un autre de mes ecrit laissé pour vos apreciations
La montagne du dragon.
Chapitre 1
Au bout d’une allée s’avancent un homme, sa femme et leurs deux enfants. Le plus jeune d’entre eux est une fillette de 9 ans qui porte le doux nom de catherine. C’est une enfant malicieuse et espiègle qui, ne marchant qu’a l’instinct et au plaisir, se retrouve souvent dans des situations que ses parents qualifieraient de dangereuses. Elle a les cheveux blonds et des yeux bleus. Ce jour-la, Catherine avait décidait de s’habiller avec la panoplie de la parfaite petite baroudeuse, jean, chaussures de marche, casquette et sac a dos. Juste derrière elle se trouve David, son tyrannique grand frère. C’est un grand et beau jeune homme de 16 ans, joueur de football de son lycée. C’est un garçon assez secret mais qui s’avère d’un grand secours quand la situation s’en fait sentir. Il est très attaché à sa sœur mais ne le montre pas, bien que, si jamais il lui arrive quelque chose un jour, il serait le premier à lui porter secours. David n’a pas l’air aussi content que sa sœur de ce départ en vacance car lui et ses amies avaient prévu des sorties tous ensemble. Ses yeux marron plissé de colère, et sa mine renfrognée étaient cachés sous une casquette noir et verte d’où dépassé des cheveux châtain mi-long.
Quant à Catherine, une seule chose la préoccupe. Elle se demande ce que va devenir Elliot, son labrador, durant ces vacances. Elle décide d’emmener Elliot en vacance avec eux et le fait bien savoir à ses parents qui, n’étant bien entendu pas d’accord, refuse catégoriquement. C’est pourquoi elle s’arrête brusquement en disant qu’elle ne part pas en vacance sans lui. Après d’inutiles négociations Teri, la maman, une belle jeune femme de 38 ans, architecte de métier, blonde au yeux bleu, accepta finalement d’emmener Elliot. Teri était de ses femmes au caractère bien trempé de par leur métier, à l’esprit ferme et très cartésien.
Voilà toute la famille Malory…. Et Elliot, qui s’engouffre dans la voiture. Ils partent pour une semaine de vacances dont seul Walter, le papa, connaissait la destination. Le voyage se déroule relativement bien si l’on fait abstraction des multiples disputes, entre Catherine et David, dont les motifs étaient parfois discutables. Elliot, lui, regardé les kilomètres défiler à travers la lunette arrière de la voiture. Les voici arrivait dans un petit coin de paradis situé on ne sait ou.
C’est un paysage magique. Une épaisse forêt que l’on croirait tout droit sortit d’un conte de fée au milieu de laquelle se dresse, fier et majestueuse, une montagne aux allures de monstre légendaire. Puis un peu plus loin en suivant un petit sentier a demi effacé par le temps, on arrive dans une clairière ou l’herbe, si verte et si drue, encore recouverte de la rosée du matin, semble briller de mille feux sous les rayons du soleil. Au bord de cette clairière se trouve un grand lac dont l’eau est limpide et d’un bleu extraordinaire.
Après leur arrivé, pendant que ses parents et son frère déchargent le matériel et commencent a monter les tentes a l’orée du bois, Catherine en profite pour aller explorer les environs avec Elliot. A ce moment là, les parents de Catherine, s’apercevant que leur fille s’était éloigné du campement, envoient David la chercher. David s’exécute, non sans montrer son mécontentement et cherche sa sœur dans la forêt adjacente au camp. Au bout d’une demi heure et de quelques cris il la retrouve finalement bien loin du camp, dans un endroit de la foret ou les arbres, ayant des formes si torturées et si étranges, ne ressemblés a aucun autre de la forêt. D’abords surpris par le paysage, il reprend ses esprit et lui met une petite claque derrière la tête pour la taquiner en lui disant de rentrer au camp avec lui car les parents commencer a s’inquiéter. Tout les deux arrivèrent finalement au camp pour dîner et allèrent se coucher. Avant le couché, David parla de ce qu’il avait vu dans la foret. Ses parents quoiqu’un peu septique quant a l’origine de cette malformation en déduirent qu’il ne s’agissait certainement que d’une maladie liée à ce type d’arbre. Tous aillèrent se coucher après cette discutions.
Le lendemain matin, Catherine, réveillée la première, semblât troublé par un rêve qu’elle avait fait durant la nuit. Il se déroulé dans la partie de la foret qu’elle avait vu la veille. Lorsque David se leva a son tour et commença a la titillée elle oublia son rêve et se mit a se battre avec son frère. Les parents réveillaient par tout ce raffut sortirent de leur tente, et crièrent « STOP » avant de dire, d’une voie douce et calme, « bonjour » a leur enfants. Ce cris arrêta net toute bagarre entre les deux enfants et tous se mirent a table pour le petit déjeuner.
