Maman pourquoi pleures-tu ?

Maman pourquoi pleures-tu?

-Dit maman pourquoi tu te réveilles plus ?
Il était trop tard, je la tenais dans mes bras. Cet évanouissement fût le dernier.
La de mes yeux jallirent une simple larme. Je n'avais jamais ressenti quelque chose de tel pour ma mère. Pourquoi ? Je mis quelques secondes à me rendre compte de sa mort. D'abord je me suis levé et ensuite des hommes avec un masque vert sur la bouche sont venus, ils ont dit un truc à Papa, mais il n'entendait plus que ses larmes. Je ne comprenais pas, papa me demandait : Pourquoi, pourquoi il a fallut que ça se passe comme ça. Son regard vide me perçait.
Les arpèges de la pourriture et de l'agonie de mon père profanait ma conscience et mon enveloppe matérielle.

A nouveau je le dis : Maman, Je t'aime.

Je n'ai le souvenir que de quand je n'avais pas de parents, si peut être avais-je eu un vrai père, je me souviens juste qu'à l'orphelinat les autres petits me demandaient pourquoi je ne pleurais jamais. Je leur répondais : et toi pourquoi tu pleures ?
Un beau jour, des hommes sont venu à l'orphelinat. Ils voulaient me faire passer des tests. Car depuis qu'on m'avait trouvé quand j'avais 3 ans, je n'ai jamais pleuré, mes parents ne sont pas important. D'ailleurs je ne sais pas ce que c'est d'en avoir et je ne ressens pas de manque. Des fois la grosse dame m'a demandé pourquoi je m'asseillais toujours tout seul devant l'horloge du matin au soir, je n'eu d'autre réponse que : j'attends sa venue. Et elle enchainait en me demandant, tu attends qui ta mère ?Je lui répondit que non, j'attendais mieux.

2 mois s'étaient écoulés, la grosse dame était revenue. Elle avait maigrit et avait les cheveux plus gras. Une femme mince était à côté d'elle, elle était vêtue de rouge avec des talons. Elle semblait avoir des cernes masquée un peu par le maquillage. La grosse dame m'a dit que c'était ma mère, ma vraie mère. Je l'ai regardé et puis elle m'a prise dans ses bras, ça me faisait mal au milieu de la poitrine. Je sentais, ce déluge, celui que ces enfants avaient quand on leur avaient dit que leurs parents été mort. C'était maman qui pleurait, elle me disait qu'elle m'aimait et me demandait de lui pardonné de m'avoir abandonné. Je ne lui ai pas répondu.

Elle était mariée à un monsieur assez maigre lui aussi mais plus joyeux. Ils m'ont expliqués que ma mère du moment était ma génitrice et mon paternel une espèce de remplaçant si j'ai bien compris, mon vrai Papa a disparu... C'est pas grave ici je peux manger a ma faim, ce que je veux comme je veux. Maman n'a jamais voulu me dire pourquoi elle m'avait abandonnée, ni pourquoi mon père était parti. Et puis ce n'est pas important, il y avait toujours une belle horloge je pouvais aller devant tous les matins.
Puis les jours se suivirent, ma mère ne comprenait pas pourquoi je fixais tout le temps cette horloge. Un jour elle est tombée gravement malade, papa m'amenait la voir tous les jours à l'hopital. Je suis aussi rentré dans une école normale avec des gens qui avaient des Papa et des Maman, mais les pleurs des enfants me manquaient un peu. Ce n'est pas que j'aime ça, c'est juste que c'est pas comme mon chez moi de tous les jours. Les enfant me parlaient mais je ne leur répondait pas, je ne les aimais pas eux... Ils avaient jamais vu tous ces gens qui pleuraient et toute la pauvreté de cet endroit pour enfant sans parent, l'orphelinat je crois ou la Dass comme dit Papa.


