant été enlevé, chaque pièce était vide) où j’ouvris la totalité des ouvertures. La cuisine se trouvait au fond du salon. Je montai ensuite ouvrir les volets de la première chambre, puis de celle au fond du couloir, qui donnait sur le garage, dans le jardin. A ce moment-là, je levai un instant les yeux vers la maison d’à côté quand je remarquai que la voisine me regardait depuis une de ses fenêtres. Quand elle m’aperçu, elle s’empressa de disparaître. Alors je me mis à me demander si tous les habitants de la région étaient aussi curieux que cette vieille voisine ou bien si c’était la maison qui l’intriguait ?... Mais très vite, un bruit me fit sortir de mes pensées en sursautant. Mon cœur changea de rythme subitement : un volet avait claqué au rez-de-chaussée. Je voulais voir ce qui se passait : je me mis à remonter le couloir lentement en direction de l’escalier… pendant cet instant qui dura quelques secondes, je sentis un courant froid me traverser. Quelques instants plus tard, un nouveau volet claqua violement en bas.

Mes muscles se pétrifièrent. Puis, quand je redevins un peu plus saint d’esprit, je me rendis compte avec ironie que c’était sans doute l’œuvre d’un simple courant d’air. En effet, toutes les fenêtres étaient ouvertes à présent.

On m’avait signalé des travaux à faire dans le garage. Je contournai la maison une fois descendu : le garage avait les murs encore plus abîmés que ceux du reste de la maison. Ils étaient les seuls qui n’avaient pas été refaits. Je me dirigeai vers la large porte en fer et l’ouvrit en grand. Je pris une inspiration après cela et une odeur répugnante pénétra dans mes narines. Je me bouchai le nez, ce garage sentait le renfermé. Les murs, à l’intérieur, étaient humides et la peinture craquelée. L’humidité avait du pourrir et entrainer ces traces noires qui se trouvaient dans le coin inférieur droit du fond du garage. Il y avait quelque chose en plus que la puanteur dans cette pièce. Bien que ça soit la chose la plus folle qui soit, cet endroit me rendait mélancolique. Comme si les regrets et les pitiés des quatre murs de cette pièce étaient parvenus jusqu’à moi. Ce n’était pourtant que des murs, mais il me paraissait souffrant, comme si la bactérie qui rendait le mur noir les agressait chaque jour. Je ressentais cette douleur, comme s’il s’agissait d’êtres humains mourants.

Il existait un hôtel dans une petite ville, près du village de Granbois. Je pris une chambre en attendant les prochains visiteurs qui ne devraient pas tarder. Le prix étant si bas, ils auraient du se précipiter… mais personne n’étant arrivé dans la journée, je m’apprêtais à prendre une bonne nuit de sommeil avant de revenir voir la maison le lendemain. C’est ici que ça a commencé. Durant cette nuit, je fermai les yeux et laissai ainsi mon esprit flancher à droite et à gauche pour qu’il trouve enfin le sommeil. Calme et reposé, je commençais à m’endormir. C’est pendant cette phase, ni totalement réveillé, ni totalement endormit, que j’entendis une musique au fond de mes oreilles. Une musique d’abord très lointaine, elle aurait pu se dérouler à quelques pâtés de maisons d’ici, puis lentement, très lentement, elle s’approchait de moi, son volume augmentait. C’était un morceau de trompette, sur un air rapide et rythmé, le genre de mélodie qui se joue dans des cabarets, pour accompagner des numéros. Une musique simple et bien cadrée que je n’avais jamais entendue auparavant que cette nuit-là, du moins à ma connaissance. Mais bien que cet air paru nouveau pour moi, on aurait pu mettre ce fait sur un rêve que j’aurai imaginé ce soir-là car, en effet, lors d’un rêve des éléments de notre mémoire peuvent nous revenir à l’esprit, qu’ils soient lointains et sans intérêts ou très récents et d’une importance particulière. Ces bribes de notre passé se mélangent entre elles et donnent des idées étranges et souvent incohérentes qui forment nos rêves. Celui-ci était accompagné des images de la maison que j’avais visitée le matin même. Je revoyais les chambres et le salon, puis je me retrouvais au fond du garage. Le souvenir de ce rêve restant flou, je me rappel uniquement d’une ombre qui remplit ma vision et me fit sombrer dans les ténèbres, toujours avec ce même air de musique dans les oreilles. Seulement il me parut invraisemblable que je puisse me souvenir le lendemain-même de ce morceau, entièrement et sans aucune fausse note. Je l’avais sifflé le matin en me préparant puis, me demandant d’où venait cet air si frénétique et dansant, je cherchai au fond de mes pensées où aurais-je pu l’entendre… sans aucun résultat, sur le moment.
[...]
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MessageSujet: Re: La mélodie du silence   La mélodie du silence EmptyDim 28 Juin 2009 - 21:35

