LE MANOIR DU FANTASTIQUE
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 Une vie pour une autre

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khyor
Sangsue mort-vivante
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khyor


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MessageSujet: Une vie pour une autre   Une vie pour une autre EmptyVen 4 Déc 2009 - 14:59

Citation :
J'ai depuis pas mal de temps une idée, des personnages, des événements qui me trottent dans la tête. Avant de me lancer dans la rédaction de ce roman, j'ai préféré commencer en posant les bases de cette histoire sous la forme de 3 petites nouvelles. Et voici la première, Bonne lecture !

Le domaine du Moulin était une vaste propriété familiale qui côtoyait de nombreux bois et forêts. Rodolphe Rousseau en avait hérité de son père, qui en avait hérité avant lui. Situé aux portes de la Bretagne, non loin de la ville de Saint-James en Basse Normandie, ce lieu se révélait être le cadre idéal pour voir grandir ses enfants.
La grande résidence avait été bâti tout en longueur avec des matériaux d'origine locale. Rodolphe qui était en outre, un architecte chevronné, avait pris beaucoup de plaisir à la restaurer. Soutenu par sa femme, ils firent de ce lieux un gîte de renommé, étape de prédilection pour les randonneurs et les cavaliers de la région.

* * *

Rodolphe entrebâilla discrètement la porte et s'arrêta un cours instant, contemplant d'un œil attendri, sa femme Rebecca qui se balançait dans son rocking-chair. Leurs regards se croisèrent et il s'approcha d'elle pour lui prendre la main.
« Il est temps de lui en parler. » Lui murmura t-il à l'oreille.
Ils quittèrent ensemble une petite chambre rose, en prenant soin de refermer la porte derrière eux. Tous deux, ils se dirigèrent enlacés dans le salon où le jeune Raphaël, tout juste neuf ans, regardait la télévision. Sa mère passa la main dans ses cheveux roux bouclés.
« Ton père et moi avons quelque chose à te dire mon chéri », lui annonça t-elle d'une voix craintive.
Quelques instants plus tard, le jeune garçon sortit de la résidence en sanglots dans un épouvantable fracas. Prenant soin de bien claquer la porte pour marquer son mécontentement, bien que celle-ci ne se referma pas complètement, freinée dans son élan par un cache-prise qui trainait par terre. Il dévala les quelques marches et prit ses jambes à son cou. Sa silhouette s'éloigna rapidement en direction du bois qui recouvrait la moitié du domaine.
Rebecca franchit à son tour le porche d'un pas alerte, le visage déboussolé. Elle fut suivi de quelques instants par son époux.
« Raphaël ! Revient mon cœur ! » s'égosilla la jeune femme qui ne pouvait retenir ses larmes.
« Il a juste besoin de se retrouver un peu seul, mais il finira par l'accepter », affirma Rodolphe qui déposa tendrement sa main sur le ventre de sa femme. « J'irai lui parler quand il se sera calmé », rajouta t-il d'un ton réconfortant.

Raphaël s'affala à bout de souffle en lisière du bois. Ses parents ne pouvaient déjà plus l'apercevoir. Ses yeux verts tout rougis par le chagrin ne laissaient plus échapper aucune larme. Mais son visage n'en reflétait pas moins la colère et la tristesse qui l'habitait. Lui qui pourtant était si proche et si affectueux de ses parents. Il se releva doucement et frotta la terre qu'il avait sur les genoux. L'arôme d'amande amère qu'il appréciait tant et qui se dégageaient des genêts en fleurs semblaient l'apaiser. Il ramassa son carnet à dessin qu'il avait laisser échappé en tombant et emprunta un petit sentier bien étriqué vers l'intérieur du bois.

Le soleil cognait plutôt fort pour un matinée de septembre, surtout à Saint-James. Néanmoins, la végétation épaisse et luxuriante retenaient une grande partie des rayons du soleil. Ce qui dénotait une atmosphère ombragée et bigrement inquiétante.
Le jeune Raphaël connaissait déjà fort bien ces bois et il avait pour habitude de s'y retirer. C'était un petit prodige du crayon qui voulait devenir architecte comme son père. Régulièrement il venait trouver l'inspiration essentielle à ses croquis. La faune et la flore, les petits champignons comme les rongeurs, il y trouvait à chaque fois son bonheur. Mais cette fois, il n'était pas venu pour cela et il s'engouffra plus profondément au cœur des arbres, s'éloignant des sentiers balisés, bien au delà de ses précédentes promenades.

