Ma premiere nouvelle !

Bon, j'ai l'honneur et le plaisir de vous présenter ma première nouvelle, j'èspère qu'elle vous plaira !




Courrier Fatal


Sandra sortit de la cuisine en entendant des cris provenant, vraisemblablement, du premier étage. Sans s'inquiéter, elle monta l'escalier en pensant à ce qu'elle donnerait à ses deux petits diables au diner. Elle ouvrit la porte de la pièce d'où semblaient venir les cris, hésitant encore entre une purée de pomme-de-terre ou des haricots à la vapeur.

-Lache moi !, criait le plus jeune des deux enfants présents dans la chambre.

Blond avec de sublimes yeux bleux, Yoann ressemblait à sa mere d'une étrange et déroutante manière. A tel point que chaque fois que Sandra montrait une photo d'elle à 8 ans, ses amis et même sa propre famille la confondait avec son fils.

Sandra regardait, résignée, presque blasée, le spectacle qui se déroulait sous ses yeux. L'ainé trainait le plus jeune par les oreilles à travers la pièce
dans un but connu de lui seul.

- Marc ! Arrète immédiatement ! Lache ton frère ! Marc !, hurla la maman de plus en plus convaincu que Marc allait arracher l'oreille de son bébé. Marc, je t'en supplie ! Arrète !, continuait-elle à crier.

Marc lacha l'oreille de son frère, lui jeta un regard haineux, toisa sa mère avant de la bousculer pour libérer le passage vers sa chambre, dans laquelle il s'enferma à double tour. Ceci fait, il alluma sa stéréo et en fit sortir ce que sa mère appelait les « borborygmes de lenfer ».

Et dire qu'il n'aurait 14 ans que le 13 mai, soit dans trois semaines ! Il avait déjà demandé, éxigé même, d'avoir un scooter pour son anniversaire. Ce qui avait valu à Sandra une crise d'angoisse. En soi, l'évènement n'avait rien de particulier mais ce qui aggravait les choses et les rendaient dramatiques pour Sandra, c'était l'absence de Franck, son époux.

Militaire dans la marine, il ne rentrait que très rarement, Sandra, n'ayant pas un fort caractère, se sentit vite desarmée et se reprochait la situation chaque matin. Si seulement elle n'était pas tombée enceinte, il aurait pu continuer ses études et devenir le brillant professeur qu'il aurait du être. Mais maintenant elle était obligée de faire face à cette crise, seule. Toutefois, elle avait profité de leur rendez-vous téléphonique bi-hebdomadaire pour lui demander son avis sur la question. Il était d'accord mais lui suggérait d'imposer un couvre-feu en semaine, comme le
week-end.

Elle hésita jusqu'au 12 mai et finit par aller acheter ce satané engin tout en se jurant d'en confisquer les clés au premier manquemant à l'autorité parentale.

Le 13 mai, au petit-déjeuner, elle posa donc devant son fils, une petite boite cubique renfermant un écrin de velour noir ayant, autrefois, contenu un magnifique collier. Sandra su qu'elle avait fait le bon choix lorsqu'elle vit le visage de son fils s'emerveiller.


- Où est-il ?, s'impatienta Marc, Oh merci maman ! Je peux aller le voir ??
- Il est dans le garage, mais avant de le conduire il faut que tu passes ton BSR, je t'ai inscrit.
- Oh merci !
- Joyeux anniversaire, mon fils !


Sandra alla chercher le courrier et ne fut guère étonnée de voir une carte de son mari dans le courrier. Franck appellerait, comme toujours, le soir même. Ça faisait 14 ans que quasiment tous les anniversaires se passaient de cette manière.

Mais dans le courrier, entre une facture d'eau et une publicité pour une marque de vêtements, se trouvait une enveloppe qui attisa sa curiosité. Non timbrée et dactylographiée, l'enveloppe etait bordée d'un liseret noire, comme les enveloppes que l'on utilise pour les déces. Sandra pris peur. Qui pouvait bien être mort ? Pourquoi n'y avait il pas de timbre ? Fébrile, elle ouvrit l'enveloppe et en sortit un petit carton lui aussi bordé d'un liseret noir. Ce qu'elle découvrit l'obligea à s'asseoir et à relire trois fois le carton qu'elle tenait dans sa main. Incrédule elle le lu même a voix haute pendant que les enfants se préparaient dans leurs chambres.


