Atelier 15 : Abel, la bête

Alors c'est une nouvelle sympa. L'idée est bonne et pas mal amenée. Mais effectivement, ça manque peut-être de rythme, c'est trop dans la recherche d'une belle écriture et pas assez dans celle de l'action.

Merci d'avoir lu mon texte Catherine, et de tes commentaires.

En effet, le rythme est un problème recurrent chez moi, je pense que je suis trop lyrique au détriment de de l'action. Je m'attache à corriger ce défaut.

Mais à côté de ça le lyrisme n'est pas un défaut, il faut juste pouvoir le doser avec l'action. Tu as un réel talent lyrique et il serait dommage de ne pas en profiter pour privilégier l'action. Donc arriver à combiner les deux.

Catherine Robert a écrit:

Mais à côté de ça le lyrisme n'est pas un défaut, il faut juste pouvoir le doser avec l'action. Tu as un réel talent lyrique et il serait dommage de ne pas en profiter pour privilégier l'action. Donc arriver à combiner les deux.

Comme le fait si brillamment Paladin ! C'est lyrique et percutant.

Oui mais ils utilisent trop de métaphores (pratiquement toutes ses phrases).

Je dois avouer que je fais des coupes sauvages dans les métaphores sinon j'ai le même syndrome !

Métaphore toi-même, non mais!
Quel malpoli ce Paracelse!

Drôle d'histoire. Est-ce un rêve que tu as fait (je dis ça parce qu'il arrive souvent que les rêves soient un peu absurdes) ou seulement le fruit de ton imagination ?

Un peu à la manière de « Tangram » le début m'a bien plu (jusqu'à la moitié à peu près) puis ensuite, la lecture devient pesante, truffée de phrases trop longues où le lecteur (moi) butte sur les mots. Je n'aime pas ce genre de scènes, trop décrites, trop longues. Ton histoire s'améliore à partir du moment où ton héroïne sort de la glace. Néanmoins, au final, je n'ai pas compris où tu voulais en venir avec ce texte, d'où ma question de départ. J'ai dû louper quelque chose, pourrais tu m'éclairer ?

Voilà, je ne sais pas trop quoi dire de plus, il y a des choses qui m'ont plu, d'autres non et au final, ton histoire m'a laissé sur ma faim, en grande partie parce que je n'ai pas compris tes intentions... si ce n'est peut-être, le combat que ce livre le bien et le mal depuis la nuit des temps...

J'ai relevé quelques fautes :

au dessus (au-dessus)
A (À)
Deux mains géantes l'avait plié (avaient)
Se plains (plaint)
Son « programme » – même si ce terme l’a répugne – se déroule bien. Elle l’a, maintes fois répétées, maintes fois modifié. (Je me méfie du verbe avoir mais il me semble qu'il y a des erreurs dans la conjugaison des verbes de la seconde phrase)
Peut être (peut-être)
Peut être sera t'elle repéré (repérée)
Il y Abel (il y a)
C’est lui qui fermera la les portes (la ou les ?)
Quand toutes cette basse cour (toute)
une épée de lumière apparue dans sa main. (apparut)
Elle se prépara, invoquant le Bien et une épée de lumière apparue dans sa main. (pourquoi du passé simple ici ?)

Merci de ta lecture et de ton commentaire, Lestat (je vois que cette nouvelle fait partie du lot que tu as apporté en vacances...)

Pour expliquer, ce court récit raconte la lutte séculaire de l'agent du Bien contre l'agent du Mal. Il est vrai que ce combat est très mal amené et que les conditions de réunion des deux "catcheurs" ne sont pas du tout expliquées et que tout cela reste bien flou.
Le fait de créer une ambiance étrange me semblait suffisant, et ce n'est pas le cas, à ta lire.

J'ai trouvé le début agréable. J'aime beaucoup la façon dont tu décris la patineuse sur la glace. Il y a de très jolie tournure.
Pour ce qui est de la fin, je l'ai trouvé surprenante, mais dans le bon sens. Cependant la fin m'a donné quelques difficultés à cause des tournures. Mais autrement j'ai trouvé ta nouvelle bonne.
Donc voilà. Je crois que je n'ai rien d'autre à ajouter.
Ce fut une lecture agréable.

merci de ta lecture et de ton commentaire, ex-strange

(trop ?)

Certes !

Tiens Dago, quelle bonne surprise!
On se delandait justement ce que tu devenais et quand tu nous reviendrait...

Il est déjà reparti on dirait... peut-être on aura une réponse le mois prochain...