juste un tout petit avant de partir... je sais trop court...
Et les mots filent…. 3 déc. 07
Tel l’hémophile se vidant de son sang
Et se retrouvant agonisant
Les mots filent sur la feuille blanche vidant l’humain exsangue
Mais à quoi bon…
Dans un cas comme dans l’autre
Dans ce monde génétiquement imparfait
Aucun moyen de guérison ni pour l’un ni pour l’autre
Alors l’un comme l’autre
L’un vidé de son sang, l’autre vidé d’espoir
Sachant que rien ne pourra les guérir
Ils n’ont plus qu’à subir
j'ai pas fais de couloirs!!!!