OttoDix

Le français correct pour les nuls, je l'ai acheté il y a six mois.
Tu le lis une fois et tout ce que tu as oublié par rapport à l'école te revient.

Ma mère me tanne trop avec "le bac français pour les nuls" pour que je puisse apprecier cette edition =/

Elle est compléte et pas si nul que ça !

Non, plein de gens bien s'en servent:

mdr !

Ah ouais trop !

paladin a écrit:

Non, plein de gens bien s'en servent:

Oh toi, t'as rendez vous avec ma boite e-mail ! Merci Paladin !

Chapitre I - Chez l'Alchimiste


Par les fenêtres filtraient quelques rayons matinaux, le soleil embrassait la pièce. La salle était encombrée d'un amoncelement (amoncellement) de singulières machines, d'incongrus mécanismes, d' (espace en trop) insolites ustentiles (ustensiles insolites et de chaudrons bouillonnants) et de bouillonnants chaudrons. Les murs étaient tapissés d'étagères bancales, õu tronaient (où trônaient) un chaleureux (chaleureux désordre ???) désordre (de) potions fulminantes et (de) fioles en effervescence. Quelques peruches (perruches) , hors d'atteinte d'un chat agacé, chantaient allègrement, tandis qu'une symphonie de tic-tacs s'élevaient (s'élevait ; s'accorde avec symphonie) en rythme d'un groupe d'horloges, pendulettes et balanciers. Les sols étaient jonchés d'extraordinaires instruments dont l'utilité n'était pas le dessein, de curieux dispositifs qui caressent la curiosité, d'inventions inachevées. Sur des tables tordues s'étalaient quelques plans d'un sigulier appareil, dont les courbes manuscrites, n'ayant aucun sens pour le néophyte, refletaient l'exentricité (reflétaient l'excentricité) des alchimistes. Une pousse de lierre, trop longtemps négligée, envahissait à présent les murs et le plafond. Des plumes usées et des encriers renversés roulaient à mes pieds. Dans un coin, une caisse d'artifices débordait d'explosifs. Dans un autre, un automate démuni de jambes gisait, à l'abandon. Une fumée spectrale, résidu de chandelles semi consumées (trait d'union) , tourbillonait (tourbillonnait) au plafond. Enfin, cartes, parchemins, manuscrits, tomes et encyclopédies s'amoncelaient partout. Ce chambardement, conjugué au tapage incessant des bestioles et engins s'ébattant consciencieusement partout dans la boutique, provoquait un confortable chaos, un chaleureux maelstrom.

Cette boutique était à la fois mon foyer et mon atelier, et j'y passait (passais) le plus clair de mon temps. Cela faisait dix ans maintenant que je menais une vie tranquille, presque en autarcie. Isolé dans ma boutique, je comptais peu de chalands, mais mes maigres rémunérations me suffisaient pour subsister. Pendant cette décénie s'était ammoncelées quantités (décennie s'étaient amoncelées de quantité) d'objets étranges au sein du magasin, fruits de réparations ratées ou d'experience (expérience) . Je m'aprovisionnait (approvisionnais) en matières premières via le commissionaire (commissionnaire) de la ville, (qui faisait office de facteur et de messager) , qu'il s'agissat (agissait) de nouriture, d'eau ou encore de métal et de bois pour mes créations. J'excelais (excellais) dans l'art de la trusmutation (transmutation) , cette science qui permet de transformer une chose en une autre. D'ailleurs, lorsque se posaient les problèmes pécuniaires, c'est mon talent, conjugué a quelque (à quelques) grammes de plomb, qui occasionait (occasionnaient) les meilleurs profits. Bien que la transformation du plomb en or n'était certes pas approuvé (approuvée) par l'état, je tachais d'être discret et n'abusais jamais de ce savoir. Ansi, en faisant preuve de partimonie (parcimonie) , je réussi a (réussis à) vivre simplement, en ayant cependant la plus brûlante passion quant a (à) mon gagne-pain. Une profonde monotonie s'était instaurée dans ma vie, et je ne songeais pas qu'il pu jamais en être autrement. (retravaille cette phrase, elle est horrible)


Le reste est encore pire en nombre de fautes.
Prends un dictionnaire et dissèque chaque phrase quitte à prendre plusieurs heures. Si tu ne le fais pas, tu ne progresseras jamais en orthographe. Quand j'ai commencé à écrire, j'en faisais presque autant que toi.

Déjà, un truc simple : le correcteur automatique de Word.

Il peut laisser passer des trucs mais sur les fautes de frappes et d'orthographe il est globalement assez performant.

Mais comme c'est pas un logiciel gratuit si tu ne l'as pas tu peux soit le télécharger illégalement, mais c'est pô bien, ohlàlà, utiliser OpenOffice qui est un logiciel gratuit (personnellement j'aime pas mais bon c'est une affaire de goûts.

Après, je n'ai pas eu le courage de continuer à corriger. Le triple de fautes.

Je modère mes propos sur les fautes parce que là c'est vrai y'en a beaucoup quand même! En effet prend un logiciel de correction Pour Word c'est pas beau mais fait comme tout le monde, emprunte-le à un copain qui l'a...
Et pour les fautes de frappe, pense toujours à te relire!

D'accord d'accord d'accord, je retire mon texte pour le moment et je vais corriger toutes les fautes, merci pour votre aide

Pourquoi veux-tu retirer ton texte ? Corrige-le directement ici.

Je préfère prendre mon temps et proposer un texte moins horrifiant pour le lecteur.

Correction terminée! J'ai édité la page précédente.