Synopsis-Hôtel Hanté...

Je commence sérieusement à penser à mon prologue, et je vais vous demander votre avis ![

Je voulais démarrer immédiatement l’intrigue du roman avec une scène terrifiante… C’est pourquoi je veux plonger le lecteur dès le début au cœur du Senfina Hotel vers les années 1958. J’ai dit plus haut dans le synopsis :

Citation :

Jusqu’en 1958, ou un accident cause l’entière décès des occupant de la salle de bal lors d’une réception, pouvant accueillir jusqu'à 120 danseurs (les détail seront pour plus tard..) L’hôtel ferme ses portes pendant plusieurs mois mais finit par réouvrir.

Eh bien c’est justement cette événement que je vais incéré dans le prologue, question de bien démarrer mon histoire… j’ai pensé au manière de mettre fin à la vie d’une centaine de personnes en même temps : incendie…meurtre... ou alors tout le monde tombe mort sans explication ! Mais bon rien qui me satisfaisait... Jusqu’à ce que je tombe sur cette vidéo : http://fr.youtube.com/watch?v=OojbZc5aB0o

Je suis complètement tombé en amour avec cette scène ! Elle n’est que trop… parfaite ! Elle rentre parfaitement dans mon contexte et je ne peux résister… à la tentation… de m’en inspirer !

Vous en penser quoi ? Je ne veux surtout pas avoir l’impression de... copier.

Bonne scène maintenant c'est à toi de t'en inspirée et de la mettre sur papier.
attention à ne pas trop t'en sinon ce serait du copiage et ce qui liron cette scéne et qui l'on vue te dirons comme à la maternelle copiter!

Le problême avec cette scène, c'est que je ne la trouve pas trés réaliste au départ : un seul cable qui coupe en deux à lui tout seul au moins une centaine de personnes, franchement, j'y crois pas! De plus la présence de ce cable peut se justifier dans un bateau mais guère dans un hôtel!

En fait, pourquoi chercher des explications compliquée alors qu'il est simple d'imaginer qu'il y a eu un incendie et que les règles de sécurité comme les issues de secours n'étaient pas aux normes (d'autant plus que les normes devaient être moins strictes en 1958 qu'aujourd'hui), ce qui peut trés bien avoir entrainé une centaine de victimes!

mouais.. j'avoue que sa enlevrais un peu de crédibiliter à mon histoire, dommage
Le problème , c'est que l'idée de l'incendit est prise pour plus tard... J'avait imaginer le lustre du plafond qui tombe au centre de la pièce lors du tremblement de terre, quelque personne écraser.. les sortie bloquer du fait même.. des rideaux qui prennent en feu, pour finir en désastre, c'est bien non ?

Sympa!

Pour le prologue, je me suis enfin décidé ! C'est tout de même un peu inspiré de la video montré plus haut... Voila un extrait :

La chanteuse était entrain d’entamé « summer place » quand sa arriva. Tous, ils arrêtèrent de danser, la musique s’estompa et le silence le plus inquiétant et le plus sombre qu’elle n’avait jamais entendu s’installa dans la pièce. Celle qui assistait à cette scène se nommait Mégane Foster, et elle était terrifiée. Tous les couples se tenant au centre de la salle de bal se tenaient encore dans les bras, le regard grimaçant à la fois de douleur et de surprise, comme si leurs cœurs avaient tous soudainement cessé de battre.

Elle, elle s’était caché derrière le buffet, mais pouvait admiré toute la scène qui se déroulait devant ses yeux impuissant. Le son des coupes de vin se fracassant au sol résonna dans ses oreilles, les plateaux que tenaient quelques secondes auparavant les serveurs tombèrent dans le vide… Des fourchettes tombèrent des tables et ricochèrent sur le plancher... Ils se tenaient tous debout, vacillant parfois un peu, mais ils étaient morts. Mégane le savait, elle le sentait.