Après quinze bonnes minutes de marche à travers la broussaille, il s'arrêta brusquement, les mollets déchirés par les ronces. Un bourdonnement à peine couvert par le bruissement des feuilles avait retenu toute son attention, allant même jusqu'à chasser de son esprit la raison de sa présence en ces lieux. « Qu'est-ce que ça pouvait bien être », songea t-il. Il tourna plusieurs fois sur lui même, cherchant dans toute les directions à découvrir la provenance de cet étrange bruit qui ne lui était en aucun cas familier. Il finit par se diriger vers ce qui semblait être l'origine du mystère.
Au fil de son avancée, le bourdonnement changea peu à peu en grognement et la curiosité dont il faisait preuve céda rapidement la place à l'anxiété. Mais c'était un garçon plutôt déterminé et il persista dans son investigation malgré son appréhension. Il n'était pas question de partir sans savoir de quoi il s'agissait.
Il parvint aux abords d'une clairière et fut stupéfait par ce qui se dressait alors face à lui. Un arbre pourvu d'un tronc si colossal qu'à coté de lui, Raphaël en était insignifiant. Jamais il n'avait observé quelque chose d'aussi imposant. Sa forme aussi inhabituelle que déconcertante évoquait la silhouette d'une main herculéenne dont la paume serait tourné vers le ciel.

Le grognement devint plus retentissant désormais et il fit tressaillir Raphaël qui lâcha un cri tout juste étouffé par sa main. L'étrange bruit s'évanouit aussitôt abandonnant la clairière au vent et au craquement des branches.
Le jeune garçon tenait fermement son carnet à dessin entre ses doigts crispés. Le regard scellé sur cet arbre colossal, il relâcha lentement son étreinte et s'assit attentivement face à lui. D'une main, il sortit un fusain et de l'autre il tourna quelques pages. Puis il commença à esquisser le théâtre qui se présentait à lui, avec l'espoir de faire disparaître ce sentiment d'inquiétude de plus en plus lourd qui commençait à l'oppresser.
Il ébaucha en premier lieu les quelques arbres qui entouraient la clairière puis les hautes herbes dans lesquelles s'étaient perdues de belles tulipes rouges. Il poursuivit ensuite la représentation de la colossale main qui se trouvait au centre. D'abord le tronc, puis vint les grosses branches et enfin le feuillage.
Le jeune garçon prenait son temps et essayait de s'arrêter sur chaque détail. Il avait la fibre artistique innée, c'était indéniable. Les proportions étaient quasi parfaites. Chacune des cinq branches en place et lieu des doigts de cet main herculéenne avait retenu son attention. Aucun élément n'avait été oublié … ou presque.
Raphaël finalisa son croquis en ajoutant cette sombre cavité dans le tronc qu'il n'avait pas remarqué jusqu'alors. C'est en scrutant ces derniers détails qu'il entra dans une profonde torpeur. Il y avait quelque chose, là au creux de cet arbre !
« DES YEUX ! » S'étonna t-il. Deux grands yeux verts le fixaient avec intensité.
Le jeune garçon ne se rendait plus compte de la force qu'il exerçait sur le fusain et son craquement sembla briser la tranquillité qui demeurait depuis quelques instants.
Le grognement se fit entendre à nouveau. Un son rauque raisonna fortement dans toute la clairière. Les branches du colosse commencèrent à s'agiter et scintiller de toute part.
Raphaël s'affola et recula, trainant les fesses toujours à même le sol. Il poussa un cri de terreur tout en se relevant et prit la poudre d'escampette. Il ne regarda pas une seul fois derrière lui et courut droit devant sans s'arrêter. Dans sa fuite, il accrocha maladroitement l'une des brettelles de sa salopette. Elle se déchira sur le coup et resta suspendue à la branche. Il trébucha et continua alors à quatre pattes sur sa lancée sans même se rendre compte que son vêtement pendouillait d'un coté. Il était à mi-chemin de la lisère du bois quand il s'aperçut avec peine qu'il avait les mains vides !
« Mon carnet ! » S'exclama t-il.
Ce recueil était son bien le plus précieux, son jardin secret. Il y dessinait toute ses découvertes, toutes ses peurs et toute ses joies. Le jeune garçon allait devoir faire un pénible choix. Soit il abandonnait son carnet, soit il retournait le chercher. Il aurait bien pu quérir l'aide de son père, mais le temps se gâtait et il pouvait entendre l'orage gronder au loin. Il opta donc pour revenir sur ses pas et affronter le colosse aux yeux verts, juste le temps de rattraper son carnet et de s'enfuir une nouvelle fois.

