LE MANOIR DU FANTASTIQUE
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 Le corps sans vie

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l'ange
Sangsue mort-vivante
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MessageSujet: Le corps sans vie   Le corps sans vie EmptyVen 26 Aoû 2005 - 15:35

voici la nouvelle que je devais poster en septembre, je la mais maintenant car je vais être occuper en septembre laissez- moi vos commentaires. Merci d'avance et Mille Merci Cornélia pour tes encouragements.
Bonne lecture

‘The body without life’
‘Le corps sans vie’ nouvelle écrite par l’Ange en juillet 2005


Dans un coin reculer de Pittsburgh, loin de la civilisation….

La clarté de la lune était étincelante cet nuit d’été 1997.
Lorenzo Menez, était un homme d’une trentaine d’année, étendue dans un champ de verdure, les mains croiser au-dessus de sa tête.
Son regard était perdu dans le ciel étoilé.
La lueur de la lune, laissait apparaître les traits tirer sur le visage de Lorenzo.
Un vieil homme, vêtue de noire et munis d’une cape accrocher à son cou. S’aidait d’une canne en bois pour marcher, sur un chemin en pente raide descendante, marchant lentement en évitant les roches qui ressortaient du sol sinueux.
Il lui restait quelques mètres encore à parcourir jusqu’à son rendez-vous avec une personne qui lui avait téléphoné au sanctuaire.
A l’approche du vieil homme. Lorenzo, entendit de loin à sa droite, un bruit furtif qui le fit sursauter. Il détourna sa tête du ciel et posa ces yeux sur la colline.
En haut de la colline à mi-chemin, une ombre humaine marchait sur le chemin sinueux.
Qu’il avait emprunter avec sa voiture une heure au paravent, l’ombre descendait le restant de chemin à parcourir pour le rejoindre.
Lorenzo étendue, se souleva en utilisent ces mains comme levier et se tourna pour faire face, au vieil homme qui s’approchait vers lui.
Il s’asseyait dans l’herbe humide, à la rencontre du vieil homme et l’attendit.

- Bonjour, Mon père merci d’être venue pour me confesser. Dit-il en levant sa tête, pour le regarder dans le blanc des yeux.

Le vieil homme était debout devant lui et pus voir grâce aux lunettes qu’il portait au nez. Les vêtements de l’homme, étaient usées, mais surtout sa chemise d’ordinaire blanche était tachée de sang sécher comme les perles de couleurs qu’utilisent les enfants pour fabriquer des bracelets.
L’homme pus lui aussi à percevoir sur le vieil homme, une croix en argent épingler sur la poche de la veste.

- Quels est votre nom mon fils ? Lui demanda le prêtre, en remontant d’un doigt tremblant ces lunettes sur l’arête de son nez.

- Mon père mon nom n’est plus utile, mais si vous le voulez avant de m’écouter le voici c’est Lorenzo Menez. Dit-il en regardent le visage du prêtre qu’une grosse barbe grise, lui barrait sa fine bouche.

- Merci mon fils répondit-il en posant sa cape dans l’herbe humide.

S’asseyant dessus, ils étaient à présent face à face, le prêtre enleva d’une poche extérieure une écharpe blanche, où était broder deux croix rouges à leurs extrémités et la mis sur son cou, demandant ensuite de continuer sa confession.
Lorenzo d’un air nerveux lui demanda avant de commencer son récit

- Mon père ce que je vais vous raconter, vous n’allez pas me juger, n’est-ce pas ? ,

Car j’ai péché. Mon père d’une voix tremblante il avait prononcé cette question avant de vouloir commencer.

- Bien sur que non, mon fils je ne juge pas, je suis un serviteur de dieux. Le jour de votre jugement le seigneur sera avec vous. Vous pouvez me faire confiance mon fils allez-ci raconter. D’une voix grave, il avait répondu à Lorenzo.

Lorenzo un peu plus serrent commença alors son récit :

- Donc comme je vous l’ai dit j’ai péché, mon père j’ai tué des gens.

Le prêtre les yeux grand ouvert, les fermis avant d’écouter le récit, pour mieux l’écouter, ces mains accoler paume contre paume, devant sa fine bouche méditait en écoutant le récit macabre de Lorenzo.

