noel pour tous

voici une petite nouvelle. Je n'y est pas encore retoucher donc il risque d'y avoir des trucs de fous au nivo de l'ortho et de la grammaire donc soyez indulgent de ce coté la.



Noël pour tous

Nous sommes le soir de noël, il est environ vingt heures. Les rues sont recouvertes d’un épais manteau blanc immaculé qu’aucune voiture n’a encore souillés. Tout le long de la rue, des parents se promènent avec leurs enfants, tous emmitouflés dans de gros pull-over et d’épais manteau d’hiver dans le but de découvrir les innombrables décorations de noël qui ornent les différentes maisons du quartier.
L’esprit de noël est présent dans toutes les maisons et même certainement dans la ville entière. Toutes les familles rient, s’amusent et décore leur sapin.
Seul une ombre glisse le long des allées sombres, semblant éviter tout contact avec le genre humain.
Sous un lampadaire, éclairant la rue de sa lumière morne, l’ombre se mus en un jeune homme aux allures de dandy mais la couleur de sa peau, livide et sans chaleur, laisse entrevoir un sombre secret.
Voyant un couple se promener et se dirigeant dans sa direction, il bifurque dans une rue adjacente comme effrayer par un bonheur qui semble lui être étranger ou peut-être est-ce autre chose...
De cette rue, qui monte en pente douce jusqu’aux hauteurs de la ville, il rejoint sa demeure.
Grandes bâtisse victorienne isolée du reste de la ville par de grandes grilles, la demeure des Brighton est a cette endroit depuis des décennies mais personne ne serait dire depuis quand exactement.
Beaucoup de rumeur circule sur cette propriété mais d’aucun n’est assez téméraire pour tenter de percer les mystères que s’y cacherait.
Les grandes portes de la demeure s’entrouvrent dans un grincement effroyable, ne laissant pénétrer dans ces lieux que le vent glacial et les feuilles qu’il fait s’y engouffrer.
Apres la fermeture des portes, les bougie cessent leur danse frénétique et éclaire de leur lueurs blafarde le hall d’entrée du manoir ainsi que le jeune homme se tenant debout et immobile tel une statue au milieu du hall.
Apres quelques secondes, le jeune homme monte à l’étage par le grand escalier de marbre rappelant, malgré la poussière et la crasse accumulée depuis des années, la grandeur passée de la famille ayant vécut dans ces lieux.
Arrivé a l’étage, il entre dans une petite pièce, au bout du couloir, ressemblant a un sanctuaire tant elle est remplie de photos et d’objet appartenant a la famille Brighton.
Il s’assoit dans une bergère rouge passée et poussiéreuse. Il se penche pour tenter de réchauffer en tendant ses mains gelées vers le feu. Son regard est soudain attiré par un cadre se trouvant sur un petit guéridon situé à gauche du fauteuil. Il l’a prend et la regarde un instant avec une attention toute particulière. La vue de cette photo lui rempli les yeux de larme. C’est une photo jaunit par le temps représentant le jeune homme et ses parents. Apres l’avoir regardée quelques instant, il la sort du cadre, Caresse les visages des deux personnes entourant l’enfant qu’il était sur la photo et la retourne pour lire une inscription, notée au dos, en lettre gothique.

« William, Margareth et Dorian Brighton, 1827 »

La nuit commence a déclinée et le soleil montre ses premiers rayons lorsqu’il remet la photo dans le cadre, la repose sur le guéridon puis se lève. En sortant, il se dirige vers une pièce située à l’autre extrémité du couloir. C’est une pièce sombre illuminé par de simple chandelle posé sur les meubles. Toutes les fenêtres sont condamnées par de grosses planches ainsi que par des rideaux opaques. Au milieu de cette pièce se trouver un meuble long mais extrêmement bas ressemblant à une longue table basse.
Le jeune homme attrape un chandelier sur une commode et s’en approche. Posant le chandelier à même le sol, il soulève le dessus de ce meuble. Laissant le couvercle en porte a faux sur le rebord et s’assoit a coté, a même le sol. Il regarde l’intérieur et dit d’une voix douce mais emplie d’une certaine colère.

- Maudit soit le jour ou je suis devenus une ombre putride qui erre pour l’éternité dans un monde vide de tout intérêt.
Il se mit a sangloter puis, pris d’un accès de rage, il tapa du poing sur le sol faisant vacillé le chandelier tout proche avant de se relever. Il hurla, comme pour extraire cette haine qu’il posséder en lui.

- Je hais ce cercueil et ma condition d’immortel qui me prive du bonheur de revoir un jour un lever de soleil

Malgré les protections des fenêtres, les rayons du soleil levant percé la couche de tissu et de bois disposée devant les fenêtre. Dorian, qui s’en aperçut, baissa la tête en signe de résignation et rejoignit sa couche mortifère jusqu’au soir.