La matinée s’écoula tranquillement. Mais, à 10H environ, tous se retrouvèrent autour de Walter, qui avait appelé à un regroupement soudain. Il leur proposa de partir en excursion pour découvrir les environs de leur campement. Walter était professeur d’histoire ancienne a l’université et avait une nature a la fois artiste mais aussi aventureuse compte tenu des voyages d’étude qu’il avait effectué auparavant. Tous furent enthousiastes, hormis David, que le fait d’être ici embêté déjà sérieusement.
Ils partirent donc tous d’un pas enjoué, sauf, bien sur, David qui traîné les pieds derrière en espérant les faire changer d’avis. C’était sans connaître Walter que rien n’arrête lorsqu’il s’agit de partir en exploration. Il était le premier de sa classe à lever le doigt lorsque, pour faire des randonnées avec l’école, l’institutrice demander des volontaires pour guider le groupe.
A 12H, ayant préparé des sandwiches avant de partir se promener, ils s’arrêtèrent pour déjeuner à l’ombre d’un arbre qui semblé être le seul à pouvoir tous les protéger du soleil. C’était un arbre magnifique avec un tronc énorme et un feuillage épais et touffus d’un vert émeraude magnifique.
Tous mangèrent tranquillement en attendant que le soleil diminue d’intensité. Catherine sembla être intriguée par une chose qu’elle était seul à pouvoir entendre. Elle le décrivit à sa famille comme une sorte de chant venant de nulle part et de partout a la fois. Tout le monde tendit l’oreille pour essayer d’entendre ce « chant céleste ». Après maints essais infructueux, les parents et le frère de Catherine se découragèrent et crurent qu’elle se moquait d’eux ou quelque chose comme ça. Tery lui dit d’arrêter de faire des choses pareilles et de se moquer du monde mais Catherine continua à soutenir qu’elle entendait quelque chose. Apres ce repas étrange toute la petite famille se remis en route. Les parents de Catherine furent toutefois très intrigués par cette situation.
L’après-midi se passa relativement bien compte tenu de l’humeur massacrante de David ou de la « spiritualité » naissante de Catherine. Le soir venu, toute la famille était autour du feu de camp mais Catherine semblait songeuse car elle était la seule à ne pas rire aux plaisanteries de son père. Sa mère s’inquiéta et alla lui parler pour savoir ce qui la tourmentée. Elle l’a prit a part et lui posa quelques questions. Catherine lui répéta ce qu’elle lui avait déjà dit dans l’après-midi concernant ces voix étranges venues de nul part et qu’elle seul avait entendue. Sa mère tenta de lui expliquer que les voies qu’elle avait crue entendre n’était peut-être que les bruits que le vent faisait en soufflant dans les branches des arbres. La petite fille partit en courant tout en continuant à dire que se qu’elle avait entendue était belle et bien réel. Elle se réfugiât dans sa tente et la discutions tourna court ce soir là.
Tout semblait rentré dans l’ordre le lendemain matin et toute la famille se rejoignit autour de la table de camping. Le petit déjeuner se déroula dans une franche rigolade. Entre les grimaces de Walter et les histoires anecdotes de Tery. Ce jour la, ils décidèrent de partir en randonnée mais, comme a son habitude, David, plus enclin a ne rien faire qu’a se promener, refusa catégoriquement et s’enferma dans sa tente, espérant échappé a ce qui était, pour lui, une véritable punition. Son père désespéré par cette situation eut une idée pour que David, malgré sa paresse, fasse quelques petites choses. Il tapa donc sur la tente et dit à David qu’il restait au campement mais uniquement pour surveillé et s’occuper d’Eliot. Il lui dit également qu’il pourrait, par la même occasion, en profité pour ranger un petit peu le campement. David, jubilant intérieurement de ce revirement de situation, ne répondit que par un simple « ouais, ouais ». Catherine, accompagnée de son père et de sa mère commençât a s’éloigné du camp pour explorée les alentour du lac, tout proche. Arrivé sur la berge, pendant que ses parents, se mirant dans l’eau clair du lac, s’extasiés sur les paysages magnifique qu’il rencontrés. Catherine, se retournant pour admirée, a son tour, la beauté de se site, vit, au beau milieu de la foret dans laquelle elle s’était enfoncée la veille, une montagne énorme dont le sommet ressemblé a s’y méprendre au corps entier d’un dragon. Catherine, le souffle coupé par ce qu’elle voyait, ne put que tirer sur les vêtements de ses parents qui se retrouvèrent, à leur tour, face a cette montagne aux airs de monstre mythique.