- Combien de gens avez-vous tué Lorenzo, mon fils. Il avait prononcé son nom plus haut dans les cieux pour montrer au juge tout puissant que Lorenzo était son prénom.

- Je ne les ai pas comptés, mon père. Dit-il, au coin de ces lèvres se dessinait un léger sourire en ce rappelant ces moments de bonheurs à la vue de la mort.

- Bien, mon fils. Continuer donc.

- Racontez-moi alors le dernier de vos crimes. Mon fils Lorenzo

Bien répondit Lorenzo en essayant de ce souvenir du dernier meurtre pas si lointain que ça à vrai dire.

- C’était hier, mon père. Elle car c’était une femme brune et mince, je préfère les femmes pour dire vrai. Je ne fantasme pas lorsque je les tues ce n’est pas vrais c’est des mensonges tout ça. Pour moi j’aime la compagnie de la mort c’est fantastique l’odeur de la chair entrant de pourrie. Mais la femme d’hier, était la plus belle, de tout ce que j’ai pue voir au monde.

- Comment ça, c’est passé pour celle-ci, comment s’appelle-t-elle ? Mon fils, demanda le prêtre avec l’ouie attentif. Il ouvrit les yeux

- Et bien je ne connais pas leurs noms, je les séduis et puis je les amène avec moi à la cabane.

- Où se trouve cette cabane ! Lorenzo mon fils

(Il montra de l’index, bras tendu derrière l’épaule du prêtre. Qui lui se retourna pour regarder, un peu plus haut derrière des rochers une veille cabane bâtie dans du vieux bois usé par les années était encrée dans la végétation qui avait repris possessions du terrain utiliser autre fois par les humains.)

- Elle est à l’intérieur en ce moment, Lorenzo cette femme que vous venez de me parler. Demanda le prêtre en le regardant de nouveau.

- Oui, mon père elle m’attend (continuer votre récit, mon fils entendit-il) Et bien, reprit-il avec une envie folle de lui raconter.

- Je l’ai accroché avec des chaînes en fer munis à leurs extrémités de crochet en fer que je venais de mettre au plafond c’était assez facile de les installer, dans ce vieux bois pourris, je n’ai pas perdu de temps. Elle était belle avec ces cheveux qui lui redescendaient majestueusement sur ces épaules - nue -, on aurait dit une déesse de l’ancienne Égypte.
Je lui souriais vous savez (il faisait des hochements de tête comme un fou si, si…) Mais rien elle n’a même pas esquisser me répondre. Alors là, je lui aie poser mes deux questions habituelles. (Il se tu et regarda le prêtre.)

Le prêtre le regarda de nouveau et demanda :

- Quelles questions, mon fils, tout en prient en silence (laissent ces mains en prière)

- Et bien, je l’ai tout simplement demander « Qu’est-ce que tu pense de la vie ? » et puis elle m’a répondu (il dévisagea le prêtre qui continuaient à le scruter)

- Quelle était sa réponse, mon fils. Dit-il en prient

- Et …. (Lorenzo commençait à bégayer), elle à d’abord sourie en me montrent les plus belles dents blanches, que j’avais jamais vue auparavant, sur aucune des victimes que j’ai croiser sur ma route macabre et puis elle m’a répondu ‘Que c’était chiant à mourir’.

- Et quelle était la seconde question, mon fils Lorenzo. Demanda le prêtre en ce détendent ces jambes usées par l’âge, puis reprit la position assise.

- C’est ma préférer, mon père « Comment voudrait-tu mourir ? » Lorenzo disait ça d’un air amuser par la réponse qu’il allait lui dévoiler

- Et…, (commença à dire le prêtre l’air un peu perplexe.)

Lorenzo continua sur sa lancer

- Elle à répondue de cette voix que (il montra sa tête de l’index à l’attention du prêtre qui le regardait, je l’entends encore, si, si, dans ma tête elle tourne comme un vieux vinyle.) D’une voix douce et si tendre à entendre, elle a répondu ‘Comme les truies qu’on tue dans les abattoirs‘. Ils se regardèrent tous deux dans les yeux.