Un jour Papa n'a pas pu m'amener à l'hôpital, alors j'y suis allé tout seul à pied, ce n'était pas loin. Maman m'a sourit quand je suis venue avant de pousser un petit cri de douleur, maintenant elle avait l'habitude. Elle toussait beaucoup, c'était pas grave, les docteurs, disaient qu'elle allait mourir, j'allais peut etre revoir les enfants qui pleurent. Mais pourquoi pleuraient-t-ils, un jour papa m'avait parlait de l'amour...
Qu'est-ce que c'était, je suis allez voir maman et je lui ai dis :
-Maman pourquoi les enfants ils pleuraient à l'orphelinat ?
-Car ils n'ont plus de parents et n'ont pas la chance de les avoir retrouvé.
-Dit Maman pourquoi tu m'as retrouvé après m'avoir laissé ?
-Je... Car...
Sa voix tremblais.
-Car, j'avais des problèmes avec ton vrai père, il s'est fait arrêter par la police, il avait tuer quelqu'un et il en riait. Il arrêtait pas de répéter : "Je l'ai tué". Je n'ai pas su quoi faire mais je t'ai quand même gardait, à cause de ses erreurs je n'avais plus rien. Plus de maison, plus d'argent et j'ai vu qu'il avait une énorme dette, je ne savais pas quoi faire.
Et enfin tu as commencé à dire ton premier mot : pourquoi. J'ai fait une dépression et je t'ai déposé pas loin de l'orphelinat, je ne savais plus quoi faire. Je me suis effondré en larme, j'ai vomi tripes et boyaux, j'étais perdue.

Elle pleurait, maman aussi pouvait pleurer pour la perte de quelqu'un, ça me rappelait la grande maison des enfants.
-Dit maman, c'est quoi l'amour ?
Elle se mit à tousser.
-C'est d'etre en manque de quelqu'un, dès qu'il n'est plus la... Vouloir le protèger.
-Alors maman pourquoi tu m'as abandonné ?
-Car tu ne m'aimais pas, tu n'as jamais pleuré et le jour ou tu as dit ton premier mot, ton père est mort. Tu n'as pas dit que : pourquoi, tu voulais savoir pourquoi je pleurais. Elle m'a fait signe de m'approcher et m'a prise dans ses bras en pleurant.
-Je lui demandais à nouveau 10 ans après, maman pourquoi tu pleures ?
-Car tu m'aimes toujours pas.
-Je voulais voir a nouveau un sourire avec des larmes sur son visage, maman était si belle. Maman, si c'est ça l'amour alors je crois que... Je t'aime.
Elle sourit, puis essaya de répondre, mais la machine verte s'est mise à clignoter et les vagues était devenu une ligne droite, maman ne respirait plus. Je ne comprenais pas.
Papa venait d'arriver, les monsieurs en verts avec leur masque aussi, ils ont finit par faire non de la tête à papa...

Moi je l'aimais car je voulais la voir sourire et pleurer. Je crois que je ne la verrais plus sourire, papa pleurait lui aussi.


Pour plus de précision : Elle était morte de chagrin, devant sa vie gâchée, et devant moi qui n'avais pas su l'aimer. Elle avait mit neuf ans à se relever, Mais cette fois ce fut mon amour qui lui avait été fatal. Ma venue c'était ce qui l'avait tuée, j'étais sa mort.

Ps : Bon je sais c'est pas très soigné, ça parait même bâclé mais j'y ai consacré que 2 heures et désolé pour les fautes d'orthographes.

Salut
Je suis Dagobert et comme tu l'as précisé dans ta présentation, tu souhaites des commentaires plus riches que "ouais, c'est bien" ou "j'aime pas trop le style" alors voilà :

Bon alors, avant toute chose, les ...... STOP ! Ca n'apporte que l'inconfort de la lecture, surtout pour écran. Je trouve le style brouillon, les contours des situations sont flous, les images manquent. L'ambiance que tu souhaites installé ne prend pas pour moi, le narrateur (un enfant ne dit pas, ne pense pas des phrases comme : Les arpèges de la pourriture et de l'agonie de mon père profanait ma conscience et mon enveloppe matérielle ).
L'orthographe est potable selon les critères dagobertiens (mais je suis pas le champion de cette assemblée,mais après tout, je suis un roi féodal dit fainéant). Au milieu du texte, dans l'épisode de l'orphelinat, pour moi, il y a une scande intéressante, une construction qui m'a bien plu. Son plus grand défaut pour moi est son manque de temporalité, ne pas connaître l'âge de l'enfant m'a gêné.

