LE MANOIR DU FANTASTIQUE
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 Triana, pouvoir de la descendance - Vacances à l'île de La Réunion

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captainamo
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MessageSujet: 550 signatures atteintes   Triana, pouvoir de la descendance - Vacances à l'île de La Réunion - Page 2 EmptyMar 28 Avr 2009 - 20:26

Bonjour à tous. Nouveau message pour vous informer que les 550 signatures ont été franchies aujourd'hui. Pour que de nouvelles personnes découvrent Triana, n'hésitez pas à contacter les webmaster des sites et blogs que vous fréquentez et aimez afin qu'ils mettent un petit article et un lien vers la pétition sur son site ou blog. En réalisant cela, de plus en plus de personnes connaîtront Triana. Merci d'avance à tous ceux qui m'aideront dans cette difficile tache de diffusion.
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Max
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MessageSujet: Re: Triana, pouvoir de la descendance - Vacances à l'île de La Réunion   Triana, pouvoir de la descendance - Vacances à l'île de La Réunion - Page 2 EmptyMar 28 Avr 2009 - 20:41

Je suis désolé, mais je viens de lire vite fait le début de ton second chapitre et... c'est comme l'autre fois quoi : c'est bourré de maladresses et à peine lisible en ce qui concerne ce deuxième chapitre. Je vais être franc, pour moi, tu ne maîtrises absolument pas assez ton écriture et ton style pour pouvoir prétendre écrire un roman ! Ce n'est que mon avis, mais franchement, faut être sérieux deux minutes.

Enfin, quoi qu'il en soit, bonne chance et bon courage dans ton entreprise Wink
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MessageSujet: Re: Triana, pouvoir de la descendance - Vacances à l'île de La Réunion   Triana, pouvoir de la descendance - Vacances à l'île de La Réunion - Page 2 EmptyMar 28 Avr 2009 - 20:45

Et envoyez c'est pesé ! lol!

J'ai survolé quelques paragraphes et il est certain que beaucoup de maladresses jalonnent le récit du genre "... malgré l'inconfort de la finesse de son matelas" ou encore dès la première ligne : "Des pneus crissèrent d'un bruit strident" ! Lorsque ça crisse c'est strident en général !

D'autres lourdeurs sur la page de début :

– Une route dont la largeur ne laisse passer les voitures qu'au compte goûte (bonjour la faute et la métaphore)
– visage plus blanchâtre que le plâtre (cool ça rime !)
– une immense chaleur le brûla jusqu'aux extrémités (je le plains sincèrement)
– son corps figé telle une pierre par la peur devint léger comme une plume (c'est presque du Francis cabrel !)
– il aurait pu hurler mais tout se passa trop vite (pas de bol)

Et je ne parle pas des dialogues :

"– Thomas... Chuchota Ginette
– Fiston... Rajouta Jacques..."

Bref j'ai laissé tomber dès la première page et je pense qu'un éditeur honnête fera de même ! C'est toujours beau de faire une belle couverture sur un fichier Flash et un trailer à la Duma Key mais c'est le contenu qui compte et non le contenant ! Nous pouvons toujours en débattre si tu veux.
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captainamo
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MessageSujet: Introduction   Triana, pouvoir de la descendance - Vacances à l'île de La Réunion - Page 2 EmptyMer 29 Avr 2009 - 16:22

Bonjour. Merci pour les critiques que vous avez réalisé. Elles sont dans l'ensemble constructives et je vous propose donc dans le post suivant le chapitre 1 retravaillé.
Je suis à l'écoute de vos remarques car s'il y a bien un chapitre qui doit être accrocheur, c'est le premier lol.
A très bientôt.
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captainamo
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MessageSujet: Chapitre 1 retravaillé   Triana, pouvoir de la descendance - Vacances à l'île de La Réunion - Page 2 EmptyMer 29 Avr 2009 - 16:24

Les pneumatiques crissèrent ! Jacques Mener frissonnait. Sa jambe droite, tendue, écrasait la pédale de frein de la Ford Mondéo. Un immense bloc rocheux qui venait de l’abrupte falaise sur leur gauche s’était écrasé devant eux. Le pare choc caressait la roche mais ne s’était pas déformé. Les automobilistes qui suivaient, s’étaient à leur tour arrêtés, la route du littoral étant dans une configuration où seule une voie de circulation existait côté mer. Ces secousses sortirent Ginette, la femme de Jacques, et Thomas, leur fils, de leur torpeur. Pato, le grand chien Danois de la famille qui était sur la banquette arrière de la voiture, à la gauche de Thomas, continuait de clabauder. Sa truffe pointait le ciel comme si l’ombre de la mort ne s’était toujours estompée. Thomas leva à son tour les yeux. Tout comme pour son chien, l’effroi parcourut tout son être. «La Grande Faucheuse» s’abattait sur eux...

Un roc aussi grand que celui devant eux s’était décroché de la falaise basaltique et menaçait de les écraser. Le visage de Thomas à la matité ténue devint livide... Tout bascula en une fraction de seconde. Ses pupilles se dilatèrent, son corps rigidifié par la peur se décrispa subitement. Une immense chaleur parcourut son corps comme s’il brûlait de l’intérieur. Alors que la douleur devenait insoutenable, brusquement Thomas ne ressentait plus rien. Il ne contrôlait plus rien, il ne voyait, ni n’entendait plus rien. La conscience de Thomas s’était effacée. Pourtant ses mains se dirigèrent vers le toit de la voiture comme pour rattraper l’immense masse basaltique. L’impact n’eut jamais lieu... De la poussière noire se déposait sur les sièges de la berline «rouge-venise» qui n’était plus en état d’abriter la famille Mener de la pluie battante. Thomas était inconscient mais bien vivant. Il ne le savait pas, ne le saurait peut-être jamais, mais c’était bien lui qui avait réduit à de fines particules ce bloc minéral si dense. De ses mains une vague d’énergie, une immense onde de choc les avait tous sauvés.