Il y arriva aussi vite qu'il en était parti, mais il calma son allure quelques mètres avant la clairière. Il avança sereinement sur la pointe des pieds, surveillant d'un œil averti le creux de l'arbre. « Ouf ! les yeux ont disparu », pensa t-il en soupirant. N'imaginant pas un seul instant que la chose, quelle qu'elle soit, pouvait être endormi ou pire, être sortie de là !
Seulement quelques pas le séparaient de son carnet, quand le vent se mit à souffler et entrainer avec lui les branches qui scintillaient alors de nouveau. Mais cette fois sans cet étrange grognement. Raphaël en fut interloqué et ramassa son carnet. Il inspecta rapidement son croquis et il se rendit compte qu'il avait reproduit machinalement quelque chose autour de certaines branches. Il regarda avec attention celles-ci sur le colosse. C'était seulement une sorte de … chaine en fer ! Avec des maillons tressés finement. Le jeune garçon suivit la chaine du regard, en cherchant à quoi elle pouvait bien servir. Mais celle-ci semblait conduire dans la paume de l'arbre, hors de son angle de vue.
L'orage se rapprochait de plus en plus et il devait se dépêcher. Avec courage, il prit la résolution de gravir le colosse. La paume de l'arbre se situait à environ une dizaine de mètre du sol. Raphaël était un garçon plutôt empoté et très maladroit, mais il réussi non sans mal à atteindre l'endroit tant désiré. Une fois dans la paume de l'arbre, il put imaginer un instant être piégé entre les doigts d'un géant.
« Oh non ! » Manifesta t-il.
A son grand étonnement, la chaine ne s'arrêtait pas là. C'était un véritable parcours acrobatique qu'elle nous faisait là. Elle finissait sa course par s'engouffrer dans un trou au milieu même de la main colossale tel une vulgaire épine.
Le cœur battant la chamade, Raphaël s'en approcha. Il dressa la tête, descendant la chaine des yeux. Un sursaut ! Il se retrouva de nouveau capté intensément par une énigmatique paire d'yeux verts. Le grognement se fit à nouveau entendre, accentué par le vrombissement du vent qui pénétrait dans la faille du tronc auquel vint s'ajouter un écho des plus rauque. Il était suffisamment proche cette fois pour ne pas être inquiété. C'était un chat, juste un pauvre petit chat piégé dont les miaulements réclamaient de l'aide. La chaine qui entourait les branches de cet arbre colossale n'était autre qu'une misérable laisse attaché à un collier étrangleur qui enlaçait le cou de la pauvre bête. Elle ne pouvait faire aucun geste sans resserrer son étreinte et suffoquer.

Le jeune garçon s'approcha plus encore du trou et s'adressa au chat :
« Doucement minou. Je vais te détacher, mais ne me griffe pas ! »
Il remonta la chaine des yeux et chercha la branche idéale. De ses deux mains il l'empoigna et tira aussi fort qu'il le pouvait. Il brisa celle-ci, ce qui lui permit de dégager la chaine et de lui offrir un peu plus de mou.
« voilà ! Ça devrait être plus facile comme ça ! » S'exclama t-il.
Il ne pouvait pas descendre sans risquer d'être piégé à son tour alors il laissa pendre son bras à l'intérieur et empoigna la chaine. Il la remua délicatement afin de relâcher l'étreinte qui emprisonnait le chat. Au même moment, le regard de la bête reprit en vigueur et cette dernière put s'élancer. Elle rebondit deux ou trois fois sur les parois avant de s'extirper hors du traquenard dans un miaulement de satisfaction.
Raphaël fut surprit et eut un mouvement de recul. Il roula jusqu'à l'extrémité de la paume de l'arbre et fut malgré lui entrainer de tout son poids tête la première.
Le chat qui s'était déjà précipité sur les arbres voisins s'immobilisa dans son élan lorsqu'il entendit un effroyable craquement. La foudre retentit à son tour soulignant le drame qui venait de se produire.
Le corps de l'enfant gisait au pied de l'arbre colossal, proche de son carnet à dessin.
Le félin revint sur ses pas et s'arrêta à quelques mètres de la tragédie, contemplant la chair inerte de l'être qui s'était donné la peine de lui rendre la vie. Il s'avança à nouveau et vint s'allonger sur sa poitrine, s'efforçant de déceler un signe de vie. En vain ... le jeune garçon s'était briser le cou dans cette violente chute et son cœur s'était arrêté de battre.
L'orage était tout proche, et les premiers éclairs avaient alerté Rodolphe qui était parti à la recherche de son fils. Il avançait promptement, jetant un œil dans le moindre recoin. Ce qui était sur, c'est qu'il ne pouvait pas ne pas l'apercevoir. Raphaël était toujours habillé de couleurs vives. C'était ainsi plus facile de le retrouver même dans un bois aussi étroit que celui là. Rodolphe fut attiré par quelque chose en dehors du sentier. Il mit la main sur la bretelle rouge de Raphaël. Le jeune homme redoublait d'inquiétude.
« Raphaël ...? Raphaël ... ? » S'époumona le jeune homme.
Le chat se dressa et tourna la tête dans la direction de Rodolphe. Il avait perçu l'appel du père de l'enfant. Il s'approcha du visage de Raphaël. Il se trouvait maintenant au dessus de celui-ci. Le félin baissa la tête, apposant son front contre celui du jeune garçon. Un écho retenti ! Son cœur se remit soudainement à battre. Ses yeux s'ouvrirent à nouveau et vinrent se perdre dans ceux du chat. Leurs pupilles se dilatèrent totalement et laissèrent apparaitre une étrange forme en mouvement combinant neuf lueurs.
L'une de ses lueurs vint à ralentir jusqu'à s'arrêter entièrement pour cesser de briller. Leurs pupilles se rétractèrent enfin. Le chat s'allongea de nouveau sur la poitrine de Raphaël et miaula de toute ses forces avant de bondir loin de là. Rodolphe fut interpelé et se précipita dans la bonne direction.
« Oh mon Dieu, Raphaël ! » S'indigna t-il.
Il tomba à genou près du corps de son fils et confirma avec soulagement qu'il était encore en vie.
« C'est toi papa ? » S'interrogea le jeune garçon encore sonné.
« Ne t'inquiète pas, je suis là. »
Il le souleva avec attention et le reconduisit aussi vite que possible à la résidence afin d'appeler les urgences.