Je t'encourage vivement à arrêter les ... et à continuer de travailler car il y a quelque chose à creuser, à déterrer.

Merci Dagobert.
J'avais même pas remarquer mon soucis pour les "...", il est vrai que c'est gênant. Je te remercie pour ton commentaire constructif, sur mon blog personne ne m'a dit ça, je regrette pas d'avoir jeter un coup d'oeil à ce forum, je me mettrait très prochainement à l'amélioration et à la correction de ce texte.
Je voulais installer la phrase complexe dite par l'enfant mais cela m'a fait oublier que je faisais parler un enfant.

ps : je ne m'attendais pas à ce que l'on me réponde aussi rapidement et j'aime bien ton avatar.

Je serais moins virulente que notre cher roi. Malgré tous un tas de défaut, j'ai bien aimé. J'avais envie de voir où tu emmènerais cet enfant. C'est donc, déjà un grand point positif que de prendre le lecteur.
Maintenant, c'est vrai que le tout reste fort maladroit. Beaucoup de phrases seraient à revoir. Entre certaines constructions un peu bancales et autres maladresses au niveau de l'histoires même.
Tu nous as parlé de ton orthographe. Effectivement, ton texte regorge de fautes diverses (je te rassure, j'ai déjà vu pire), qui seraient facilement corrigeables, pour la plupart, par de bonnes relectures. Par exemple toutes les fautes d'accord. Je n'ai pas trop le temps de t'en faire un relevé exhaustif pour l'instant, mais si j'y pense, pour un peu plus tard, pourquoi pas, puisque tu souhaites améliorer ton orthographe. Mais je pense que tu pourrais déjà relire toi-même et faire les premières corrections.

kainy320 a écrit:

ps : je ne m'attendais pas à ce que l'on me réponde aussi rapidement et j'aime bien ton avatar.

Cela arrive que les délais de réponses et de commentaires sur les textes soient plus longs, il ne faudra pas t'inquièter.
Et merci pour mon avatar.
Au plaisir de te lire !

Allez, pour montrer que je ne fais pas que dire des bêtises, voilà une correction orthographique non exhaustive. comme tu peux le remarquer, la majorité de tes fautes des accords, en tout cas, je pense, des trucs facilement corrigeables par une relecture attentive. Si une correction te pose problème, fais-moi signe.

-Dit (Dis) maman pourquoi tu te réveilles plus ?
Il était trop tard, je la tenais dans mes bras. Cet évanouissement fût le dernier.
La (là) de mes yeux jallirent (jaillit) une simple larme. Je n'avais jamais ressenti quelque chose de tel pour ma mère. Pourquoi ? Je mis quelques secondes à me rendre compte de sa mort. D'abord je me suis levé et ensuite des hommes avec un masque vert sur la bouche sont venus, ils ont dit un truc à Papa, mais il n'entendait plus que ses larmes. Je ne comprenais pas, papa me demandait : Pourquoi, pourquoi il a fallut que ça se passe comme ça. Son regard vide me perçait.
Les arpèges de la pourriture et de l'agonie de mon père profanait (profanaient) ma conscience et mon enveloppe matérielle.

A nouveau je le dis : Maman, Je t'aime.

Je n'ai le souvenir que de quand je n'avais pas de parents, si peut être avais-je eu un vrai père, je me souviens juste qu'à l'orphelinat les autres petits me demandaient pourquoi je ne pleurais jamais. Je leur répondais : et toi pourquoi tu pleures ?
Un beau jour, des hommes sont venu (venus) à l'orphelinat. Ils voulaient me faire passer des tests. Car depuis qu'on m'avait trouvé quand j'avais 3 ans, je n'ai jamais pleuré, mes parents ne sont pas important (importants). D'ailleurs je ne sais pas ce que c'est d'en avoir et je ne ressens pas de manque. Des fois la grosse dame m'a demandé pourquoi je m'asseillais (asseyais) toujours tout seul devant l'horloge du matin au soir, je n'eu (eus) d'autre réponse (d'autres réponses) que : j'attends sa venue. Et elle enchainait (enchaînait) en me demandant, tu attends qui ? ta mère ?Je lui répondit (répondis) que non, j'attendais mieux.