De nombreuses secondes s’écoulèrent durant lesquelles Ginette et son mari restèrent le regard vide à fixer un ciel aussi sombre que leur première journée sur l’île de La Réunion. Pato aussi ne bougeait pas. Il s’était recroquevillé, autant que son imposante carrure le lui permettait, sous les sièges de ce qu’il restait de la voiture de location. Il était le seul à avoir remarqué le malaise de son jeune maître, mais les émotions vécues le paralysaient. Les images des dernières heures écoulées traversèrent l’esprit embrumé de Thomas qui reprenait petit à petit conscience. L'atterrissage à l’aéroport de Gillot s’était réalisé sans encombre après un long trajet de plus de dix heures au départ de Paris. Quelques perturbations à l’heure des repas avaient tout de même contraint Jacques à changer de chemise après s’être taché, son ventre rond ayant eu l’avantage de protéger son pantalon des salissures. Après avoir passé les douanes et récupéré valises et animal de compagnie, ils avaient loué pour le mois la Ford Mondéo réputée pour son immense coffre qui ne serait pas de trop vu la quantité d’affaires qu’ils avaient à transporter. La voiture n’avait finalement fait que quelques heures. A l’aide du GPS de la société RD Tronics, le seul disposant de la carte de La Réunion, ils avaient pris la direction de Méio-sur-Mer, non sans mettre le climatiseur en route, les températures approchant les trente degrés Celsius malgré l’hiver austral de ce mois de juillet 2002.

Les souvenirs de Thomas devenaient flous au fur et à mesure qu’il se rappelait sa famille s’engager davantage sur la route du Littoral. Le dernier souvenir qu’il avait était celui du bloc rocheux bloquant la circulation. Puis plus rien, l’amnésie était totale. Une sensation humide, comme autant de picotements de plus en plus intenses sur sa peau, sortirent Thomas de son état second. Lorsqu’il ouvrit les yeux, ses parents le regardaient. Ils avaient finalement eux aussi retrouvé leur esprit après tant d’émotions.

- Thomas... Susurra Ginette pleine de douceur dans la voix.
- Fiston... Soupira Jacques heureux qu’aucun membre de sa famille ne soit blessé.
- Je... Je vais bien je crois... J’ai du perdre connaissance...Thomas essayait de se remettre les idées en place, mais rien n’y faisait. Impossible de se rappeler les événements qui faisaient suite à l’immobilisation de la voiture devant l’immense rocher noir.
- Que s’est-il passé? Pourquoi la voiture n’a-t-elle plus de toit?

La surprise de voir le ciel en lieu et place du plafond de la voiture avait été si grande que Thomas s’était redressé d’un bond. C’est alors qu’il sentit les paumes de ses mains le brûler. Il les regarda mais elles étaient à peine plus rougeoyantes qu’à l’accoutumée. Ses biceps et autres deltoïdes étaient courbaturés comme s’il avait réalisé des heures de musculation. Il supposa que ce devait être une réaction normale de son corps suite à ce trop plein d’émotion qu’il venait de subir.

Ses parents ne répondirent pas à ses questions dans l’immédiat. Ils n’avaient de toute façon aucun élément qui pourrait expliquer rationnellement ce qu’ils observaient. Ils restaient là à contempler leur jeune adolescent d’une quatorzaine d’années. Ils le regardaient avec tant de tendresse que Thomas ne put s'empêcher de rougir. Ils contemplaient pendant plusieurs secondes sa chevelure en bataille, brune aux reflets acajous, son front lisse et dégagé, ses yeux d’ambre profonds et son nez droit à la symétrie presque parfaite qui contrastait avec leur propre physique moins équilibré. Leur fils avait bien grandi et allait certainement prendre quelques centimètres supplémentaires d’ici sa majorité, puisqu’il ne faisait pas encore tout à fait le mètre soixante-dix de son papa.

La pluie battante mit un terme à leur contemplation et Jacques formula l’hypothèse la plus crédible sur les événements inexpliqués qu’ils avaient vécu de l’intérieur.
- Thomas, tu as certainement perdu connaissance lorsqu’on a failli percuter le rocher devant nous. Mais pendant que tu étais évanoui, un autre s’est écrasé sur le toit... Il devait être suffisamment friable pour s’être réduit en fumée lors de l’impact. Mais j’avoue que le mystère du toit volatilisé, j’ai du mal à l’expliquer...»
L’enquête finira par conclure à une anomalie des matériaux constitutifs de la voiture, et cela malgré les multiples incohérences de la procédure d’investigation.


Après de nombreuses heures pour évacuer les personnes, c’est en fin de journée que la famille Mener rejoignit sa résidence de vacances, Anna-plage. Durant le trajet, le taximan, un créole brun, qui les transporta à bon port, leur parla un peu de Méio-sur-Mer, ville touristique par excellence de La Réunion. Il surveillait ses paroles afin d’utiliser le moins possible sa langue maternelle, le créole, sans grand succès au grand regret des Mener qui tendaient l’oreille, comme tout bon «zoreil», pour tenter de comprendre quelques mots de ce dialecte qui leur était étranger :
- Zot y conné, Méio-sur-Mer, lé vraiment un endroit lé mol. Comme le tourisme y marche moins bien, les élus locaux la décidé, à cause un «gros subvention», de casse un portion de l’île, entr’ St Leu et l’Etang Salé, pou’ créer site là. Lé vrai que band tourisme aster y marche mieux, mais nous trouve que y dénature nout l’île...
Un long silence s’en suivit. Aucun Mener ne sut que répondre. Comment pouvaient-ils ne pas se sentir quelque peu exclus par l’ambiguïté de la situation. Voyant qu’il avait jeté un froid, le taximan reprit :
- Affol pas! Lé pas cont’ zot, solmen cont’ la rasé nout patrimoine local pou le profit band stations balnéaires plus moderne. Mi esper’ que durant zot séjour, zot va visit’ deux trois z’endroits plus typiques de not’ péi.
Ni Thomas, ni ses parents n’étaient en mesure de se projeter en sortie. Leurs paupières étaient lourdes et ils faisaient de nombreux efforts pour ne pas se laisser bercer par les intonations chantantes et chaleureuses de cette langue parlée sur l’île.

Enfin arrivée devant le portail d’Anna-plage, Jacques manifesta sa présence, et l’hospitalité Réunionnaise, tant appréciée par certaines de ses connaissances, se vérifia rapidement. Une jeune femme, à la noire chevelure bouclée et au visage couleur chocolat, leur sourit malgré l’heure tardive. Après leur avoir remis clés et autres badges, elle les conduisit à leur bungalow à deux étages, le numéro 30.

Quand ils entrèrent dans le lotissement qui leur était attribué, les vacances commencèrent alors à prendre enfin forme. Le bungalow dans lequel ils s’apprêtaient à pénétrer était entièrement fait de bois blanc à l’odeur familière. Il semblait que les planches utilisées pour la réalisation de l’édifice venaient de métropole. Ce devait sans aucun doute être du pin. Cet arbre était leur quotidien à Aure, leur ville d’origine. Ils firent rapidement le tour de leur location, cette dernière n’étant pas bien grande mais possédait toutefois deux chambres, contrairement à plus de la moitié des logements d’Anna-plage.

