Stéphanie

Elle rentrait enfin chez elle.
Stéphanie travaillait comme serveuse, dans un endroit miteux, non loin de Grenoble. Elle avait encore eut une journée pénible, harassante, et stressante. Et elle commençait sérieusement à en avoir ras-le-bol.
Son patron était exécrable, mais elle lui avait déjà réglé son compte, et à chaque fois qu’elle se remémorait ce moment, elle ne pouvait s’empêcher de pouffer, toute seule, devant une glace, ou dans le rétroviseur de sa voiture.
Elle revoit encore le visage rubicond de ce gros type qui aimait lui mettre la main aux fesses, la langue sortit hors de la bouche, et elle repensait encore à l’expression de ce type quand elle lui…avait réglè son compte.

Elle porta sa main à l’autoradio, et l’alluma pour tomber sur une station de radio qu’elle détestait. Comment avait-elle pu mettre cette station de musique de dégénérés ? Soudain, la voiture de Stéphanie eut un soubresaut, elle sursauta, et regarda dans son rétroviseur, en espérant que le coffre ne se soit pas ouvert sous le choc. Elle ne voulait pas que ce fichu coffre s’ouvre. Surtout pas.
Stéphanie eut soudain envie de chantonner, comme elle le faisait durant son boulot, elle aimait chantonner un air des Deep Purple, Smoking on the water, elle adorait cette chanson. Elle changea de radio ; cette station commençait à l’agacer, et tomba par hasard sur un autre de ses airs favoris, C’était Money, des Pink Floyd. Jusqu’à ce que le morceau se coupe pour laisser place aux informations locales.
-Information importante, grâce à la police de Grenoble et la gendarmerie on vient d’apprendre à l’instant que le tueur au scalpel vient de s’échapper de l’hôpital où il était interné depuis une dizaine d’année…cette personne est dangereuse, et particulièrement sadique, toute personne susceptible de fournir des informations est prié de se manifester à la gendarmerie de Grenoble dont voici le numéro qui a été mis en place spécialement : 04 90…
La main de Stéphanie coupa immédiatement l’autoradio.
Elle se regarda dans le rétroviseur, puis se passa sa main dans ses cheveux courts, qui la faisaient ressembler à un garçon.
-Plein de gens disparaissent… sans laisser de traces, tous les ans !
Une boule se forma tout à coup dans son estomac, et un vague sentiment de malaise s’insinua en elle ; elle allait bientôt passer par la route de ces arbres sombres, chemin qu’elle détestait par-dessous tout, et qui lui faisait peur…ces arbres sombres, et longiligne, la mettaient mal à l’aise. Et cette depêche sur ce tueur en liberté n’avait rien fait pour la rassurer. Elle ralluma son autoradio :
-Information importante, les autorités viennent à nouveau de nous signaler que le tueur au scalpel venait de s’échappait de l’hôpital où il était interné…
-Ferme ton bec connard ! Eructa Stéphanie, elle coupa la radio d’un geste brutal.
Le silence…c’était très bien, le silence, elle pouvait enfin s’entendre penser.
Tout à coup, elle aperçu une forme sombre, sur la route, quelqu’un faisait du stop. C’était un homme apparemment, parfait. Elle accéléra, passa l’autostoppeur, freina, et ouvrit la portière côté passager. Elle vit dans son rétro l’homme courir sur la route, pour la rattraper.
Quelques secondes plus tard, une tête humide et souriante passa par la portière. C’était un jeune homme, d’une trentaine d’année, et portant une barbe de trois jours.
-Merci, hum… je vais sur Grenoble, vous…hum, vous pourrez me déposer ?
Stéphanie lui fit son sourire charmeur :
-Oui, montez, je vous amène !
L’homme ouvrit la portière côté passager et jeta son sac à l’arrière de la voiture puis grimpa dans le véhicule.
-C’est gentil, merci, plein de gens sont passé, mais aucuns ne c’est arrêté, elle est où cette solidarité des gens de la campagne ? Fit sèchement l’homme, en se recoiffant dans le rétroviseur de la voiture.
-Tout le monde n’est pas aussi gentil que moi, vous savez ! Fit Stéphanie, en souriant toujours au jeune homme qu’elle avait pris en stop.
-Ca ne vous dérange pas si je mets un peu les informations, il paraît qu’un malade rôde dans les parages ? Fit l’autostoppeur en regardant Stéphanie droit dans les yeux.
-Non, allez-y ! Fit-elle en montrant du doigt le poste.
L’homme brancha la radio, et chercha une station d’information…
-Il paraît qu’un psychopathe locale s’est fait la belle, dans le coin, je voudrais savoir ce qu’il en est !
