LE MANOIR DU FANTASTIQUE
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 Là où sont les rêves

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MessageSujet: Re: Là où sont les rêves   Là où sont les rêves - Page 2 EmptyDim 22 Aoû 2010 - 8:25

Alors, j'ai repris toutes vos questions et j'ai essayé d'y apporter éclaircissements et explication autant que cela m'était possible, j'espère seulement que tout va tenir dans un seul post.

C'est parti :

*Il manque un truc : si lire ou écrire en rêve est la découverte du siècle, il faudrait insister un peu plus là-dessus, sur l'importance de la découverte et les applications possibles.
*En fait, les scientifiques découvrirent peu à peu qu'il était possible de lire en rêve, c'est pourquoi je l'ai inséré de manière progressive, et au moment, où ils se rendirent compte que c'était important, il était trop tard les militaires s'emparèrent du projet et fermèrent le centre.

*Ensuite, si vraiment tu tiens à coller la cuisine gouvernementale, les complots, les secrets et tout ça, vas-y à fond. Et ça m'intéresserai qu'il soit surveillé, espionné, qu'il y ait des gars louches autour de lui depuis qu'il s'intéresse au sujet. Ouais, ça sera un gros cliché mais j'aime bien les clichés.
*Je préfère suggérer.

J*'en ai rien à foutre que le personnage du début ressasse sa mélancolie au bistrot (mélancolie ? Tant que ça ?),
*Il est mélancolique car c'est son caractère, quand il ne trouve pas de matière pour ce qu'il veut écrire, il devient mélancolique.

*Et on finit sur la petite phrase Ce texte a été publié tel que nous l'avons reçu sans en changer un mot, tel qu'il nous a été envoyé. Mais justement, qui sommes-nous ? Je devine ton intention, mais ce n'est pas clair.
*Nous sommes les lecteurs d'une histoire envoyé par Oswald à son journal avant sa disparition.

*Bref, c'est bien écrit, mais il a juste manqué le petit frisson de découvrir des trucs qu'on ne devrait pas.
*Je pense que chacun peut avoir ou ne pas avoir ce petit frisson, ça doit être une question de personnalité.

*Pour finir, je ne sais jamais trop qui c'est qui cause. L'histoire commence avec le narrateur, ensuite l'autre gars fait de longs monologues.
*Je retravaille ce problème.

*J'ai le même avis que Didier sur "qui est en train de parler". Il y a ce passage commencé par un tiret, "il a été couramment constaté...", puis saut de ligne, et "...constaté que..." : j'ai compris que c'était le médecin qui continuait à parler. Mais il y a différents "changements de narrateur" que tu fais ainsi à partir de procédés différents, et on se perd très vite, surtout avec cette fin en "mise en abîme" qui montre très vite 3 narrateurs différents.
*Il y a plusieurs niveaux au récit : le récit proprement dit d'Oswald, le récit de Pascal entrecoupé de leur discussion, il n'y a en fait que deux narrateurs.

*Ensuite, on comprend qu'il s'agit là d'un long dialogue, mais il y a cet effet qui me fait immanquablement penser au cinéma, lorsqu'un personnage raconte une histoire, le flash-back apparait et on suit l'histoire du passé... Puis on revient fréquemment au présent avec l'autre interlocuteur qui pose ces petites questions : "en quoi ce rêve a-t-il quelque chose de choquant ?", "Comment avaient-ils pu passer inaperçus auparavant ?", etc. C'est l'effet que produisent ces sauts de lignes qui détachent le dialogue dans le bistro de l'histoire des laboratoires. Peut-être que tu pourrais travailler cela ?
*En ce qui concerne le dialogue d'Oswald et de Pascal, il intervient uniquement pour synthétiser et récapituler ce que raconte Pascal et ce qu'en comprend Oswald.