A l’entrée, deux portes se faisaient face, l’une d’elle menant à la chambre de Thomas. Elle déplut à ce dernier qui la trouvait beaucoup trop étriquée. Elle ne contenait que le minimum : un lit, au matelas si fin qu’il ne faisait aucun doute que la dureté des lattes gâcherait la trentaine de nuits qu’il passerait ici, une commode, une table de chevet. Rien de plus hormis une lampe à néon proche du lit qui lui permettrait de lire à sa guise lorsque le mauvais temps ou l’ennui se manifesteraient. Après y avoir déposé sa valise, Thomas se rendit dans la salle de bain qui faisait face à sa chambre. Quelle surprise pour lui de découvrir une pièce aussi spacieuse. Le bleu azur était le ton dominant, mais s’y mêlaient habillement des nuances de gris. La baignoire et le lavabo se faisaient face. La vue de toilettes luxueuses à l’entretien quotidien ranima l’envie pressante qu’il avait avant d’arriver. Cela faisait bien plus de 12 heures qu’il ne s’était pas soulagé. Il ferma la porte. Ses parents continuèrent à faire le tour du propriétaire. Leur chambre était à l’étage, bien plus grande et confortable que celle de leur fils. Ils y laissèrent leurs affaires avant de retourner dans la pièce principale pour franchir la baie vitrée qui donnait sur un petit jardin où trônait une niche. Pato ne se fit pas prier pour prendre ses repères et marquer son nouveau territoire de vacances.

Voyant l'hôtesse d’accueil s’impatienter, les quatre membres de la famille Mener la suivirent pour une découverte rapide de la résidence. Leur bungalow donnait directement sur la seule route, à sens unique, qui traversait la résidence rectangulaire. Les maisons qui se trouvaient, comme la leur, à l’extérieur de la route, possédaient une chambre à l’étage en plus de celle au rez-de-chaussée. Les autres maisons, plus au centre de la résidence, étaient plus petites et n’était dotées que d’une seule chambre. Thomas n’osa imaginer ce que «plus petit» pouvait signifier après avoir constater l'exiguïté de sa chambre. Ces bungalows entouraient une immense piscine et un parc. Des plongeoirs se faisaient face et un toboggan tournant devait faire la joie des plus jeunes. Comme si ce n’était déjà trop, des jets d’eau entourant l’ensemble semblaient danser, tourner, se succéder au rythme d’une douce musique à peine audible mais si agréable pour ceux désirant se détendre en profitant du soleil Réunionnais.

Alors que ses parents continuaient la visite, Thomas resta émerveillé devant le spectacle que donnaient les jets éclairés chacun par une douce lumière aux couleurs allant du rouge au jaune, en passant par l’orange ou le rose, des couleurs plus froides telles le bleu ne venant jamais gâcher le dictame de ce ballet nautique. Il n’y avait personne dehors, le mois de juillet commençant à peine. Les rares locataires présents avaient déjà regagné leurs bungalows pour dîner. Thomas s’apprêta à en faire de même après avoir terminé la découverte de la résidence par le parc accolé à la piscine. Cette étendue verte avait la superficie d’un quart de terrain de football. L’espace central était vierge de tout arbre, laissant libre cours à l’imagination ludique des enfants. Des bancs et des papayers se succédaient assurant d’agréables coins d’ombre à ce petit espace naturel.

Les gargouillis de leur estomac les ramenèrent au numéro 30. Après avoir sincèrement remercié leur hôtesse pour sa patience et sa bonne humeur, Ginette prépara un dîner avec le peu d’aliments qui étaient présents. Des pâtes, des oeufs... Thomas qui voulait découvrir les spécialités locales allait devoir patienter. Il mangeait là un plat qu’il appréciait mais qu’il ne connaissait que trop.

Sa toilette réalisée, le jeune homme fut rapidement emporté par les bras de Morphée malgré l’inconfort de son matelas. Ses dernières pensées allèrent vers le futur. Il se savait timide et pensait qu’il ne lui serait pas aisé de se faire de nouveaux amis. Ses proches d’Aure commençaient déjà à lui manquer. Il ne manquerait pas de les appeler ou de leurs envoyer des cartes postales des lieux qu’il visiterait.
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MessageSujet: Re: Triana, pouvoir de la descendance - Vacances à l'île de La Réunion   Triana, pouvoir de la descendance - Vacances à l'île de La Réunion - Page 2 EmptyMer 29 Avr 2009 - 18:07

Je pense sincèrement que ton écriture n'est pas suffisamment mûre pour un tel projet !
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captainamo
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MessageSujet: Une version retravaillée une nouvelle fois du chapitre 1   Triana, pouvoir de la descendance - Vacances à l'île de La Réunion - Page 2 EmptyVen 1 Mai 2009 - 16:00

Bonjour. Pour être franc, peu de personnes qui ont lu le chapitre 1 m'ont fait la remarque que tu me fais. Je suis tout de même tout à fait d'accord qu'il y a encore quelques défauts gênants et justement j'essaye de les corriger. Je propose donc suite à ce petit paragraphe une version retravaillée du chapitre 1. N'hésitez pas à me faire des commentaires constructifs si vous repérez de véritables défauts

Les pneumatiques crissèrent ! Jacques Mener enfonçait de sa jambe droite tendue et crispée la pédale de frein de la Ford Mondéo. Le pare choc caressait un immense rocher, venant de l’abrupte falaise sur leur gauche, qui s’était écrasé devant eux. Les automobilistes qui suivaient évitèrent tout carambolage, la route du littoral étant dans une configuration avec une seule voie de circulation côté mer. Ces secousses sortirent Ginette, la femme de Jacques, et Thomas, leur fils, de leur torpeur. Pato, le grand chien Danois de la famille qui était sur la banquette arrière de la voiture, à la gauche de Thomas, continuait de clabauder, sa truffe pointant le ciel comme si l’ombre de la mort ne s’était toujours estompée. Thomas leva à son tour les yeux. Tout comme pour son chien, l’effroi parcourut tout son être. «La Grande Faucheuse» s’abattait sur eux...

Un roc aussi grand que celui devant eux s’était décroché de la falaise basaltique et menaçait de les écraser. Le visage de Thomas à la matité ténue devint livide... Tout bascula en une fraction de seconde. Ses pupilles se dilatèrent, son corps rigidifié par la peur se décrispa subitement. Une immense chaleur parcourut son corps comme s’il brûlait de l’intérieur. Alors que la douleur devenait insoutenable, brusquement Thomas ne ressentait plus rien. Il ne contrôlait plus rien, il ne voyait, ni n’entendait plus rien. La conscience de Thomas s’était effacée. Pourtant ses mains se dirigèrent vers le toit de la voiture comme pour rattraper l’immense masse basaltique. L’impact n’eut jamais lieu... De la poussière noire se déposait sur les sièges de la berline «rouge-venise» qui n’était plus en état d’abriter la famille Mener de la pluie battante. Thomas était inconscient mais bien vivant. Il ne le savait pas, ne le saurait peut-être jamais, mais c’était bien lui qui avait réduit à de fines particules ce bloc minéral si dense. De ses mains une vague d’énergie, une immense onde de choc les avait tous sauvés.