« Franck, Marc et Yoann Breaux ont le regret de vous annoncer le déces brutal de Sandra, épouse dévouée et mère bien-aimée. Ses funérailles auront lieu le 21 mai 2007 en l'église Saint-Joseph »


Elle réalisa alors qu'on lui annonçait sa propre mort dans une lettre qui lui était adressée. 21 mai ! Ça lui laissait huit jours, tout au plus, pour découvrir le fin mot de l'histoire. Mais qui pouvait bien lui envoyer ca ? Etait-ce une mauvaise blague ? Une menace ? Ou bien une prédiction ? Qui pouvait bien lui vouloir du mal ? Elle posa, tout doucement, l'enveloppe sur la table et soucieuse de prendre des précautions, elle attendit le départ de ses enfants pour l'école et courut jusqu'au grenier.

Arrivée en haut de l'escalier, elle se dirigea vers une immense armoire qu'elle ouvrit a l'aide de la clé qu'elle portait autour du cou. Elle ouvrit les deux battants de la porte en chène dévoilant ainsi une multitude d'objets qui, malgré les apparences, étaient parfaitement ordonnés. L'armoire ne comportait que deux étagères, la première à environ quarante centimètres du sol et l'autre, légèrement inclinée vers l'avant, était située environ vingt centimêtres plus haut. Sur celle-ci était posée un livre épais dont la couverture s'ornait d'un losange avec, en son centre, un sillon rond profond d'un millimètre seulement.

Sandra y placa son alliance et le livre s'ouvrit de lui-même. Elle feuilleta l'épais volume à toute vitesse puis s'arreta sur une page dont le titre était « éloigner un maléfice ». Sandra alluma les deux chandelles placées de chaques cotés du livre, et les quatre placées sur l'étagère du dessous, révelant ainsi, tracé à la craie, le même cercle entouré d'un losange que sur la couverture du livre. Chacune des quatre bougies rouges qui l'entouraient, etait placée à une des pointes du losange. Sandra lu la page a toute vitesse, récitant quasiment comme si elle l'avait appris par coeur.

Elle ne sut jamais que Marc etait revenu à la maison et avait décidé de repartir avec son scooter, elle ne sut pas non plus qu'il avait trouvé l'enveloppe et son contenu, ni qu'il l'avait lu. Quand elle descendit du grenier, elle ne soupçonna pas non plus qu'il avait réprimé un cri. Ni qu'il avait jeté l'enveloppe dans la poubelle, a l'exterieur, avant de partir. Elle ne saurait jamais qu'il avait lu son propre nom sur le carton. Tout ce qu'elle saurait, c'est que le papier en question avait disparu. Elle se demandait encore comment c'était possible lorsque le téléphone sonna.

- Madame Sandra Breaux ?, demanda la voix.
- Elle même. Sandra commencait à s'inquiéter.
- Sergent Martineau à l'appareil. Il faudrait que vous veniez immédiatement à l'hopital Saint-Christophe. Votre fils, Marc, a eu un accident avec son scooter.
- Est-ce qu'il ....? Sandra, maintenant, était terrifiée.
- Oui madame, votre fils est décédé, je suis désolé.

L'enquète dura une semaine, elle révela que les freins avaient lachés, probablement parce qu'ils avaient été sabotés. Sandra et Franck refusèrent d'intenter un procès au magasin qui leur avait vendu l'engin mortel. Ils enterrerent Marc le 21 mai. Ce même soir, Yoann embrassa son père et montat dans sa chambre. Avant de fermer sa porte, il entendit son père
dire dans un sanglots et pour la cinquantième fois de la journée :
- C'est ma faute, c'est moi qui t'ai dit de le lui acheter ! C'est ma faute !

Seul dans sa chambre, Yoann se mit à quatres pattes et sortit de sous son lit une petite boîte sur laquelle etait inscrit « puzzles ». Il la posa sur son lit, s'arrèta quelques instants et écouta attentivement les bruits qui auraient pu venir du couloir. N'entendant rien, il ouvrit la boîte et en sortit un petit
livre sur lequel était écrit « Journal Intime de Yoann Breaux » et en dessous de l'inscription on avait dessiné un cercle entouré d'un triangle. Dans le cercle se trouvait une petite figurine en plastique. Une coccinelle.

Yoann tourna la coccinelle, déclanchant ainsi l'ouverture et vit les pages familières. Elles étaient remplies de pleins et déliés loin de l'écriture d'un petit garçon de 8 ans, loin de l'écriture que lui connaissait ses parents et son maitre d'école, pourtant c'était bien lui qui avaient rempli ces pages. Il tourna les pages rapidement, un grand sourire énigmatique sur les lèvres, et s'arreta sur l'une d'elle où avait été dessiné une enveloppe à liseret noir.