*En attendant, le 2nd interlocuteur, je trouve que ses petites questions sont un peu trop bateau, j'y aurais mis, par exemple, des signes de stupéfaction, d'attention forte au récit de ce Pascal...
*Il m'a été difficile de concevoir ce dialogue, Oswald est avant tout pragmatique et tient par dessus tout à bien comprendre, c'est pourquoi ces questions sont simples et répètent souvent ce qui a été dit.

*Je vois l'histoire comme un prologue à une terrible découverte, c'est ce qui me fait un peu frissonner en ayant lut la fin. Cela me fait penser à certaines fins de nouvelles de Lovecraft, où tous les précédents témoins des recherches effectuées étaient retrouvés morts, ou disparus...
*Merci de la comparaison.

*Enfin, j'avoue avoir un peu lâché l'attention avec certains termes scientifiques que je ne maîtrise pas...
*C'est pourquoi je ne voulais pas trop pousser le côté scientifique, cette histoire est destinée à un magasine dont le lecteur lambda n'est pas forcément calé en sciences cognitives, je suis à chaque fois obligé de reprendre tout à la base et de vulgariser le plus possible.

*Texte bizarre, à plus d'un titre !
*Je prends ça comme un compliment, l'impression que je voulais produire devait être celle d'un voyage initiatique au pays des rêves.

*Je me souviens du dernier texte que j'avais lu de toi [...] Celui-là est beaucoup mieux, je ne sais pas si c'est une histoire de progrès ou d'efforts supplémentaires, mais c'est vraiment mieux.
*Comparé à la mob à Moktar dont tu parles certainement, c'est le jour et la nuit au niveau du travail fourni.

*Bon, par contre c'est mieux, mais c'est pas encore ça, tu traines de gros problèmes de mise en forme et de retranscription pensée/papier.
*A ma décharge, je dirai que ce sujet n'était pas facile, le piège était d'éviter de tomber dans le trop scientifique en gardant une histoire, mais aussi d'apporter des notions de base en science cognitive.

*Gros problème de temps, pour commencer, lié à des soucis de narration. C'est une focalisation interne avec un narrateur intradiégétique ici, il me semble, mais la façon dont la narration est conduite s'avère très confuse. Résultat : la lecture est très pénible, en ce qui me concerne. Surtout si on ajoute le problème de mise en forme purement syntaxique (phrases démesurément longues, ponctuation anarchique etc.)...
*J'y travaille.

*Oui, la lecture est vraiment lourde et indigeste.
*C'est peut-être mon style qui fait ça, j'essaie de m'améliorer, surtout au niveau de la longueur des phrase et de la ponctuation.

Note : Le narrateur intradiégétique est lui-même l'objet d'un récit.
Un narrateur extradiégétique (la voix narrative) est extérieur à la narration (à l'histoire racontée).
Dans un texte littéraire, hétérodiégétique désigne un narrateur qui n'est pas un personnage de l'histoire qu'il raconte.

En fait, à cause de phrases comme celles-ci :

*C'était dans les années quatre vingt dix, le 12 octobre 1992, j'écrivais un essai sur les rêves.
*Modifié

*Et c'est ainsi qu'un beau jour, dans la onzième année du centre, ce qui arriva, je me le rappelle bien au cours de l'année 1985
*Modifié

*Le récit devrait être conduit à l'imparfait/plus que parfait (histoire entièrement passée...). Sauf que tu insères des éléments racontés à l'imparfait/passé simple (style direct et dialogues notamment), en mélangeant un peu le tout. Passer certains passages en italique pourrait être une solution (encore que ca n'irait pas franchement avec l'idée du texte publié "tel quel", comme tu l'annonces à la fin). Sinon, tu peux supprimer les dialogues et tout passer au style indirect (dialogue compris), pour tout mettre à l'imparfait/plus que parfait. Ou alors, faire un récit classique imparfait/passé simple en adaptant l'impression "flashback" et en la rendant bien visible et séparée du reste du récit, plus direct (dialogues). C'est ce que je ferais, en modifiant les trucs nécessaires, pour que ca colle au mieux avec le support, le contexte...