Un instant un peu long passa et le prêtre repris ces pensées pour lui demander
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l'ange
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MessageSujet: Re: Le corps sans vie   Le corps sans vie EmptyVen 26 Aoû 2005 - 15:38

Suite: Du Corps sans vie

- Comment vous l’avez persuadé de s’accrocher aux chaînes de fer et sûrement la torturer ! Le regard du prêtre était attirer sur la chemise tâchée de sang (il supposa dans son fort intérieur, qu’il appartenait à cette femme.)

- Je lui ai donné un coup derrière la tête avec un morceau de bois que j’avais trouvé un peu plutôt. Lorsqu’elle avait porté son intention aux chaînes qui pendaient. Et puis je l’ai déshabilliez, elle portait une robe simple, de couleur jaune clair. Ces sous-vêtements étaient en dentelles blanches. J’ai les ai enlever aussi et j’ai pue y voir son vagin, j’aurais bien aimé y mettre mes lèvres pour sentir comment c’était à l’intérieur, mais je ne l’ai pas fait faute de temps. J’ai approcher les chaînes vers ces mains paume ouverte et j’y ai planter les crochets, je les ai planter dans les deux paumes en m’assurant que sa tenait bien, il y eut du sang qui commençait à couler le long de ces bras lorsque je l’ai monter en m’aident d’une vieille poulie que j’avais volé voilà des années à Christopher Starr, mon ancien voisin de chambré, quel vieux fils de pute celui-là.
Les jeudis soir, lors de mes ballades nocturnes, Christopher partait retrouver une pute de luxe.
Mais, je ne vais pas vous raconter ce qu’on n’a bien pus faire ensembles à Castle Rock une vieille ville fantôme à présent abandonner par leurs habitent.

Revenons plutôt à la femme. Que je venais d’accrocher en croix, comme Jésus sur sa croix. Ces cheveux lui cachaient son beau visage, alors j’ai décidé de les lui couper.
Je suis sortie de la cabane et j’ai cherché dans ma Chevrolet 1958, un couteau. Car je savais qu’il y avait un, qui traînait à l’intérieur.
Je l’avais utilisé pour une autre femme pour lui enlever ces yeux ! Je me rappelle d’elle aussi, je l’avais prise en auto stop, elle était jeune. Je lui aurais donné dans les dix-sept ans, avec ces cheveux mi-longs de fausse blonde. Elle était montée alors que je m’étais arrêté à sa rencontre. On a discuter un moment pendant le trajet, elle voulait aller dans ma direction et je lui ai posé mes questions et elle m’avait tout simplement dit quel aimerait mourir aveugle et aussitôt dit aussitôt fait. Je me suis arrêté au bord d’un faussé, près d’une forêt. Elle m’a demandé au départ pourquoi, je m’arrêtais en plein milieu d’une forêt. Mais je ne l’ai pas répondue, je suis sortie de ma voiture et j’en ai fait le tour pour ouvrir sa portière et pour la tirer en dehors, il y avait du vent ce jour là, le printemps s’approchait à grands pas (si mes souvenirs son bon, il se grattait le menton en y repensent.)
Elle criait de toutes ces forces lorsqu’elle avait vu, le couteau. Que je venais de sortie de ma poche, de mon manteau. Je l’ai approcher de son œil, (le droit, je ne suis pas sur de moi à dire vrai. Mais bon tempi pour ce petit détaille.) J’avais mis ma main gauche sur sa bouche (elle ne m’a pas mordu heureusement pour moi) et j’ai dû forcer pour les enlever ces globes putain, ils étaient des couleurs vertes (Lorenzo fouillait nerveusement à l’intérieur de son manteau. Le prêtre le regarda et pensa aussitôt qu’il allait les sortirs comme certains serial killer qui garde des souvenirs de leurs victimes. Lorenzo retira, sa main de la poche, qui elle tenait un paquet de cigarette, il en proposa une au prêtre mais celui-ci déclina l’offre d’un hochement de tête. Cela faisait cinq ans qu’il avait réussi à arrêt. Lorenzo en pris une, l’emporta à ces lèvres et l’alluma. Il remis le paquet dans sa poche intérieur. La cigarette se consuma rapidement, il tirait des bouffés comme un cheminot.)
Où j’en n’étais déjà à oui.
Du sang avec un liquide collant était sorti avec lorsque j’ai pus les enlevés. Je les ai laisser là-bas avec le corps meurtris dans le faussé, avec les animaux sauvages qui traînent souvent dans la forêt. Je n’aurais eut aucun problème. Voilà un meurtre que je vous raconte, comme je me confesse j’en profite.