Stéphanie fronça les sourcils, et déglutit douloureusement.
Les grands pins sombres arrivent Stéphanie !
Les grands pins sombres commencèrent à se dessiner devant elle, et la voix grave du journaliste résonna à nouveau dans le véhicule…Stéphanie se porta la main sur le front pour réprimer un mal de crâne. Quelque chose se passa dans sa tête, milles voix résonnèrent comme autant de carillons de la mort.
Le journaliste répéta l’information sur un ton monotone :
-Nouvelle information importante, le tueur au scalpel comme l’on appelait la police aurait le don de changer d’apparence grâce d’une particularité physique. Faite très attention si vous le voyez, ce meurtrier particulièrement violent aurait fait plusieurs victimes, dont certaines n’auraient jamais été retrouvées par les forces de police…parmi ces victimes, on compterait un gérant de restoroute, un agriculteur, et plusieurs femmes de la région… Stéphanie revit un visage, celui de son ordure de père. Toutes personnes capables de fournir des informations aux forces de police sont priées de se manifester au plus vite, voici le numéro…
Une main ferme et énergique coupa aussitôt la radio…
-Pourquoi avez-vous éteint ? Fit l’autostoppeur, visiblement mécontent du geste de Stéphanie.
Des nuages noirs couvrirent de plus belle le ciel, et l’habitacle du véhicule plongé dans l’obscurité presque totale, l’homme crû voir alors deux yeux briller dans l’obscurité. Les yeux de Stéphanie.
Une voix lente et froide lui répondit. Une voix étrange qui aurait bien pu être celle d’une femme… ou celle d’un homme. La voiture emprunta la portion de route des pins sombres.
-Regardez ces arbres, vous ne trouvez pas qu’ils ressemblent à des tombes et à des croix, non ? -Qu’est ce que vous me chantez là ? Fit le jeune homme, des trémolos dans la voix.
-Cette journée à été vraiment fatigante vous savez, je finis le boulot, et je dois passer absolument par cette route, avec ces foutus arbres qui me regardent, m’accusent, et tout ça à cause de qui…de vous, vous êtes tous les mêmes, TOUS…il y a eut ma crevure de père, ce salop de patron, ces femmes…ces salopes, et maintenant, il y a vous…
Tout à coup, la radio se ralluma toute seule, la voix grave et monotone se remit à parler :
-On vient d’apprendre à l’instant que le directeur de l’hôpital psychiatrique d’où s’est échappé le tueur au scalpel vient d’être retrouvé assassiné dans son bureau, la mort remonterait à plusieurs heures…
Stéphanie, lentement, attrapa quelque chose dans la poche arrière de son jean.
Elle se remit à chanter son air favoris, elle le chantonnait tout le temps quand elle avait un travail à accomplir. L’homme à ses côtés eut une moue de terreur quand il vit quelque chose briller sous ses yeux…quelque chose qui pouvait trancher n’importe quoi.
-Plein de gens disparaissaient sans laisser de traces, vous savez ?!
-Qu’est ce que vous faites !
-Smoke on the water !
-Mais vous êtes…? Les yeux de l’autostoppeur s’agrandirent de terreur, puis l’homme cessa de parler pour de bon.
Des mains affolées tentèrent désespérément d’ouvrir la portière côté passager, puis plus rien, le silence totale, une nouvelle fois.
La voiture de Stéphanie roulait toujours sur la route des grands pins sombres, et une immense giclée de sang vint consteller la vitre, celle du côté passager de la voiture de Stéphanie. La place du mort.
La voiture s’arrêta alors sur le bas côté, et un bras asséna un dernier coup de scalpel, nouvelle giclée de sang…puis tout fut finit. La dernière chose que vit le malheureux, avant de mourir, fut un visage, le visage d’une psychopathe…Le Visage ricanant de Stéphanie. Le visage d’une jeune femme blonde aux cheveux coupés courts. Un visage de femme qui pouvait aussi bien passer pour un visage masculin, c’était une particularité physique dans la famille de Stéphanie. Et c’était une Chose qui lui avait plusieurs fois rendu service.
Stéphanie sortit le corps en charpie de l’autostoppeur, quand la voix de son père résonna dans sa tête, mais il n’était pas dans sa tête, en fait, mais juste devant elle, sous les pins sombres. Elle vit son père lui montrer un endroit. Elle ouvrit alors le coffre de sa voiture, prit une pelle, et creusa le sous bois pour y enterrer le corps de l’auto-stoppeur.