Et soudain, le cœur de Mégane s’arrêta de battre : Les danseur, la chanteuse, les serveurs… tout ces gens morts… ils tournèrent leurs visages vides, un après les autres, vers elle, lentement, comme si s’était le diable lui-même qui le faisait de ses mains. Leurs yeux n’étaient plus que des orbites vides, noires comme la cendre. La bouche grande ouverte par une grimace, leurs deux troue vides, d’où coulait presque la noirceur et la mort, étaient tous tourné sur Morgane, pétrifié de peur. Le son le plus effroyable qu’il n’est donné d’entendre sortie de leur bouche tel le crie d’une respiration étouffée.

Les deux grandes portes de la salle de bal se refermèrent sur eux même.

Ecris la suite ecris et vite grouille grouille grouille toi
Heu teuplait steuplait steuplait steuplait!!!!!

Je m'y met !

Intéressant tout cela, mais c'est un peu trop le bordel je trouve... Dur, lorsque sa cervelle bouillonne d'idées, d'arriver à en produire quelque chose "sur le papier" et à mettre de la forme hein ?

Oui c'est vrai... Je vais éditer le dixième post pour qu'on puisse lire le chapitre du début à la fin ( he oui le premier chapitre est finit). Sa va prendre plus de temps pour le deuxième : je vais l'envoyer d'un coup quand il sera complet.



aille, je n'ai pas pu tout mettre ensemble : je dépasse le nombre de lignes autorisé

2 Chapitre
L'autre monde


Quand Richard remonta l’escalier pour retourner à son bureau, Christian se retrouva seul dans le hall du Kingdom Palace, avec les indications légères qu’il avait reçu pour trouver sa chambre. Sous ses pieds se trouvait un autre monde, un autre endroit... relié uniquement par un simple trou défigurant le sol. Contrairement à se que d’autre pouvait penser, il n’y avait pas que l’air étrangement frais qui s’échappait du passage souterrain. Lorsque sont ami le quitta par l’escalier avec son complet brun et son aire assuré, Christian voulu se croire seul, mais il ne l’était pas.

L’homme de 42 ans ne posa qu’un regard sur la grande pièce vide et se dirigea vers l’ascenseur de vitre et de métal. Ou est-ce que j’ai bien pu la mettre… ha voila ! Il sortie de sa poche une petite clé dorée sur laquelle était gravé CHAMBRE 1503 en italique. Les chambres de tout le personnel doivent se trouver aux derniers étages… vive les ascenseurs. Et oui, ce qu’il faut savoir dans les grands hôtels comme le Kingdom Palace, situés dans des coins un peu plus reculé, c'est que certain employés haut placé comme Christian, le concierge, ou Richard, sont patron, doivent occuper une chambre à plein temps parmis les suites réservés à leurs noms.

La porte coulissante se referma et il appuya sur le bouton clignotant sur lequel était écrit 15. Quand les étages se mirent à défiler lentement, Christian remarqua que quelque chose d’anormal se passait, l’ascenseur descendait.

-Quoi ?! Mais c’est impossible… À travers le mur de vitre, on ne voyait plus que la noirceur. Sans la lumière extérieure, la cabine n’était plus qu’éclairée que par le néon jaune du plafonnier. Tout sa est impossible, c’est irréel... l’hôtel n’a pas de sous étage, il n’y a que… Christian compris à cet instant ou l’ascenseur l’amenait… Il appuya des dizaines de fois sur le bouton du quinzième étage, puis ensuite écrasa l’arrêt d’urgence, mais sans résultat. A mesure que les secondes s’écoulèrent, la cabine gagna de la vitesse et il ne pu discerner que des formes étranges à l’extérieur de la vitre, quelque chose voulait entré. Les étages inexistants défilèrent à grande vitesse et Christian perçu ces silhouettes de plus en plus menaçantes sur le mur de verre, comme des ombres. La musique qui s’était déclanché au départ se transforma en crie désespéré, l’accompagnant dans sa chute mortel. A peine il voulut se protéger les oreilles du crie infernal qu’il du s’accrocher à la rampe métallique pour ne pas s’écraser au plafond par la gravité, l’ascenseur était littéralement lâcher dans le vide. Nooon ! Je vais m’écraser au sol ! Laisser moi sortir ! Et Christian cria, les yeux fermés, se joignant au terrible crie qu’émanait l’ascenseur, comme s’ils étaient par dizaine dans la cabine à s’époumoner avant la mort certaine qui les attendaient.