*- Je devais donc trouver quelqu'un s'y connaissant en rêves, et c'est par le plus grand des hasards que cela m'arrivait.
=> Un exemple de problème de temps frappant.
*Je ne vois pas ce qui cloche avec cette phrase ?

*Trop de "donc" dans les environs, sinon.
*Il n'y en a plus que 4 dans la version finale.

*Quand la providence, qui devait veiller sur moi [virgule] me mit en face de celui qui allait m'éclairer [là on perd le fil, problème de syntaxe] en la personne d'un vieux médecin qui avait travaillé de connivence sur des projets gouvernementaux liés à la santé, très proches de mon sujet préféré du moment.
*Modifié

*- "J'étais tout à mon ennui" / "esbroufe"
=> Tu utilises quelques expressions/termes qui ne collent pas avec le ton/registre (et surtout l'époque, en l'occurrence) du texte.
*C'est pas assez actuel, j'étais tout à mon ennui ?

*- En tout cas, peut-être que les rêves ne sont que des mensonges de l'esprit, ne voulant pas nous dévoiler la vérité brute, le songe essayant de nous expliquer quelque chose, chacun y trouvera son compte.
=> j'ai dû relire plusieurs fois pour bien comprendre que c'est "l'esprit qui ne veut pas dévoiler la vérité brute".
*Le président est un orateur, je pense que ce genre de phrase passe mieux à l'oral.

*- Centre qui compta dans ces équipes de nombreux médecins, psychiatres, neurologues, professeurs de méditation et même des religieux qui tous avaient étés appelés sous le sceau du secret gouvernemental dans ce splendide building de quarante étages en bordure de centre ville, équipé d'ordinateurs performants et d'appareillages sophistiqués dont une énorme machine électroencéphalographique couplée au réseau informatique et servant à l'analyse et au séquençage des rêves des volontaires qui furent invités à y séjourner.
=> Beaucoup trop long. C'est pas possible d'écrire des trucs comme ça.
Prend n'importe quel roman que tu as sous la main et compare, je sais pas moi.
*Moi, j'aime bien cette phrase et je dirais même plus que je la trouve importante, car elle fait le lien entre les membres du centre et le centre lui-même, de plus, je n'arrive pas à la réduire, ni à la remplacer, ni à la supprimer, je suis donc obligé de la garder.

*- Les documents produits par le centre étaient de trois types principalement [point], premièrement, le compte-rendu proprement dit qui était rédigé par le sujet une fois qu'il se réveillait [point], deuxièmement, une analyse réalisée par la machine qui mettait en relation les différents stimuli qui avaient provoqué ce rêve et la fréquence à laquelle la machine les détectait [point] et troisièmement [virgule] une analyse de l'expérience réalisée par les scientifiques et assistants qui travaillaient sur le projet.
=> Symptomatique de ta façon de rédiger. Tu balances tes pensées d'un trait, en posant tout de même quelques virgules nécessaire comme on te l'a fait remarquer, mais sans penser réellement à la mise en forme littéraire.
*Cette phrase présente les résultats du centre, et pareillement à la précédente, je n'arrive pas à la synthétiser plus sans en dénaturer le sens.

*- Pour ma part, je me bornerait à vous dire (il est exalté maintenant, ses yeux se sont mit à briller) que je ne saurais pas vous décrire l'enthousiasme avec lequel ces expériences étaient menées [point], tout le monde au centre se rendait bien compte que nous approchions de quelque chose de fondamental, à savoir le fonctionnement et l'existence même de l'âme humaine, et tout cela sans quasiment aucun danger, car la machinerie se bornait à enregistrer et à observer.
=> Problèmes divers dans cette phrase qui résume un peut tout. Longueur, comme d'habitude. Pb de temps, notamment dans la parenthèse. Pb de ponctuation, comme partout. Pb de terme, "âme" étant peu scientifique - donc n'ayant rien à faire dans la bouche du médecin, a fortiori dans ce cadre - en plus de n'être pas un synonyme acceptable de "conscience" ou même "esprit", à la rigueur. Pb de conjugaison aussi.
*Je tenais au mot âme, car pour moi, il établit un parallèle entre la pensée scientifique et la pensée religieuse, effet que je n'obtient pas avec conscience plus scientifique ni avec esprit, pas assez religieux à mon goût.