Qu'en pensez vous? Ce texte peut-il être le début d'une nouvelle d'horreur?

"Elle rentrait enfin chez elle."
---> Quand on a lu la nouvelle, cette première phrase prend tout son sens. C'est un bon point !

"Son patron était exécrable, mais elle lui avait déjà réglé son compte,
et à chaque fois qu’elle se remémorait ce moment, elle ne pouvait
s’empêcher de pouffer, toute seule, devant une glace, ou dans le
rétroviseur de sa voiture."
---> S'il elle lui avait déjà réglé son compte (donc, au passé antérieur), pourquoi était-il (toujours) exécrable (à l'imparfait, donc plus récemment) ?...
---> En se remémorant un souvenir, il n'est pas forcé que l'on soit en train de se regarder (dans une glace, un rétroviseur) pour mieux le ressentir !... Si ?

"Elle porta sa main à l’autoradio, et l’alluma pour tomber sur une station de radio qu’elle détestait."
---> Même si ce n'est pas le même mot, "autoradio" et "radio" se font écho et il y a répétition. Même sans ce défaut, la phrase était lourde au départ. Pourquoi pas, plutôt : "Elle porta sa main à l'autoradio pour tomber sur une station qu'elle détestait." ?

"Comment avait-elle pu mettre cette station de musique de dégénérés ?"
---> Un peu bizarre comme question : elle est tombé sur la station par accident. C'est expliqué juste avant.

"Elle ne voulait pas que ce fichu coffre s’ouvre. Surtout pas."
---> Mise en place d'un suspens et ce de façon subtile. C'est bien !

"Stéphanie eut soudain envie de chantonner, comme elle le faisait durant
son boulot, elle aimait chantonner un air des Deep Purple, Smoking on
the water, elle adorait cette chanson. Elle changea de radio ; cette
station commençait à l’agacer, et tomba par hasard sur un autre de ses
airs favoris, C’était Money, des Pink Floyd. Jusqu’à ce que le morceau
se coupe pour laisser place aux informations locales."
---> Le passage décrit ici n'est pas nécessaire à l'intrigue. Il oriente le lecteur vers les gouts musicaux du personnage principal, et ce n'est pas (ou très peu, si on peu déduire la mentalité du personnage par la musique qu'elle écoute) ce qui va nous faire comprendre ce qui suit. C'est un peu un hors-sujet. A la fin du texte on retrouve sa manie avec la musique, mais là encore elle n'a pas lieu d'être : lorsqu'elle parle à l'autostoppeur elle est énervée, et non détendue au point de chanter. Il y a contre sens. C'est assez mal placé.

