" The Jésus Lizard "

Salut voici un ancien texte que je viens de retrouver dans mon bordel si quelqu'un veux me laisser un commentaire il sera le bienvenu. En ce moment je suis entrend d'écrit une nouvelle le titre de la nouvelle que je viens enfin de trouver sera " Le Corps sans vie" je l'a posterait en septembre si tout va bien sinon on verra. Voila bonne lecture

Marche
Lentement, en silence
Sans, un bruit
Dans un désert
Le soleil, est haut
Il brille, sur tas peaux nues
De lézard
Tes écailles, son dure
Tu as à chaud
Mais, tu marches
Lentement
Tu arrives, près d'un village
Des indiens viennent à ta rencontre
La cérémonie peut enfin commercer
Les indiens forme un cercle
Et danses
En criant pour que le seigneur
Haut dans le ciel
Puisse les écouter
Au centre du cercle
Trône, l’image du lézard
Qui à un regard attentif à tout ça
Ils le surnomment
Jésus.
The Jésus Lizard est très célèbre dans le désert.

bien

Bien le bonjour cornélia

je sais que je pourrait retraivailler sur ce texte mais sais un vieux, et qui dit vieux,, je ne rappelle plus dans quel état j'était pour pouvoir le retraivailler il faudrait revenir en arrière mon bon. Surtout en ce moment je ne peux pas je suis en train de rédiger une nouvelle "Le corps sans vie " pas mal le titre non pour pouvoir la metttre en septembre avec les encouragements de ta part Cornélia dans un autre forum, je vais réesseyer même si sa me dit rien décrire une histoire. Merci à plus

Houlà ...

Je ne sais si cette ponctuation anarchique est faite sciament et si les fautes d'orthographes ( très nombreuses pour un aussi petit texte ) ont un sens, mais en gros, j'ai rien compris à ce texte...
Désolé, tout ceci me laisse assez perplexe...

Moi, non plus, c'est très désordonné... Vraiment l'ange on attend de toi un texte plus travaillé, et tu en es sûrement capable !!!! Un peu de nerfs que diable...

Quant à ton poème, avec un minimum de (re)travail, il serait potable...
Je me lance :

Tu marches, lentement et en silence
Dans un désert, écrasé par un soleil de feu
Ses rayons brûlent des tas de peaux nues,
Des peaux de lézards décomposées,
Tes semblables, tu ne les reconnais plus,
Tes écailles, brûlantes et dures,
te recouvrent de chaleur,
Mais tu marches, lentement,
Tu arrives près d'un village,
Un village d'indiens,
Ils viennent à ta rencontre,
Ils te chantent et te dansent,
La cérémonie peut commencer,
Les chefs forment un cercle autour de toi,
Les tambours claquent et roulent,
Ils crient et psalmodient, au nom du seigneur,
Sur leurs colliers et leurs totems, le signe du Lézard,
Le lézard, qui surveille et observe,
Ils le surnomment Jésus,
Le Dieu lézard...

plutôt Rambo vu ma carrure...

surtout que je suis musclé comme une serpillère !

épais comme un lézard

Y a des fautes :

Il brille, sur ta peau nue
Tes écailles, sont dures
Tu as chaud
Tu arrives, près d'un village
Les indiens forment un cercle
Et dansent
En criant pour que le Seigneur
Qui a un regard attentif à tout ça

J'aime bien, mais je ne vois pas où tu veux en venir avec ton lézard, il va faire des choses plus tard ou juste rester célèbre et attentif ?