De nombreuses secondes s’écoulèrent durant lesquelles Ginette et son mari restèrent le regard vide à fixer le ciel sombre de leur première journée sur l’île de La Réunion. Pato aussi ne bougeait pas. Il s’était recroquevillé, autant que son imposante carrure le lui permettait, sous les sièges de ce qu’il restait de la voiture de location. Il était le seul à avoir remarqué le malaise de son jeune maître, mais les émotions vécues le paralysaient. Les images des dernières heures écoulées traversèrent l’esprit embrumé de Thomas qui reprenait petit à petit conscience. L'atterrissage à l’aéroport de Gillot s’était réalisé sans encombre après un long trajet de plus de dix heures au départ de Paris. Quelques perturbations à l’heure des repas avaient tout de même contraint Jacques à changer de chemise après s’être taché, son ventre rond ayant eu l’avantage de protéger son pantalon des salissures. Après avoir passé les douanes et récupéré valises et animal de compagnie, ils avaient loué pour le mois la Ford Mondéo réputée pour son immense coffre qui ne serait pas de trop vu la quantité d’affaires qu’ils avaient à transporter. La voiture n’avait finalement fait que quelques heures. A l’aide du GPS de la société RD Tronics, le seul disposant de la carte de La Réunion, ils avaient pris la direction de Méio-sur-Mer, non sans mettre le climatiseur en route, les températures approchant les trente degrés Celsius malgré l’hiver austral de ce mois de juillet 2002.

Les souvenirs de Thomas devenaient de plus en plus flous, au fur et à mesure qu’il se remémorait sa famille s’engager sur la route du littoral. Le bloc rocheux qui bloquait la circulation était le dernier élément dont il se rappelait. Puis plus rien, l’amnésie était totale. Une sensation humide, comme autant de picotements de plus en plus intenses sur sa peau, sortit Thomas de son état second. Lorsqu’il ouvrit les yeux, ses parents le regardaient. Ils avaient finalement eux aussi retrouvé leur esprit après tant d’émotions.

- Thomas... Susurra Ginette pleine de douceur dans la voix.
- Fiston... Soupira Jacques heureux qu’aucun membre de sa famille ne soit blessé.
- Je... Je vais bien je crois... J’ai dû perdre connaissance...Thomas essayait de se remettre les idées en place, mais rien n’y faisait. Impossible de se rappeler les événements qui faisaient suite à l’immobilisation de la voiture devant l’immense rocher noir.
- Que s’est-il passé? Pourquoi la voiture n’a-t-elle plus de toit?

La surprise de voir le ciel en lieu et place du plafond de la voiture avait été si grande que Thomas s’était redressé d’un bond. C’est alors qu’il sentit les paumes de ses mains le brûler. Il les regarda mais elles étaient à peine plus rougeoyantes qu’à l’accoutumée. Ses biceps et autres deltoïdes étaient courbaturés comme s’il avait réalisé des heures de musculation. Il supposa que ce devait être une réaction normale de son corps suite à ce trop plein d’émotion qu’il venait de subir.

Ses parents ne répondirent pas à ses questions dans l’immédiat. Ils n’avaient de toute façon aucun élément qui pourrait expliquer rationnellement ce qu’ils observaient. Ils restaient là à contempler leur jeune adolescent d’une quatorzaine d’années. Ils le regardaient avec tant de tendresse que Thomas ne put s'empêcher de rougir. Ils admiraient pendant plusieurs secondes sa chevelure en bataille, brune aux reflets acajous, son front lisse et dégagé, ses yeux d’ambre profonds et son nez droit à la symétrie presque parfaite qui contrastait avec leur propre physique moins équilibré. Leur fils avait bien grandi et allait certainement prendre quelques centimètres supplémentaires d’ici sa majorité, puisqu’il ne faisait pas encore tout à fait le mètre soixante-dix de son papa.

La pluie battante mit un terme à leur contemplation et Jacques formula l’hypothèse la plus crédible sur les événements inexpliqués qu’ils avaient vécu de l’intérieur.
- Thomas, tu as certainement perdu connaissance lorsqu’on a failli percuter le rocher devant nous. Mais pendant que tu étais évanoui, un autre s’est écrasé sur le toit... Il devait être suffisamment friable pour s’être réduit en fumée lors de l’impact. Mais j’avoue que le mystère du toit volatilisé, j’ai du mal à l’expliquer...»
L’enquête finira par conclure à une anomalie des matériaux constitutifs de la voiture, et cela malgré les multiples incohérences de la procédure d’investigation.


Après de nombreuses heures pour évacuer les personnes, c’est en fin de journée que la famille Mener rejoignit sa résidence de vacances, Anna-plage. Durant le trajet, le taximan, un créole brun, qui les transporta à bon port, leur parla un peu de Méio-sur-Mer, ville touristique par excellence de La Réunion. Il surveillait ses paroles afin d’utiliser le moins possible sa langue maternelle, le créole, sans grand succès au grand regret des Mener qui tendaient l’oreille, comme tout bon «zoreil», pour tenter de comprendre quelques mots de ce dialecte qui leur était étranger :
- Zot y conné, Méio-sur-Mer, lé vraiment un endroit lé mol. Comme le tourisme y marche moins bien, les élus locaux la décidé, à cause un «gros subvention», de casse un portion de l’île, entr’ St Leu et l’Etang Salé, pou’ créer site là. Lé vrai que band tourisme aster y marche mieux, mais nous trouve que y dénature nout l’île...
Un long silence s’en suivit. Aucun Mener ne sut que répondre. Comment pouvaient-ils ne pas se sentir quelque peu exclus par l’ambiguïté de la situation. Voyant qu’il avait jeté un froid, le taximan reprit :
- Affol pas! Lé pas cont’ zot, solmen cont’ la rasé nout patrimoine local pou le profit band stations balnéaires plus moderne. Mi esper’ que durant zot séjour, zot va visit’ deux trois z’endroits plus typiques de not’ péi.
Ni Thomas, ni ses parents n’étaient en mesure de se projeter en train de faire une sortie. Leurs paupières étaient lourdes et ils faisaient de nombreux efforts pour ne pas se laisser bercer par les intonations chantantes et chaleureuses de ce créole réunionnais.