En tous cas, merci de m'avoir lu !

Bon, tu sais déjà ce que j'en pense mais je le repete : globalement c'est plutot une bonne histoire, qques trucs à retravailler mais rien de bien grave, ça se lit avec plaisir. Y'a juste ce passage pas très clair en ce qui concerne la grossesse de Sandra et le travail de son mari (j'avoue ne pas trop comprendre) mais pour le reste y'a pas de problème.
Un peu court, ceci dit.

J'ai voté "pas mal"
Et bonne chance pour la suite : pour une première nouvelle, c'est plutot prometteur!

L'écriture est bonne, mais je n'ai pas bien compris le fin mot de l'histoire; c'est Yoann qui a, par magie, provoqué l'envoi de la lettre de deul, mais qu'est il arrivé à Marc? En croyant à la mort de sa mère, s'est-il suicidé en sabotant ses freins?
Ou bien?
en tout cas c'estun bon début Nao, continue!

je confirme. l'histoire est bien ecrite. elle se lit bien et vite. quelques passage a developper comme la grossesse de sandra et son passé. on reste sur sa fin quand meme.

c'est un peu court mademoiselle. continue pour nous donner la suite.

Je pense pas qu'il y aura de suite, Kalcidian. Mais je vais la retravailler pour que certains passges soient un peu plus long et plus clairs. Je la mettrais dès que ce sera fait.

ok mais j'aimerais savoir plus sur la fin

Oui, je suis d'accord avec tout le monde. Ton histoire est assez bonne dans l'ensemble, mais je n'ai, moi non plus, pas clairement compris la fin.
J'ai voté "pas mal", mais elle est agréable à lire Nao.

Merci !

Ci après, j'ai posté ma nouvelle, retravaillée, j'y ai mis en gras les passages modifiés afin de vous éviter d'avoir a tout relire !

Courrier Fatal


Sandra sortit de la cuisine en entendant des cris provenant, vraisemblablement, du premier étage. Sans s'inquiéter, elle monta l'escalier en pensant à ce qu'elle donnerait à ses deux petits diables au diner. Elle ouvrit la porte de la pièce d'où semblaient venir les cris, hésitant encore entre une purée de pomme-de-terre ou des haricots à la vapeur.

-Lache moi !, criait le plus jeune des deux enfants présents dans la chambre.

Blond avec de sublimes yeux bleux, Yoann ressemblait à sa mere d'une étrange et déroutante manière. A tel point que chaque fois que Sandra montrait une photo d'elle à 8 ans, ses amis et même sa propre famille la
confondait avec son fils.

Sandra regardait, résignée, presque blasée, le spectacle qui se déroulait sous ses yeux. L'ainé trainait le plus jeune par les oreilles à travers la pièce
dans un but connu de lui seul.

- Marc ! Arrète immédiatement ! Lache ton frère ! Marc !, hurla la maman de plus en plus convaincu que Marc allait arracher l'oreille de son bébé. Marc, je t'en supplie ! Arrète !, continuait-elle à crier.

Marc lacha l'oreille de son frère, lui jeta un regard haineux, toisa sa mère avant de la bousculer pour libérer le passage vers sa chambre, dans laquelle il s'enferma à double tour. Ceci fait, il alluma sa stéréo et en fit sortir ce que sa mère appelait les « borborygmes de lenfer ».

Et dire qu'il n'aurait 14 ans que le 13 mai, soit dans trois semaines ! Il avait déjà demandé, éxigé même, d'avoir un scooter pour son anniversaire. Ce qui avait valu à Sandra une crise d'angoisse. En soi, l'évènement n'avait rien de particulier mais ce qui aggravait les choses et les rendaient dramatiques pour Sandra, c'était l'absence de Franck, son époux.

Militaire dans la marine, il ne rentrait que très rarement, Sandra, n'ayant pas un fort caractère, se sentit vite desarmée et se reprochait la situation chaque matin. Elle ne cessait de se répéter ces mots, comme une litanie : « Si seulement je n'étais pas tombée enceinte, nous n'aurions pas eu autant besoin d'argent et il aurait pu continuer ses études pour devenir un brillant professeur au lieu de s'engager pour subvenir à nos besoins. » Mais maintenant, elle ne pouvait plus rien n'y faire, elle était obligée de faire face a cette crise, seule. Toutefois, elle avait profité de leur rendez-vous téléphonique bi-hebdomadaire pour lui demander son avis sur la question. Il était d'accord mais lui suggérait d'imposer un couvre-feu en semaine, comme le week-end.