2 (Deux, les chiffres doivent s'écrire en lettres) mois s'étaient écoulés, la grosse dame était revenue. Elle avait maigrit (maigri) et avait les cheveux plus gras. Une femme mince était à côté d'elle, elle était vêtue de rouge avec des talons. Elle semblait avoir des cernes masquée (masquées) un peu par le maquillage. La grosse dame m'a dit que c'était ma mère, ma vraie mère. Je l'ai regardé (regardée) et puis elle m'a prise (pris, je crois qu'il sagit d'un garçon) dans ses bras, ça me faisait mal au milieu de la poitrine. Je sentais, ce déluge, celui que ces enfants avaient quand on leur avaient (avait) dit que leurs parents été mort (étaient morts). C'était maman qui pleurait, elle me disait qu'elle m'aimait et me demandait de lui pardonné (pardonner) de m'avoir abandonné. Je ne lui ai pas répondu.

Elle était mariée à un monsieur assez maigre lui aussi mais plus joyeux. Ils m'ont expliqués (expliqué) que ma mère du moment était ma génitrice et mon paternel une espèce de remplaçant si j'ai bien compris, mon vrai Papa a disparu... C'est pas grave ici je peux manger a (à) ma faim, ce que je veux comme je veux. Maman n'a jamais voulu me dire pourquoi elle m'avait abandonnée (abandonné, c'est un garçon ou pas, je finis par me le demander), ni pourquoi mon père était parti. Et puis ce n'est pas important, il y avait toujours une belle horloge je pouvais aller devant tous les matins.
Puis les jours se suivirent, ma mère ne comprenait pas pourquoi je fixais tout le temps cette horloge. Un jour elle est tombée gravement malade, papa m'amenait la voir tous les jours à l'hopital (hôpital). Je suis aussi rentré dans une école normale avec des gens qui avaient des Papa et des Maman, mais les pleurs des enfants me manquaient un peu. Ce n'est pas que j'aime ça, c'est juste que c'est pas comme mon chez moi de tous les jours. Les enfant me parlaient mais je ne leur répondait (répondais) pas, je ne les aimais pas eux... Ils avaient jamais vu tous ces gens qui pleuraient et toute la pauvreté de cet endroit pour enfant (enfants) sans parent (parents), l'orphelinat je crois ou la Dass comme dit Papa.

Un jour Papa n'a pas pu m'amener à l'hôpital, alors j'y suis allé tout seul à pied, ce n'était pas loin. Maman m'a sourit (souri) quand je suis venue (venu ?) avant de pousser un petit cri de douleur, maintenant elle avait l'habitude. Elle toussait beaucoup, c'était pas grave, les docteurs, disaient qu'elle allait mourir, j'allais peut etre revoir les enfants qui pleurent. Mais pourquoi pleuraient-t-ils, un jour papa m'avait parlait (parler) de l'amour...
Qu'est-ce que c'était, je suis allez (allé) voir maman et je lui ai dis :
-Maman pourquoi les enfants ils pleuraient à l'orphelinat ?
-Car ils n'ont plus de parents et n'ont pas la chance de les avoir retrouvé (retrouvés).
-Dit (Dis) Maman pourquoi tu m'as retrouvé après m'avoir laissé ?
-Je... Car...
Sa voix tremblais (tremblait).
-Car, j'avais des problèmes avec ton vrai père, il s'est fait arrêter par la police, il avait tuer (tué) quelqu'un et il en riait. Il arrêtait pas de répéter : "Je l'ai tué". Je n'ai pas su quoi faire mais je t'ai quand même gardait (gardé) , à cause de ses erreurs je n'avais plus rien. Plus de maison, plus d'argent et j'ai vu qu'il avait une énorme dette, je ne savais pas quoi faire.
Et enfin tu as commencé à dire ton premier mot : pourquoi. J'ai fait une dépression et je t'ai déposé pas loin de l'orphelinat, je ne savais plus quoi faire. Je me suis effondré (effondrée) en larme, j'ai vomi tripes et boyaux, j'étais perdue.