* * *

Plusieurs jours s'étaient écoulés depuis la mésaventure de Raphaël. Ses parents le raccompagnèrent après qu'il ait passé plusieurs jours en observation à l'hôpital.
La tête blotti contre le ventre de sa mère qu'il enlaçait, il appréciait les mots doux qu'elle lui murmurait.
« Pendant que j'y suis, j'ai quelque chose pour toi. » Clama Rodolphe.
« Qu'est-ce que c'est ? » s'interrogea Raphaël.
Rodolphe restitua à son fils son bien le plus précieux. Et quel ne fut pas la surprise de Raphaël quand il eut à nouveau entre les mains son carnet.
« Merci Papa ! Je croyais l'avoir perdu. »
Il prit place dans les bras de son père et s'avancèrent ensemble vers la résidence. Sur le chemin du retour, une curieuse lueur brilla dans le fond des yeux de Raphaël et ses pupilles se rétractèrent en amande comme celle des félins. Le chat pour lequel il s'était donné tant de mal lui apparut de nouveau, fier et compatissant. Un chat entièrement noir si l'on omettait ses pattes blanches qui lui donnait l'impression d'avoir enfilé des chaussons de nouveau-né. Il disparut derrière le grand portail qui se refermait lentement, révélant le blason de la famille Rousseau.

* * *

Dans un quotidien bien connu de la région l'on pouvait lire ces deux articles :

_Un jeune garçon de neuf ans perd la vue dans une chute. Bien qu'aucune lésion n'ait été décelé, les médecins ne savent pas si l'enfant pourra recouvrir la vue._

_Bébé Rachèle Sophiane Rousseau, fille de Rebecca et Rodolphe Rousseau est décédée à la maternité de l'hôpital de Saint-James le 12 août 2005 à l'age de cinq semaines. Bébé Rachèle laisse dans le deuil : ses parents ; son frère Raphaël ; ses grands-parents : Dorlane et Léopold Rousseau ainsi que Lisabeth et Théodore Raffray._
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MessageSujet: Re: Une vie pour une autre   Une vie pour une autre EmptySam 5 Déc 2009 - 18:07

Assez sympathique dans l'ensemble. J'ai trouvé ton écriture assez fluide tout comme ton style. Je serais curieux de lire la suite afin de voir si elle m'en apprendra un peu plus sur une chose qui me taraude: que représente le chat exactement..?

Au plaisir de lire une autre de tes nouvelles...
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MessageSujet: Re: Une vie pour une autre   Une vie pour une autre EmptySam 5 Déc 2009 - 22:19

randall a écrit:
Assez sympathique dans l'ensemble. J'ai trouvé ton écriture assez fluide tout comme ton style. Je serais curieux de lire la suite afin de voir si elle m'en apprendra un peu plus sur une chose qui me taraude: que représente le chat exactement..?

Au plaisir de lire une autre de tes nouvelles...

héhé Smile
Le chat a son importance dans la trame générale de mon univers et de cette histoire Smile
Il appartient à quelque chose de beaucoup plus grand qui se révèlera progressivement tout en gardant un certain mystère au cours des 2 prochaines nouvelles.

Ensuite, comme je l'ai dit, l'idée était de m'essayer à raconter quelques événements passé au cours de 3 petites histoires, en suivant certains personnages de la famille Rousseau.
La grande aventure commencera quand le jeune Raphaël entrera au collège ^^, riche de ces événements.
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MessageSujet: Re: Une vie pour une autre   Une vie pour une autre EmptyDim 6 Déc 2009 - 0:26

D'accord donc je vais attendre la suite pour voir ce qu'il en est...

Merci pour ta réponse en tout cas...
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