Elle hésita jusqu'au 12 mai et finit par aller acheter ce satané engin tout en se jurant d'en confisquer les clés au premier manquemant à l'autorité parentale. Le 13 mai, au petit-déjeuner, elle posa donc devant son fils, une petite boite cubique renfermant un écrin de velour noir ayant, autrefois, contenu un magnifique collier. Sandra su qu'elle avait fait le bon choix lorsqu'elle vit le visage de son fils s'emerveiller.

- Où est-il ?, s'impatienta Marc, Oh merci maman ! Je peux aller le voir ??
- Il est dans le garage, mais avant de le conduire il faut que tu passes ton BSR, je t'ai inscrit.
- Oh merci !
- Joyeux anniversaire, mon fils !

Sandra alla chercher le courrier et ne fut guère étonnée de voir une carte de son mari dans le courrier. Franck appellerait, comme toujours, le soir même. Ça faisait 14 ans que quasiment tous les anniversaires se passaient de cette manière.
Mais dans le courrier, entre une facture d'eau et une publicité pour une marque de vêtements, se trouvait une enveloppe qui attisa sa curiosité. Non timbrée et dactylographiée, l'enveloppe etait bordée d'un liseret noire, comme les enveloppes que l'on utilise pour les déces. Sandra pris peur. Qui
pouvait bien être mort ? Pourquoi n'y avait il pas de timbre ? Fébrile, elle ouvrit l'enveloppe et en sortit un petit carton lui aussi bordé d'un liseret noir. Ce qu'elle découvrit l'obligea à s'asseoir et à relire trois fois le carton qu'elle tenait dans sa main. Incrédule elle le lu même a voix haute pendant que les enfants se préparaient dans leurs chambres.

« Franck, Marc et Yoann Breaux ont le regret de vous annoncer le déces brutal de Sandra, épouse dévouée et mère bien-aimée. Ses funérailles auront lieu le 21 mai 2007 en l'église Saint-Joseph »

Elle réalisa alors qu'on lui annonçait sa propre mort dans une lettre qui lui était adressée. 21 mai ! Ça lui laissait huit jours, tout au plus, pour découvrir le fin mot de l'histoire. Mais qui pouvait bien lui envoyer ca ? Etait-ce une mauvaise blague ? Une menace ? Ou bien une prédiction ? Qui pouvait bien lui vouloir du mal ? Elle posa, tout doucement, l'enveloppe sur la table et soucieuse de prendre des précautions, elle attendit le départ de ses enfants pour l'école et courut jusqu'au grenier.

Arrivée en haut de l'escalier, elle se dirigea vers une immense armoire qu'elle ouvrit a l'aide de la clé qu'elle portait autour du cou. Elle ouvrit les deux battants de la porte en chène dévoilant ainsi une multitude d'objets qui, malgré les apparences, étaient parfaitement ordonnés. L'armoire ne comportait que deux étagères, la première à environ quarante centimètres du sol et l'autre, légèrement inclinée vers l'avant, était située environ vingt
centimêtres plus haut. Sur celle-ci était posée un livre épais dont la couverture s'ornait d'un losange avec, en son centre, un sillon rond profond d'un millimètre seulement.

Sandra y placa son alliance et le livre s'ouvrit de lui-même. Elle feuilleta l'épais volume à toute vitesse puis s'arreta sur une page dont le titre était « éloigner un maléfice ». Sandra alluma les deux chandelles placées de chaques cotés du livre, et les quatre placées sur l'étagère du dessous, révelant ainsi, tracé à la craie, le même cercle entouré d'un losange que sur la couverture du livre. Chacune des quatre bougies rouges qui l'entouraient, etait placée à une des pointes du losange. Sandra lu la page a toute vitesse, récitant quasiment comme si elle l'avait appris par coeur.

Elle descendit du grenier au moment où son fils repartait, il était revenu chercher son scooter, malgré l'interdit parentale, et avait trouvé l'enveloppe. Mais le destinataire et le texte avait changé, c'était maintenant a Marc que le courrier était adressé. Et le texte annonçait les funérailles du jeune garçon. Il avait failli crier mais avait réussi a se controler, et avant de partir, il avait jeter l'enveloppe et son contenu. Sandra ne sut donc jamais que ce qu'elle avait fait dans le grenier avait provoqué le désastre et le chagrin qui suivit.