Enfin arrivé devant le portail d’Anna-plage, Jacques manifesta sa présence, et l’hospitalité Réunionnaise, tant appréciée par certaines de ses connaissances, se vérifia rapidement. Une jeune femme, à la noire chevelure bouclée et au visage couleur chocolat, leur sourit malgré l’heure tardive. Après leur avoir remis clés et autres badges, elle les conduisit à leur bungalow à deux étages, le numéro 30.

Quand ils entrèrent dans le lotissement qui leur était attribué, les vacances commencèrent alors à prendre enfin forme. Le bungalow dans lequel ils s’apprêtaient à pénétrer était entièrement fait de bois blanc à l’odeur familière. Il semblait que les planches utilisées pour la réalisation de l’édifice venaient de métropole. Ce devait sans aucun doute être du pin. Cet arbre était leur quotidien à Aure, leur ville d’origine. Ils firent rapidement le tour de leur location, cette dernière n’étant pas bien grande mais possédait toutefois deux chambres, contrairement à plus de la moitié des logements d’Anna-plage.

A l’entrée, deux portes se faisaient face, l’une d’elle menant à la chambre de Thomas. Elle déplut à ce dernier qui la trouvait beaucoup trop étriquée. Elle ne contenait que le minimum : un lit, au matelas si fin qu’il ne faisait aucun doute que la dureté des lattes gâcherait la trentaine de nuits qu’il passerait ici, une commode, une table de chevet. Rien de plus hormis une lampe à néon proche du lit qui lui permettrait de lire à sa guise lorsque le mauvais temps ou l’ennui se manifesterait. Après y avoir déposé sa valise, Thomas se rendit dans la salle de bain qui faisait face à sa chambre. Quelle surprise pour lui de découvrir une pièce aussi spacieuse. Le bleu azur était le ton dominant, mais s’y mêlaient habillement des nuances de gris. La baignoire et le lavabo se faisaient face. La vue de toilettes luxueuses à l’entretien quotidien ranima l’envie pressante qu’il avait avant d’arriver. Cela faisait bien plus de 12 heures qu’il ne s’était pas soulagé. Il ferma la porte. Ses parents continuèrent à faire le tour du propriétaire. Leur chambre était à l’étage, bien plus grande et confortable que celle de leur fils. Ils y laissèrent leurs affaires avant de retourner dans la pièce principale pour franchir la baie vitrée qui donnait sur un petit jardin où trônait une niche. Pato ne se fit pas prier pour prendre ses repères et marquer son nouveau territoire de vacances.

Voyant l'hôtesse d’accueil s’impatienter, les quatre membres de la famille Mener la suivirent pour une découverte rapide de la résidence. Leur bungalow donnait directement sur la seule route, à sens unique, qui traversait la résidence rectangulaire. Les maisons qui se trouvaient, comme la leur, à l’extérieur de la voie de circulation, possédaient une chambre à l’étage en plus de celle au rez-de-chaussée. Les autres maisons, plus au centre de la résidence, étaient plus petites et n’était dotées que d’une seule chambre. Thomas n’osa imaginer ce que «plus petit» pouvait signifier après avoir constater l'exiguïté de sa chambre. Ces bungalows entouraient une immense piscine et un parc. Des plongeoirs se faisaient face et un toboggan tournant devait faire la joie des plus jeunes. Comme si ce n’était déjà trop, des jets d’eau entourant l’ensemble semblaient danser, tourner, se succéder au rythme d’une douce musique à peine audible mais si agréable pour ceux désirant se détendre en profitant du soleil réunionnais.

Alors que ses parents continuaient la visite, Thomas resta émerveillé devant le spectacle que donnaient les jets éclairés chacun par une douce lumière aux couleurs allant du rouge au jaune, en passant par l’orange ou le rose, des couleurs plus froides telles le bleu ne venant jamais gâcher le dictame de ce ballet nautique. Il n’y avait personne dehors, le mois de juillet commençant à peine. Les rares locataires présents avaient déjà regagné leurs bungalows pour dîner. Thomas s’apprêta à en faire de même après avoir terminé la découverte de la résidence par le parc accolé à la piscine. Cette étendue verte avait la superficie d’un quart de terrain de football. L’espace central était vierge de tout arbre, laissant libre cours à l’imagination ludique des enfants. Des bancs et des papayers se succédaient assurant d’agréables coins d’ombre à ce petit espace naturel.

Les gargouillis de leur estomac les ramenèrent au numéro 30. Après avoir sincèrement remercié leur hôtesse pour sa patience et sa bonne humeur, Ginette prépara un dîner avec le peu d’ingrédients qui étaient présents. Il n’y avait que des pâtes et des oeufs... Thomas qui voulait découvrir les spécialités locales allait devoir patienter. Il mangeait là un plat qu’il appréciait mais qu’il ne connaissait que trop.

Sa toilette réalisée, le jeune homme fut rapidement emporté par les bras de Morphée malgré l’inconfort de son matelas. Ses dernières pensées allèrent vers le futur. Il se savait timide et pensait qu’il ne lui serait pas aisé de se faire de nouveaux amis. Ses proches d’Aure commençaient déjà à lui manquer mais il ne manquerait pas une occasion de les appeler ou de leurs envoyer des cartes postales des lieux qu’il visiterait.
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MessageSujet: Re: Triana, pouvoir de la descendance - Vacances à l'île de La Réunion   Triana, pouvoir de la descendance - Vacances à l'île de La Réunion - Page 2 EmptyVen 1 Mai 2009 - 16:52

Ne pas se fier aux commentaires d'amis, de connaissances quelconques car souvent ils n'y connaissent rien aux travers de l'écriture qui est un travail acharné et technique.
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captainamo
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MessageSujet: Bien d'accord   Triana, pouvoir de la descendance - Vacances à l'île de La Réunion - Page 2 EmptySam 2 Mai 2009 - 1:26

Skull je suis tout à fait d'accord avec toi. Certains amis ou proches manquent de franchise et disent que c'est bien alors que ce n'est pas toujours le cas mais d'autres sont honnêtes et indiquent ce qui les gène.

Après je pense que chacun à une façon d'écrire qui lui est propre et on ne peut pas plaire à tout le monde. Pourtant il faut veiller que dans son style il n'y ait pas de grosses erreurs rendant le texte indigeste ou peu agréable.
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MessageSujet: Re: Triana, pouvoir de la descendance - Vacances à l'île de La Réunion   Triana, pouvoir de la descendance - Vacances à l'île de La Réunion - Page 2 EmptySam 2 Mai 2009 - 9:38

Avec le dernier extrait que tu viens de nous laisser, je pourrais encore faire une liste de maladresses de 3 kilomètres de long ! Je réitère donc ma dernière remarque.
Je suis également persuadé que si d'autres personnes de ce site lisaient tes chapitres, ou même une partie, ils concluraient la même chose.
Il ne s'agit pas d'un style qui plait ou non suivant les lecteurs, il s'agit d'erreurs et de lacunes de "débutant" qui doit encore travailler son écriture avant d'être prêt (pardonne moi, mais encore une fois je suis franc) !