La porte métallique coulissa à cet instant avec un son de sonnette.

-Monsieur, est-ce que sa va ? Christian ouvrit les yeux, des gouttes de sueur perlant sur son front, il tenait encore la rampe de métal fermement dans ses mains. Une dame d'une trentaine d'anné,afro-américaine, portant le chemisier pourpre de l’hôtel (celui que les femmes de chambres portent) se tenait dans le couloir, chariot de vaisselle propre en main.
–Monsieur ? répétât-elle sur un ton effrayer. Christian se retourna, le bouton 15 clignotait, sa valise et son porte-document étaient déposés à coter de lui, ils n’avaient pas bougés d’un pouce. La musique avait déjà reprit dans la cabine.

-Oui... oui je vais bien, je crois, répondit-il en repoussant ses cheveux courts mouillés sur son front. Reprenant ses affaires, il ressortit en haletant de la cabine d’ascenseur. La femme le regarda s’éloigner, à la foi interloqué et apeuré, avant de pénétrer dans l’ascenseur avec son chariot. La porte coulissante se referma et Christian se retrouva une fois de plus seul.

Qu’est-ce qui m’arrive… je ne suis pas fou… j’ai vu de mes propres yeux la cabine qui descendait dans le noir, j’ai ressenti la chute, la cabine allait s’écraser au sol ! Elle m’amenait... dans le Senfina Hotel. Serait-ce ça, la claustrophobie ? À moins que ce ne soit le début de la folie…

Christian déambula dans les couloirs au quinzième étage du Kingdom Palace jusqu'à ce qu’il tombe devant la chambre 1503. Des paysages froids peints sur les murs le dévisageaient pendant qu’il déverrouillait la porte avec sa petite clé dorée. En entrant dans sa chambre, il s’étendit sur son lit et s’alluma une cigarette, la meilleure qu’il n’avait jamais fumé de sa vie.


***


Peter entra dans le trou, laissant sa sœur seule dans la réserve, et se retrouva dans se qui semblait être le corridor ouest au troisième étage du Senfina Hotel. Tout de suite il prit conscience que l’air respirable était rare, l’endroit sentait le souffre, mais surtout l’humidité du bois pourris. Pour rassurer sa sœur, il avait du lui expliquer que, au contraire, le bois restant sous l’eau ne pourrissait pas, car l’eau prenait la place de l’oxygène, évitant ainsi le phénomène chimique. Ce qu’il avait omis de lui dire, c’est qu’un fois le bois hors de l’eau, le matériaux devient dangereusement moue, la se déclanche la pourriture.

D’une main il tenait fermement sa lampe torche, ses poches étant remplis de barre de chocolat, d’allumette et de piles chargées, de l’autre il tenait la carte récemment imprimer du Senfina Hotel. Il n’avait imprimé que les trois premiers étages du bâtiment, les quinze autres n’étant plus utile. L’architecture était principalement de forme carrée et le premier étage, vu du haut sur la carte que tenait Peter, semblait être divisé en neuf parties distinctes. La première partie, au centre, se trouvait à être le hall, formant presque le 1/9 du premier étage. De chaque coté se trouvait un parc intérieur à air ouverte, que l’on pouvait longer dans un long corridor vitré. Le mur vitré au fond du Hall donnait une magnifique vue sur la piscine, occupant le centre de la carte. Finalement, la dernière partie était constituée de quelques chambres de repos, de la cuisine donnant sur l’énorme salle à manger du restaurant et finissant ensuite sur la deuxième partie de la salle à manger, complètement vitrée telle une immense serre.

Peter du se l’avouer, il s’attendait à marché dans des couloirs dégagé, poussiéreux mais sans plus. Ce qui se trouvait devant lui était une toute autre réalité. La plupart des couloirs de l’hôtel étaient entièrement ensevelis par les décombres, obligeant le jeune homme à suivre autre que les indications de sa carte. Sur son chemin, il enjamba souvent se qui lui semblait être des tables de bois, chaise, ou simplement des débris du plafond. La tapisserie des murs était à peine perceptible et les quelques peintures encore accrochées aux murs ne montraient que des taches jaunes décolorées par le temps, l’observant comme un œil fixé au mur. Une étrange noirceur était propagée dans les longs couloirs comme un poison qui s’infiltre dans les veines d’un mourant.