Le prêtre écoutait toujours en prient sans laisser voir une émotion de ça part.

- Continué, mon fils. Dit-il (simplement)

Lorenzo s’humecta ces lèvres et continua donc son récit.

- J’avais retrouvé mon couteau dans ma voiture. Je suis retourner à l’intérieur, elle ne c’était pas réveiller. Alors j’ai prie ces cheveux dans une main et je les ai couper court pour voir son regard, elle avait des yeux magnifiques. J’ai ensuite apporté le couteau sur un, de ces seins que j’ai caressé en cercle sur son mamelon. Puis j’ai laissé glisser la lame sous son bas ventre. Vers son pubis et là je l’ai caressé avec mon arme, sur sa peau qui était tendre et mou. Mais le froid du métal sur sa peau chaud l’a réveillé et elle à crié en me regardent faire. Elle ensuite pousser un crie de douleur lorsque j’ai décider de l’enfoncé pour ne plus l’entendre crier et j’ai remonter lentement la lame, en prennent soin de la regarder dans les yeux en même temps, j’avançais la lame et les lambeaux de peaux s’écartaient au passage de la lame.
Je me suis arrêté jusqu'à sa gorge.
L’ouverture que je venais de lui faire laissait apparaître ces viscères et du sangs giclaient de partout (il montra sa chemise, au prêtre qui la regardait et lui fit un signe de croix avec une main qui tremblait de plus belles.)

- Et mon fils qu’est-ce que vous avez fait après l’avoir ouvert en deux et de l’avoir tué. Allez-ci je suis là pour ça Lorenzo, raconter moi la fin, mon fils. Dit le prêtre de retour en prière avec les yeux fermer.

- Le sang coulait le long de ces jambes et sur le sol une marre naissait du néant, le plancher absorbait le liquide rouge ocre comme dans les films gore. J’ai aussi enlever ces organes en les pourtant sous mes narines pour les sentir une dernière fois.
Les uns après les autres. Ensuite, je les ai jeté dans un sac poubelle que j’avais préparé et lorsque j’ai fini de tout enlevés. J’ai amener le sac poubelle derrière la maison dans un hangar où l’ouverture est cachée par des lierres sauvages.
Je suis retourné sur mes pas pour pouvoir la regarder de nouveau et j’ai décidé de lui ôter la tête de ces épaules, j’ai disposé des bougies en cercle en dessous du corps. Mais du sang sortant de son vagin mon éteints les flammes, j’ai mis sa tête au milieu et je vous ai appeler après mettre étendue où je suis en ce moment et voilà j’ai fini mon récit, mon père. Est-ce que dieux va me punir pour ces victimes mon père ?

Le prêtre, ouvrit les yeux en même temps qu’il écartait les bras en grand devant le visage de Lorenzo.

- Non, mon fils Lorenzo.

Le prêtre chercha dans sa poche intérieure de son manteau et en ressortie un objet en métal et tira deux balles dans la tête de Lorenzo qui le regardait. Le prêtre se releva en s’aidant de sa canne et regarda de haut le corps sans vie de Lorenzo, il gisait devant lui, le corps tremblait
Les nerfs, pensa le prête en montant le reste du chemin qui l’amena jusqu'à la cabane où il pouvait sentir à des kilomètres l’odeur de viande pourrie.

Il arriva près de la cabane, une Chevrolet 1958 était garer, la porte du conducteur était rester ouvert en grand laissant à qui conque le loisir de sans emparer. La porte de la cabane quand à elle n’était pas fermer complètement et il l’a poussa à l’aide de sa canne et entra à l’intérieur. Il ne pus rien y voir au premier cou d’œil, le noir des ténèbres avait pris place, il tâtonna près de la porte et déclencha l’interrupteur, le plafonnier grésilla avant qu’une lumière d’un jaune fluorescente allume la pièce. Pour laisser apparaître au centre une carcasse en décomposition, des mouches étaient déjà entrent de poudres leurs œufs à l’intérieur, il fit le tour de la pièce du regard et pus y voir que les fenêtres était toutes condamné par des planches et à sa droite une table avec des couteaux et des petites haches était éparpiller, une scie électrique était aussi là, recouverte elle d’un liquide rouge ocre sécher.
Le prêtre se dirigea vers la table de travail.