*- Pendant le sommeil, les zones du cerveau responsables du langage et de l'écrit étaient endormies et que l'on ne pouvait donc pas rêver d'écriture.
=> Admettons...
*Cette constatation provient d'un article que j'ai lu et dont je donne les sources plus haut.
-----------------------------------

*Sinon autre interrogation à propos de ce texte. Quel genre ? Fantastique ? Scientifique/réaliste ? Etc.
Pour moi c'est du fantastique, pour 4 raisons principales : ton général employé (pas assez sérieux pour être réaliste) ; tribulations scientifiques pas franchement crédibles (alors qu'on sent que tu essayes de rendre les choses crédibles, justement) ; rendu global du texte pas vraiment maîtrisé ; révélation inattendue à la fin, avec le coup du texte chelou (d'un nouvelliste, de surcroit) publiée tel quel. Alors je sais pas dans quel genre tu voulais placer ce texte, mais c'est confus (je le répète, parce qu'on sent une envie de rendre les choses crédibles).
*Bon au départ, je ne voulais pas vraiment m'accrocher à un genre, et j'avais penché pour le fantastique, mais j'ai été obligé d'aborder les aspects scientifiques du sujet

*Bref, ce texte m'a complètement bousillé la tête.
Reste qu'au demeurant, ce texte est meilleur que la mob à Moktar, par exemple, donc continue !
*Merci, je voulais écrire un texte qui interpelle par son côté réaliste et en même temps fasse rêver par sa portée imaginaire.

*Donc une raison supplémentaire pour lire ce texte comme un texte "fantastique" (par défaut) : le postulat scientifique qui sous-tend l'intrigue semble tiré par les cheveux. Et puis j'en vois encore une autre (ça fait 6) : les termes techniques que tu emploies sont presque toujours génériques, peu précis. Ce genre d'artifice renforce l'impression d'un auteur qui ne maîtrise pas suffisamment son sujet.
*Je ne voulais pas trop forcer la dose de termes scientifiques, car j'aurais été obligé de tous les expliquer un par un, vois plutôt ce texte comme une tentative de vulgarisation.

*« Mais vous parlez d'ennemis et de combats, nous sommes en paix en ce moment, non ? »
=> C’est un peu crétin comme question de la part du mec, s’il y avait une guerre, les gens le sauraient, et en plus lui travaille dans un journal, il doit être pas mal au courant des événements.
*Oswald tiens avant tout à comprendre au risque de poser des questions idiotes, cela fait partie du personnage.

*« leur donner des bases solides dues à l'utilisation de la machine ECHO, machine par ailleurs totalement inoffensive »
=> Ҫa, c’est un tic d’écriture qui revient souvent dans ta nouvelle : tu reprends toujours le nom dont tu viens de parler avant pour ajouter une précision, alors que c’est complètement inutile ! C’est ce genre de choses qui alourdit ton texte. Pourquoi ne pas dire tout simplement, « grâce à la machine ECHO, par ailleurs totalement inoffensive » ?
*Merci

*D’autres exemples :
− « il était au courant de mes recherches par l'intermédiaire de l'annonce que j'avais faite dans le journal où je travaillait, annonce dans laquelle je demandais… »
− « je découvrais des comptes rendus d'expériences sur des volontaires, expériences qui consistaient à… »
− « Ainsi s'achevait le discours d'ouverture que venait de déclamer le professeur Nathaniel Hawe à l'occasion de l'ouverture du nouveau centre de recherche onirique, ouverture qui eut lieu… »
Bref, des tournures comme ça y en a partout. Donc fais attention à ça, la prochaine fois.
*J'y veillerais, en fait cela provient de mon brouillon et de ma façon de penser, j'écris une phrase et j'en analyse les détails que je développe après en les reprenant, mais j'essayerai de gommer ça à l'avenir.

