La mob à Moktar

Voici un de mes premiers texte, il y a peut-être beaucoup de répétitions , j'ai fait cela car je pense que cela fait partie du style de certains contes... à vous de voir !

Contes et légendes modernes : La mobylette de Moktar...

Il était une fois dans une charmante contrée du nord est de la ville, Moktar Abdel Rachid qui s'exclama de très bon matin : " Diantre qui donc m'a tchouré ma mobylette de si bon matin... ". 0h18 au nord est de la banlieue et retrouvons donc Moktar , grand séducteur de la zone résidentielle de la té ci où il menait sa paisible existence de dragueur émérite tout cela grâce à sa splendide mobylette chromée aux tapis de selle à pompons dorés.

Moktar vient de se coucher, il est minuit, il arrive péniblement à sombrer dans son premier sommeil à minuit dix, après deux grandes bouffées de sa chicha avec son tabac spécial préparation secrète aux pétales de roses, quand à minuit quinze, un bruit venant de son garage le tire de son sommeil et aussitôt, instinctivement, il saute dans son pantalon de survêtement, puis dans ses babouches, pour arriver trois minutes plus tard à son garage où est habituellement rangée sa mobylette. Mais qui là n'y est plus, la porte grande ouverte, sans aucune trace d'effraction visible, sa porte ouverte sans doute comme par magie se dit-il.

Flash-back : quelques années auparavant pendant que Moktar repassait son linge en sifflotant, c'est à ce moment qu'il entrevit une forme lui faisant signe par la porte de chez lui, intrigué, il écouta son intuition et se mit à suivre cette petite forme , jusqu'à la devanture d'un jardin à trois rues de chez lui, jardin qu'il n'avait jamais remarqué avant et pour cause, ce jardin était magique et n'attirait que les cœurs pur dont Moktar faisait partie sans le savoir d'ailleurs, n'ayant jamais eu une parole plus haute que l'autre ni de mauvaises intentions envers personne, mais cela était une autre histoire. Ce dont le Destin avait décidé de le remercier en lui accordant une visite au magnifique jardin merveilleux des délices, et donc pour ce faire, le Destin lui avait dépêché un de ses auxiliaires, un petit lutin très rapide, chargé d'aller quérir Moktar chez lui pour l'attirer dans son magnifique jardin merveilleux des délices où coulaient les sources de l'abondance et où l'on pouvait entendre la divine musique sacrée des sphères et ses sons enchanteurs dont aucune oreille ne pouvait se lasser. Intrigué donc, Moktar , qui n'avait jamais remarqué ce jardin qui s'était pour l'heure camouflé en square municipal avec guichet d'accueil et ouvreuse ainsi qu'un panneau indiquant : "entrée gratuite, sept jours sur sept, vingt quatre heures sur vingt quatre et ne perdez pas votre ticket sans quoi, on ne vous laisserais certainement pas sortir".

Donc, Moktar intrigué par un jardin si étrange, et si jamais vu se dirigea vers l'ouvreuse qui aurait pu être la sœur de Kim Basinger en plus mignonne (autant que cela soit possible), et qui en plus lui souriait de son magnifique sourire tout en dents blanches comme des perles et régulières, en plus de la perfection de son visage et qui de sa main si parfaite qu'elle tendait lui remettait un ticket doré d'entrée étincelant de quelques feux...

Ce dernier n'ayant jamais eu de chance avec les filles jusque là à cause de son physique ingrat mais encore plus à cause de sa dentition incomplète, c'est-à-dire qu'il lui manquait une dent en fait, et devant ce qui lui donnait un air stupide, du moins le pensait-il (mais ne nous inquiétons pas pour cela car la vraie beauté viens sans doute du coeur), se retrouvait maintenant devant cette splendide créature qui en plus lui souriait et l'invitait à visiter son fabuleux jardin merveilleux des délices où coulaient certainement les sources de l'abondance...

Moktar ne touchant plus le sol et c'est sur un petit nuage rose qu'il entrait dans le jardin, dont magiquement les portes se refermèrent derrière lui, ( puisque les coeurs purs se faisaient rares ces temps ci et qu'il était le seul prévu pour la journée et même pour le mois à vrai dire enfin passons cela, ce n'est pas notre propos de discourir sur la décrépitude quotidienne contemporaine de nos concitoyens...).

Donc, pour faire plus court, après un temps de délices sans fins non racontables pour le commun des mortels sans quoi ils n'auraient plus envie de faire autre chose que de les imaginer sans trêves ni relâches, Moktar se vit donc remettre sa fameuse mobylette au plein d'essence éternel pour une durée de trois longues années terriennes, mais il devrait oublier cela une fois sorti du jardin merveilleux des délices pour ne pas le chagriner de la si éphémère durée des choses de notre bas monde, et donc, il fut ensuite chassé du jardin par le dragon terrifiant mais gentil mais tellement horrible que l'on avait que l'envie de le fuir et qui servait à mettre un terme aux séjours dans le jardin pour les élus qui y étaient appelés sans quoi ils y resteraient toute leur vie et pour l'éternité même puisque le temps n'y passait pas , ce qui faisait un peu longuet et un petit peu désordre même pour un jardin merveilleux des délices magnifiques (où coulaient rappelons le les sources de l'abondance bien entendu). Et c'est donc en chevauchant sa mobylette splendide chromée aux pompons de selle dorés et poursuivis par le dragon très moche, et dont le rôle n'était que de chasser les élus qui voudraient trop longtemps squatter le paradis qu'était ce jardin merveilleux, dont Moktar franchissait maintenant la porte à toute allure tenant encore son ticket doré à la main que lui enlevait gracieusement l'ouvreuse grande soeur de Kim Basinger (mais plus mignonne encore) avant qu'il ne se retrouve dans la rue où quelques milles années plutôt dans le temps du rêve il était parti mais seulement quelques secondes de notre temps terrien s'était écoulées et qu'il se retrouvait donc dans cette rue avec derrière lui à l'endroit où s'était tenu le jardin merveilleux des délices etc... un simple mur de briques, et comme seul témoin de son rêve la mobylette magique mais qu'effet de son séjour dans le jardin il lui semblait avoir toujours possédée avec en plus les papiers d'assurances en règle dans sa poche et payés pour les trois prochaines années que Moktar se dirigeait vers chez lui se rappelant vaguement avoir du linge à repasser.

