Atelier 1 : Les squats - n°16 : La rue des Douves

La première pièce que je vous rapporte de mes vacances est cette photo très étrange...


Je vous prie d'ailleurs de bien vouloir excuser par avance les fautes d'orthographe, de ponctuation et autres coquilles ayant échappé à mes scrupuleuses lectures.

J'essaie de lire demain.

A peine posté et deja Catherine, baguenaudant dans la bibliothèque, s'empare de ma contribution . Merci, ma belle !

Pas mal du tout!
Original dans l'idée et le traitement, jusqu'à la dernière phrase qui m'évoque, un peu abusivement peut être, la fin du Blair Witch Project...
Si j'avais un petit truc à redire ce serait peut être qu'il manque une tension qui monte progressivement...La narratrice repense au drame du passé mais se retrouver dans ce lieu n'a pas l'air de l'angoisser plus que ça, malgré son aspect sordide...Mais bon j'ai voté "Réussi" sans hésitation!

Merci Paladin de ta lecture, de tes observations et de ton bon vote.... Alors en effet,la fin est une blair witch's touch et vraiment je suis touché que tu l'ai remarqué (même si elle est too much, un peu de finesse ne nuirait pas en effet).
C'est vrai que les émotions de Chloé devraient servir de catalyseur à l'angoisse et que je dois revoir le passage où elle se met en route pour retourner au squatt et m'en servir !

Je découvre ton message, Catherine alors que je répondais à Paladin !
Merci pour ta lecture et le relevé des coquilles (peste ! 20 relectures n'y suffisent donc pas ! j'vais embaucher un correcteur moi !) et ton avis sur ce texte.
Maintenant que vous avez jeté un oeil dessus, je vois les faiblesses que tu relèves et la credibilité des personnages que je dois travailler. En ce qui concerne le rôle de Julien dans cette histoire, je suis heureux que tu y vois quelque chose de trouble car c'est exactement ce que je recherchais à faire, sans jamais le dire.

Dagobert a écrit:

En ce qui concerne le rôle de Julien dans cette histoire, je suis heureux que tu y vois quelque chose de trouble car c'est exactement ce que je recherchais à faire, sans jamais le dire.

...Dans les atelier d'écriture auquels j'ai participé, on nous citait souvent cette formule en anglais de je ne sais qui: "Show, don't tell!"

Montrer les choses dans son récit, par exemple les relations entre les personnages, plutôt que de les dire : "Machin avait telle relation avec bidule, elle l'aimait, il était manipulateur, etc..."

C'est ce que tu as fait, Dagobert!

Eh ben, ce qui va sans dire, c'est que vous me boostez !

Ouais la fin est géniale avec la narration FLASH. Bien aimé çui-là ! Du bon boulot !

Merci beaucoup Zaroff

Je n'ai été que moyennement emballé par ton histoire, Dago.

Bon déjà elle n'est pas trop originale, et même si c'est pas le genre de truc qui me gène d'habitude, j'ai tellement senti la fin dans celle là, que ça m'a un peu embêté quand même.
Même si j'aime bien la méthode que tu as employé pour écrire cette fin.
J'ai eu aussi un peu de mal avec les persos, le dialogue du début, je le trouvais assez faux.

Mais il y a quand même beaucoup de petits dtails que j'ai apprécié dans tes descriptions par la suite, donc ça compense.

Voilà.

Merci Maerlyn de ta lecture et de ton commentaire. Je suis un vrai cancre avec les dialogues et j'ai du mal à leur donner des accents de verité.... En tout cas, toutes les critiques que vous pouvez me faire m'aident beaucoup car je vois, par vos commentaires, les "trous" dans le texte !

Corrigé sur le lien ! Merci Catherine

De rien !