*Autre tic d’écriture que tu utilises souvent et qui ne sert à rien :
− « tenant […] un instrument de musique des plus classique »
− « Cette machine construite avec une méthode des plus simples »
− « au terme d'une réunion des plus agitées »
=> Tu te compliques la vie. Pourquoi ne pas juste mettre « tenant un instrument de musique », « une méthode simple », « une réunion agitée »… ?
*J'aime bien le mot plus.

*« plus l'on vous montrait d'événements et de situations ou autre pour "produire" du rêve, plus le rêve devenait complexe et donc "résonnait" et augmentait en durée (tout en restant en général inférieur à une minute) et en complexité (nombre d'images mentales traitées) »
=> Tu dis deux fois que le rêve devient complexe, seulement la deuxième fois tu expliques quel est le critère qui permet de dire qu’un rêve est complexe. Il faudrait que tu reformules en gardant le critère.
*Modifié

D’une manière générale, il y a beaucoup de répétitions de ce type. Le deuxième paragraphe et le début du troisième sont un bon exemple.

*« Ceci étant facilement compréhensible pour tous »
=> Oui enfin on a dû s’accrocher quand même, c’est pas de la tarte non plus. Tu devrais le supprimer ou le remplacer par quelque chose qui « choque » moins.
« et le fruit d'un principe suivi le plus simplement du monde »
=> Quel principe ?
*Expliqué.

*« Pour ma part, je me bornerait à vous dire (il est exalté maintenant, ses yeux se sont mit à briller) que je ne saurais pas vous décrire l'enthousiasme avec lequel ces expériences étaient menées »
=> Pas sûre que la parenthèse soit d’une grande utilité, d’autant que nulle part ailleurs dans le récit tu ne nous parles de son attitude.
*C'est pour souligner le fait qu'il kiffe son travail. J'ai enlevé la parenthèse tu as raison.

*« Et, c'est donc au terme des dix premières années d'expérience, lors desquelles eu lieu la finalisation de la machine ECHO permettant la visualisation de la mémoire par les images, que la soixantaine d'assistants - dont je faisait partie - et la trentaine de scientifique aient testés plus de cinq mille volontaires sélectionnés parmi plus de soixante mille au départ, que le centre se soit doté d'un stock d'images d'archives et de descriptions de rêves que se développa le nouveau modèle d'images fractales de la mémoire. »
=> Cette phrase est in-com-pré-hen-sible.
*Corrigé

*« - Mais tous ces résultats sont passionnants...
- oui, ça l'était réellement, je peux vous le dire.
- Mais alors que c'est-il passé au bout de ces dix ans ? »
=> Les autres morceaux de dialogue tiennent à peu près la route, mais celui-là, non, y a pas moyen. Tu peux le supprimer, ça changerait strictement rien au texte (par contre tu devras supprimer aussi le « Eh bien » qui suit).
*En fait la réaction d'Oswald est purement un réflexe, il insiste sur ce que Pascal vient de dire car il sent bien que la passion du travail bien fait de ce dernier a été sa première motivation.

*« ces expériences avaient étés encadrées par des assistants pendants que les scientifiques étaient occupés à la nouvelle théorie d'images fractales de la mémoire »
=> Sous-entendu, les assistants sont pas assez intelligents pour se rendre compte que les rêves avec de l’écrit ne devraient pas être possibles ? Mouais, ça m’étonne que sur autant de personnes qui travaillent sur la chose, vraiment aucun assistant n’est rien remarqué avant qu’un scientifique pointe le bout de son nez. Et puis même, des rêves comme ça, il devait y en avoir avant même que les scientifiques s’occupent de leur nouvelle théorie.
*Le problème est le suivant, quelques rêves écrits arrivent dans le projet, et ils sont systématiquement écartés, ils sont quand même stockés et s'accumulent ce qui fait que plus tard on finit par s'interroger à leur sujet, mais au départ les assistant avaient ordre de les mettre de côté, ce qu'ils se bornaient à faire.