Le soir venu, Dorian se réveillât avec une soif comme il n’en avait connu que dans les premières années de sa transformation. Il sorti de son cercueil et descendit a la cuisine. Cette pièce était beaucoup plus moderne que le reste du manoir. L’électricité, laissé a l’abandon dans le reste de la maison avait été refaite a neuf dans la cuisine ainsi que l’électroménager qui ne comprenait qu’un énorme frigidaire dernier cri.
Il entra dans cette pièce au comble de la faim. Le frigidaire, qu’il ouvrit à la volée, était rempli de poche de sang venant tout droit de la banque du sang voisine. Il en prit une et en vida le contenu comme un coureur assoiffé après une course de fond. Il en prit une deuxième mais ne put la terminer et la posa sur une table avec une moue de dégoût.

- Le sang et tout de même meilleur goût chaud et frais. Cela va sans dire.

Il remonta à l’étage pour prendre une douche, se vêtir et faire sa promenade nocturne pour ne pas se séparer complètement du monde des mortels.

Une fois sortis de la propriété, il prit le même chemin qu’a l’ordinaire étant pratiquement sur de ne croiser de trop près aucune personne.


C’était sans compter sur la famille Lomax. Paul, sa femme, Maggie et leur fille Loanne. Ne connaissant pas les habitudes de Dorian, ils décidèrent de faire une petite promenade dans le but de visiter leur nouveau chez eux. Ils déambulèrent comme ça durant une bonne demi heure quand, dans une rue éclairée par des lampadaires dont la lumière blafarde n’éclairé pas a plus de trente centimètre alentour, ils croisèrent Dorian.
Il s’arrêta, tant la présence de cette famille dans cette rue, la seule ou aucun habitant du voisinage ne s’attarde a la tombée de la nuit, le troublé.
Il reprit sa route lorsqu’il passèrent a coté de lui mais Loanne très curieuse le regarda s’éloigné. Loanne, qui était rarement d’une politesse irréprochable avec les personnes étrangères à sa famille, dit d’une voix forte :

- Bonsoir, Monsieur.

Dorian, troublé par l’audace de la fillette, se retourna et constata avec effarement qu’en plus de lui dire bonsoir, elle lui adressé un énorme sourire. Malgré sa solitude habituelle, Dorian se surpris à lui rendre son sourire. Lui qui n’avait pas sourit depuis presque cent ans, le jour ou après une soirée arrosé chez des amis, un immortel lui avait enlevé jusqu'à la plus petite étincelle de vie et l’avait fait tel qu’il est aujourd’hui.
Loanne remarquant le sourire sur le visage de Dorian décida d’aller lui parler. Paul et Maggie entendant les pas de leur fille s’éloigner se retourne et constate qu’elle est partie voir un parfait inconnu. Ils se mirent également à courir pour empêcher leur fille d’ennuyer quelqu’un de ses questions habituelles du type :

- Comment tu t’appel ?
- Où tu habites ?
- Qu’est-ce que tu fais ?

A leur arrivée le mal est fait et Loanne a déjà commencé son interrogatoire.

- excusez la, monsieur, elle ne fait pas ça d’habitude. Dirent-ils à Dorian.
- Ce n’est pas grave. Ca égaye un peu mon quotidien monotone. Répond-t-il

Loanne continuer de tirer sur la jambe de son pantalon car elle voulait lui poser une question. Dorian s’accroupit pour se mettre à son niveau.

- Qui y a t il jeune fille ? demanda-t-il avec un sourire
- C’est quoi ton nom ? demanda-t-elle naturellement.

Il tourna la tête en direction de ces parents puis revins sur elle et lui dit :

- Je m’appel Dorian et toi ?
- Moi c’est Loanne.
- Pourquoi t’es tout seul, rétorquât-elle de plus belle ?
- Parce que toute ma famille habite très loin d’ici.
- Tu veux dire que tu passes noël tout seul ?
- Oui, c’est ça.

Il se releva pour saluer Paul et Maggie qui venaient a sa rencontre.

- Bonsoir.
- Bonsoir. répondirent-ils d’une même voix
- Je suis Dorian Brighton. Lui dit-il en lui tendant la main.

Paul, qui semblait troublé par le nom qu’il venait d’entendre, bafouilla un « bonjour » maladroit a l’encontre de Dorian en lui serrant la main vigoureusement.
Au bout d’un instant, il lui lâcha remarquant avec quelle force il la secouée. Le jeune homme, qui sentait la gêne dans le regard de son interlocuteur, reprit la conversation en main.

- Et bien, je vais vous laisser continuer votre balade et je vais reprendre la mienne. Bonsoir.
- Bonsoir, monsieur Brighton. Allez ! venez les enfant on y va.

Les enfants rejoignirent leur parent mais Loanne s’arrêta net. Elle demanda a ses parents si Dorian pouvait passer noël avec eux au lieu de rester tout seul. Ses parent tout d’abord contre cette idée refusèrent tout net puis voyant la déception dans les yeux de Loanne acceptèrent finalement.
Dorian fut troublé par cette rencontre car n’ayant pas côtoyer d’être humain depuis plus d’un siècle il eut, l’espace d’un instant, l’impression de renaître au monde des vivant.
Soudain, il fut ramener sur terre par Loanne qui tirer derechef sur sa jambe de pantalon. Il se baissa de nouveau.

