Atelier 17 : Un mythe renouvellé / Une image de Dorine Gris

Contre toute attente, j'ai fini l'atelier 17 avant de partir au Portugal pour les vacances.
J'espére que vous prendrez du plaisir sinon.... elle ne fait que 2 pages. (et encore ecrit gros)

Eteignez la lumière et cliquez sur l'image pour arriver à l'atelier 17...


Merci (encore) à Michel pour la couverture !

A vos commentaires !

TEXTE RETIRE POUR CAUSE DE PUBLICATION DANS LE WEBZINE "REFLETS D'OMBRE"

J'ai pas saisi le lien avec le thème du mythe ! C'est quoi ton idée en gros ?

Le titre évoque Le portrait de Dorian Gray bien sûr, bien que l'histoire, qui est par ailleurs assez astucieuse, n'ai rien à voir. On pense plus à des vieux film comme "Blow-up" d'Antonioni, où une série de clichés d'apparence banale revèle un meutre caché...
Par contre j'ai mal compris la fin: ou a-t-il revu la fille? Est ce pour évoquer sa propre mort?

Bah j'ai pas compris l'allusion avec un mythe ! Désolé Dago, j'ai pas accroché !

C'était pas mal, j'ai bien aimé mais je pense que ça aurait pu être plus dévellopé. Mais j'ai bien aimé l'idée de base. Il y a également quelques coquilles.

Merci d qvoir pris le temps de me lire
Alors pour le çythe c est en effet le portrqit de dorian gray que j ai piteusement revisite, en effet je l ai ecrite un peu vite avant de partir en vacances et ça peche beaucoup surtout la fin ou en effet, il revoit la fille

Desole que tu n ai pas accroche boss maissi je peux t encourager a lire GOLDRUSH ma nouvelle sur l enterre vivant, GOLDRUSH je l ai plus travaille et je le trouve meilleure

Yellow!

N'étant pas un inconditionnel des flagorneries c'est avec sincérité que je te dis que cette historiette me plaît. Histoire et contrainte m'ont séduit : l'histoire parce que en deux pages j'ai retrouvé quelques "ingrédients" de Dorian Gray (fan) et la contrainte de vouloir revisité un mythe car c'est un pari risqué rajoutant du cachet à mes nenoeils.
Le fait que cela soit justement peu développé m'a également râvi : on revisite, on ne présente pas, la mémoire du mythe doit compléter subjectivement le tableau selon moi (en tout cas j'ai fonctionné comme ça).

Cette touche à la limite du "ready made", moi j'aime. Moins maquillé, du bois brut, du tel quel sans masques stylistiques.

Cette fois le mythe est vu par une victime potentielle, un observateur inconscient, ou presque. Mais cela rajoute aussi du piquant.
Peut-être aurais-je moins aimé si je n'appréciais pas autant l'oeuvre d'Oscar Wilde...
Enfin, pour moi c'est loin d'être un échec et c'est même très intéressant pour un "exercice de style".

- Parce que c'est l'aboutissement d'un travail fait de mille préparatifs et de beaucoup attente (beaucoup d'attentes).

- Dans le bocal rouge où je m'agite, , j'ai vu naître des milliers de clichés. (virgule en trop).

- matériel.Mes nuits baignent dans la lueur rouge (manque un espace).

- La planche contact me révèle une série de portrait. Le même répété en 36 poses. (la)

- Les épaules nues,son visage s'auréole (manque virgule).

- un exhaleur d'âme de la lumière, (une exhalaison).

- Je lui dois une de mes plus belle émotion devant un tirage. (belles émotions).

- Sur son cliché, l'immanence de cette épiphanie est palpable, comme si le tronc, les branches complotaient pour se débarrasser de ce manteau, devenu trop étriqué et qui ne lui appartient déjà plus. ( , les branches, ... ; enléve la virgule).

- -Une commande ! voilà ce que je me dis, en préparant mes bains. (manque un espace).

- Peut être pour la peindre, comme la Marylin Monroe de
Warhol. Il faudra lui dire que le principe est de prendre la même image pour la réinterpréter. Une photo
aurait suffi. Peut être cherchait-elle une pose particulière, un certain regard. (Peut-être).

- Cependant, cette théorie s'écroule alors que la 7ème pose se dessine à l'identique, (7e).

- La jeune femme blonde et souriante rejoint ses clones sur le fil , au dessus de l'évier. (au-dessus).

- Elle est quelconque sauf peut être son sourire naturel, sauvage qui illumine son visage. Elle regarde un peu au
dessus de l'objectif. ( peut-être ; au-dessus).