[...]

Vers 10 heure je retournais à Granbois pour le travail et ce je vis m’intrigua quelque peu : une foule était présente devant la mairie de la ville. Me demandant ce qui se passait, je me joignis aux habitants du village en essayant d’obtenir la moindre information. Les quatre premiers que j’interrogeai ont préféré se taire, mais une cinquième personne me demanda si j’habitais le village. Je répondis que non, alors elle préféra elle aussi garder le silence, en disant simplement que de toute façon, je ne comprendrai pas. J’ai quand même entendu quelque messe-basse parmi la foule qui comprenait les morceaux de phrases suivants : « hier soir, vers minuit… » ; « ça a recommencé… » ; « moi aussi, je l’ai entendu. » ; « … il était 2 heure du matin et … » ; « je l’ai reconnu de suite. » ; « Anchevile… » …

Personne ne prononçait le sujet de leur conversation avec précision, comme si le moindre fait de l’énoncer les troublait. Aussi, au fur et à mesure que je faisais parti de la foule, je voyais les habitants me regarder discrètement. Petit à petit, la foule se déplaça et se dirigea vers une rue à droite, quittant la mairie. Je n’avais pas eu le temps de comprendre ce qui se passait quand je vis les habitants se diriger vers l’impasse des Maliésias et s’arrêter tout au bout… devant le numéro 24. Suivant le déroulement de la situation en silence, je vis trois agents de police pénétrer à l’intérieur de la maison que j’avais visité la veille. Les voisins qui n’étaient pas dans la foule regardaient la scène depuis leur maison, y compris la femme que j’avais surprise en train de m’observer, hier matin, de sa fenêtre. Après avoir regardé à l’intérieur de la maison et du garage, les policiers sortirent de la maison ; ils n’avaient visiblement rien trouvé. Dans le flou absolu, j’aurai premièrement cherché à savoir ce qu’ils auraient bien pu chercher !... Interrogeant un agent, il me déclara simplement qu’on avait entendu des bruits dans la nuit, provenant de cette maison. Bien entendu, à mon ressenti, cette déclaration ne suffisait pas pour attirer une bonne vingtaine d’habitant de bon matin dans les rues ! Il devait y avoir quelque chose de relatif à cette maison qui intriguait fortement les gens d’ici, et la folie dernière du défunt André Kavour était peut-être un élément à retenir, mais il ne suffisait pas pour voir un tel déplacement comme celui de ce matin. Qu’avaient-ont réellement entendu, la nuit dernière ? Pour l’instant aucune de mes interrogations ne trouvait de réponse, et la foule commençait à se disperser… mais cette histoire venait intriguer mon esprit.

A mon étonnement, quelqu’un vint sonner à la porte du 24 impasse des Maliésias dans l’après-midi, alors que je m’y trouvais. J’ouvris la porte à un homme âgé de plus de 60 ans, il portait le béret, ainsi qu’une grosse moustache blanche. Il avait les traits typiques d’un paysan. Quand il me vit, il m’adressa un sourire qui fit remonter sa moustache, pourtant je ne le sentais pas si sûr de lui, à cet endroit. Il me demanda en effet, peu de temps après, de venir lui rendre visite chez lui ; il disait avoir des informations à me révéler au sujet de la maison que j’essayais de vendre.