- Dit, tu pourrais venir voir mes parents. Ils voudraient te demander quelque chose.
Dorian s’exécuta, tout étonné de l’intérêt soudain qu’on lui porté, emmenait par Loanne dont la chaleur de sa petite main faisait renaître cette étincelle d’humanité qui commencé a se tarir. Arrivé a hauteur de Paul et Maggie, il s’arrêtèrent tout les deux.

- Votre file m’a dit que vous souhaitiez me demander quelque chose ?
- En effet. Dit Paul un peu réticent. Nous voulions vous demander si vous faisiez quelque chose ce soir ?
Dorian, tout étonné de cette question, ne sus quoi répondre sur le moment.
- Non, pourquoi ?
- Eh bien, voila. Ma fille, Loanne nous a dit que vous étiez seul pour le soir de noël.
- C’est exact.
- C’est pour cela que nous avons pensé vous demander si vous accepteriez de vous joindre a nous.
Dorian, surpris mais très heureux de cette proposition, accepta avec le plus grand plaisir. Ils se dirent a toute a l’heure et se séparèrent pour se préparé a fêté noël.

A 22 heures, Dorian se présenta sur le porche de la maison des Lomax. Il sonna, priant secrètement pour que la porte ne reste pas close. La clé tourna dans la serrure et la porte s’ouvrit. Paul apparu dans l’embrasure de la porte et invita immédiatement Dorian a entrer, ce qui, pour un vampire, est une obligation. En pénétrant dans le salon des Lomax, il tomba nez a nez avec un sapin de noël comme il n’en avait plus vu depuis longtemps.
Loanne, très contente de la présence de Dorian, se jeta presque à son coup pour le saluer. La soirée se déroula entre rigolade, anecdote, album de photo.

Minuit approché, Paul et Maggie dirent a Loanne qu’il était tant qu’elle aille se coucher, ce qu’elle fit sans rechigner. Apres cela, Paul dit a Dorian qu’il allé éteindre la lumière pour déposé les cadeau au bas du sapin. Un bruit sourd se fit entendre puis plus rien.

Lorsque la lumière se ralluma, Dorian avait disparu et Paul, qui ranger quelque chose dans un tiroir, dit a Maggie de passer l’aspirateur avant que Loanne ne redescende.

Bon, j'espère que tu es assis, parce que je vais pas etre très élogieuse. C'est bourré de fautes d'orhographe !! Ca en devient franchement pénible !! Une incohérence (a moins que j'ai mal compris !) mais Loanne est fille unique quand elle dit bonjour a Dorian, et quand elle lui dit au revoir, ses parents disent "Allez ! venez les enfat on y va." Ils sont plusieurs finalement ??? lol ! En dehors de ca, je suis désolée, mais j'ai pas trouvé l'idée très originale même si je sais qu'il est dur de traiter ce sujet sans tomber dans le "déjà-vu".

Cependant, je finis par quelque chose de positif tout de même, la fin est innatendue et assez réussie je trouve.

(Désolée si j'ai été sèche ou méchante, ce n'était pas volontaire. )

Je suis un peu du meme avis, y'a bcp de fautes (enormement meme, désolé je ne veux pas enfoncer le clou lol), de maladresses de style et de constructions/formulations bancales, MAIS je trouve quand meme l'idée de base sympathique, à defaut d'etre réellement originale.
Quelques trucs qui m'ont marqué : les phrases que balance Dorian à la 1e personne lorsqu'il est seul ne passent pas, elles ne font naturelles du tout, genre ""- Maudit soit le jour ou je suis devenus une ombre putride qui erre pour l’éternité dans un monde vide de tout intérêt." > c'est le genre de reflexions qui seraient bien à faire passer en des pensées plutot qu'en affirmations, pcq comme je disais, ce n'est vraiment pas naturel.
A peu près les memes remarques pour les phases de dialogues, qui paraissent un peu "artificielles" et qui manquent de spontanéité.
A retravailler donc, mais je pense qu'en faisant plus attention à la relecture, tout ça ne devrait pas te poser trop de problèmes...

Deux trucs que j'ai bien aimé :
-L'idée de base donc, plutot interessante (c'est pas tous les jours qu'on invite un vampire à reveillonner lol meme si tu aurais pu mettre plus l'accent sur ce point précis).
-Le fait qu'un vampire soit obligé d'accepter une invitation. C'est juste un detail, mais c'est un truc que j'ai appris récemment (comme quoi, meme sur un mythe aussi populaire, on peut tjs en decouvrir) et j'ai trouvé bien vu que tu intègres ça à ton histoire.

Enfin voilà, c'est pas un super texte, mais je suis sûr qu'en le retravaillant bien, tu pourrais en faire qqchose de vraiment pas mal. Certaines histoires méritent une 2e chance

P.S: Et juste en passant, je pense que tu devrais ecrire plus souvent kalcidian, je suis certain que tu as un potentiel qui ne demande qu'à s'exprimer!

j'ai décroché à la moitié du texte. Les dialogues sont improbables, on ne se parle pas comme cela à soi-même.