Écrire un roman est un projet ambitieux qui nécessite autant de talant que de motivation.
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MessageSujet: Re: Triana, pouvoir de la descendance - Vacances à l'île de La Réunion   Triana, pouvoir de la descendance - Vacances à l'île de La Réunion - Page 2 EmptySam 2 Mai 2009 - 9:43

Par contre j'apprécie le recul de captainamo qui lit nos critiques avec philosophie. Beaucoup diraient d'aller nous faire f... avec nos commentaires. Captainamo a bien compris que nous ne sommes pas ici pour flinguer tout ce qui bouge ni jouer les prétentieux. Nous donnons de simples avis subjectifs sur la façon dont nous ressentons un texte. Nous n'avons pas la prétention de nous prendre pour des Dieux de l'Olympe à la plume immortelle.

Pour cette manière de réagir, je te remercie Captainamo. L'écriture est un acharnement... mais je me répète !
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captainamo
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MessageSujet: Détail des problèmes   Triana, pouvoir de la descendance - Vacances à l'île de La Réunion - Page 2 EmptyDim 3 Mai 2009 - 5:41

Bonjour.

Merci Skull. En effet il faut savoir être à l'écoute pour progresser.
Et à ce propos, je suis tout à l'écoute de max concernant les 3 kilomètres de maladresse. Je sais que cela prend du temps mais j'aimerai vraiment savoir quelles sont ces maladresses.

Il faut savoir que je fréquente d'autres forums de littérature fantastique et les avis sont à l'opposés du tien mais comme tes remarques des précédents posts étaient tout à fait pertinentes, j'ai hâte de connaitre ce qui est génant dans la dernière version postée du chapitre.

A très bientôt.
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MessageSujet: Re: Triana, pouvoir de la descendance - Vacances à l'île de La Réunion   Triana, pouvoir de la descendance - Vacances à l'île de La Réunion - Page 2 EmptyDim 3 Mai 2009 - 8:53

Je ne vais pas encore passer du temps à faire une liste alors que tu ne renvoies pas l'ascenseur en lisant un de mes textes Wink

Bon, quand même voila quelques trucs gênants relevés au pif en 30 secondes (c'est pas du tout exhaustif !) et quelques remarques ultra rapides :

-Le visage de Thomas à la matité ténue devint livide... => Indigeste, lourd. "Le visage mat de Thomas devint livide" ça marche aussi bien.

- Tout comme pour son chien, l’effroi parcourut tout son être. => Répétition "tout".

- Jacques Mener enfonçait de sa jambe droite tendue et crispée la pédale de frein de la Ford Mondéo. => "jambe droite tendue et crispée" => est-ce utile ? Lorsque l'on enfonce une pédale de frein dans un tel moment, on imagine très bien que la jambe est tendue droite et crispée. Pas forcément besoin de cette précision.

"Pourtant ses mains se dirigèrent vers le toit de la voiture" => "se diriger" nécessite une notion de volonté, de conscience : ne dis-tu pas juste avant qu'il ne contrôle ni ne sent ni ne voit plus rien ? "Ses mains se levèrent ["d'elles-mêmes" ou je sais pas quoi] vers le toit" semble mieux.

"Le pare choc caressait un immense rocher," => "caressait" ? Maladroit.

"Durant le trajet, le taximan, un créole brun, qui les transporta à bon port, leur parla un peu de Méio-sur-Mer," => pourquoi cette précision ? Les taxis auraient-ils à ce point la réputation de perdre leurs clients qu'il faille préciser que celui-là les amène "à bon port" ? Ça alourdit la phrase pour pas grand chose.

"les vacances commencèrent alors à prendre enfin forme." => très lourd aussi. Enlever soit "alors" soit "enfin".

Sinon tout le passage après "Ils avaient finalement eux aussi retrouvé leur esprit après tant d’émotions." n'est pas un modèle de crédibilité par rapport aux agissements des personnages.

Il y a aussi souvent des problèmes de ponctuations.

J'arrête là cet aperçu, mais j'aurais pu continuer.
Par contre, il faut tout de même avouer que cette version est un peu mieux (au niveau du début surtout).
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captainamo
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MessageSujet: Des améliorations bienvenues.   Triana, pouvoir de la descendance - Vacances à l'île de La Réunion - Page 2 EmptyDim 3 Mai 2009 - 9:54

Bonjour. Je vais aller voir tes textes juste après ce post.
Pour ce qui concerne la matité ténue je trouve que abrégé par le visage mat de Thomas est trop brutal, cependant je vais rajouter des virgules.

Pour le reste je suis d'accord et dans la suite du post je mets la version corrigée.

L'élément qui me surprend le plus dans ton post c'est le comportement des personnages après "Ils avaient finalement eux aussi retrouvé leur esprit après tant d’émotions."
Etant donné qu'on ne connait pas leurs comportements vu qu'il n'y a eu qu'une scène d'action, pourquoi ne semblent-ils pas crédible lorsqu'ils regardent leur fils avec émotion?

En tout cas merci et n'hésite pas à continuer avec tes remarques pertinentes.

Voici la version corrigée :

Les pneumatiques crissèrent ! Jacques Mener immobilisa la Ford Mondéo de justesse. Le pare choc effleurait un immense rocher, venant de l’abrupte falaise sur leur gauche, qui s’était écrasé devant eux. Les automobilistes qui suivaient évitèrent tout carambolage, la route du littoral étant dans une configuration avec une seule voie de circulation côté mer. Ces secousses sortirent Ginette, la femme de Jacques, et Thomas, leur fils, de leur torpeur. Pato, le grand chien Danois de la famille qui était sur la banquette arrière de la voiture, à la gauche de Thomas, continuait de clabauder, sa truffe pointant le ciel comme si l’ombre de la mort ne s’était toujours estompée. Thomas leva à son tour les yeux. L’effroi parcourut tout son être. «La Grande Faucheuse» s’abattait sur eux...