Il pointa sa lampe torche devant lui, des milliards de poussières défilant devant la lumière jaune. Le plafond s’était effondré sur cette partie du corridor, l’empêchant de poursuivre sa route. Encore une impasse... le chemin va être plus long que prévue. Et si... je m’étais perdu... impossible... Peter effaça cette idée terrifiante de son esprit. Il était plusieurs mètre sous terre, dans le noir complet, ce n’était pas le moment de paniquer. Le silence presque complet n’était déranger que par le craquement de ses propres pas sur le plancher et les gouttes d’eau qui tombais d’un peut partout résonnait sur toute les surfaces. Ce silence était presque trop irréel et perturbant… D’après la carte, je me trouve devant la salle de réception. Je trouve le plus vite possible le moyen d’entré, je prend mes clichés et je fou le camp… mauvaise idée de venir ici seul. Peter observa quelque seconde le paysage qui s’offrait à lui. …des fleurs, la tapisserie représente des fleurs… Au dessus, la peinture blanche du plafond s’était effritée avec le temps, laissant à découvert des tuiles jaunies et pendantes. Le sol était recouvert à quelques endroits d’une moquette brunâtre, peut-être autrefois rouge. Rester sans rien faire dans cet endroit glauque était de plus en plus angoissant et pesant…Je devrais prendre une pose pour vérifier mon matériel et ma camera.

Tout au long de son chemin dans l’aile ouest de l’hôtel, Peter avais longer plusieurs portes sur lesquels étaient inscrit un numéro de chambre, et à chaque fois, il s’était posé la même question : que peut bien être la vue qu’offre les fenêtre des chambres ? Cette étrange question le tourmentait au plus haut point, étant plusieurs mètre sous terre.

Étrangement, la première porte sur sa droite ne possédait pas de numéro, uniquement une petite plaquette métallique rouillé sur la quel était affiché un message quasi-incompréhensible tellement il datait. Sans doute un salon particulier ou un placard… Mais Peter pénétra dans se qui lui sembla, en y entrant, une loge… La pièce semblait en bien meilleur état que le couloir qu’il venait de quitter, à l’exception du mur au fond, dont la fenêtre était complètement défoncée. Des lambeaux de tapisserie tombaient au sol, parsemé de brique : la terre bouchait complètement la fenêtre et avait du fait même défoncé le mur. Voila qui répond à ma question… Une lampe en forme de fleurs pendait au centre de la pièce, pointant le parquet de bois caché sous les décombres et la poussière qui le recouvrait.

Peter porta principalement son attention sur le mur de droite, entièrement décoré de vieille photographie. Il reconnut sous la poussière quelques grandes stars de l’époque. Il ont tous fait leur apparition un jour ou l’autre pendant de grande réception ici… Musiciens, chanteurs… Fasciné, Peter remarqua un étrange rectangle vide au centre du mur, une petite surface ou la poussière ne s’était pas encore totalement déposée… Il y avait quelque chose la. Une photographie est tombé récemment… Effectivement, devant lui, une petite photographie encadré reposait sur le sol, une fissure circulaire cachant la partit gauche.

Il la prit dans ses mains avec douceur, comme si l’objet avec une signification importante, et dégagea la vitre de son index. Il y avait une femme aux formes parfaites, se tenant debout, les deux mains gantées sur sa taille, la fissure cachait son visage. Elle portait une robe de soirée moulante et plusieurs bijoux, collier de perle blanche la décorait… La manière dont la fissure cachait entièrement son visage donnait froid dans le dos, comme si elle cachait quelque chose. Il est écrit en grande lettre… « Ariel Fines, 1958, représentation au Senfina Hotel, interprète ‘summer place’ » Ces mots résonnèrent dans la tête de Peter « 1958 » l’année ou s’était passé l’évènement dans la salle de réception. L’année ou une centaine de personne on littéralement disparu, sans laisser aucune trace… Cette femme se trouvait dans cette salle, l’évidence était dérangeante.

