LE MANOIR DU FANTASTIQUE
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 Vie et mort de Valentin Mortrange

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macropoulos
Sangsue mort-vivante
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MessageSujet: Vie et mort de Valentin Mortrange   Vie et mort de Valentin Mortrange EmptyJeu 2 Oct 2008 - 15:10

Vie et mort de Charles-Valentin Mortrange

Un matin que je lisais Le Monde de l’avant-veille en prenant un café sur la terrasse d’un café du Kröpke à Hanovre, je tombais sur un petit article qui annonçait la mort accidentelle du pianiste et compositeur Charles-Valentin Mortrange. Mortrange n’était pas à proprement parler un de mes amis… plutôt une connaissance. Grâce à l’entrefilet et tel que je l’ai connu dans ses dernières et pathétiques années, je devais pouvoir, à peu de chose près,
reconstituer les circonstances de sa mort.
J’avais fait sa rencontre chez des amis communs lors d’un réveillon de St-Sylvestre dans la vallée de Chevreuse. Il avait environ dix ans de plus que moi et, à l’époque, était le plus jeune professeur de composition qui eût enseigné au CNSM de Paris. Joué notamment par l’Intercontemporain, sa carrière de compositeur autant que celle de pianiste s’annonçait prometteuse. La création de sa pièce Métaxylon II pour un ensemble de vingt-quatre xylophones et dix-huit wood-blocks sous la direction de Bruno Maderna, avait fait grand
bruit. Si Clarendon (Bernard Gavoty) avait détesté et écrit un article rageur dans les colonnes du Figaro, Claude Helffer avait rompu des lances en sa faveur dans Le Monde. Il avait été l’élève d’Olivier Messiaen et c’est ainsi que j’avais rencontré brièvement le maître par son intermédaire.
C’est peut-être sous l’influence de Messiaen que Mortrange se passionna pour
l’ornithologie. A peu près à la même période, il entendit par hasard une toccata pour piano et orchestre étrangement titrée Tabou Tabouhan de Colin McPhee, un musicien canadien qui avait longtemps vécu en Indonésie et s’était pris de passion pour le gamelan balinais. Ce fut le déclic. Il réalisa que la dictature du sérialisme commençait à lui peser et qu’un retour aux sources musicales lui était nécessaire. Joignant cette volonté à sa passion pour les oiseaux, il décida de partir pour Jakarta. Il donna sa démission du conservatoire et disparut du paysage musical français.
Après quelques semaines de vagabondage dans l’archipel, il s’installa dans une maison au bord de la mer sur l’île de Lombok, préférable selon lui à Bali parce que moins envahie par les touristes. Nous recevions de temps en temps des nouvelles. Au bout de quelques mois, il se maria avec une indonésienne. Un garçon naquit. Il paraissait heureux. Son éditeur, la maison Salabert, reçut par courrier une série de miniatures pour piano qui tranchait radicalement avec ses compositions précédentes. La première exécution publique de l’oeuvre
fut assurée par Witold Bartenko, un pianiste ami d’Igor Markevitch. Ce fût un déchaînement de toute l’intelligentsia musicale parisienne. Boulez, particulièrement, tira à boulets rouges sur la partition. Tant et si bien que Salabert décida de ne pas la publier. Le manuscrit disparut lors d’une inondation des caves de l’éditeur.
Et puis un jour il réapparut. Vieilli. Défait. Alcoolique. Sa femme et son fils étaient morts, tués dans l’effondrement de leur maison, provoqué par un violent tremblement de terre. Il n’avait pas voulu resté sur une terre qui à l’avenir lui infligerait tant de douloureux souvenirs. Pour tout bagage, il était revenu avec un éclatant perroquet mâle de l’espèce Eclectus roratus. Son crédit musical était ruiné en tant que compositeur. Il n’avait aucun moyen d’existence puisque sa classe de composition avait depuis été longtemps confié à un autre musicien. Avec le peu que lui procurèrent les leçons de piano qu’il se mit à enchaîner, il put louer un rez-de-chaussée assez sordide au fin fond de la banlieue parisienne. Mortrange récupéra le vieux quart-de-queue Bösendorfer, les quelques meubles dont deux bibliothèques et les bouquins dont il avait confié la garde à diverses personnes, dont moi, et s’installa dans son taudis. Il essaya de recommencer une carrière de concertiste mais son alcoolisme lui