- Basile souhaite t-il changer de genre ? Si c'est le cas, je me priverais pas de lui faire savoir que
son "nouveau" stylene me plaît pas et que désormais, il lui faudra me payer. ( souhaite-t-il ; je ne me priverais pas ; styrène ? ; ne me plaît pas).



que la 7ème pose se dessine à l'identique, dans le révélateur.

- quand la cosse noire de Basile m'était tombé dans la main, (m'était tombée).

- Cela ressemble à une poussière capturée par le flash etéternellement prisonnière, quasi indetectable. (indétectable).

- Seule une loupe peut extraire de sa pupille, le
crâne grimacant qui fixe sur moi ses orbites creuses. Je me recule, épouvanté... La fatigue, les
repetions ennyeuses, l'odeur des produits ont du me monter à la tête. (grimaçant ; répétitions ennuyeuses).

- n'est plus dans ma boîte au lettres (boîte aux lettres).

- Je suis satisfait car j'ai tout fait pour l'éviter. (manque une virgule).

- Quand à cette fille, (Quant).

- Jeune et fraîche, comme elle m'était apparu, pour la première fois, il y a biens des années, dans le bain
du révélateur. (apparue ; bien).


Apparemment, tu as évincé la relecture puisque tu as commis des fautes impardonnables que tu ne fais pas d'habitude. De plus, l'histoire ne m'a pas captivée. Désolé.

Paracelse a écrit:

Apparemment, tu as évincé la relecture puisque tu as commis des fautes impardonnables que tu ne fais pas d'habitude. De plus, l'histoire ne m'a pas captivée. Désolé.

Et boum Dago... prends ça dans la poire ! Paracelse, faut pas le faire chier lorsqu'il est en vacances !

Désirant faire de la photo mon métier, cette histoire m'a captivé bien que, comme les autres, la fin m'est laissée perplexe.
En tous cas, moi je dis bravo ! J'ai accroché a fond !

Eh bien merci à tous, deja de votre lecture !
Nox je suis touché par ce que tu as écrit, je trouve ça trés trés encourageant.
Paracelse, ta relecture est comme la vague qui poli le caillou, débarassant le texte de ce qui l'accroche et je te remercie de ce travail. C'est vrai que j'ai pêché par vitesse de déposer un texte avant de partir en vacances. Je ne le ferais plus, même si je poste moins.
Nao, merci de ta spontaneité..; Cette histoire s'est nourrie de mon expérience, adolescent gauche, dans la retraite d'un labo photo.

Moi j'ai bien aimé : la fin est un peu floue, mais etrangement, je ne me suis pas posé plus de questions que ça, pcq je trouve que ça colle bien au ton de l'histoire, avec ce ptit coté un peu enigmatique.
Et j'ai bcp aimé certaines de tes images (l'eucalyptus en mue, par exemple).
Un bon style et une bonne narration. Je ne dirais pas que c'est genial, mais c'est assez bien fait pour passer un moment de lecture agreable

Par contre, n'ayant pas lu le fameux Portrait de Dorian Gray, je ne peux juger de la qualité de la "revisitude" (qui est pourtant le thème de cet atelier), mais j'ai pris du plaisir à te lire Dago', et c'est tout ce qui compte.

Eh bien, merci Tak de prendre le temps de me lire et de poser des posts aussi encourageants !
Et vraiment je te conseille vivement de t'attarder sur ce texte d'O WILDE car tu vas te régaler de la maestria du maître quand il s'attaque à dénoncer le culte de la beauté eternelle

J'ai lu et bien aimé cette histoire. Bizarrement, elle me rappelle un passage de "Damien, la malédiction" ou le photographe développe des photos dans son labo et découvre des traces étranges sur certains personnages photographiés, décédés depuis. Ces traces correspondent aux blessures des victimes... peu de temps après il voit ses mêmes trâces sur une photo de lui, et il meurt décapité peu de temps après... enfin bref, voilà pour la comparaison. Non c'est pas fini en fait... le début de ton histoire me rapelle un peu aussi le commencement de "Tangram". Un personnage sur son lieu de travail ect... je me trompe ? Sauf que là, c'est à la première personne. Sinon c'est bien écrit, fluide. J'aime bien le titre aussi. Quoi dire de plus ? C'est court, mais réussi...

Oups, j'ai trouvé une erreur sur la deuxième ligne qui m'a sauté aux yeux : Parce que c'est l'aboutissement d'un travail fait de mille préparatifs et de beaucoup attente.
Il y a également des erreurs d'espace, en plus et en moins.