"vague sentiment de malaise s’insinua en elle"
---> Un sentiment ne s'insinue pas.

"Le silence… c’était très bien, le silence, elle pouvait enfin s’entendre penser."
---> Très joli !

"C’était un homme apparemment, parfait."
---> Pourquoi "parfait" ? Ni l'adjectif ni l'expression "ah, parfait !" ne conviennent...
"Elle accéléra, passa
l’autostoppeur, freina, et ouvrit la portière côté passager. Elle vit
dans son rétro l’homme courir sur la route, pour la rattraper."
---> On accélère avant de prendre un autostoppeur ?... Je sais pas hein, je ne conduis pas lol... Mais ça m'a semblé assez bizarre...

"Les grands pins sombres arrivent Stéphanie !
Les grands pins sombres commencèrent à se dessiner devant elle"
---> Qui parle à la première phrase ?... ça déroute !
---> Grande répétition des "grands pins sombres" !... Ou alors je n'ai pas remarqué une subtilité ?

"comme l’on appelait"
---> Argh ! Appelé !... Ou alors on dit "Comme l'appelait (la police)"

"quand la voix de son père résonna dans sa tête, mais il n’était pas
dans sa tête, en fait, mais juste devant elle, sous les pins sombres."
---> Plus haut : "Il y a eu ma crevure de père..." Elle l'énonce dans ce qui semble être sa liste de victime. Alors pourquoi lui porter du respect à la fin (et surtout le voir, s'il est mort !) ? C'est très confus...

"Elle ouvrit alors le coffre de sa voiture, prit une pelle, et creusa le sous bois pour y enterrer le corps de l’auto-stoppeur."
---> On retrouve l'intrigue du coffre du début de l'histoire, mais ça ne colle pas : elle ne pensait pas prendre d'autostoppeur en prenant la voiture, alors pourquoi avoir prit la pelle ? Et surtout, pourquoi avoir peur que le coffre s'ouvre pour montrer une simple pelle ?...
La seule solution envisageable serait que cette fille comptait tuer quelqu'un aujourd'hui, n'importe qui ! ça aurait justifié dans tout les cas la présence de la pelle...


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C'est un récit qui rassemble beaucoup d'éléments : on a le rapport au travail, la forêt sombre, le tueur, la musique, l'autostoppeur... (la plupart sont des stéréotypes, mais mélangés comme ça, ils deviennent originaux). Hélas, je n'arrive pas à comprendre l'esprit sans doute malade de cette femme ; le "diagnostiquer" : parfois elle est en colère, parfois elle chante, sereine. Elle a peur de la forêt, elle déteste son père, mais semble l'écouter lorsqu'il apparaît à la fin... C'est autant de situations qui manquent d'explication.

L'élément que j'ai oublié d'ajouter est celui-ci : la femme ressemble à un homme, soit. Mais je suppose que dans un hôpital psychiatrique (dans lequel on a passé une dizaine d'année !), on réussit à faire la différence entre un patient homme et une patiente femme. La démarche des informations à la radio qui décrivent un homme est donc impossible.

Cela dit il y avait de l'idée et un puzzle que l'on a essayé de construire. C'est du travail et ça on ne le niera pas. Il faut maintenant continuer dans ses efforts pour s'améliorer (à la fois au niveau de l'intrigue, et de la formulation de certaines phrases) . A bientôt, Herby !

c'est un texte que j'ai laissé tomber, préférant me concentrer sur autre chose!

LOL !

Voila une réponse un peu limite adressée à quelqu'un qui a pris le temps de lire et de faire un bon commentaire...

Lol effectivement. Merci, Max ! C'est sur que dit comme ça, ça le fait pas ; mais je me permet de croire que quand même Herby voyait bien la situation, et ne pensait pas m'envoyer balader par sa réponse !... Si ?...

Max a écrit:

LOL !