jouait des tours. Il avait des trous de mémoire et lors d’un concert à la maison de la culture de La Souterraine il se bloqua au début du mouvement lent de la Sonate en si bémol de Schubert. Il quitta précipitamment la scène pour ne plus revenir. On le ramassa totalement ivre, effondré contre un urinoir public. Une autre fois, devant jouer la Sonate “au clair de lune” qui est en ut dièze mineur au Grand Théatre de Bordeaux, il s’écroula devant le clavier et attaqua l’adagio initial en ré mineur. Devant les réactions interloquées des spectateurs, il partit d’un grand rire, revint dans la tonalité initiale, oublia le trio du minuetto au passage et exécuta, à tous les sens du terme, la presto final en une véritable course à l’abîme avec force fausses notes. De plus en plus souvent il se présentait devant le public dans un état de délabrement physique presque repoussant, pas rasé, le cheveu gras, le col de chemise noir de crasse. Après de multiples incidents, plus aucun organisateur de concerts ne prit le risque de
l’engager.
Son aspect devenait tellement inquiétant qu’il faisait peur aux élèves qui venaient chez lui pour prendre leur leçon de piano. Il se trouva bientôt sans ressource. Lorsque j’allais chez lui, j’apercevais de plus en plus de trous dans sa bibliothèque. Il vendait petit à petit ses éditions originales pour survivre. Mais il avait toujours son perroquet. L’appartement était jonché des fientes de l’oiseau qu’il laissait vagabonder la plupart du temps hors de sa cage. L’Eclectus roratus ne rejoignait sa prison que lors des rares visites que recevait son maître. Je lui demandais, un jour, pourquoi il gardait cet oiseau dont l’entretien grevait son budjet déjà réduit à la portion congrue. Il me répondit :
— Tu sais, cet oiseau, c’est l’âme de ma femme qui est morte sur son île. Je ne peux pas vivre sans le voir voler autour de moi. C’est comme si elle était encore vivante. Tu comprends, si je le vends, je meurs.
D’après les éléments que donnait Le Monde, j’ai essayé des reconstituer les
circonstances de sa mort. Le reste m'a été conté par le témoin lui-même. Un soir, assez tard, un de ses amis qui se faisait du souci pour l’état physique et mental de Mortrange avait voulu lui rendre visite. De la lumière filtrait par les carreaux sâles. Il avait frappé à la porte à plusieurs reprises, la sonnette étant depuis longtemps hors d’usage, sans obtenir la moindre réponse. Il ressortit et frappa aux carreaux. De plus en plus inquiet, compte-tenu de la présence de lumière, il se décida à briser une vitre
en entourant son poing avec un pull-over. Le verre avait cédé rapidement, d’autant que le bois d’encadrement était en grande partie pourri. Il put ainsi ouvrir la fenêtre, l’enjamber et pénétrer dans l’appartement de Mortrange.
Un des bibliothèques, au trois-quart vide, était tombé vers le centre de la pièce. Le corps de Mortange était coincé dessous à mi-tronc. Le perroquet était perché sur la dos de la bibliothèque semblant veiller son maître. En approchant, l’ami de Mortrange vit qu’il n’y avait plus rien à faire : la bibliothèque avait écrasé la cage thoracique du malheureux. Il avait
les yeux grand ouvert et sa bouche dessinait un léger sourire. Les mains étant prises elles aussi sous le meuble, l’ami de Mortrange tâta la joue. Elle était déjà froide. L’accident s’était donc produit depuis plusieurs heures. Non loin du corps, un tabouret renversé, gisait au milieu des livres épars. Il téléphona à la police d’une cabine publique située à quelques mètres de la maison parce que la ligne avait été coupée depuis deux ou trois semaines chez
Mortrange. Il retourna dans l’appartement en attendant l’arrivée de la police. L’oiseau était toujours posé et semblait le regarder. C’était vrai. Il y avait bien de l’ironie dans ses yeux ronds. Sur la table il y avait un carnet. Il le feuilleta. Mortrange y notait tout dans le plus parfait désordre : listes de commission, comptes, réflexions personnelles. La plupart de ces notes n’avait aucun intérêt. Seule les dernières lignes griffonnées à la hâte retinrent son attention :
— Elle est là. Elle m’appelle. J’arrive ma chérie, mon amour. Je sais où tu te caches. Je vais attraper l’oiseau. Lui demander. Il me dira comment te retrouver. Nous allons être à nouveau réunis.
On peut supposer que le perroquet s’était posé sur son perchoir habituel, en haut de la bibliothèque. Dans son délire, Mortrange est monté sur la tabouret pour attraper l’oiseau. Le tabouret s’étant renversé, il avait dû s’accrocher à la bibliothèque qui s’était inclinée, l’entraînant dans sa chûte et l’écrasant. C’est du moins, l’interprétation que la police a retenu après qu’elle ait visité le théâtre du drame. Malgré les recherches l’oiseau avait disparu à tout jamais. Après que l’ami de Mortrange ait lu les dernière notes.
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Max
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MessageSujet: Re: Vie et mort de Valentin Mortrange   Vie et mort de Valentin Mortrange EmptyJeu 2 Oct 2008 - 16:23