Et donc, les trois années suivantes ne se racontent pas non plus pour Moktar qui grâce à sa mobylette enchantée rutilante au tapis de selle à pompons dorés et aux tuyauteries chromées connu de nombreux succès avec les femmes qu'il rencontrait s'il le désirait, ce ne fut donc pour lui qu'enchantements sur enchantements et qu'il ne se rappelait jamais avoir fait le plein pour sa mobylette tellement sa vie était d'un coup devenue si intéressante, attractive et variée qu'il avait eu l'impression de n'avoir jamais vécu avant...

Conclusion : la première c'est que Moktar ne dépensa pas d'argent pour l'essence de sa mobylette et que celle-ci étant magique, il oublia même qu'il l'avait jamais possédée mais se retrouva avec assez d'argent pour maintenant s'acheter une voiture comme quoi il n'y a pas de petites économies, et que deuxièmement si vous apercevez la nuit une magnifique mobylette chromée à pompons de selle dorés chevauchée d'un lutin les cheveux dans le vent, faites signe, elle s'arrêtera peut-être pour vous.

Fin

Salut Pikachu,

A moins que tu ne sois petit, mignon, et jaune électrique, je pense qu'une petite présentation avant de nous livrer un de tes textes serait la moindre des politesses.
Merci d'avance et à + !

Bien, je vais être franc... parce que là, il le faut vraiment. Ce n'est pas bon. Pas bon du tout.

Est-ce que tu lis beaucoup Pikachu ? D'après ce que je viens de lire, je ne pense pas que tu sois un grand lecteur ; or il m'apparait difficile pour quelqu'un qui ne lit pas beaucoup d'écrire des textes corrects. Enfin peut-être que tu lis et que je dis de la merde, dans ce cas excuse-moi
Mais bon, cette nouvelle me semble être plus ou moins du niveau d'un collégien.
Je suis désolé de dire cela d'une manière si directe, mais il faut dire ce qui est.

Au niveau de la forme, tout est à refaire. Les phrases à rallonge imbuvables, la syntaxe, la formulation, la ponctuation etc. Par contre, au niveau de l'orthographe, c'est correct ; de même tu as pas mal de vocabulaire. Mais pour le reste c'est illisible. Dès lors, je n'ai pas été en mesure de bien saisir le fond de l'histoire.

C'est pareil, je trouve extrêmement maladroit de s'adresser au lecteur ainsi :
- mais le but de cette histoire n'est pas de vous noyer sous les détails mais juste de vous divertir...)
- Il faut donc vous replacer la scène
- Si je vous ai raconté tout cela, ce n'est certes
pas pour vous ennuyer ni pour vous faire rêver mais bien pour essayer
de vous faire comprendre quelque chose, où plutôt deux choses

En clair, il faut absolument travailler la syntaxe et la ponctuation, ensuite le texte deviendra lisible. C'est dommage car il y a tout de même du positif (pas trop de fautes, du vocabulaire, une histoire intéressante et originale...).

Bon courage !

En fait moi j'aime bien mon histoire et je pensais avoir fait exprès de l'avoir écrite dans un style assez lourd comme je l'avais déjà lu dans certains contes, mais bon c'est un premier essai de conte et je ne m'attendais pas à des résultats fabuleux...

Pour commencer, je dirais que c'est quelque peu embrouillé. Ca m'a fait un effet sonore un peu difficile à expliquer. Comme si j'avais regardé quelqu'un à la télévision faisant un long monologue de n'importe quoi. Ce qui donnerait un truc peut-être pas trop mal si c'était effectivement à la télévision. Ici, à la lecture, ça donne plus difficilement.
Par contre, on peut reconnaître que c'est spécial.

En me relisant maintenant je me rends compte que ce que je prenais pour pas trop mal à l'époque est vraiment devenu pas terrible aujourd'hui :

-d'un petit lutin qui-va -si-vite-que-l'on-peut-à-peine-le-voir,

un lutin suffirait, les cheveux dans le vent à la limite.

Peut-être que j'ai eu tord de vouloir donner un ton comique

Ne prends pas mal ces commentaires. L'objectif d'un tel forum, c'est de faire progresser les gens.
En ce qui concerne la nouvelle, meme commentaires que les autres, mais j'ai pas reussi a depasser la 1ere phrase qui contient un peu plus de 3 donc sans ponctuation... dur a lire

Ah je sais, le pire c'est que même encore maintenant, je reste persuadé que je pourrais faire quelquechose de bien de ce texte, mais bon je n'arrive pas à trouver le courage de m'y mettre, ni surtout de trouver un endroit où commencer...