- Madame Sandra Breaux ?, demanda la voix.
- Elle même. Sandra commencait à s'inquiéter.
- Sergent Martineau à l'appareil. Il faudrait que vous veniez immédiatement à l'hopital Saint-Christophe. Votre fils, Marc, a eu un accident avec son scooter.
- Est-ce qu'il ....? Sandra, maintenant, était terrifiée.
- Oui madame, votre fils est décédé, je suis désolé.

L'enquète dura une semaine, elle révela que les freins avaient lachés, probablement parce qu'ils avaient été sabotés. Sandra et Franck refusèrent d'intenter un procès au magasin qui leur avait vendu l'engin mortel, alors qu'il apparaissait clairement que lui seul avait pu saboter les freins. Ils enterrerent Marc le 21 mai. Ce même soir, Yoann embrassa son père et montat dans sa chambre. Avant de fermer sa porte, il entendit son père dire dans un sanglots et pour la cinquantième fois de la journée :
- C'est ma faute, c'est moi qui t'ai dit de le lui acheter ! C'est ma faute !
Et il entendit Sandra répondre, pour la cinquantième fois de la journée :
- Mais arrète, c'est ma faute, j'aurais du garder les clés sur moi !

Seul dans sa chambre, Yoann se mit à quatres pattes et sortit de sous son lit une petite boîte sur laquelle etait inscrit « puzzles ». Il la posa sur son lit, s'arrèta quelques instants et écouta attentivement les bruits qui auraient pu venir du couloir. N'entendant rien, il ouvrit la boîte et en sortit un petit
livre sur lequel était écrit « Journal Intime de Yoann Breaux » et en dessous de l'inscription on avait dessiné un cercle entouré d'un triangle. Dans le cercle se trouvait une petite figurine en plastique. Une coccinelle.


Yoann tourna la coccinelle, déclanchant ainsi l'ouverture et vit ses pages familières. Elles étaient remplies de pleins et de déliés qui étainet très loin de ressembler à l'écriture d'un petit garçon de 8 ans, loin de ressembler à l'écriture que lui connaissait ses parents et son maitre d'école, pourtant c'était bien lui qui avaient rempli ces pages. Il tourna les pages rapidement, un grand sourire énigmatique sur les lèvres, et s'arreta sur l'une d'elle où avait été dessiné une enveloppe à liseret noir. Son sourire s'élargit mais il se maudissait intérieurement d'avoir raté sa cible mais il n'en était pas moins fier de ce qu'il avait accomplit. Il entendait toujours ses parents pleurer et se dit que si il n'avait pas tuer sa mère il pourrait peut-être la rendre folle. Il tourna la page et tomba sur un court texte intitulé « rendre quelqu'un fou ». Il commenca a lire le texte, le répétant inlassablement, mais sa voix n'était plus douce et fragile, elle était roque et usée. Et son visage était devenu sévère et semblait très agé. Il souriait toujours.

J'ai voté "Bon", c'est une bonne histoire dont l'univers thriller magico-satanique me plait bien. Par contre, tu aurais du insisté sur l'abassourdissement et la stupeur de Sandra en découvrant son nom sur la lettre. Je trouve cela bizarre qu'elle ne panique pas et qu'elle reste stoïque.

Merci de m'avoir lu, Para !
En ce qui concerne l'abassourdissement de Sandra quand elle voit son nom, j'avais essayé au début de le renforcer, mais je trouvais que ca lui donnait un coté .... un peu.... ingénue et je ne trouvais pas ca top ! elle a des ressources grace a son propre usage de la magie et la faire paniqué me semblait un peu bizarre.

Toujours est-il que je te remercie d'avoir pris le temps de me lire !

j'ai voté bon pour la version amélioré. La fin me fait penser un petit peu à Damien (666 - le film).
pour une premiere nouvelle, c'est vraiment tres bien. Il faudrait peut etre developper le sentiment de culpabilité des parents.

Merci beaucoup pour ta critique L2poulet. pour le sentiment de culpabilité des parents, je ne pense pas qu'il soit vraiment utile de l'étoffer, je trouve ca bein comme ca.

Et bien pas grand chose à rajouter aux autres commentaires, en effet certains trucs ne sont pas assez dévelopés mais vu que moi dans ma première nouvelle j'avais tendance à trop développer je pense que tu n'as pas fait le mauvais choix. Donc continue.