Un roc aussi grand que celui devant eux s’était décroché de la falaise basaltique et menaçait de les écraser. Le visage de Thomas, à la matité ténue, devint livide... Tout bascula en une fraction de seconde. Ses pupilles se dilatèrent, son corps rigidifié par la peur se décrispa subitement. Une immense chaleur parcourut son corps comme s’il brûlait de l’intérieur. Alors que la douleur devenait insoutenable, brusquement Thomas ne ressentait plus rien. Il ne contrôlait plus rien, il ne voyait, ni n’entendait plus rien. La conscience de Thomas s’était effacée. Pourtant ses mains s’orientèrent d’elles-mêmes vers le toit de la voiture, comme pour rattraper l’immense masse basaltique. L’impact n’eut jamais lieu... De la poussière noire se déposait sur les sièges de la berline «rouge-venise» qui n’était plus en état d’abriter la famille Mener de la pluie battante. Thomas était inconscient, mais bien vivant. Il ne le savait pas, ne le saurait peut-être jamais, mais c’était bien lui qui avait réduit à de fines particules le toit et ce bloc minéral si dense. De ses mains une vague d’énergie, une immense onde de choc les avait tous sauvés.

De nombreuses secondes s’écoulèrent durant lesquelles Ginette et son mari restèrent le regard vide à fixer le ciel sombre de leur première journée sur l’île de La Réunion. Pato aussi ne bougeait pas. Il s’était recroquevillé, autant que son imposante carrure le lui permettait, sous les sièges de ce qu’il restait de la voiture de location. Il était le seul à avoir remarqué le malaise de son jeune maître, mais les émotions vécues le paralysaient. Les images des dernières heures écoulées traversèrent l’esprit embrumé de Thomas qui reprenait petit à petit conscience. L'atterrissage à l’aéroport de Gillot s’était réalisé sans encombre après un long trajet de plus de dix heures au départ de Paris. Quelques perturbations à l’heure des repas avaient tout de même contraint Jacques à changer de chemise après s’être taché, son ventre rond ayant eu l’avantage de protéger son pantalon des salissures. Après avoir passé les douanes, et récupéré valises et animal de compagnie, ils avaient loué pour le mois la Ford Mondéo réputée pour son immense coffre qui ne serait pas de trop vu la quantité d’affaires qu’ils avaient à transporter. La voiture n’avait finalement fait que quelques heures. A l’aide du GPS de la société RD Tronics, le seul disposant de la carte de La Réunion, ils avaient pris la direction de Méio-sur-Mer, non sans mettre le climatiseur en route, les températures approchant les trente degrés Celsius malgré l’hiver austral de ce mois de juillet 2002.

Les souvenirs de Thomas devenaient de plus en plus flous, au fur et à mesure qu’il se remémorait sa famille s’engager sur la route du littoral. Le bloc rocheux qui bloquait la circulation était le dernier élément dont il se rappelait. Puis plus rien, l’amnésie était totale. Une sensation humide, comme autant de picotements de plus en plus intenses sur sa peau, sortit Thomas de son état second. Lorsqu’il ouvrit les yeux, ses parents le regardaient. Ils avaient finalement eux aussi retrouvé leur esprit après tant d’émotions.

- Thomas... Susurra Ginette pleine de douceur dans la voix.
- Fiston... Soupira Jacques heureux qu’aucun membre de sa famille ne soit blessé.
- Je... Je vais bien je crois... J’ai dû perdre connaissance...Thomas essayait de se remettre les idées en place, mais rien n’y faisait. Impossible de se rappeler les événements qui faisaient suite à l’immobilisation de la voiture devant l’immense rocher noir.
- Que s’est-il passé? Pourquoi la voiture n’a-t-elle plus de toit?

La surprise de voir le ciel en lieu et place du plafond de la voiture avait été si grande que Thomas s’était redressé d’un bond. C’est alors qu’il sentit les paumes de ses mains le brûler. Il les regarda mais elles étaient à peine plus rougeoyantes qu’à l’accoutumée. Ses biceps et autres deltoïdes étaient courbaturés comme s’il avait réalisé des heures de musculation. Il supposa que ce devait être une réaction normale de son corps suite à ce trop plein d’émotion qu’il venait de subir.

Ses parents ne répondirent pas à ses questions dans l’immédiat. Ils n’avaient de toute façon aucun élément qui pourrait expliquer rationnellement ce qu’ils observaient. Ils restaient là à contempler leur jeune adolescent d’une quatorzaine d’années. Ils le regardaient avec tant de tendresse que Thomas ne put s'empêcher de rougir. Ils admiraient pendant plusieurs secondes sa chevelure en bataille, brune aux reflets acajous, son front lisse et dégagé, ses yeux d’ambre profonds et son nez droit à la symétrie presque parfaite qui contrastait avec leur propre physique moins équilibré. Leur fils avait bien grandi et allait certainement prendre quelques centimètres supplémentaires d’ici sa majorité, puisqu’il ne faisait pas encore tout à fait le mètre soixante-dix de son papa.

La pluie battante mit un terme à leur contemplation et Jacques formula l’hypothèse la plus crédible sur les événements inexpliqués qu’ils avaient vécu de l’intérieur.
- Thomas, tu as certainement perdu connaissance lorsqu’on a failli percuter le rocher devant nous. Mais pendant que tu étais évanoui, un autre s’est écrasé sur le toit... Il devait être suffisamment friable pour s’être réduit en fumée lors de l’impact. Mais j’avoue que le mystère du toit volatilisé, j’ai du mal à l’expliquer...»
L’enquête finira par conclure à une anomalie des matériaux constitutifs de la voiture, et cela malgré les multiples incohérences de la procédure d’investigation.


Après de nombreuses heures pour évacuer les personnes, c’est en fin de journée que la famille Mener rejoignit sa résidence de vacances, Anna-plage. Durant le trajet, le taximan, un créole brun, leur parla un peu de Méio-sur-Mer, ville touristique par excellence de La Réunion. Il surveillait ses paroles afin d’utiliser le moins possible sa langue maternelle, le créole, sans grand succès au grand regret des Mener qui tendaient l’oreille, comme tout bon «zoreil», pour tenter de comprendre quelques mots de ce dialecte qui leur était étranger :
- Zot y conné, Méio-sur-Mer, lé vraiment un endroit lé mol. Comme le tourisme y marche moins bien, les élus locaux la décidé, à cause un «gros subvention», de casse un portion de l’île, entr’ St Leu et l’Etang Salé, pou’ créer site là. Lé vrai que band tourisme aster y marche mieux, mais nous trouve que y dénature nout l’île...
Un long silence s’en suivit. Aucun Mener ne sut que répondre. Comment pouvaient-ils ne pas se sentir quelque peu exclus par l’ambiguïté de la situation. Voyant qu’il avait jeté un froid, le taximan reprit :
- Affol pas! Lé pas cont’ zot, solmen cont’ la rasé nout patrimoine local pou le profit band stations balnéaires plus moderne. Mi esper’ que durant zot séjour, zot va visit’ deux trois z’endroits plus typiques de not’ péi.
Ni Thomas, ni ses parents n’étaient en mesure de se projeter en train de faire une sortie. Leurs paupières étaient lourdes et ils faisaient de nombreux efforts pour ne pas se laisser bercer par les intonations chantantes et chaleureuses de ce créole réunionnais.