Walter, abasourdi par cette vision, mit un instant avant de pouvoir dire un mot. - « C’est fantastique » lâcha-t-il tout en avançant pas à pas dans la direction de la montagne. Puis se retournant vers sa femme il s’aperçut que Catherine avait disparu en s’enfonçant dans la foret adjacente mais ne put la rattraper. Ils tentèrent de la suivre mais en vain, tant le bois était dense et touffu. Walter finit par s’arrêter voyant que sa femme, trop essoufflée, ne pouvait le suivre. Ils décidèrent de retourner au campement, de s’habiller et de s’équiper pour leur permettre de traverser cette forêt sans craindre de se blesser.
En arrivant, ils découvrent David en pleine séance de bronzage. Walter le sort violemment de son oisiveté pour lui expliquer la situation. Comprenant que sa sœur, comme a son habitude, cour un grave danger, il s’engouffre dans sa tente et en ressort, cinq minutes plus tard, près a partir a sa recherche. Ils partent tout les trois fouiller les moindres recoins de la forêt.
Le jour commence à décliner lorsqu’ils arrivent dans la clairière bordant le lac. Il distinguèrent, a quelques centaines de mètres, une vieille cabane de bois paraissant abandonnée depuis des années devant laquelle flotte une barque arrimée, elle-même, a un ponton dont l’état n’avait rien a envier a la maison. Espérant secrètement retrouver Catherine à l’intérieur, ils s’en approchent prudemment ne sachant pas si la cabane était réellement abandonnée ou non.
A quelques pas du perron de la maison, la porte s’ouvrit brusquement laissant apparaître dans l’embrasure de la porte le canon d’un fusil de chasse. Un vieil homme barbu, portant une casquette rouge vissée sur la tête, une chemise a carreaux et une salopette de jean sortit sur le perron et continua a pointer son fusil sur les Malory. Walter, se mettant devant sa femme et son fils, ne trouve rien a dire hormis qu’ils ne sont pas armées et qu’il ne lui veulent aucun mal.
Après quelques minutes d’observation réciproque, le vieil homme baisse son arme et demande à Walter ce qu’ils veulent en venant ici. Walter lui explique la situation dans laquelle ils se trouvent. Le vieil homme comprenant la présence de la famille Malory les invite a entrée tout en s’excusant de sa réaction disproportionnée. Il s’en expliqua en disant qu’il ne voyait jamais personne par ici et qu’étant très méfiant de nature il avait par moment des réflexes exagérés. Une fois a l’intérieur, il leur proposa de boire un café. Tous acceptèrent et David espéra boire son premier café sans avoir à entendre les remontrances de ses parents quant a l’age auquel on peut commencer à boire ce genre de chose. Le vieil homme, retrouvant son sens de l’hospitalité se présenta tout de même en disant :
- « nous n’avons même pas était présenté. Je m’appel Jeffrey Meyers, je suis pêcheur ».
Walter, l’esprit fixé sur la recherche de sa fille, regardé par la fenêtre et n’avait guère prêté attention à ce que Jeffrey avait dit. Il fut sortit de ses pensées par sa femme qui l’appela. Il répondit maladroitement :
- « Je suis désolé mais je ne vous est pas entendu ».
Jeffrey, avec un sourire compatissant, lui répéta ce qu’il avait dit quelques minutes au paravent. Walter, qui cette fois avait écouté lui répondit :
- « Veuillez m’excuser. Je m’appel Walter Malory voici ma femme Teri et mon fils David ».
La cabane retomba dans un silence pesant après ces présentations sommaires. Jeffrey se leva pour aller chercher la bouilloire qui s’était mis à siffler une note aigue et stridente. Il servi a ses invité d’un soir un café qui apparut plutôt comme un liquide sombre au goût âpre qui reste accroché a la langue que comme une boisson sur laquelle on s’attarde. Walter, tout en prenant sa tasse, levas la tête en disant :
- « merci Mr Meyers ».
Jeffrey ayant ramener la bouilloire dans la lui cuisine dit distinctement :
- « appelez moi Jeff, Walter. Je ne suis plus très jeune mais je ne suis pas un vieux croulant non plus ».
Walter, Teri et David esquissèrent un léger sourire en se regardant mutuellement puis Walter lui dit :
- « et bien…d’accord…Jeff ».
Jeff, voyant que la nuit était tombée proposa à Walter, Teri et David de rester pour la nuit. Voyant Walter hésité, Teri lui dit que Catherine trouverait certainement, elle aussi, un endroit pour passer la nuit et que demain, au levé du jour, ils reprendraient les recherches. Walter acquiesça et tous allèrent se coucher. N’arrivant pas à trouver le sommeil, seul Walter resta debout et vit le jour se lever par la fenêtre du salon. Peu de temps après, Teri, qui, elle, avait dormi un peu, vint le rejoindre près de la fenêtre. David, quant à lui, dormait à point fermer. Walter pris l’initiative de remettre une bûche dans la cheminée pour ranimer le feu qui s’était éteint durant la nuit puis rejoignit Tery a la fenetre, attendant le soleil.