Si tu veux régler le problème de mise en page lors du copié collé word/forum :

Astuce de miss witch :

"Pour la mise en page, j'ai trouvé une astuce: avant de copier/coller ton texte à partir de Word, clique sur A/A
(basculer le mode d'édition) en haut à droite de ta boîte de réponse,
là tu copies/colles le texte, tu fais "Prévisualisation" pour voir si
tout est bien comme il faut, mais attention avant d'envoyer, tu dois
recliquer sur A/A parce que le texte s'est remis dans le mode d'édition de base! Sinon ça fera la mise en page foireuse!"
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MessageSujet: Re: Vie et mort de Valentin Mortrange   Vie et mort de Valentin Mortrange EmptyJeu 2 Oct 2008 - 17:26

Salut Macropoulos

Je n'ai pas trop aimé ton texte. Univers et personnages deconnectés de la réalité, c'est le premier point et il serait négligable si l'écriture n'était pas d'une platitude ennuyeuse (ceci est un avis extrêmement subjectif, évidemment). J'avais l'impression de lire un article de presse, froid et irréel parlant de gens que je ne connais pas et que je n'ai pas envie de connaître.Les faits s'enchaînent sans émotions (par exemple, la découverte du corps par l'ami), sans images, sans passion.
Ton écriture ne m'a guère convaincu et l'intrigue autour de la "vie et mort de Valentin Mortrange" n'est pas très exaltante.
Toutefois, ne te décourage pas car ton style a ses fans !
Et il y a quelque chose qui m'a bien plu : La fin m'a ravie parce que, justement, d'un coup ça devient poètique, étrange.
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TiCi
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MessageSujet: Re: Vie et mort de Valentin Mortrange   Vie et mort de Valentin Mortrange EmptyVen 3 Oct 2008 - 11:02

Bonjour macropoulos,

J'ai bien aimé l'idée de ton texte.
Par contre, sur la forme, il y a des choses à améliorer.
J'en ai notées au fur et à mesure de ma lecture, mais j'ai arrêté avant la fin.
Une relecture globale s'impose à la lumière de remarques plus générales.
Là tu as un gros défaut : tu ne sais pas où t'arrêter dans le niveau de détail. Du coup la lecture devient extrèmement pesante.
Cela dit, on voit que tu y as aussi apporté du soin, sur le vocabulaire et l'orthographe en tout cas.
Donc pas de découragement, mais pas de précipitation non plus !
Allez, je vais quand même voir l'autre nouvelle que tu as postée.
A + !


Je te livre quand même mes notes :

> Un matin que je lisais Le Monde de l’avant-veille en prenant un café sur la terrasse d’un café du Kröpke à Hanovre
Des défauts génants dans cette intro :
- un matin que : pas très élégant
- trop long sans ponctuation
- proximité matin/avant-veille troublante

> pour un ensemble de vingt-quatre xylophones et dix-huit wood-blocks sous la direction de Bruno Maderna, avait fait grand bruit
Elle est bonne !!! Mais est-elle volontaire, le reste du texte étant dépourvu de tout type d'humour ?

Trop de noms propres et de références réelles ou réalistes dans si peu de texte du 2nd paragraphe, et même après (à quoi sert ', un pianiste ami d’Igor Markevitch.' ?).

> Le manuscrit disparut lors d’une inondation des caves de l’éditeur. (saut de ligne) Et puis un jour il réapparut. Vieilli. Défait. Alcoolique.
Un manuscrit alcoolique ?

