Atelier 16 : Goldrush

Je t'encourage vivement, lors de ton prochain retour aux sources, à découvrir ces villes, villages et hameaux !

Très bon, très fluide. Juste la fin passée trop vite en revue, pourquoi ne pas plus fouiller la personnalité des deux personnages ?... tu termines trop vite, nous enlevant le gâteau de la bouche, après deux ou trois bouchées. Mais bon, très bon quand même, bravo.

Merci d'avoir pris le temps de me lire, big Boss

Mon principal problème, c'est que j'écris trop, je m'embarque dans des détours et je ne sais pas retrouver mon chemin, retrouver ma ligne directrice, mon idée centrale. Alors je coupe jusqu'à 50 % de mon texte pour le clarifier, le rendre fluide et moins lyrique, mais du coup, c'est vrai, que je perds l'anecdote qui fait le croustillant, qui apporte de la profondeur et de la veracité.
En tout cas, Goldrush reste une des meilleures nouvelles que j'ai jamais écrite et elle mériterait d'être approfondie, creusée et embellie.
En tout cas, c'est agréable d'avoir des lecteurs (-trices) de votre niveau et vos avis, notes, commentaires me sont bien plus précieux que vous pouvez le penser.

Très joliment formulé. C'est le point fort de ce texte.
Quelques problèmes de virgules et d'orthographe, que tu verras dans ma correction de la Lisière.
La chûte est vraiment trop rapide, et est plombée par une inversion de la logique qui en étouffe l'effet.
L'histoire est sympa, mais sans plus, faute à trop de questions sans réponse (qu'arrive-t-il à l'indien la nuit, pourquoi révéler le trésor, pourquoi tuer l'explorateur...).

Sinon :

Greedfull sentait qu'il ne devait pas trop le brusquer, sans risquer de le perdre
=>Phrase pas très claire

Il la musela, le coeur battant, prêt à dégainer en cas d'hostilité de ce Skookum devenu un autre.(saut de paragraphe) Il se calma doucement, comme la pluie s'arrête.
=> Deux fois "il", mais pas pour le même personnage.

L'Eldorado se dévoilait à eux dans sa sublime simplicité. Ils avaient du ramper dans un étroit boyau, Skookum poussant le sac devant lui pour arriver aux pays des merveilles.
=> inversion dans le temps assez désagréable à la lecture.

Sachant ce qu'il allait advenir, il lui tournait le dos, prêt au sacrifice
=> ce qui allait advenir

Et quand la lourde pierre lui fracassa le crâne, il n'émit pas une plainte en sombrant dans les eaux noires.
=> il faut choisir : quand la pierre lui fracasse le crane OU quand il sombre dans les eaux noires

Condamné à être enterré vif, l'atroce réalité lui apparut : mêlé à la pierre éboulée lui barrant la route du retour, l'or tant convoité serait son linceul d'agonie.
=> inversion encore, entre la situation (enterré vif) et sa révélation (la réalité lui apparût)

Mais ce n'est que mon avis, bien sûr.
(frappe pas, steplé)

Salut Tici
Merci de ta lecture et de ton commentaire.

Je prends note de tes remarques (justifiées pour la plupart, et certaines que je contestent - notamment sur le style et le choix de ma syntaxe - par exemple, sur la dernière remarque : situation (enterré vif) et la révélation : cette verité, c'est que c'est l'or qui l'a mené à son funeste destin. C'est un choix, pardon, ce sont des choix (car je ne néglige pas les re-lectures malgré ce que tu penses). Certains sont discutables et déséquilibrent mes phrases ou font contresens et je te remercie de les avoir remarqué.

Je prends note de ton avis, TiCi, sois en assuré.

Dagobert a écrit:

situation (enterré vif) et la révélation : cette verité, c'est que c'est l'or qui l'a mené à son funeste destin.

Ok. Alors c'est simplement qu'il manque le passage où tu expliques que l'éboulement l'a emmuré vivant. La on passe du tremblement de terre directement à la constatation. D'où la méprise sur le sens de la révélation ("La vérité lui apparut"). D'ailleurs, c'est plutôt l'ironie de la situation, ce que tu me décris finalement (que c'est l'or qui l'a mené à sa perte). Enfin bref, on s'est compris je pense, et tous les autres commentaires sont d'accord pour dire que la fin (donc ce passage) est trop rapide.

Dagobert a écrit:

(car je ne néglige pas les re-lectures malgré ce que tu penses)

Là, tu me prêtes des pensées, Dagobert.
Je t'ai fait la remarque une seule fois (je crois), sur Dorine Gris. Et en plus je ne suis pas le seul à l'avoir dit pour ce texte. Il ne faut pas généraliser !
D'ailleurs, les textes qui me semblent manquer de relecture de façon trop évidente, je n'en fait pas une critique aussi détaillée au niveau des fautes.

Et puis, mince alors, je suis si méchant ???

Pas tu tout, je te trouve bien gentil de donner de ton temps

Heu... rien à voir (désolé) mais :

Dagobert a écrit:

Merci à Michel pour la couverture et à Zaroff pour ses conseils pour insérer un lien sur une image !

Comment on fait ?

Alors, tu inséres ton image avec

puis
tu la sélectionnes et tu cliques sur

tu remplis le champ adresse

Et c'est gagné !

Merci

Welcome

Cool, m'en vais essayer de ce pas...