Elle pleurait, maman aussi pouvait pleurer pour la perte de quelqu'un, ça me rappelait la grande maison des enfants.
-Dit (Dis) maman, c'est quoi l'amour ?
Elle se mit à tousser.
-C'est d'etre en manque de quelqu'un, dès qu'il n'est plus la (là)... Vouloir le protèger.
-Alors maman pourquoi tu m'as abandonné ?
-Car tu ne m'aimais pas, tu n'as jamais pleuré et le jour ou tu as dit ton premier mot, ton père est mort. Tu n'as pas dit que : pourquoi, tu voulais savoir pourquoi je pleurais. Elle m'a fait signe de m'approcher et m'a prise (pris) dans ses bras en pleurant.
-Je lui demandais à nouveau 10 ans après, maman pourquoi tu pleures ?
-Car tu m'aimes toujours pas.
-Je voulais voir a nouveau un sourire avec des larmes sur son visage, maman était si belle. Maman, si c'est ça l'amour alors je crois que... Je t'aime.
Elle sourit, puis essaya de répondre, mais la machine verte s'est mise à clignoter et les vagues était (étaient) devenu (devenues) une ligne droite, maman ne respirait plus. Je ne comprenais pas.
Papa venait d'arriver, les monsieurs (messieurs) en verts (vert) avec leur masque aussi, ils ont finit (fini) par faire non de la tête à papa...

Moi je l'aimais car je voulais la voir sourire et pleurer. Je crois que je ne la verrais plus sourire, papa pleurait lui aussi.


Pour plus de précision (précisions) : Elle était morte de chagrin, devant sa vie gâchée, et devant moi qui n'avais pas su l'aimer. Elle avait mit neuf ans à se relever, Mais cette fois ce fut mon amour qui lui avait été fatal. Ma venue c'était ce qui l'avait tuée, j'étais sa mort.

"Les arpèges de la pourriture et de l'agonie de mon père profanait ma conscience et mon enveloppe matérielle"
=> C'est "joli", mais typique de la volonté d'écrire une belle phrase, un bon mot etc. pour montrer de quoi on est capable. Ca n'a rien à faire ici ; d'autant plus que c'est trop voyant. Pour moi ça fait l'effet d'un énorme cheveux sur la soupe ^^
Et puis emploi de vocabulaire douteux, pas sûr qu'arpège soit approprié ici ?

"Je n'ai le souvenir que de quand je n'avais pas
de parents, si peut être avais-je eu un vrai père, je me souviens juste
qu'à l'orphelinat les autres petits me demandaient pourquoi je ne
pleurais jamais."
=> maladroit.

"Des fois la grosse dame m'a demandé pourquoi je
m'asseillais toujours tout seul devant l'horloge du matin au soir, je
n'eu d'autre réponse que : j'attends sa venue. Et elle enchainait en me
demandant, tu attends qui ta mère ?Je lui répondit que non, j'attendais
mieux."
=> problème de temps à plusieurs endroits (me demandait par exemple). Sinon c'est bien trouvé, notamment le "j'attendais mieux".

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Bon, la flemme de relever toutes les maladresses.
Pourquoi "gâcher" ainsi un texte qui aurait pû être tellement mieux ? En ne lui "consacrant" que 2 heures ? En plus tu dis ça comme si ça avait été une corvée.
C'est dommage, dans le fond y'a plein de bonnes idées, des images fortes, de l'émotion etc.
Mais dans la forme, c'est bourré de fautes (tu peux remercier Catherine d'ailleurs qui te fait la grâce d'une bonne correction) et de maladresses.

Alors oui, on sent que c'est baclé, le style est brouillon comme le dit Dago (et à la lecture c'est assez laborieux) ; du coup, franchement, je comprend pas l'intérêt de balancer un texte baclé ? C'est con parce qu'on sent aussi que y'a de la force et des choses intéressantes derrière... Enfin ça ne te rend pas justice quoi.
Dommage c'est le mot que m'inspire ce texte.