> Il n’avait pas voulu resté sur une terre qui à l’avenir lui infligerait tant de douloureux souvenirs.
Il n'avait pas voulu resteR sur une terre qui lui avait infligé ça !!! (pas besoin d'attendre d'en être au stade du souvenir !)

> sa classe de composition avait depuis été longtemps confié à un autre musicien
Une simple relecture te permettra de corriger 2 fautes ici

> Il avait des trous de mémoire et lors d’un concert à la maison de la culture de La Souterraine il se bloqua au début du mouvement lent de la Sonate en si bémol de Schubert.
Trop long, trop de détails sans importance

Après j'arrête, il y a des choses évidentes si tu fais une relecture attentive avec un peu de recul (comme "Le perroquet était perché sur la dos").
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macropoulos
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MessageSujet: Re: Vie et mort de Valentin Mortrange   Vie et mort de Valentin Mortrange EmptyVen 3 Oct 2008 - 21:20

je vous remercie de vos lectures attentives et critiques. Bien évidemment je tiendrai compte des remarques sur la forme tout à fait légitimes. Je bats ma coulpe et reconnais que la mise en page n'est pas des meilleures. Cela devrait s'arranger. En revanche, je suis totalement pour l'écriture grise et l'accumulation de détails. Je la revendique. En tant qu'admirateur impénitent de Raymond Roussel, il ne peut en être autrement. Et par la même, le jeu de fausse érudition (si cher à Borges, autre de mes auteurs de chevet) et l'humour qu'on peut trouver dans mes textes, ne sont ni de la pédanterie ni des accidents. Je déteste la littérature larmoyante, sentimentale, guimauvesque. Un écrivain (ou pour moi un écrivant, distinction barthésienne pratique) est un témoin, rien qu'un témoin. Tout le reste est de la littérature (mauvaise). Un écrivain n'a pas à mettre ses tripes sur la table en demandant à tout le monde de les admirer. Les tripes restent des tripes. Les seules que je supporte sont cuisinées à la Mode de Caen!
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MessageSujet: Re: Vie et mort de Valentin Mortrange   Vie et mort de Valentin Mortrange EmptySam 4 Oct 2008 - 13:21

Ce n'est pas trop mon genre de truc parce que c'est froid, journalistique et que ça manque de vie. Et puis l'intrigue n'a rien d'exaltant. Mais le style n'est pas mauvais. Je supose que ça peut plaire à d'autres. Y a pas de raison. Mon avis est subjectif.
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MessageSujet: Re: Vie et mort de Valentin Mortrange   Vie et mort de Valentin Mortrange EmptySam 4 Oct 2008 - 21:32

macropoulos a écrit:
(...) Un écrivain (ou pour moi un écrivant, distinction barthésienne pratique) est un témoin, rien qu'un témoin. Tout le reste est de la littérature (mauvaise). (...)
Moi pas comprendre.
En même temps, moi pas sûr du tout de pouvoir soutenir ce genre de discussion.
Mais moi curieux, quand même.
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MessageSujet: Re: Vie et mort de Valentin Mortrange   Vie et mort de Valentin Mortrange EmptyLun 6 Oct 2008 - 13:51

Catherine Robert a écrit:
Ce n'est pas trop mon genre de truc parce que c'est froid, journalistique et que ça manque de vie. Et puis l'intrigue n'a rien d'exaltant. Mais le style n'est pas mauvais. Je supose que ça peut plaire à d'autres. Y a pas de raison. Mon avis est subjectif.

Tu as bien resumé mes impression à la lecture de cette nouvelle. Le style n'est pas mauvais en soi - très plaisant, meme - mais le style meme de l'histoire et cette profusion de details qui ne servent finalement pas à grand chose m'ont finalement empeché d'entrer dans l'histoire.
Mais, suite à la conclusion, j'y ai tout de meme trouvé un petit charme qui me rappelle vaguement Poe ou ces ecrivains un peu surréalistes du debut du siecle où le bizarre, l'insolite et le surnaturel se melent au quotidien le plus banal. Ce n'est pas forcément mon genre de predilection, mais il y a peut-etre qqchose à creuser de ce coté-là Wink
Bref, ce n'est pas objectivement mauvais (c'est meme très bien dans un certain style), mais personnellement je n'ai pas vraiment accroché...
Mais je lirais quand meme ton autre texte pour me faire une idée macropoulos, car ton ecriture est vraiment agreable.
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