J’allai donc chez cet homme une heure plus tard. Il habitait à quelques rues d’ici, dans le même village de Granbois. Cet homme s’appelait Roger Saunnet, et à ma première impression, il semblait être l’un des plus courageux des habitants du village, en effet, avec tous les mystères qui résidaient dans cette maison, il avait eu le cran d’aller sonner à la porte, et même de raconter tout ce qu’il savait à son sujet. Cela lui semblait nécessaire, il fallait que je sois au courant des secrets du village, même si ce n’était que pour me protéger, ou pour m’éclaircir les idées. Je n’aurai pas du vivre auprès de cette maison sans savoir sa terrible histoire. C’est donc pendant une heure ou deux, que j’ai appris autour d’un long discourt chez ce Roger Saunnet, tout ce qu’il savait sur la maison 24 impasse des Maliésias.

Autant vous avouer qu’après cet épisode, je dis au revoir à Granbois à tout jamais. Je pris ma voiture, appela mon entreprise et déclara que je laissais tomber cette affaire. Même si je n’aurai jamais vécu dans cette maison, je me serai senti trop coupable de mentir aux acheteurs potentiels. Il aurait fallu que je fasse visiter toute la maison, sans rien dire de son effroyable passé, que j’eusse du repasser encore une fois dans ce garage en évitant ces traces noires qui se trouvent incrustées dans ces murs… je crois que je n’aurai même pas supporté de remettre un seul pied à l’intérieur de ce lieu, et d’entendre au fond d’un silence sans nom, cette mélodie macabrement joyeuse… Je rendis les clés, et parti à jamais, essayant inlassablement d’oublier ce souvenir obsessionnel du 24, impasse des Maliésias.

Voici ce que Roger Saunnet m’avoua : l’histoire de la maison remontait à quelques dizaines d’années. Il avait alors 12 ans et vivait déjà dans la maison qu’il habite à présent. A l’époque, le village vivait son heure de gloire : de plus en plus de monde venait habiter dans les environs et le développement économique de la région était très fort. Le père de Roger Saunnet travaillait à l’usine le jour, et dans la soirée, il allait avec sa femme et son fils passer un bon moment au théâtre situé dans le centre ville. Les Saunnet avaient eu une vie aisée, comme la plupart des habitants du village, mais parmi le peu nombre d’habitant pauvre de la région, comptait un certain William Anchevile. Anchevile travaillait au théâtre, il était musicien. Personne ne savait vraiment d’où il venait. Son prénom à consonance anglaise laissait deviner qu’il venait des Royaume Unis, mais son nom, prononcé indéniablement en français, faisait supposer qu’il était du pays… Il était venu seul, à 25 ans, habiter le village bourgeonnant de Granbois et avait obtenu la place de trompettiste dans l’orchestre du théâtre qu’il côtoyait souvent. Si souvent que les parents de Roger Saunnet finirent par le reconnaître visuellement à chaque fois qu’il faisait parti de l’orchestre de la soirée.

Les jours, puis les années passèrent, et le village continuant d’évoluer, il fut bientôt envahit par de nombreux musiciens talentueux. Si talentueux que William Anchevile n’eut bientôt plus de quoi concurrencer. Bientôt les parents de Roger Saunnet ne le vire plus du tout au théâtre : il avait été remplacé.