Enfin arrivé devant le portail d’Anna-plage, Jacques manifesta sa présence, et l’hospitalité Réunionnaise, tant appréciée par certaines de ses connaissances, se vérifia rapidement. Une jeune femme, à la noire chevelure bouclée et au visage couleur chocolat, leur sourit malgré l’heure tardive. Après leur avoir remis clés et autres badges, elle les conduisit à leur bungalow à deux étages, le numéro 30.

Quand ils entrèrent dans le lotissement qui leur était attribué, les vacances commencèrent alors à se concrétiser. Le bungalow dans lequel ils s’apprêtaient à pénétrer était entièrement fait de bois blanc à l’odeur familière. Il semblait que les planches utilisées pour la réalisation de l’édifice venaient de métropole. Ce devait sans aucun doute être du pin. Cet arbre était leur quotidien à Aure, leur ville d’origine. Ils firent rapidement le tour de leur location, cette dernière n’étant pas bien grande mais possédait toutefois deux chambres, contrairement à plus de la moitié des logements d’Anna-plage.

A l’entrée, deux portes se faisaient face, l’une d’elle menant à la chambre de Thomas. Elle déplut à ce dernier qui la trouvait beaucoup trop étriquée. Elle ne contenait que le minimum : un lit, au matelas si fin qu’il ne faisait aucun doute que la dureté des lattes gâcherait la trentaine de nuits qu’il passerait ici, une commode, une table de chevet. Rien de plus hormis une lampe à néon proche du lit qui lui permettrait de lire à sa guise lorsque le mauvais temps ou l’ennui se manifesterait. Après y avoir déposé sa valise, Thomas se rendit dans la salle de bain qui faisait face à sa chambre. Quelle surprise pour lui de découvrir une pièce aussi spacieuse. Le bleu azur était le ton dominant, mais s’y mêlaient habillement des nuances de gris. La baignoire et le lavabo se faisaient face. La vue de toilettes luxueuses à l’entretien quotidien ranima l’envie pressante qu’il avait avant d’arriver. Cela faisait bien plus de 12 heures qu’il ne s’était pas soulagé. Il ferma la porte. Ses parents continuèrent à faire le tour du propriétaire. Leur chambre était à l’étage, bien plus grande et confortable que celle de leur fils. Ils y laissèrent leurs affaires avant de retourner dans la pièce principale pour franchir la baie vitrée qui donnait sur un petit jardin où trônait une niche. Pato ne se fit pas prier pour prendre ses repères et marquer son nouveau territoire de vacances.

Voyant l'hôtesse d’accueil s’impatienter, les quatre membres de la famille Mener la suivirent pour une découverte rapide de la résidence. Leur bungalow donnait directement sur la seule route, à sens unique, qui traversait la résidence rectangulaire. Les maisons qui se trouvaient, comme la leur, à l’extérieur de la voie de circulation, possédaient une chambre à l’étage en plus de celle au rez-de-chaussée. Les autres maisons, plus au centre de la résidence, étaient plus petites et n’était dotées que d’une seule chambre. Thomas n’osa imaginer ce que «plus petit» pouvait signifier après avoir constater l'exiguïté de sa chambre. Ces bungalows entouraient une immense piscine et un parc. Des plongeoirs se faisaient face et un toboggan tournant devait faire la joie des plus jeunes. Comme si ce n’était déjà trop, des jets d’eau entourant l’ensemble semblaient danser, tourner, se succéder au rythme d’une douce musique à peine audible mais si agréable pour ceux désirant se détendre en profitant du soleil réunionnais.

Alors que ses parents continuaient la visite, Thomas resta émerveillé devant le spectacle que donnaient les jets éclairés chacun par une douce lumière aux couleurs allant du rouge au jaune, en passant par l’orange ou le rose, des couleurs plus froides telles le bleu ne venant jamais gâcher le dictame de ce ballet nautique. Il n’y avait personne dehors, le mois de juillet commençant à peine. Les rares locataires présents avaient déjà regagné leurs bungalows pour dîner. Thomas s’apprêta à en faire de même après avoir terminé la découverte de la résidence par le parc accolé à la piscine. Cette étendue verte avait la superficie d’un quart de terrain de football. L’espace central était vierge de tout arbre, laissant libre cours à l’imagination ludique des enfants. Des bancs et des papayers se succédaient assurant d’agréables coins d’ombre à ce petit espace naturel.

Les gargouillis de leur estomac les ramenèrent au numéro 30. Après avoir sincèrement remercié leur hôtesse pour sa patience et sa bonne humeur, Ginette prépara un dîner avec le peu d’ingrédients qui étaient présents. Il n’y avait que des pâtes et des oeufs... Thomas qui voulait découvrir les spécialités locales allait devoir patienter. Il mangeait là un plat qu’il appréciait mais qu’il ne connaissait que trop.

Sa toilette réalisée, le jeune homme fut rapidement emporté par les bras de Morphée malgré l’inconfort de son matelas. Ses dernières pensées allèrent vers le futur. Il se savait timide et pensait qu’il ne lui serait pas aisé de se faire de nouveaux amis. Ses proches d’Aure commençaient déjà à lui manquer mais il ne manquerait pas une occasion de les appeler ou de leurs envoyer des cartes postales des lieux qu’il visiterait.


Dernière édition par captainamo le Dim 3 Mai 2009 - 11:43, édité 1 fois (Raison : Conseil de max)
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MessageSujet: Re: Triana, pouvoir de la descendance - Vacances à l'île de La Réunion   Triana, pouvoir de la descendance - Vacances à l'île de La Réunion - Page 2 EmptyDim 3 Mai 2009 - 11:18

Excuse-moi, mais voila un exemple révélateur :

"Jacques Mener enfonçait de sa jambe droite la pédale de frein de la Ford Mondéo qui s’immobilisa de justesse."
=> énormes répétitions.

En l'occurrence, même après avoir modifié ton texte, le résultat n'est pas forcément meilleur. C'est pour ça que je parle d'un style et d'une écriture pas suffisamment "mâture" et "maitrisée".

Mais dans tous les cas, on ne peut que louer les efforts et l'investissement dont tu fais preuve. De même, comme l'a dit Skull, c'est tout à ton honneur de prendre avec du recul nos remarques, en remettant en question ton travail.
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