*« Et, semblant répondre à la question que j'avais sur le bout des lèvres, mais que je n'osais formuler, il n'y avait pratiquement aucun doute, c'était l'armée qui était dans le coup. »
=> Là, le médecin, le mec et le lecteur ont bien compris qu’on parlait des militaires, donc cette phrase peut être supprimée (elle est pas très bien tournée en plus…).
*Je tiens quand même à le préciser, simple rappel de ce qui a été dit au début.

*Mots qui reviennent souvent dans toute la nouvelle : « nouvelle », « réelle », « donc », un tas d’adverbes.
*Nouvelle 5 fois, réelle 1 fois, donc 4 fois

*Je dois avouer que, à la première lecture, j’avais rien compris. Ton texte fait appel à des connaissances sur le rêve que tu essaies d’expliquer, mais justement, c’est là que ça coince, parce que ton écriture, comme l’a dit Max et je suis à 100% d’accord avec lui, bien qu’elle soit beaucoup beaucoup plus lisible que l’autre nouvelle que j’ai lue de toi (Edouard Wood zombie killer), a quand même de nombreux défauts. Tu emploies beaucoup trop certaines expressions (citées plus haut), tes phrases sont souvent longues et alambiquées, le texte est pollué par des adverbes et expressions de toute sorte qui n’ont rien à faire là où ils sont, y a des répétitions, et tu réussis pas toujours à retranscrire de manière compréhensible ce que tu veux dire, du coup le texte manque de fluidité et ça devient difficile pour le lecteur de suivre.
*Mon style est très chargé, j'aime bien les adverbes, j'essaie de m'améliorer.

*Concernant l’histoire elle-même, j’ai un peu de mal à voir l’utilité finale de la chose. Il aurait fallu du concret, en fait. Les militaires qui utilisent les découvertes sur les rêves pour gagner une guerre, ce genre de chose.
*Pour moi le principal de l'histoire était de parler des rêves et de leur donner une explication scientifique, je considère donc avoir atteint mon but.

*Y a un truc qui m’interpelle quand même, à propos des scientifiques qui sont pour l’étude des rêves comportant de l’écrit et ceux qui disent que les sujets mentent (parce que c’est ce qu’ils disent, au fond, non ?). D’une part, en tant que scientifiques, ils se doivent d’étudier TOUS les types de rêve, même s’ils paraissent un peu douteux. Et d’autre part, y a un tas de gens qui ont rêvé de choses écrites, puisqu’ils ont pu remplir de rapports tout un bureau. À ce stade-là, c’est plus possible de penser que les sujets ont raconté n’importe quoi. Donc y a un problème, là. Est-ce que c’est toi qui as inventé cette partie ou bien tu as lu ce désaccord entre scientifiques quelque part ?
Et aussi, à quoi ça sert d’écarter ces rêves du projet, si c’est pour mettre des personnes sur l’affaire au final ?
*Comme je l'ai expliqué au dessus, l'intérêt pour ces rêves est venu petit à petit, et ils finirent par les étudier.

Voilà voilà… En somme, continue les efforts sur l’expression Ça ne pourra que servir l’histoire.

P.S.: Un topic où raconter ses rêves, ça serait sûrement bien drôle.
C'est fait.
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Max
Perruche mort-vivante
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MessageSujet: Re: Là où sont les rêves   Là où sont les rêves - Page 2 EmptyDim 22 Aoû 2010 - 9:37

Ça fait de plaisir de voir que les remarques des lecteurs sont utiles car prises en compte.

Mais tu restes ferme sur certaines positions, au delà les remarques, et c'est bien aussi (à tes risques et périls cependant, parfois Twisted Evil ).

A toi de voir de toute façon.




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