On n’eut plus jamais de nouvelles de William pendant encore quelques mois. On le voyait de temps en temps dans la rue, son air si jeune et dynamique d’autrefois avait disparut. Il devait chercher du travail, sans doute… mais on ne su rien d’autre sur lui. Le pauvre homme devait avoir 36 ans maintenant et il ne savait absolument pas s’y prendre pour trouver un travail. Jusqu’à présent il avait vécu avec sa musique et c’était la seule chose qu’il savait faire. Au bout de trois long mois d’absence au théâtre, il avait totalement disparut de la circulation. William avait acheté une maison dans une impasse, au bout du village. 24 impasse des Maliésias. On supposait qu’il y été resté, bien que les volets restaient clos toute la journée. Et puis un soir, alors que l’on commençait à oublié le nom de William Anchevile, un son sorti des profondeurs de la nuit. Comme une résurrection, la musique de William, un solo de trompette, se faisait entendre depuis le 24 impasse des Maliésias. Une mélodie joyeuse et pleine de dynamique, qui se jouait déjà à l’époque au théâtre. Une musique de sa composition, qu’il avait inventée de toute pièce, et qui faisait ravage à l’époque de l’apogée du trompettiste. Il jouait ainsi, perçant le calme et la tranquillité de la nuit, il lui donnait un coté animé et vivant. Cette même mélodie était jouée maintenant presque tous les soirs, dans la grande pièce à côté du salon. On sentait la volonté de William de s’entraîné pour remonter au théâtre… Mais une question bête nous vint à tous dans l’esprit : pourquoi jouait-il seulement de nuit ?

Le morceau était joué en boucle durant des heures entières. A force, la magie de sa musique s’était transformée en agacement pour les voisins qui avaient du mal à trouver le sommeil. C’est Agathe Monicel, la voisine d’à côté qui, la première, alla frapper à la porte du trompettiste pour lui parler de sa musique devenue gênante, après 2 mois de tapage nocturne. Elle n’avait pas de mauvaise intension, et pourtant… Alors que personne ne répondait, elle sentait une odeur pestilentielle émaner de l’intérieur de la maison. Plus précisément, elle se renforçait devant la pièce où William semblait jouer ses morceaux tard dans la nuit. Ne pouvant pas faire d’avantage, elle décida de prévenir la police de l’odeur des lieux et du renfermement omniprésent de leur propriétaire. On autorisa une perquisition, et dans l’après-midi, des policiers entrèrent de force dans la maison. La maison en elle-même n’avait rien d’anormal, si ce n’est son odeur épouvantable, ainsi que des traces très légères de sang sur certains murs, mais la pièce qui se trouvait à droite du salon, et qui est aujourd’hui utilisée comme garage, renfermait la chose la plus horrible que l’on eut jamais vu dans le pays. Quelle folie aurait pu pousser un être humain à commettre ce genre de chose ? Quel démon avait hanté William Anchevile, quand on découvrit une cinquantaine de morceaux complexes d’os et de chairs, entassés les uns sur les autres au fond de son garage ?

[Je ne place que la moitié du récit, je me rend compte que je dois séparer ma nouvelle en 4 ou 5 parties ^^... J'attendrai vos commentaires pour envoyer la suite ! ]
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MessageSujet: Re: La mélodie du silence   La mélodie du silence EmptyMer 1 Juil 2009 - 19:45

Salut

Pas de bol, tu tombes sur l'acariâtre de service pour ton premier com'.
Avis évidemment subjectif.

Capitulé avant la fin du premier post et ce pour 2 raisons.

La première est la présentation. Le forum n'est pas parametré pour recevoir des textes aussi longs et le fond noir, l'interlignage, la taille de la police rend la lecture très pénible assez vite. La qualité d'un texte s'efface derrière cet obstacle. De surcroit, je crois que c'est pour cela que personne n'a commenté.
Je t'encourage vivement à lire les consignes dans cette section.
Sur le topic " à lire avant de présenter un texte", tu trouveras de bonnes astuces et de judicieux conseils.
Le fin du fin, c'est le PDF hebergé soit sur ton serveur, soit sur un cjoint ou encore sur le serveur du Manoir dont Thomas, notre maîîîîîîîîîîîîître, mets à notre disposition.

La seconde, c'est que ton intro ne manque pas de qualités (attention aux fautes quand même) mais elle ne m'a pas emballé. Parfois trop décrit, parfois pas assez, le récit manque d'originalité et d'accroche. Bon, je n'ai pas lu jusqu'au bout, pour les raisons "techniques" que j'ai evoqué dans mon premièrement.

Donne une chance à ton texte, pense aux yeux de tes lecteurs et lectrices, et au confort qu'apporte une bonne présentation.