- étrange, ce dit il en pourtant à ces yeux, la scie électrique ensanglanté sécher.

La scie électrique ressemblait étrangement aux matérielle utilisé par les bouchers, reposant la scie sur la table.
Il revient vers l’encadrement de la porte et continua à observer le reste de la pièce des yeux.
Les murs étaient peints en rouges avec derrière le corps en lambeaux.
Une grande affiche était accrochée avec des punaises.
L’affiche représentait une silhouette camouflée dans un tissus noirs tenant dans une main une faux ! Une légende était écrite en gros caractère au-dessus aux feutres rouges, on pouvait y lire LA FAUCHEUSE MON DESTIN.
Le prêtre porta ensuite son intention sous le corps accrocher en croix. Comme Lorenzo l’avait d’écrit. L’odeur devenant insupportable, le prêtre porta une main devant son nez.
Mais ce qu’il venait de voir dessous le corps, lui fit ressortir le reste de nourriture qu’il avait ingurgité pour le repas du soir.
Une tête se tenait bien au centre d’un cercle de bougies éteintes, mais le plus fou c’était que la tête en question n’était pas humaine. C’était une tête de cochon.
Le corps qu’il croyait être suspendu semblait être humain pourtant. Mais pourquoi Lorenzo m’a dit que c’était une femme. Puis se détournent de la carcasse, il disparu dans l’encadrement de la porte, il repensa de l’autre meurtre : Il l’avait bien entendu lorsqu’il avait parler de l’autre femme, il l’avait vu hocher nerveusement la tête comme un fou sorti tout droit de l’asile psychiatrique. Le prêtre venait de comprendre. Lorenzo devait avoir eut une hallucination en dépeçant le cochon. Lorenzo que je viens de tué était sûrement attend de paranoïa.
Réfléchissant à tout çà, le prêtre reprenait le chemin du retour. Il laissa la porte de la cabane grande ouverte l’odeur de la carcasse du porc fut pris par le vent qui commençait à apparaître.
Le ciel s’assombrissait rapidement par des nuages qui dissimulaient les étoiles.
Un rideau de pluie commença à tomber sur le prêtre. A demi aveugler par la trombe d’eau glacée sur son visage, il continua nerveusement sa descente sur le chemin.
Laissant derrière lui, les ténèbres prendre possession de la cabane.

EPILOGUE
Deux plus tard. Dans un coin reculer de Pittsburgh, loin de la civilisation….

Des cries de loups hauts dans les collines près d’un cimetière en ruine, ce fit entendre et ….
Dans un coin de forêt perdu dans l’inconscience folle de Lorenzo en décomposition avancé. Mourait une femme par des animaux sauvages imaginaire.

FIN, laissez-moi vos commentairesmerci d'avance
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l'ange
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MessageSujet: Re: Le corps sans vie   Le corps sans vie EmptyDim 4 Sep 2005 - 8:30

je voudrais vraiment savoir votre avis merci de me laisser des commentaires

Merci, car j'aimerais savoir si elle est bien A+
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thomas desmond
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thomas desmond


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MessageSujet: Re: Le corps sans vie   Le corps sans vie EmptyMar 13 Sep 2005 - 10:15

Franchement, même si ton histoire a l'air intéressante et imaginative, les fautes d'orthographe, de grammaire et de ponctuation sont tellement énormes que la lecture en devient pénible.

Merci de bien te relire, de tout corriger (sous word) et de bien lier tes phrases... Et là on pourra te lire avec plaisir et te donner notre avis sur cette histoire pleine de promesses...
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cornélia
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MessageSujet: Re: Le corps sans vie   Le corps sans vie EmptyMar 13 Sep 2005 - 20:31

j'ai pas encore lu, désolé..
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MessageSujet: Re: Le corps sans vie   Le corps sans vie Empty

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