La photographie toujours en main, Peter se dirigea, encore plus excité de sa découverte, vers la salle de bain. Les carreaux étaient recouvert de crasse, mais le miroir lui... il est comme neuf, aucune trace de poussière, nie fissure… comment est-ce possible, après tant d’année? Le miroir reflétait la fenêtre sur le mur opposé de la salle de bain avec une précision presque irréel. La curiosité de Peter l’emporta, il ouvrit la fenêtre avec difficulté, les morceaux de vitre cassée tombant sur ses bras couverts de suie et de sueur. Contrairement à celle de la chambre, la fenêtre blanche de la salle de bain donnait sur le vide. Un écoulement d’eau avait creusé un trou dans la terre, au plaisir de Peter, qui pointa sa lampe torche dans les profondeurs sombres des abysses. Rien, on dirait un trou sans fond… La petite cavité semblait ne donner vue que sur un vide complait, une noirceur totale. N’étant qu’au troisième étage, l’espace entre le sol et la fenêtre ne pouvait être aussi grand…

Avant même de réfléchir, Peter glissa la photographie de 1958 dans la cavité. Il l’entendit se fracasser contre les parois rocheuse, puis plus rien. Aucun son, elle semblait ne jamais touché le fond… C’est complètement impossible que le trou soit si profond… je ne l’ai pas entendu toucher le sol… j’ai peut être mal entendu…Après quelques secondes, incrédule, Peter s’accrocha sur le rebord de la fenêtre et se pencha pour mieux entendre, la lampe torche au bout de ses bras. Sous cet angle, la cavité semblait beaucoup moins profonde… Où est-elle ? Il n’y a absolument rien entre la paroi de terre et le mur de brique de l’hôtel… Elle ne peut s’être volatilisée…

C’est à ce moment précis qu’il vu la chose. Une horrible chose... il ne l’avait aperçu qu’une seule seconde, avant d’échapper sa source de lumière dans le vide, sous le choc. Peut-être de forme humaine... peut-être une hallucination… Mais il entendit clairement la chose s’agripper et escalader la paroi de terre et de brique de l’hôtel ensevelie d’une vitesse inhumaine. Le grincement de ces dents qui résonnait dans les profondeurs du noir, le son que ces pieds provoquait en écorchant la roche... Il entendit sa lampe torche éclater sur le sol terreux, provoquant un flash de lumière aveuglant. Lorsqu’il se retourna pour atteindre la porte de la salle de bain, le visage défiguré par une grimace de terreur, les mains crispés par la peur, il aperçu avec horreur, sur le reflet du miroir sans tache, cinq doigts écorchés, grisâtre comme la pierre, s’agrippé sur le rebord de la fenêtre grande ouverte, des morceaux de verres les transperçant.

Peter claqua la porte contre le mur, les yeux injectés de sang, avant d’allumer une allumette, le cœur prêt à lui sortir de la poitrine. Oh mon dieu… oh bordel qu’est ce que c’est que cette putain de merde !!... La dernière chose qu’il vu avant de quitter la chambre en courant, en criant, c’est la photographie noir et blanc de 1958, bien en place sur le mur tapissé de fleurs fané, sans aucune égratignure nie fissure. Le visage de la femme sur le portrait aux traits tirés, grimaçant d’horreur, le pointant d’un regard noire et vide comme la mort, son ricanement résonant dans le couloir ouest du Senfina Hotel.

Alors vous en pensez quoi ?

Moi ! Rien ! Je ne me suis pas encore décidée à rattraper mon retard de lecture. Mais bientôt, j'espère.

Ouais ma pauvre Catherine... je t'ai laissé la plus longue ("Trou perdu" 34 pages) quelque part dans les limbes de la bibliothèque

De toute façon, pour ne pas en oublier, je me suis fait une fiche avec des liens vers tout ce qui a été posté depuis que j'ai entamé ma pause lecture et que je n'ai donc pas encore lu. Mais faudrait vraiment que je m'y mette.