A te lire !
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MessageSujet: Re: La mélodie du silence   La mélodie du silence EmptyMer 1 Juil 2009 - 20:40

Merci Dagobert. Ce n'est peut-être pas un com' positif, mais c'est quand même un com' !
Pour les effets de présentations diverses il faudra que je m'investisse dedans, ce que je n'ai pas du tout commencé (pour l'instant je ne m'en sort pas avec les formats PDF... mais ça viendra peut-être pour les jours suivants)
Je posterai de nouveau mes nouvelles lorsque j'aurai trouvé la méthode adéquate, mais peut-être en attendant vais-je travailler sur des récits beaucoup moins longs qui pourraient être plus conformes au forum lui-même rien que pour vous ^^.

En espérant m'améliorer grâce à vous ! (et pour vous !)
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Max
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MessageSujet: Re: La mélodie du silence   La mélodie du silence EmptyJeu 2 Juil 2009 - 21:24

Objectivement, la forme n'est pas très bonne et outre un style jeune qui doit mûrir, on trouve pas mal de coquilles diverses (surtout au niveau de la conjugaisons, du choix des temps, de la ponctuation). Attention, tu as aussi tendance à faire des phrases trop longues.

Voila qui rend la lecture ardue pour une personne exigeante comme moi ; c'est pourquoi j'ai survolé ce texte sans le pénétrer véritablement... Alors, je ne me prononcerai pas sur le fond de l'intrigue, qui semble tout de même intéressant.

Cela dit, il faut remettre les choses dans leur contexte. Pour un bonhomme de 15 ans, il faut avouer que c'est pas mal... pas mal du tout même ! A ton âge, j'aurais bien été incapable d'écrire un tel truc. Non franchement, c'est prometteur : tu as un sens de la formule, du vocabulaire, un embryon de style carré, tu fais pas trop de fautes et tu tournes également bien tes phrases. Et puis tu a trouvé un joli titre.

Un potentiel certain à développer donc, bon courage Wink

P.S : n'hésite pas à lire les textes des autres présents sur ce forum, car en plus de te faire progresser, cela te vaudra surement d'autres lectures.
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MessageSujet: Re: La mélodie du silence   La mélodie du silence EmptyJeu 2 Juil 2009 - 22:12

Merci beaucoup, Max. J'améliorerai mon style dans ce sens-là, toutes les autres nouvelles de qualité que je lis ici font confirmer ce choix.
Il est vrai que je fais beaucoup plus attention à placer l'intrigue plutôt que les décors ou les personnages... Je m'y attarde très peu.
Je développerai donc un petit "jenesaisquoi" pour que le lecteur puisse plonger plus agréablement dans mes nouvelles.

Dans tous les cas, merci de m'avoir lu. Et merci sincèrement pour tes encouragements qui m'ont fait vraiment plaisir Smile.
A bientôt
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MessageSujet: Re: La mélodie du silence   La mélodie du silence EmptyVen 3 Juil 2009 - 9:31

Time2Reload a écrit:
toutes les autres nouvelles de qualité que je lis ici font confirmer ce choix.

N'hésite pas non plus à laisser des commentaires après lecture ! Wink
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MessageSujet: Re: La mélodie du silence   La mélodie du silence EmptyDim 5 Juil 2009 - 8:46

http://cjoint.com/?hfkPCJN07f
Voilà la nouvelle en entier, pour ceux qui auraient voulu lire la suite Wink. (en espérant que mon lien Cjoint marche...)
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MessageSujet: Re: La mélodie du silence   La mélodie du silence EmptyDim 5 Juil 2009 - 9:24

Chez moi, le texte présente des gros trous, il manque parfois juste des lettres, parfois des pans entiers de phrases... merdum !

Ca vous le fait aussi, les gens ?
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MessageSujet: Re: La mélodie du silence   La mélodie du silence EmptyDim 5 Juil 2009 - 9:33

Pas du tout !
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Max
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MessageSujet: Re: La mélodie du silence   La mélodie du silence EmptyDim 5 Juil 2009 - 9:35

Non, chez moi tout semble correct.
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