Au début je comprenais pas trop ce qui se passait (et c'est normal, puisque tu commences par la fin), ce qui m'a un peu rebutée, mais par la suite, malgré les fautes d'orthographe et les maladresses (comme l'ont dit les personnes plus haut), je suis rentrée dans l'histoire, et c'est plutôt sympa ^^ Mais c'est un peu brouillon.

/!\ Vers la fin, tu mets 2 ou 3 fois des tirets alors que le gosse joue le narrateur.

Personnellement, je n'ai pas accroché du tout, principalement à cause des nombreuses fautes relevées plus haut mais aussi par un manque d'accroche stylistique qui fait grandement défaut à ton texte. Désolé, mais je n'ai pas du tout été impliqué dans cette histoire, car la lecture etait trop laborieuse et l'ecriture pas très soignée...j'avais l'impression de lire une suite de mots, mais sans ame derrière (malgré certaines idées, pas specialement mauvaises).
Mais encore une fois, le manque de style, d'accroche et toutes ces suites de fautes m'ont vraiment gené. Et l'histoire elle-meme m'a semblé un peu fouillis egalement et pas très bien mise en forme, je trouve.
C'est dommage, car comme le disait Max, il y un a petit arrière-gout de bâclé et qu'en peaufinant plus ton texte, tu aurais plus le rendre bcp plus interessant et attrayant...
Pour la prochaine fois, peut-etre?

Mais que cela ne te décrourages pas, ce n'est qu'un début et à force (en travaillant un minimum tes textes et ton style), je suis sûr que tu arriveras à faire des choses très sympathiques !
N'oublies pas juste pas la phase de relecture/correction, qui est déterminante dans l'ecriture. Pour le reste, c'est à toi de trouver l'inspiration et de la modeler selon tes désirs
Bonne continuation à toi kainy et je l'espère, à une prochaine en ces lieux où les talents bourgeonnent !

kainy320 a écrit:

Ps : Bon je sais c'est pas très soigné, ça parait même bâclé mais j'y ai consacré que 2 heures et désolé pour les fautes d'orthographes.

Tout est dit là en fait.
C'est limite de proposer un texte aux lecteurs, alors que l'on sait qu'il n'est pas très soigné...

Bonjour, je tenais à m'excuser pour mon absence prolongée, depuis ma
dernière connection j'ai peu consacré de temps à l'écriture, j'ai connu
quelques évènements d'ordres familiaux et je vous ai laissé
l'impression d'un très grand manque de respect en dépit des efforts que
vous avez apporté dans vos critiques enrichissantes, je vous devez
des excuses alors au moins c'est fait. J'aime beaucoup votre forum, je
vous remercie pour ce que vous avez dit, ça m'aide à comprendre ce
qu'il ne va pas et je vois à peu près ce qu'il faudrait que je modifie,
notamment mes fautes de rédaction, d'ailleurs je tenais surtout à
remercier Catherine pour avoir consacré du temps à la correction de mes
fautes.
Je compte être présent dans les jours qui suivent.
En tout cas j'ai beaucoup de respect devant la rapidité d'apparition et la pertinence de vos messages.

Si tu veux te faire définitivement pardonner, tu peux aller lire nos textes par exemple

Les arpèges de la pourriture et de l'agonie de mon père profanait ma conscience et mon enveloppe matérielle.

Moi je la trouve top cette phrase, toutefois, elle est certainement un petit peu avancée pour un gamin, ce qui veut dire deux choses, soit l'une, soit l'autre :

- soit tu avais l'intention d'en raconter plus, puisque le narrateur parle avec du recul, il nous raconte une histoire qu'il a vécu enfant et maintenant qu'il y a réflèchi et retourné tout ça dans sa tête

- soit c'est une erreur

Pour le texte, j'apprècie ton travail sur les émotions, retrouver les émotions de l'enfance est loin d'être évident.

En tout cas ton histoire mérite que tu t'en occupe, c'est à dire que tu la relise jusqu'à être venu à bout de toutes les erreurs.