Voila une réponse un peu limite adressée à quelqu'un qui a pris le temps de lire et de faire un bon commentaire...

quoi Lol? Va au bout de tes pensées au lieu de dire ça! Il n'y à rien d'agressif dans ma réponse faite à Time2Relaod. j'ai juste dis, et sans arrière pensée négative, comme les tiennes, à ce que je lis, que c'est un texte que j'ai laissé tombé, car je me suis trompé de route en l'écrivant. Si tu as un problème avec moi, dis le tout de suite!
Maintenant, Time...merci d'avoir lu mon texte, ta critique fut très constructive, je me servirais de tes conseils si je décide de revoir ce petit texte, et de le corriger.

Je t'en prie, Herby et tu sais, je pense parler pour Max en disant qu'il ne voulait que te faire remarquer ce qu'il a dit : c'était une réponse limite, au niveau de la politesse employée dans les normes de ce forum ! Maintenant, tu m'as remercié, j'aurai donc vraiment aucun retour là-dessus. Je continuerai à lire tes textes avec plaisir. Je pense que Max te reprochais juste de ne pas m'avoir remercié plus tôt, comme cela se fait toujours ici, d'après ce que j'ai pu voir... Simple question d'éthique ; et puis j'espère ne pas abuser en disant que Max est reconnu pour sa franchise =P. (Aucune mauvaise pensée, bien au contraire !)

Après s'il y a eut des antécédent, veuillez excusez cet avis que je me suis permis de donner. A tantôt tous les deux !

milles excuses pour ce petit coup de colère!

Oula Herby, qu'est ce qu'on est en train de faire là... Je n'ai aucun problème avec toi ! Laisse moi t'expliquer : tu nous propose un texte, et quelqu'un le lit en prenant le temps de faire un commentaire détaillé presque aussi long que le texte lui-même. Et que vois-je en réponse ? Un truc qui m'a fait l'effet d'un "Ouais en fait ce texte je l'ai abandonné, donc ça servait plus ou moins à rien que tu le lise et le commente, en fait, et finalement je ne fais pas grand cas de tes remarques" - pas même un petit merci !
C'est tout, je me mettais à la place de Time2, c'est pas très agréable.

Mais :

Herby a écrit:

Maintenant, Time...merci d'avoir lu mon texte, ta
critique fut très constructive, je me servirais de tes conseils si je
décide de revoir ce petit texte, et de le corriger.

Voila, tout va bien désormais.

La prochaine fois j'éviterai l'ironie fumeuse, si c'est pour en arriver là !
Allez, a+ sur le forum

donc si j'avais dit merci, tu n'aurait pas fait cette remarque avec ce LOL qui m'as légèrement agacé!

on oubli cette brouille, et la prochaine fois, je serais plus respectueux envers mes lecteurs!

Herby a écrit:

donc si j'avais dit merci, tu n'aurait pas fait cette remarque avec ce LOL qui m'as légèrement agacé!

Oui, c'est vrai qu'on ne sait pas toujours comment les prendre ces "LOL".

LOL !!

Bon ça va m'en vais...

ces arbres sombres, et longiligne
-> longilignes

-Il paraît qu’un psychopathe locale
->local

Nouvelle information importante, le tueur au scalpel comme l’on appelait la police aurait le don de changer d’apparence grâce d’une particularité physique.
->le tueur au scalpel comme l'appelait la police

Ici il y a moins de fautes que dans le portait d'Elisabeth Cassidy. J'aime bien aussi ce texte, quand à savoir s'il pourrait servir de démarrage à une nouvelle d'horreur, à mon avis non, pas en l'état des choses, car il se suffit à lui même et dévoile presque tout sur le tueur, mais bon après tu pourrais quand même arriver à broder sur la folle randonnée de Stéphanie qui petterait les plombs, alors peut-être qu'il y a quand même matière à finalement, je pense que tout dépendra de ta propre envie de continuer ou pas, à toi de voir.